Afleveringen
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Ils trempaient dans lâhuile, puis dans lâeau, les billets quâils dĂ©robaient, comme dans la chanson. Cela donnait non pas un escargot tout chaud, mais la possibilitĂ© de financer dâautres braquages, jusquâĂ lâattaque de trop, le 30 mars 2006. Avant cette date, les malfaiteurs ont commis plusieurs vols, avec une mĂ©thode ingĂ©nieuse, qui leur permettait dâaccĂ©der aux mallettes a priori inviolables, sans que lâargent en papier ne soit maculĂ© dâune encre indĂ©lĂ©bile : dâabord, lâintroduction du corps gras dans les petites valises entrouvertes par une pince-monseigneur, puis la rĂ©cupĂ©ration des billets enduits, enfin le sĂ©chage pour leur rendre une apparence convenable. En tout, le gang a accumulĂ© 1,5 million dâeuros, avant dâĂȘtre arrĂȘtĂ© : seul le chef a Ă©chappĂ© Ă la justice en se suicidant, alors quâil Ă©tait sur le point dâĂȘtre neutralisĂ©. CondamnĂ©s par la cour dâassises de Lyon, tous les accusĂ©s ont aujourdâhui retrouvĂ© la libertĂ©.
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Ils trempaient dans lâhuile, puis dans lâeau, les billets quâils dĂ©robaient, comme dans la chanson. Cela donnait non pas un escargot tout chaud, mais la possibilitĂ© de financer dâautres braquages, jusquâĂ lâattaque de trop, le 30 mars 2006. Avant cette date, les malfaiteurs ont commis plusieurs vols, avec une mĂ©thode ingĂ©nieuse, qui leur permettait dâaccĂ©der aux mallettes a priori inviolables, sans que lâargent en papier ne soit maculĂ© dâune encre indĂ©lĂ©bile : dâabord, lâintroduction du corps gras dans les petites valises entrouvertes par une pince-monseigneur, puis la rĂ©cupĂ©ration des billets enduits, enfin le sĂ©chage pour leur rendre une apparence convenable. En tout, le gang a accumulĂ© 1,5 million dâeuros, avant dâĂȘtre arrĂȘtĂ© : seul le chef a Ă©chappĂ© Ă la justice en se suicidant, alors quâil Ă©tait sur le point dâĂȘtre neutralisĂ©. CondamnĂ©s par la cour dâassises de Lyon, tous les accusĂ©s ont aujourdâhui retrouvĂ© la libertĂ©.
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Ils trempaient dans lâhuile, puis dans lâeau, les billets quâils dĂ©robaient, comme dans la chanson. Cela donnait non pas un escargot tout chaud, mais la possibilitĂ© de financer dâautres braquages, jusquâĂ lâattaque de trop, le 30 mars 2006. Avant cette date, les malfaiteurs ont commis plusieurs vols, avec une mĂ©thode ingĂ©nieuse, qui leur permettait dâaccĂ©der aux mallettes a priori inviolables, sans que lâargent en papier ne soit maculĂ© dâune encre indĂ©lĂ©bile : dâabord, lâintroduction du corps gras dans les petites valises entrouvertes par une pince-monseigneur, puis la rĂ©cupĂ©ration des billets enduits, enfin le sĂ©chage pour leur rendre une apparence convenable. En tout, le gang a accumulĂ© 1,5 million dâeuros, avant dâĂȘtre arrĂȘtĂ© : seul le chef a Ă©chappĂ© Ă la justice en se suicidant, alors quâil Ă©tait sur le point dâĂȘtre neutralisĂ©. CondamnĂ©s par la cour dâassises de Lyon, tous les accusĂ©s ont aujourdâhui retrouvĂ© la libertĂ©.
