Afleveringen
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Le 10 janvier 2025, Laurent Ozon était l’invité de Mike Borowski, sur Géopolitique Profonde !
Laurent Ozon, personnalité inclassable, homme libre, épris de vérité, est un esprit curieux, car à la fois original, singulier, surprenant.
Ancien pompier militaire, fondateur et dirigeant d’un groupe de PME spécialisé dans les technologies de contrôles, Laurent Ozon est un intellectuel français spécialisé dans les domaines du localisme et de l’écologie. Il est connu pour ses analyses sur les tendances démographiques et les enjeux géopolitiques, économiques, culturels et écologiques qui en découlent.
La CIA, machine de guerre contre les démocraties
La CIA ne se limite pas au renseignement : elle est un instrument de domination au service des intérêts américains. Par la subversion, la propagande, les assassinats et les coups d’État, elle impose un chaos exploité par Washington.
Son ingérence est manifeste : en Iran (1953), elle renverse Mossadegh pour préserver les compagnies pétrolières occidentales ; au Chili (1973), elle élimine Allende au profit de Pinochet ; en Afghanistan (années 1980), elle arme les moudjahidines, contribuant à l’essor du terrorisme islamiste. La Libye, la Syrie et l’Ukraine ont également subi son influence sous couvert de « défense de la démocratie ».
Ses interventions ne se limitent pas aux conflits extérieurs. La CIA manipule l’opinion publique américaine, mène des campagnes de désinformation et surveille illégalement ses propres citoyens. Loin de défendre les intérêts du peuple américain, elle sert les élites qui dirigent le pays.
Silicon Valley, cheval de Troie de la CIA
Pour contourner la méfiance croissante du public, la CIA infiltre la Silicon Valley via In-Q-Tel (IQT), son fonds d’investissement stratégique. Elle s’associe aux géants technologiques – Google, Facebook, Amazon, Palantir – pour assurer une surveillance de masse et un contrôle total des données personnelles.
Les outils numériques (réseaux sociaux, IA, objets connectés) permettent un espionnage global sans que la CIA intervienne directement. IQT investit aussi dans des entreprises européennes, y compris françaises, facilitant l’appropriation des technologies-clés par les États-Unis. Faute de protection, la France subit une vassalisation technologique et économique.
Une mafia institutionnalisée au service du crime
La CIA ne se contente pas d’influencer les gouvernements et l’économie. Elle est impliquée dans le trafic de drogue, la torture et l’assassinat politique. Depuis les années 1950, elle collabore avec les cartels pour financer ses opérations secrètes. En Asie du Sud-Est, elle a organisé la contrebande d’héroïne pendant la guerre du Vietnam. Aux États-Unis, elle a facilité la propagation du crack dans les quartiers afro-américains pour financer les Contras au Nicaragua.
L’agence mène également des opérations d’espionnage illégal. Edward Snowden a révélé l’ampleur de la surveillance de masse menée par la NSA, mais la CIA va encore plus loin. Ses bases secrètes pratiquent la détention illégale et la torture, imposant un ordre mondial basé sur la peur et la manipulation.
La CIA agit hors de tout contrôle démocratique, se comportant comme une mafia mondiale. Son influence dépasse celle de nombreux États, lui permettant d’imposer sa loi en toute impunité.
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Le 10 février 2025, Nicolas Stoquer révélait comment l’AFP, financée par l’USAID et Facebook, verrouille l’information et impose la propagande mondialiste, sur GPTV.
L’AFP, organe central du contrôle de l’information
L’Agence France-Presse (AFP) détient un monopole sur la production et la diffusion des dépêches, influençant tous les grands médias. Ceux-ci se contentent de reprendre ses publications sans les remettre en question, assurant une uniformisation du discours. Cette mainmise empêche toute diversité d’analyse et bloque toute remise en cause du narratif officiel.
