Afleveringen
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Pour la rentrée, Lucie Bouteloup plonge dans le monde du jeu vidéo et apprend le vocabulaire de base dans une partie de League of Legends.
Avec Jennifer Lufau, animatrice de l'émission Bienvenue dans le game tous les dimanches sur RFI et présidente d'Afrogameuses, une association qui lutte pour l'inclusion et la mixité dans le milieu du jeu vidéo.
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Lucie Bouteloup est dans une forme olympique et ça tombe bien, puisqu’elle revient avec ses collègues de la radio mondiale sur les façons de parler du sport dans la francophonie.
Avec Hanane Abdallah, journaliste sur MCD qui traite de l’actualité sportive tous les jours, elle représente le Maroc ; Éric Amiens du club des auditeurs pour la Guadeloupe ; Simon Bourtembourg, ex-service des sports, maintenant à la présentation, il représente la Belgique ; et Aboubakar Fofana, stagiaire à la communication de FMM pour la Côte d'Ivoire.
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Zijn er afleveringen die ontbreken?
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Bientôt les fêtes ! Peut-être l’occasion pour les plus chanceux d’avoir un beau livre relié au pied du sapin, peut-être un plein cuir ou un demi-toile avec des coins. Si vous ne voyez pas de quoi il s’agit, cette chronique est faite pour vous !
Lucie Bouteloup a poussé les portes d’un atelier de reliure en plein cœur de Paris.
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Et si le meilleur moyen de lutter contre la morosité ambiante, c'était de parler d’amour ! Du Sénégal au Tchad en passant par la Côte d'Ivoire et le Congo, Lucie Bouteloup a tendu son micro à cinq jeunes pour connaitre les mots qu’ils utilisent pour qualifier celui ou celle qui les fait vibrer. Alors fan ou pas fan ?
Aujourd’hui, Lucie Bouteloup vous propose un tout d’horizon du lexique amoureux à travers le continent africain.
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Hi, kifak, ça va ? Au Liban, près de 40% de la population est francophone. L'occasion pour une petite leçon de franbanais, le français qu'on parle au Liban, celui de tous les jours, pas le français académique. Découvrez cette langue bien vivante à la croisée de deux cultures, un français sauce piquante agrémenté de dialecte libanais et d'un peu d'anglais.
Lucie Bouteloup a rencontré Mia, Jad et Nayla dans un café parisien, juste avant une virée shopping. Façon de parler spécial franbanais... Yallah ! C'est parti !
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Premier coup de sifflet pour la Coupe du monde de rugby qui commence cette semaine en France, mais problème, vous n'êtes pas tout à fait au point sur le lexique de l'ovalie. Oui, c'est comme ça qu'on parle du milieu du rugby en référence à la forme du ballon. Pour ne pas être sur la touche donc, Lucie Bouteloup vous propose d'aller mouiller le maillot au Red Star Olympique Rugby à Saint-Ouen, en banlieue parisienne.
C'est le premier entraînement de la saison avec Momo au sifflet et une passe de micro à Lucas et Carlos, deux gars qui ont la grinta.
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Cette semaine, Façon de parler bat au rythme de la 77e édition du Festival d'Avignon. Comme chaque année, pendant trois semaines, la cité des papes bouillonne et se transforme pour accueillir plusieurs dizaines de milliers de visiteurs venus assister au spectacle de la plus grande manifestation de théâtre du monde. Alors, comment les jeunes de la région parlent-ils de ce festival ? La foule qui se presse, la chaleur accablante du sud, les pièces pas toujours réussies... Réponse avec Ayed, Zaïd, Chérine, Lina, Sana et Loumaé. Attention, le spectacle commence !
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Si vous n'étiez pas au « front row » des derniers défilés de la « Fashion Week » – comprenez : si vous n'étiez pas au « premier rang » des défilés de la dernière « semaine de la mode » – Lucie Bouteloup vous propose un cours de rattrapage avec les élèves de l’IFM, l'Institut français de la mode à Paris. Grâce à eux, vous saurez tout sur les dernières tendances et sur leur nom !