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Le 15 juillet 2010, Ă Ăpernay dans la Marne, les pompiers reçoivent un coup de fil dâun homme affolĂ©. Il sâagit de Sylvain Dromard, un habitant de Saint-Martin dâAblois. Ce dernier affirme avoir dĂ©couvert, en rentrant chez lui, son Ă©pouse, dans une mare de sang, au beau milieu de la cuisine. Selon lui, sa femme, Laurence, a Ă©tĂ© attaquĂ©e par un cambrioleur qui lui a portĂ© des coups violents Ă la tĂȘte. Elle meurt, lors de son arrivĂ©e aÌ lâhĂŽpital. Mais les gendarmes ont du mal Ă croire Ă la thĂšse du cambriolage. De plus, Sylvain Dromard porte des traces suspectes sur le corps.
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Le 15 juillet 2010, Ă Ăpernay dans la Marne, les pompiers reçoivent un coup de fil dâun homme affolĂ©. Il sâagit de Sylvain Dromard, un habitant de Saint-Martin dâAblois. Ce dernier affirme avoir dĂ©couvert, en rentrant chez lui, son Ă©pouse, dans une mare de sang, au beau milieu de la cuisine. Selon lui, sa femme, Laurence, a Ă©tĂ© attaquĂ©e par un cambrioleur qui lui a portĂ© des coups violents Ă la tĂȘte. Elle meurt, lors de son arrivĂ©e aÌ lâhĂŽpital. Mais les gendarmes ont du mal Ă croire Ă la thĂšse du cambriolage. De plus, Sylvain Dromard porte des traces suspectes sur le corps.
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Le 15 juillet 2010, Ă Ăpernay dans la Marne, les pompiers reçoivent un coup de fil dâun homme affolĂ©. Il sâagit de Sylvain Dromard, un habitant de Saint-Martin dâAblois. Ce dernier affirme avoir dĂ©couvert, en rentrant chez lui, son Ă©pouse, dans une mare de sang, au beau milieu de la cuisine. Selon lui, sa femme, Laurence, a Ă©tĂ© attaquĂ©e par un cambrioleur qui lui a portĂ© des coups violents Ă la tĂȘte. Elle meurt, lors de son arrivĂ©e aÌ lâhĂŽpital. Mais les gendarmes ont du mal Ă croire Ă la thĂšse du cambriolage. De plus, Sylvain Dromard porte des traces suspectes sur le corps.
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Le 28 juillet 2014, Bernadette Cogis, une veuve de 67 ans, a Ă©tĂ© retrouvĂ©e Ă©gorgĂ©e devant la porte de sa villa, Ă Roquebrune-sur-Argens, dans le Var. La prĂ©sence dâune bouteille dâessence et de plusieurs dĂ©parts de feu prouvent que son assassin lui a tendu un piĂšge, pour obliger la veuve Ă sortir de chez elle. Lorsqu'elle a mis le pied dehors, il sâest acharnĂ©, en la poignardant de plusieurs coups de couteau. Plus tard, les gendarmes dĂ©couvrent que la victime a entretenu une relation intime avec HervĂ© Robino, son jardinier de septembre 2013 Ă mai 2014.
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Le 28 juillet 2014, Bernadette Cogis, une veuve de 67 ans, a Ă©tĂ© retrouvĂ©e Ă©gorgĂ©e devant la porte de sa villa, Ă Roquebrune-sur-Argens, dans le Var. La prĂ©sence dâune bouteille dâessence et de plusieurs dĂ©parts de feu prouvent que son assassin lui a tendu un piĂšge, pour obliger la veuve Ă sortir de chez elle. Lorsqu'elle a mis le pied dehors, il sâest acharnĂ©, en la poignardant de plusieurs coups de couteau. Plus tard, les gendarmes dĂ©couvrent que la victime a entretenu une relation intime avec HervĂ© Robino, son jardinier de septembre 2013 Ă mai 2014.
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Le 28 juillet 2014, Bernadette Cogis, une veuve de 67 ans, a Ă©tĂ© retrouvĂ©e Ă©gorgĂ©e devant la porte de sa villa, Ă Roquebrune-sur-Argens, dans le Var. La prĂ©sence dâune bouteille dâessence et de plusieurs dĂ©parts de feu prouvent que son assassin lui a tendu un piĂšge, pour obliger la veuve Ă sortir de chez elle. Lorsqu'elle a mis le pied dehors, il sâest acharnĂ©, en la poignardant de plusieurs coups de couteau. Plus tard, les gendarmes dĂ©couvrent que la victime a entretenu une relation intime avec HervĂ© Robino, son jardinier de septembre 2013 Ă mai 2014.