L’AFP ne se contente pas d’informer, elle oriente l’opinion publique selon les intérêts des élites mondialistes. Lorsqu’un sujet sert ces agendas, il est amplifié ; s’il dérange, il est minimisé ou occulté. Ce filtrage stratégique fait de l’AFP un instrument de propagande au service du pouvoir.
Une agence sous influence étrangère et financée par la censure
Derrière l’apparente indépendance de l’AFP, des financements étrangers orientent directement sa ligne éditoriale. L’USAID, organe du soft power américain historiquement lié aux opérations d’influence de la CIA, lui a versé 447 000 euros. Facebook, via son programme de « fact-checking », a injecté 8 millions d’euros pour imposer une vérité officielle et censurer les analyses critiques.
Cette dépendance financière explique la soumission de l’AFP aux intérêts atlantistes et mondialistes. En France, 182 ONG reçoivent également des fonds de l’USAID, assurant ainsi un contrôle étendu sur les institutions et l’opinion publique. Derrière le paravent du journalisme neutre, ces financements garantissent une ligne éditoriale verrouillée.
Un verrouillage total de l’information pour neutraliser la dissidence
L’AFP ne se limite pas à diffuser des récits favorables au système, elle impose aussi une censure active des voix dissidentes. Grâce à son monopole sur l’information brute, elle empêche tout discours alternatif d’émerger dans les médias traditionnels. Ceux qui contredisent la ligne officielle sont qualifiés de « complotistes » et rapidement discrédités.
Dès qu’un sujet devient sensible, l’AFP applique un silence médiatique total, empêchant ainsi tout questionnement public. La collusion entre l’AFP et les grandes plateformes numériques, comme Facebook et Google, assure également une répression de la dissidence sur Internet.
Face à cette désinformation massive, seuls les médias indépendants et les réseaux sociaux permettent encore d’accéder à des analyses non censurées. Cependant, ces derniers sont sous surveillance et subissent des attaques constantes de la part du pouvoir.
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Zijn er afleveringen die ontbreken?
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Le 10 février 2025, Claude Janvier, Laurent Izard et Philippe Herlin étaient les invités de La Matinale, animée par Nicolas Stoquer et Raphaël Besliu, sur Géopolitique Profonde !
Claude Janvier est un écrivain et essayiste français connu pour ses prises de position tranchées sur des sujets de société et de politique. Il est l’auteur de plusieurs ouvrages qui explorent les dynamiques de pouvoir et les influences cachées au sein des structures étatiques et supranationales. Son dernier livre se nomme « L’État Profond Français » .
Laurent Izard, normalien et agrégé en économie et gestion, est un professeur de chaire supérieure. Diplômé en droit de l’Université Paris I Panthéon-Sorbonne, il a écrit plusieurs ouvrages critiques sur les effets de la mondialisation, tels que La France vendue à la découpe et A la sueur de ton front: Les vraies conséquences de la mondialisation sur le travail en France.
Philippe Herlin est un économiste français spécialisé dans les questions monétaires et financières. Dans son dernier livre, Bitcoin : Comprendre et investir, il décrypte les enjeux économiques et techniques de cette cryptomonnaie révolutionnaire.
La France bradée, une trahison économique organisée
Macron parachève la destruction industrielle de la France. Après Alstom, Technip et Lafarge, EDF est sacrifiée au profit du marché européen. L’électricité nucléaire, produite à bas coût, est vendue à prix réduit aux voisins européens, pendant que les Français subissent des hausses tarifaires.
Chaque vente d’un fleuron industriel enrichit une élite : commissions opaques, cabinets de conseil, pillage organisé. Nestlé lorgne sur les activités Eau de Veolia, illustrant le démembrement du pays au profit de multinationales. La France, jadis puissance industrielle, devient une économie de services dépendante et vulnérable.
Trump et le retour de la souveraineté économique
Pendant que l’Europe se vend à la découpe, les États-Unis se battent pour leur indépendance. Trump impose un protectionnisme assumé, renégocie les accords commerciaux et cible les déséquilibres monétaires. Contrairement à Macron, soumis à Bruxelles, Trump veut réindustrialiser et redonner du pouvoir aux classes moyennes.
