Afleveringen
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Enregistrement public du concert du Bach Collegium Paris du samedi 12 octobre 2013 à 20h30 en l’Église Réformée de l'Étoile (Paris 17e).
Patrizia METZLER (directeur musical).
Manon BAUTIAN (soprano).
Antoine LE ROUX (alto).
Tarik BOUSSELMA (ténor).
Sébastien BROHIER (basse).
Jean-Sébastien BACH (1685-1750)
Johann Sebastian BACH (1685-1750)
Cantate BWV 140 “Wachet auf, ruft uns die Stimme”
À l'occasion de ce concert, Le Bach Collegium Paris vous propose trois cantates de Jean-Sébastien Bach (1685-1750), composées dans les huit premières années de son séjour à Leipzig, entre 1723 et 1731 : au programme de ce concert figureront la cantate BWV 23, Du wahrer Gott und Davids Sohn, que Bach a très probablement proposée lors de son audition pour obtenir son poste à Leipzig, la cantate BWV 78, Jesu, der du meine Seele, ainsi que la célèbre cantate BWV 140 Wachet auf, ruft uns die Stimme, plus connue sous le nom de Cantate du Veilleur.
«Bach est le commencement et la fin de toute musique» : c’est par ces mots que Max Reger (1873-1916) rend hommage à l’œuvre du Kantor de Leipzig. Aussi le Bach Collegium Paris vous proposera-t-il également, en pendant à ces trois cantates, d’écouter trois motets de ce grand admirateur de Bach. Composés près de deux cents ans après les cantates de ce concert, à la veille de sa mort, ces motets sont tirés des 8 Geistliche Gesänge, œuvre de chevet de Max Reger que l’on pourrait considérer comme son testament musical.
BACH COLLEGIUM PARIS
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Enregistrement public du concert du Bach Collegium Paris du samedi 12 octobre 2013 à 20h30 en l’Église Réformée de l'Étoile (Paris 17e).
Patrizia METZLER (directeur musical).
Manon BAUTIAN (soprano).
Antoine LE ROUX (alto).
Tarik BOUSSELMA (ténor).
Sébastien BROHIER (basse).
Jean-Sébastien BACH (1685-1750)
Johann Sebastian BACH (1685-1750)
Cantate BWV 78 “Jesu, der du meine Seele”
À l'occasion de ce concert, Le Bach Collegium Paris vous propose trois cantates de Jean-Sébastien Bach (1685-1750), composées dans les huit premières années de son séjour à Leipzig, entre 1723 et 1731 : au programme de ce concert figureront la cantate BWV 23, Du wahrer Gott und Davids Sohn, que Bach a très probablement proposée lors de son audition pour obtenir son poste à Leipzig, la cantate BWV 78, Jesu, der du meine Seele, ainsi que la célèbre cantate BWV 140 Wachet auf, ruft uns die Stimme, plus connue sous le nom de Cantate du Veilleur.
«Bach est le commencement et la fin de toute musique» : c’est par ces mots que Max Reger (1873-1916) rend hommage à l’œuvre du Kantor de Leipzig. Aussi le Bach Collegium Paris vous proposera-t-il également, en pendant à ces trois cantates, d’écouter trois motets de ce grand admirateur de Bach. Composés près de deux cents ans après les cantates de ce concert, à la veille de sa mort, ces motets sont tirés des 8 Geistliche Gesänge, œuvre de chevet de Max Reger que l’on pourrait considérer comme son testament musical.
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Zijn er afleveringen die ontbreken?
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Enregistrement public du sixième concert du Bach Collegium Paris le samedi 31 mars 2012 à 20h en l'Église Réformée de l'Étoile (Paris 17e).
Patrizia METZLER, directeur musical.
Claire COUZELIN, soprano.
Xavier JACQUES, alto.
Tarik BOUSSELMA, ténor.
Fabien LERICHE, basse.
Jean-Sébastien BACH (1685-1750)
Johann Sebastian BACH (1685-1750)
Cantate BWV 4 "Christ Lag in Todesbanden"
À la différence des deux autres cantates de ce programme, nous savons que Bach composa sa cantate BWV 4, Christ lag in Todesbanden, spécifiquement pour le dimanche de Pâques de 1707 ou 1708, lorsqu’il travaillait soit à Mühlhausen soit déjà à Weimar.