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Lâaffaire Rodica Negroiu rappelle Ă bien des Ă©gards lâaffaire Simone Weber. Une rĂ©gion semblable : la Lorraine. Un mobile : lâargent. Un mode opĂ©ratoire similaire : le poison. Le 14 dĂ©cembre 1990, Raymond Jactel, un militaire Ă la retraite, meurt dâun accident cardiaque Ă lâhĂŽpital de Nancy. En fait, il a Ă©tĂ© empoisonnĂ© Ă la digoxine, un mĂ©dicament utilisĂ© contre diverses affections du cĆur. Rapidement, une aide-soignante dâorigine roumaine est soupçonnĂ©e, dâautant quâelle semble liĂ©e Ă la disparition suspecte de ses deux prĂ©cĂ©dents maris. La femme incriminĂ©e sera finalement jugĂ©e en 1999 par la cour dâassises de Meurthe-et-Moselle. Rodica Negroiu a Ă©tĂ© condamnĂ©e Ă vingt ans de rĂ©clusion criminelle. Elle est sortie de prison le 24 janvier 2015.
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Lâaffaire Rodica Negroiu rappelle Ă bien des Ă©gards lâaffaire Simone Weber. Une rĂ©gion semblable : la Lorraine. Un mobile : lâargent. Un mode opĂ©ratoire similaire : le poison. Le 14 dĂ©cembre 1990, Raymond Jactel, un militaire Ă la retraite, meurt dâun accident cardiaque Ă lâhĂŽpital de Nancy. En fait, il a Ă©tĂ© empoisonnĂ© Ă la digoxine, un mĂ©dicament utilisĂ© contre diverses affections du cĆur. Rapidement, une aide-soignante dâorigine roumaine est soupçonnĂ©e, dâautant quâelle semble liĂ©e Ă la disparition suspecte de ses deux prĂ©cĂ©dents maris. La femme incriminĂ©e sera finalement jugĂ©e en 1999 par la cour dâassises de Meurthe-et-Moselle. Rodica Negroiu a Ă©tĂ© condamnĂ©e Ă vingt ans de rĂ©clusion criminelle. Elle est sortie de prison le 24 janvier 2015.
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Lâaffaire Rodica Negroiu rappelle Ă bien des Ă©gards lâaffaire Simone Weber. Une rĂ©gion semblable : la Lorraine. Un mobile : lâargent. Un mode opĂ©ratoire similaire : le poison. Le 14 dĂ©cembre 1990, Raymond Jactel, un militaire Ă la retraite, meurt dâun accident cardiaque Ă lâhĂŽpital de Nancy. En fait, il a Ă©tĂ© empoisonnĂ© Ă la digoxine, un mĂ©dicament utilisĂ© contre diverses affections du cĆur. Rapidement, une aide-soignante dâorigine roumaine est soupçonnĂ©e, dâautant quâelle semble liĂ©e Ă la disparition suspecte de ses deux prĂ©cĂ©dents maris. La femme incriminĂ©e sera finalement jugĂ©e en 1999 par la cour dâassises de Meurthe-et-Moselle. Rodica Negroiu a Ă©tĂ© condamnĂ©e Ă vingt ans de rĂ©clusion criminelle. Elle est sortie de prison le 24 janvier 2015.