L’USAID est au cœur de la guerre économique. Derrière ses projets d’aide, elle restructure les marchés émergents pour assurer la domination américaine. L’Europe, paralysée, laisse ses industries s’effondrer sous la pression d’une concurrence déloyale. Résultat : une dépendance accrue et un effacement géopolitique.
Insécurité et effondrement social : comment survivre ?
Pendant que l’économie est bradée, la société française s’enfonce dans le chaos sécuritaire. L’enterrement d’Émile, le meurtre de Louise… Chaque drame révèle une explosion de la criminalité que les médias masquent sous des discours lénifiants. L’État abdique, laissant la violence gangrener le quotidien des Français.
L’instabilité économique alimente l’effondrement social. L’inflation détruit l’épargne, conséquence directe de politiques budgétaires irresponsables. L’or et le Bitcoin deviennent les seules alternatives viables face à la dévaluation monétaire et aux manipulations des banques centrales.
Dans un monde où les institutions vacillent, seuls les actifs tangibles et décentralisés permettent d’échapper à l’effondrement financier.
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Le 9 février 2025, Terence D’Aracaunie était l’invité de La Grande Émission animée par Raphaël Besliu sur Géopolitique Profonde.
Terence D’Araucanie est un écrivain et journaliste français, connu pour ses travaux sur la géopolitique et les mouvements identitaires. Il est également reconnu pour ses analyses critiques des institutions politiques et sociales. Il s’intéresse particulièrement aux enjeux de souveraineté nationale et aux dynamiques de pouvoir internationales.
Trump et la révolution conservatrice
De retour à la Maison-Blanche, Donald Trump applique immédiatement son programme : fin du wokisme, rejet des idéologies de genre, démantèlement des politiques climatiques et retrait des Accords de Paris et de l’OMS. Il cible les bastions progressistes en supprimant subventions aux médias et aux universités et en imposant une éducation patriotique.
Son administration regroupe des figures hétérogènes mais cohérentes : Pete Hegseth, Tulsi Gabbard, RFK Jr., Kash Patel. Ensemble, ils s’attaquent à l’État profond. Des affaires classées comme « complotistes » refont surface : gestion du Covid, financements occultes de l’USAID, scandale Epstein.
Repli stratégique ou expansionnisme assumé ?
Trump met fin au soutien américain à l’Ukraine, marquant la fin d’un atlantisme naïf et privilégiant les intérêts directs des États-Unis. Pourtant, loin d’un retrait, il ambitionne de redessiner la carte nord-américaine.
L’annexion du Groenland refait surface, vue comme un atout stratégique et économique. Quant au Canada, il est perçu comme un prolongement des États-Unis. Cette vision expansionniste pourrait bouleverser l’ordre international.
Trump veut aussi le contrôle du canal de Panama pour sécuriser les routes maritimes et affaiblir la présence chinoise en Amérique latine. Cette stratégie vise une hégémonie américaine absolue sur les flux commerciaux.
Trump et Israël : entre alliance et soumissionAu Moyen-Orient, Trump oscille entre pragmatisme et allégeance. Il pousse pour un contrôle américain direct de Gaza, justifié par des raisons de stabilisation, mais visant en réalité une influence accrue dans la région.
Il renforce son soutien à Netanyahou, assurant à Israël un financement et un appui militaire accrus. Cette fidélité sert aussi à rassurer l’électorat évangélique américain, mais interroge : Trump agit-il en leader souverain ou sous influence ?
L’Europe face au bulldozer américain
L’Union européenne, incapable de définir une stratégie, est paralysée face à la doctrine trumpienne. L’arrêt du soutien à l’Ukraine affaiblit Bruxelles, accentuant sa dépendance vis-à-vis des États-Unis.