► EXERCICEComprendre un extrait de la chronique | Les mots de la mode: les tendances de 2023 | niveau B1
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Fini le « dry January », cette tradition anglo-saxonne qui consiste à éviter de boire de l’alcool pendant un mois !
Aujourd'hui dans « Façon de parler », Lucie Bouteloup nous emmène dans un tapis brestois pour boire une tasse. Comprenez dans un bistrot brestois pour boire un verre - avec modération bien sûr... Au comptoir : Gérard et Jacques, deux compères au regard malicieux et à la langue matinée de Ty Zef, le dialecte local. Irmat !
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Qu'est-ce que les astres disent de notre personnalité et de notre futur ? L'astrologie, cousine de l'astronomie, tire ses racines en Mésopotamie, près de 2500 ans avant Jésus-Christ. Cette discipline, dont l'étymologie signifie « discours sur les astres », repose sur l'interprétation de la position des planètes les unes par rapport aux autres, à une certaine date. En effet, grâce à de savants calculs, elle permettrait de déterminer le caractère de quelqu'un et de prédire l'avenir. Une promesse alléchante qui m'a donné envie d'en savoir un peu plus sur l'année à venir.
Pour cette nouvelle année, Lucie Bouteloup s'est interrogée sur ce que disent les astres sur notre personnalité et notre futur. Pour répondre à ses questions, elle a poussé la porte du cabinet d’astrologie de Marina Sarbu à Paris.
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Adieu grisaille et la déprime qui va avec ! Aujourd'hui, on s’intéresse aux mots de la Sape. Alors, pour ceux qui ne connaissent pas encore, la Sape, la Société des ambianceurs et des personnes élégantes, est un mouvement d'identité vestimentaire qui est apparue au Congo dès la fin du XIXe siècle. Une forme de dandysme, mais aussi un moyen d'afficher son insoumission face aux colons en transgressant les codes vestimentaires européens. Depuis, la Sape a franchi les frontières du Congo et à Paris aussi, les sapeurs nous enjaillent avec leurs costumes aux couleurs chatoyantes.
Direction la Goutte-d'Or, dans le nord de la capitale, Lucie Bouteloup a rencontré deux maîtres sapologues : le « très beau Bachelor » et Ben Moukacha, « le président, père fondateur, le créateur de la sapologie » ! Une rencontre de haute intensité...
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Fini les vacances ! C’est l’heure de reprendre la route du bureau. Et pour vous mettre dans le bain, rien de tel qu’un petit « daily » dans le « one roof » pour parler de « la pres’ ». Si vous n’avez pas tout compris : tendez l’oreille, Lucie Bouteloup vous « update » sur le jargon de l’entreprise.
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Une bande de collègues, l'ombre des platanes, un peu de mistral, le chant des grillons et une bonne partie de pétanque... Parfois le bonheur tient à pas grand-chose ! La preuve avec Karim, Florent, Olivier, Éric, Bernard et Stéphane que Lucie bouteloup a rencontré au boulodrome de Monteux, dans le sud de la France. Alors, c'est vrai, pas besoin d'être un champion pour prendre du plaisir, mais mieux vaut maîtriser le lexique du bouliste pour suivre une partie !
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« On ne naît pas femme : on le devient ». Cette célèbre citation de Simone de Beauvoir résumé à elle seule la question du genre. Parce qu'au-delà du sexe masculin ou féminin qui nous est attribué à la naissance il existe mille façons de s'approprier son identité sexuelle et autant de se définir au sein de la société. Seulement voilà, comment être sûr de bien les comprendre et de bien les nommer ?
Alors pour faire le point, Lucie bouteloup a demandé à Alex, Lola et Yoann, une petite mise à jour.
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Ouvrez grand vos narines et laisser vagabonder votre imagination... Savez-vous comment les parfumeurs commencent à élaborer une nouvelle fragrance ? Au début, tout part d'une histoire : ça peut être une émotion, un moment de la journée, une destination de voyage ou, pourquoi pas, un cocktail à siroter... Mais voilà, comment traduire ces histoires en fragrance ? Et comment être sûr d'utiliser les bons mots pour décrire un parfum ou ce qu’il nous évoque ?