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Le mari, la femme, lâamant. Et le mobile : lâargent. Une configuration classique qui engendre un nouveau fait divers. En 1995, sur une route de Corse, une voiture quitte la route et plonge dans un ravin. Marc Van Beers, un fiscaliste bruxellois de trente-six ans, est retrouvĂ© mort.Son Ă©pouse, vingt-six ans, en rĂ©chappe. Son tĂ©moignage interroge : elle raconte aux gendarmes quâelle a rĂ©ussi Ă sauter juste avant la chute du vĂ©hicule. Elle a ensuite descendu cent-quarante mĂštres de la falaise abrupte, Ă la recherche de son mari. Elle a fini par le retrouver. Mais il Ă©tait trop tard. Lâautopsie accentue les doutes : la victime Ă©tait dĂ©jĂ morte avant lâaccident.Alors, quoi ? Au fil des investigations, un soupçon Ă©merge : la veuve, Aurore Martin, aurait fomentĂ© un sombre complot avec son amant Peter Uwe Schmitt. Le motif de cette action ? Plusieurs assurances-vie, pensent les enquĂȘteurs. Le problĂšme, câest que les deux complices ont touchĂ© lâargent un peu trop vite et quâils ont menĂ© grand train en Floride oĂč ils se sont rĂ©fugiĂ©s. Le FBI finira par les rattraper et la justice française leur demandera lĂ©gitimement des explications...
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Le mari, la femme, lâamant. Et le mobile : lâargent. Une configuration classique qui engendre un nouveau fait divers. En 1995, sur une route de Corse, une voiture quitte la route et plonge dans un ravin. Marc Van Beers, un fiscaliste bruxellois de trente-six ans, est retrouvĂ© mort.Son Ă©pouse, vingt-six ans, en rĂ©chappe. Son tĂ©moignage interroge : elle raconte aux gendarmes quâelle a rĂ©ussi Ă sauter juste avant la chute du vĂ©hicule. Elle a ensuite descendu cent-quarante mĂštres de la falaise abrupte, Ă la recherche de son mari. Elle a fini par le retrouver. Mais il Ă©tait trop tard. Lâautopsie accentue les doutes : la victime Ă©tait dĂ©jĂ morte avant lâaccident.Alors, quoi ? Au fil des investigations, un soupçon Ă©merge : la veuve, Aurore Martin, aurait fomentĂ© un sombre complot avec son amant Peter Uwe Schmitt. Le motif de cette action ? Plusieurs assurances-vie, pensent les enquĂȘteurs. Le problĂšme, câest que les deux complices ont touchĂ© lâargent un peu trop vite et quâils ont menĂ© grand train en Floride oĂč ils se sont rĂ©fugiĂ©s. Le FBI finira par les rattraper et la justice française leur demandera lĂ©gitimement des explications...
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Le mari, la femme, lâamant. Et le mobile : lâargent. Une configuration classique qui engendre un nouveau fait divers. En 1995, sur une route de Corse, une voiture quitte la route et plonge dans un ravin. Marc Van Beers, un fiscaliste bruxellois de trente-six ans, est retrouvĂ© mort.Son Ă©pouse, vingt-six ans, en rĂ©chappe. Son tĂ©moignage interroge : elle raconte aux gendarmes quâelle a rĂ©ussi Ă sauter juste avant la chute du vĂ©hicule. Elle a ensuite descendu cent-quarante mĂštres de la falaise abrupte, Ă la recherche de son mari. Elle a fini par le retrouver. Mais il Ă©tait trop tard. Lâautopsie accentue les doutes : la victime Ă©tait dĂ©jĂ morte avant lâaccident.Alors, quoi ? Au fil des investigations, un soupçon Ă©merge : la veuve, Aurore Martin, aurait fomentĂ© un sombre complot avec son amant Peter Uwe Schmitt. Le motif de cette action ? Plusieurs assurances-vie, pensent les enquĂȘteurs. Le problĂšme, câest que les deux complices ont touchĂ© lâargent un peu trop vite et quâils ont menĂ© grand train en Floride oĂč ils se sont rĂ©fugiĂ©s. Le FBI finira par les rattraper et la justice française leur demandera lĂ©gitimement des explications...
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Le 19 octobre 2008, Ă Saint-Lambert-du-Lattay, en Maine-et-Loire, un garde-chasse retrouve un corps, pendu Ă la poutre dâun appentis agricole. Il sâagit de celui dâAurĂ©lien Pioger, un jeune homme de 28 ans qui venait de finir la saison des vendanges. Si dans un premier temps le suicide e est Ă©voquĂ©, un certain nombre dâanomalies, ainsi que les traces de coups sur son visage intriguent les gendarmes. TrĂšs vite, l'enquĂȘte s'oriente vers l'hypothĂšse d'un meurtre dĂ©guisĂ©. Car en effet, AurĂ©lien a Ă©tĂ© victime dâune trĂšs violente « punition collective » de la part de certains autres vendangeurs.