La France, déjà marginalisée sur la scène internationale, peine à s’adapter. Macron, isolé, voit son influence s’effondrer, tandis que l’Allemagne tente un rapprochement avec Washington.
L’Europe doit choisir : s’aligner sur les États-Unis au prix de sa souveraineté ou tenter une émancipation risquée. L’illusion d’une autonomie stratégique vole en éclats.
Avec un Trump déterminé, l’hégémonie américaine ne s’affaiblit pas, elle s’accentue. L’Europe, réduite au rôle de spectateur, n’a plus de place sur l’échiquier mondial.
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Le 9 février 2025, Mike Borowski vous donnait rendez-vous pour un sujet d’actualité, sur Géopolitique Profonde.
Cyril Hanouna, candidat en 2027 ?
L’animateur de Touche pas à mon poste (TPMP) ne cache plus son ambition présidentielle. Inspiré par Coluche et Zelensky, il veut « soulever un mouvement populaire » et annonce structurer un projet avec une équipe dédiée.
Deux hypothèses émergent : est-il un instrument du système pour détourner l’opinion ou un véritable trouble-fête prêt à renverser la table ?
Un homme des médias en quête de pouvoir
Comme Zelensky, Hanouna a bâti sa notoriété sur des séquences télévisuelles douteuses. Il exploite son image d’animateur proche du peuple pour incarner une alternative aux élites politiques traditionnelles.
En donnant la parole aux Français ignorés par les médias mainstream, il capte un électorat en rupture avec la classe politique. Sa proximité avec des ministres comme Gabriel Attal, Marlène Schiappa et Gérald Darmanin interroge cependant sur son véritable positionnement.
Coluche en 1981 et Beppe Grillo en Italie ont incarné un rejet du système. Mais Hanouna, qui a toujours évité la confrontation directe avec le pouvoir, peut-il vraiment se poser en candidat antisystème ?
Outil du pouvoir ou véritable dissident ?
La candidature d’Hanouna survient dans une crise de légitimité politique. Abstention record, effondrement des partis traditionnels et rejet des élites ouvrent la voie à des profils inattendus.
Mais qui bénéficierait vraiment de sa candidature ? Certains y voient une stratégie pour neutraliser la colère populaire, en absorbant l’électorat antisystème et en affaiblissant Marine Le Pen ou Jean-Luc Mélenchon. En canalisant une partie du vote populaire, Hanouna pourrait favoriser la réélection d’un candidat du système.
D’un autre côté, s’il allait au bout de sa logique populiste, il pourrait devenir un acteur politique majeur, bousculant l’ordre établi. Mais peut-on croire qu’un homme du système puisse réellement s’en affranchir ?
Une candidature pour siphonner les voix populaires ?
Si Hanouna officialise sa candidature, il captera sans doute une frange importante de l’électorat populaire, les jeunes et les abstentionnistes. Sa popularité et son accès médiatique massif en feraient un candidat redoutable.
Mais son engagement est-il sincère ? Veut-il réellement déstabiliser l’élite ou simplement détourner la colère populaire ? Son rôle sur TPMP montre qu’il a toujours su entretenir le débat sans jamais remettre en cause les véritables structures du pouvoir.
Zelensky, Coluche… ou simple pion du système ?
Hanouna pourrait être un nouveau Zelensky, propulsé par des forces supérieures pour servir un agenda caché. Ou un Coluche bis, dont la candidature sera avortée sous la pression des élites.
Dans un paysage politique en pleine recomposition, sa montée en puissance est un signal fort de la décomposition du système français.
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Le 9 février 2025, Alexandre Orlov, Lara Stam et Dimitri de Kochko étaient les invités du Libre Journal de Géopolitique Profonde, animé par Nicolas Stoquer.
Alexandre Orlov a occupé le poste d’ambassadeur de la Fédération de Russie en France de 2008 à 2017. Au cours de sa carrière diplomatique, il a joué un rôle clé dans le renforcement des relations franco-russes, abordant des questions complexes telles que la coopération économique, les affaires culturelles et les enjeux internationaux. Après sa mission en France, il a continué à s’exprimer sur les relations internationales et la politique russe.