Autant de questions que Lucie bouteloup a posé à Tiphaine Cogez Cousseau, la fondatrice de la marque Brume Orpin. Et pour mieux comprendre le jargon des parfumeurs, elle revient sur les histoires qui ont inspiré trois de ses créations.
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Direction la Côte d'Ivoire. Quoique... Depuis quelques années, le nouchi, cet argot parlé dans les rues d'Abidjan dans les années 70 s'est répandu comme une traînée de poudre dans toute l'Afrique francophone et il a même gagné le vieux continent. En langue malinké, « nous » c'est le nez et « chi » c'est le poil. Nouchi, c'est donc un mot inventé en hommage à la moustache des cowboys, un marqueur de virilité et de courage, mais aussi une source d'inspiration pour les garçons des rues.
Comme un créole, le nouchi est construit avec un patchwork de langues parlées en Côte d'Ivoire, mais aussi avec des mots français et anglais. Une langue vivante qui se réinvente en permanence, mais aussi un fort marqueur identitaire d'une communauté noire.
La preuve dans le salon de coiffure de Djeneyba à Paris, Anémone, Olie, Michaël et Isaac nous font une petite mise à jour, l'occasion aussi de s'enjailler !
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Mot français arabisé, mot arabe francisé ou encore expression héritée des émigrés de retour au bled, c'est la langue des chibanis. Les chibanis, littéralement, ce sont les « cheveux gris », ces immigrés arrivés en France pendant les Trente glorieuses pour la reconstruire et fuir la pauvreté. C'est ce qu'à fait Abdallah Moumine, venu du Maroc dans les années 70 pour rejoindre son père qui travaillait dans les houillères du Nord de la France.
Aujourd'hui, président de l'ATMF, l'Association des travailleurs maghrébins de France à Gennevilliers, il a reçu Lucie Bouteloup autour d'un thé pour évoquer avec Atar et Melana quelques expressions entre ici et là-bas.
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Cap à l'ouest, la Puce jette son encre à Brest. Brest même, une ville portuaire située à l'extrême pointe du Finistère en Bretagne, une ville où le vent souffle jusque dans le nom des Brestois, les Ti Zef. Brest, c'est aussi un port avec un Arsenal qui fait la fierté des ouvriers et des ingénieurs qui construisent les navires de la Marine nationale depuis le XVIIe siècle. On y parle un français matiné de breton et d'argot de marin, le tout relevé avec un accent typique et aussi beaucoup d'humour.
La preuve avec Jacques et Gérard, deux anciens de l'arsouille que Lucie Bouteloup a rencontré dans un café juste avant de boire un boulon de 32.
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Qu'il soit blanc, rouge ou rosé, il existe mille façons de parler du vin. Faut dire que la relation entre le précieux nectar et l'homme ne date pas d'hier puisque les premières traces de transformation de la vigne en vin remontent à plus de 6 000 ans avant Jésus-Christ. Pourtant, souvent quand on arrive chez son caviste, on n'ose pas, on a peur de ne pas utiliser les bons mots pour décrire ce qu'on attend d'une bonne bouteille, comme si parler du vin c'était réservé aux spécialistes.
Alors pour en finir avec les complexes, Lucie Bouteloup a poussé la porte de Mon p'tit' caviste à Maisons-Alfort, en banlieue parisienne, pour rencontrer Jean-Yves Dretzolis qui a ouvert une très bonne bouteille de Blet tendre, un blanc demi-sec et le voyage a commencé.
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Vous avez faim ? Ça tombe bien parce qu'aujourd'hui Lucie Bouteloup nous emmène au restaurant. Direction Saint-Germain-des-Prés, en plein cœur de Paris, dans un des établissements d'Yves Camdeborde. Dans sa cuisine, ça crépite, ça rissole, ça fouette et, entre un foie gras, un lièvre à la royale et une tarte aux poires, le chef nous livre quelques mots de son latin de cuisine. Attention, chaud devant !
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