Les lectures de la liturgie correspondant à ce dimanche très particulier sont la première Épître aux Corinthiens (5:6-8) et l’Évangile selon Saint Marc (16:1-8), qui toutes les deux évoquent la résurrection du Christ.
Bach fait usage pour cette cantate de la totalité des sept strophes d’un texte de choral de Martin Luther, consacrant à chacune d’entre elles l’un des sept mouvements vocaux de la cantate ; cette pratique de recourir aux strophes d’un choral comme seule et unique base textuelle pour des œuvres sacrées trouve son origine au XVIIème s.
... poursuivez votre lecture en consultant la page complète du programme :
http://www.bachcollegiumparis.org/repertoire/bach-cantate-bwv-4-christ-lag-in-todesbanden
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Enregistrement public du troisième concert du Bach Collegium Paris le samedi 19 mars 2011 à 20h30 en l'Église des Billettes (Paris 4e).
Patrizia METZLER, directeur musical.
Manon BAUTIAN, soprano.
Alicia SANTOS, soprano.
Richard WILBERFORCE, contre-ténor.
Peter de LAURENTIIS, ténor.
Beltran IRABURU, baryton.
BUXTEHUDE Dietrich (1637-1707)
Cantate BuxWV 75 “Membra Jesu nostri patientis sanctissima”
IV. Ad latus – 2. “Surge, amica mea”
Dietrich Buxtehude vécut et travailla pendant près de quarante ans dans la ville libre impériale de Lübeck, dans la Hanse. Son père, Johannes Buxtehude, était organiste et avait émigré au Danemark où il avait tenu pendant trente ans le poste d’organiste de l'église Saint-Olaf d’Elseneur.
Dietrich s’engagea dans la même profession et lorsqu’il remplaça Franz Tunder comme organiste à l’église Sainte-Marie de Lübeck en 1786, il se rendit maître de l’un des postes les plus prestigieux d’Allemagne du Nord dans le domaine de la musique religieuse.
Non content de pratiquer son art en tant qu’organiste, il y exerçait également les responsabilités de Werkmeister – administrateur et trésorier de la paroisse ; et en tant que premier musicien de la ville, il était également très souvent sollicité pour composer la musique de nombreux événements privés ainsi que des fameux Abendmusiken.
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http://www.bachcollegiumparis.org/repertoire/buxtehude-cantates-membra-jesu-nostri-patientis-sanctissima-buxwv-75
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Enregistrement public du concert inaugural du Bach Collegium Paris le vendredi 9 juillet 2010 à 20h30 en la Basilique Sainte-Clotilde (Paris 7e).
Patrizia METZLER, directeur musical.
Chiara SKERATH, soprano.
Antoine LE ROUX, contre-ténor.
David TRICOU, ténor.
Émilien HAMEL, baryton.
BACH Jean-Sébastien (1685-1750)
Cantate BWV 147 “Herz und Mund und Tat und Leben”
“Jesus bleibet meine Freude” (choral final)
J.-S. Bach écrivit la cantate 147 pour célébrer la fête de la Visitation de la Vierge Marie, et la première exécution de la pièce date de sa première année à la Thomaskirche de Leipzig, le 2 juillet 1723. Il avait composé en 1716, lors de son séjour à Weimar, une pièce du même nom, comportant six mouvements : elle devait y être jouée à l’occasion du quatrième dimanche de l’Avent.
Les révisions apportées à l’œuvre pour son exécution à Leipzig inclurent des citations conséquentes tirées du Cantique de Marie — le Magnificat de l’Évangile selon Luc (1, 46-56) —, lui permettant ainsi de remplir les conditions liturgiques de la fête de la Visitation. Le texte de l’œuvre originelle de Weimar fut composé par le librettiste Salomon Franck, et bien qu’il ne fût pas inapproprié pour la fête de la Visitation, Bach choisit d’étendre l’œuvre de six à dix mouvements, afin de satisfaire à la totalité des obligations liturgiques en vigueur à Leipzig.
Les mouvements additionnels comptaient trois récitatifs et le mouvement conclusif de la première section, et le mouvement final de l’œuvre fut également remplacé par une autre strophe du texte du choral de Martin Jahn.
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http://www.bachcollegiumparis.org/repertoire/bach-cantate-bwv-147
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