Lara Stam, chroniqueuse de talent sur Radio Courtoisie, elle est connue pour ses prises de position très pragmatiques sur les questions de souveraineté nationale et d’indépendance géopolitique.
Dimitri de Kochko est journaliste, réalisateur et militant associatif. Il est un acteur incontournable des relations franco-russes. Président de Stop Russophobie et fondateur de l’association France-Oural, il est également à l’origine de plusieurs initiatives culturelles majeures, comme le Prix Russophonie et les Journées du Livre Russe. Son expertise sur la Russie et ses implications géopolitiques sera précieuse pour décrypter le récent désengagement de Moscou en Syrie.
Un lien historique et culturel indéfectible et menacé
La France et la Russie ont longtemps partagé une proximité culturelle forte, ancrée dans la littérature, la langue et une admiration réciproque. La cour des tsars parlait français, et la culture russe a trouvé un écho en France à travers des figures comme Tolstoï et Makine.
En 2017, Orlov a orchestré la rencontre entre Poutine et Macron à Versailles, symbole d’un dialogue possible. Pourtant, depuis, les relations ont continué à se dégrader. L’annulation de la vente des Mistrals sous Hollande et l’alignement de la France sur la politique de Washington et Bruxelles ont brisé l’héritage diplomatique gaullien. La souveraineté française s’efface au profit des intérêts étrangers, reléguant la Russie au statut d’ennemi désigné par l’Occident.
Une France soviétisée ?
La politique française semble calquée sur l’ancien modèle soviétique : rigidité idéologique, autoritarisme sous couvert de démocratie et négation des réalités culturelles et historiques. La Russie, après sa période de rupture, a renoué avec son orthodoxie et son passé impérial, tandis que la France s’éloigne de ses racines, accélérant sa déchristianisation et son intégration dans une Europe technocratique.
L’élite française cultive une haine de soi qui nourrit l’effacement progressif de l’identité nationale. Pendant que la Russie renforce sa souveraineté et sa puissance économique, la France s’enlise dans une crise existentielle et un déclin organisé.
L’espoir d’un réveil national
Pour Orlov, l’histoire n’est pas figée. La France, héritière d’une grandeur passée, pourra retrouver son indépendance le jour où elle rejètera la vassalisation imposée par les États-Unis et l’Union européenne.
De Gaulle l’avait compris : une nation forte est une nation indépendante. En renouant avec une politique souveraine, la France pourrait retrouver un rôle de puissance équilibrée, capable de dialoguer librement avec la Russie et les autres acteurs mondiaux.
Redécouvrez les vérités occultées sur la France et son destin avec votre revue mensuelle de Géopolitique Profonde.
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Le 8 février 2025, Alexis Tarrade, Xavier Moreau, Fabrice Sorlin et Thomas Thomasovitch vous donnaient rendez-vous pour un nouvel épisode de Divergence sur Géopolitique Profonde !
Alexis Tarrade, figure clé des relations franco-russes, a dirigé l’Union des Français de l’Étranger en Russie et commente régulièrement la crise ukrainienne. Ancien président des Républicains Russie-Biélorussie, il a quitté ce poste en 2020.Xavier Moreau, analyste en relations internationales, diplômé de Saint-Cyr et de Paris IV, vit en Russie depuis 24 ans. Il dirige Stratpol, se concentre sur la géopolitique russe et est l’auteur de Nouvelle Grande Russie.Fabrice Sorlin, nationaliste et catholique traditionaliste, a présidé l’association Dies Irae et est vice-président du Mouvement international russophile, participant à des débats sur la Russie.Thomas Thomasovitch, créateur de la chaîne YouTube « Thomasovitch », partage son quotidien en Russie tout en dirigeant l’agence de voyage Aventurusse.Trump relance la guerre commerciale contre la Chine
Trump relance une offensive économique contre la Chine avec des tarifs douaniers massifs, visant à briser l’avantage compétitif de Pékin. Il dénonce la manipulation du yuan et les subventions chinoises, menaçant d’imposer des droits de douane dépassant 60 % sur certaines importations.