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Le 19 octobre 2008, Ă Saint-Lambert-du-Lattay, en Maine-et-Loire, un garde-chasse retrouve un corps, pendu Ă la poutre dâun appentis agricole. Il sâagit de celui dâAurĂ©lien Pioger, un jeune homme de 28 ans qui venait de finir la saison des vendanges. Si dans un premier temps le suicide e est Ă©voquĂ©, un certain nombre dâanomalies, ainsi que les traces de coups sur son visage intriguent les gendarmes. TrĂšs vite, l'enquĂȘte s'oriente vers l'hypothĂšse d'un meurtre dĂ©guisĂ©. Car en effet, AurĂ©lien a Ă©tĂ© victime dâune trĂšs violente « punition collective » de la part de certains autres vendangeurs.
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Le 19 octobre 2008, Ă Saint-Lambert-du-Lattay, en Maine-et-Loire, un garde-chasse retrouve un corps, pendu Ă la poutre dâun appentis agricole. Il sâagit de celui dâAurĂ©lien Pioger, un jeune homme de 28 ans qui venait de finir la saison des vendanges. Si dans un premier temps le suicide e est Ă©voquĂ©, un certain nombre dâanomalies, ainsi que les traces de coups sur son visage intriguent les gendarmes. TrĂšs vite, l'enquĂȘte s'oriente vers l'hypothĂšse d'un meurtre dĂ©guisĂ©. Car en effet, AurĂ©lien a Ă©tĂ© victime dâune trĂšs violente « punition collective » de la part de certains autres vendangeurs.
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LaĂ«titia Perrais a 18 ans lorsqu'elle croise la route de Tony Meilhon. Il vient de sortir de prison oĂč il a dĂ©jĂ passĂ© onze ans. LaĂ«titia Perrais, quant Ă elle, a passĂ© une enfance difficile en famille d'accueil. En janvier 2011, Ă Pornic, elle est retrouvĂ©e poignardĂ©e, Ă©tranglĂ©e et dĂ©membrĂ©e. Son parcours, durant les derniĂšres heures de sa vie, a rapidement permis aux gendarmes de remonter Ă son meurtrier. Quand Tony Meilhon est arrĂȘtĂ© et accusĂ© du meurtre de LaĂ«titia Perrais, Nicolas Sarkozy, alors prĂ©sident de la RĂ©publique, dĂ©nonce la remise en libertĂ© de Meilhon. Tandis que les juges se mettent en grĂšve, l'opinion publique est divisĂ©e. A-t-on vraiment laissĂ© en libertĂ©, sans aucune surveillance, un dangereux criminel ? TrĂšs vite, l'affaire devient emblĂ©matique des failles du systĂšme judiciaire.
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LaĂ«titia Perrais a 18 ans lorsqu'elle croise la route de Tony Meilhon. Il vient de sortir de prison oĂč il a dĂ©jĂ passĂ© onze ans. LaĂ«titia Perrais, quant Ă elle, a passĂ© une enfance difficile en famille d'accueil. En janvier 2011, Ă Pornic, elle est retrouvĂ©e poignardĂ©e, Ă©tranglĂ©e et dĂ©membrĂ©e. Son parcours, durant les derniĂšres heures de sa vie, a rapidement permis aux gendarmes de remonter Ă son meurtrier. Quand Tony Meilhon est arrĂȘtĂ© et accusĂ© du meurtre de LaĂ«titia Perrais, Nicolas Sarkozy, alors prĂ©sident de la RĂ©publique, dĂ©nonce la remise en libertĂ© de Meilhon. Tandis que les juges se mettent en grĂšve, l'opinion publique est divisĂ©e. A-t-on vraiment laissĂ© en libertĂ©, sans aucune surveillance, un dangereux criminel ? TrĂšs vite, l'affaire devient emblĂ©matique des failles du systĂšme judiciaire.
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