L’administration Trump cible aussi les entreprises technologiques chinoises, restreignant leur accès aux semi-conducteurs et à l’intelligence artificielle. Objectif : empêcher la Chine de dominer les secteurs stratégiques et ralentir son expansion technologique.
L’Europe, prochaine cible de Trump
L’UE, jugée concurrente déloyale par Trump, est dans sa ligne de mire. Il envisage une taxe de 10 % sur toutes les importations, frappant l’industrie européenne, notamment l’automobile et le luxe. Il reproche aussi aux Européens de sous-financer leur défense tout en comptant sur l’OTAN.
Bruxelles devra choisir entre se conformer aux exigences américaines ou renforcer son autonomie stratégique. L’Europe risque d’être contrainte à une guerre économique dont elle pourrait sortir affaiblie.
Un monde en rupture économique et géopolitique
La rivalité entre Washington et Pékin redéfinit l’économie mondiale. La Chine renforce ses alliances avec la Russie et l’Iran pour limiter sa dépendance à l’Occident, tandis que les États-Unis optent pour un protectionnisme agressif.
L’Europe, tiraillée entre ces blocs, tente de préserver son indépendance en diversifiant ses partenariats, mais elle peine à s’émanciper de l’influence américaine. L’économie mondiale bascule vers un repli nationaliste marqué, accentuant tensions diplomatiques et instabilité.
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Le 8 janvier 2025, Henry de Lesquen était l’invité de Nicolas Stoquer dans Le Monde Réel, sur Géopolitique Profonde !
Henry de Lesquen est un homme politique, haut fonctionnaire et essayiste français, connu pour ses positions nationalistes et conservatrices. Ancien élève de l’ENA, il a dirigé le Club de l’Horloge, un think tank influent dans la droite identitaire française. Défenseur d’un national-libéralisme assumé, il prône la remigration, le protectionnisme et la fin du multiculturalisme.
La fin du progressisme et le retour de l’État-nation
Trump engage un démantèlement total du wokisme et des politiques de diversité imposées par les Démocrates. Fin des quotas raciaux, suppression des financements idéologiques, retour au mérite. L’immigration illégale est traitée comme une invasion : expulsions massives, cartels classés organisations terroristes, fin du financement des villes sanctuaires.
Sur le plan économique, l’État réduit ses dépenses et met fin à l’illusion d’un État-providence. L’assistanat disparaît, l’industrie fossile est relancée et la défense renforcée. L’Amérique renoue avec un nationalisme assumé : protection des frontières, ordre intérieur et puissance militaire.
National-libéralisme et réindustrialisation de l’Amérique
Trump rompt avec la mondialisation sauvage. Le national-libéralisme devient doctrine officielle. Les entreprises rapatrient leur production sous peine de lourdes sanctions fiscales. Le protectionnisme touche tous les secteurs stratégiques : semi-conducteurs, énergie, armement.
Les taxes sur les importations chinoises explosent, forçant Pékin à revoir son expansion. L’OTAN recule, les alliances se restructurent : Washington se tourne vers l’Inde et le Japon pour contrer la Chine. L’Amérique se prépare à un affrontement direct, consolidant sa domination militaire et économique.
Expansion géopolitique et nouvel ordre mondial
La doctrine Monroe est réaffirmée : aucune ingérence étrangère en Amérique latine ne sera tolérée. Washington verrouille le Groenland et le Canal de Panama, zones stratégiques pour contrer Moscou et Pékin.
Le Proche-Orient reste une priorité : soutien inconditionnel à Israël et pression accrue sur l’Iran. L’expulsion des Palestiniens s’accélère, sous silence complice des puissances occidentales.
Sur l’Ukraine, Trump abandonne Zelensky et pousse à la négociation. L’Amérique recentre ses forces sur l’Asie et la Chine, laissant l’Europe gérer seule l’effondrement économique et militaire qui menace. Un nouvel ordre mondial s’installe : l’Amérique redevient l’unique puissance impériale, sans fardeaux inutiles.
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Le 8 février 2025, Mike Borowski révèlait les mystères entourant l’enfance isolée d’Emmanuel Macron, son éducation sous influence et les zones d’ombre du passé de Brigitte Macron, sur GPTV.
Une enfance hors norme
Emmanuel Macron a grandi dans un environnement marqué par un isolement affectif. Ses anciens camarades le décrivent comme un enfant solitaire, distant sur sa famille et sa vie privée. Élevé par sa grand-mère maternelle, Germaine Noguès, il a reçu une éducation intellectuelle rigide, coupée du monde réel. Ses relations avec ses parents restent floues, et certains proches évoquent un rejet implicite de ces derniers.
Des incohérences troublantes entourent son passé familial. Pourquoi son frère biologique l’aurait-il présenté comme un simple cousin ? Pourquoi son parcours semble-t-il avoir été méthodiquement structuré ? Loin d’être une simple singularité familiale, son éducation semble répondre à un cadre précis, destiné à façonner un esprit détaché des attaches affectives traditionnelles.
Une éducation sous influence et des parallèles troublants
Macron a été exposé très jeune à des influences intellectuelles singulières. Parmi ses auteurs de prédilection figurent André Gide et Michel Tournier, dont les œuvres explorent des thèmes dérangeants. Ce cadre éducatif strict évoque certaines méthodes du programme MK Ultra, conçu pour façonner des individus en les isolant de leur cadre familial.
Les élites mondiales façonnent depuis toujours des individus destinés à occuper des postes-clés. Macron, propulsé en politique avec une rapidité fulgurante, semble avoir été préparé dès son plus jeune âge. Son absence de liens affectifs visibles et son parcours atypique renforcent l’idée d’une programmation orchestrée bien au-delà du simple mérite.
Brigitte Macron : un passé effacé
Brigitte Macron, avant son mariage avec Emmanuel, était officiellement mariée à André-Louis Auzière, un homme dont l’existence semble avoir été effacée. Aucune photo publique, aucun témoignage, et des funérailles organisées dans le plus grand secret. La seule image du mariage de Brigitte et Auzière publiée en 2019 est jugée douteuse par des analystes.
Pourquoi son premier époux a-t-il disparu des archives ? Pourquoi aucune preuve tangible de sa vie passée n’existe-t-elle ? Ces mystères prennent une dimension particulière avec les rumeurs sur une transition de genre de Brigitte Macron. Malgré des enquêtes indépendantes, l’Élysée refuse tout commentaire et multiplie les poursuites judiciaires contre ceux qui abordent le sujet.
Un contrôle médiatique total
Toute tentative d’enquête sur le passé de Brigitte Macron est immédiatement réprimée. Les documents officiels sont inaccessibles, les rares témoignages disparaissent, et les médias français appliquent une censure totale sur le sujet. Pourquoi un tel verrouillage si ces théories étaient sans fondement ?
Ce mode de gestion du pouvoir, basé sur l’opacité et la manipulation, dépasse largement le couple Macron. Il révèle un contrôle total de l’information et une mise en scène où chaque détail est soigneusement orchestré. Rien n’est laissé au hasard.
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Le 8 février 2025, Driss Ghali était l’invité de Mike Borowski, sur Géopolitique Profonde !
Driss Ghali est un écrivain et essayiste marocain installé au Brésil, spécialisé dans l’analyse des dynamiques socio-politiques et les questions d'identité nationale. Son dernier livre, L’identité d’abord : Lettre ouverte d’un immigré aux Français qui ne veulent pas disparaître, est paru en 2025.
Un peuple conditionné à la repentance
Depuis des décennies, la France subit une culpabilisation systématique imposée par les élites médiatiques et politiques. À travers l’éducation et les discours officiels, une seule version de l’histoire est martelée : celle d’un pays coupable de colonialisme, racisme et autres oppressions.
Dès l’école, les jeunes sont conditionnés à voir la France sous un prisme négatif, tandis que les cultures étrangères sont glorifiées au nom du multiculturalisme. Ce processus affaiblit la fierté nationale et pousse les Français à accepter passivement la transformation de leur société.
Cette stratégie vise à désarmer psychologiquement la population, la rendant manipulable et soumise à une idéologie mondialiste prônant une société uniformisée, sans repères ni identité forte.
Une nation affaiblie et méprisée
Cette posture ne suscite ni respect ni admiration, mais du mépris. La France, autrefois puissante, est perçue comme une nation faible, incapable de faire respecter ses lois et ses valeurs.
L’État recule face aux émeutiers, laissant des zones entières hors de contrôle. La police, entravée par une justice laxiste, hésite à intervenir sous peine d’accusations de violences. Pendant ce temps, les citoyens doivent accepter l’inacceptable au nom de la tolérance.
Pourquoi les immigrés respecteraient-ils un pays qui ne se respecte plus ? L’intégration suppose des valeurs fortes. Or, la France actuelle favorise l’effacement de son identité et l’imposition de nouvelles normes par des minorités refusant tout compromis.
Un projet globaliste contre la souveraineté nationale
Cette destruction de l’identité française découle d’un projet politique clair : dissoudre les nations et imposer un modèle multiculturel déraciné.
L’immigration massive n’est pas une fatalité, mais un outil de fragmentation des sociétés occidentales. Un pays divisé est plus facile à contrôler. Toute opposition est muselée par des lois liberticides, interdisant toute contestation du processus en cours.
La démocratie moderne, soumise aux dogmes des droits de l’homme, empêche toute action forte. Toute tentative de redressement national est immédiatement qualifiée de « fascisme » ou de « repli identitaire ».
Un sursaut est-il encore possible ?
Face à cette situation, la question se pose : la France peut-elle encore se redresser dans le cadre actuel ? Rien n’est moins sûr. Il devient urgent de rompre avec les politiques en place et d’imposer une assimilation stricte.
Cela implique des décisions claires :
Restaurer une fierté nationale sans repentance.Réaffirmer une autorité ferme face à la criminalité et au séparatisme.Mettre fin aux politiques migratoires laxistes et imposer une assimilation rigoureuse.Se libérer des institutions supranationales qui empêchent toute défense de l’identité nationale.Ces mesures exigent un courage politique aujourd’hui absent. Tant que la France restera enfermée dans son schéma actuel, elle poursuivra son déclin jusqu’à perdre toute souveraineté.
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Le 7 février 2025, Marie Pascale Remy était l’invitée de Lara Stam, en direct dans Un Soir avec Lara, sur Géopolitique Profonde !
Marie-Pascale Rémy est une auteure et conférencière spécialisée dans la connaissance de soi et la spiritualité. Après une expérience de mort imminente en 1989, elle a orienté sa recherche vers l’enseignement de Rudolf Steiner, influençant profondément son parcours. Parmi ses ouvrages notables figure Saint Michel, renaître dans le combat spirituel, qui explore la dimension spirituelle du combat intérieur à travers l’archétype de l’Archange Saint Michel. Elle a également écrit plusieurs ouvrages sur le développement personnel, l’ange gardien et les mythes du féminin.
Un dieu de la matière et du contrôle
Les États-Unis affichent une religiosité omniprésente, mais pour Rudolf Steiner, cette foi est détournée. Il identifiait l’influence d’Ahriman, esprit du matérialisme et du mensonge, qui vise à soumettre l’humanité à la matière et à l’intelligence froide, dépourvue de spiritualité.
L’Amérique, terre de conquête et de réussite matérielle, serait le foyer parfait de cette entité. Le pragmatisme et l’obsession du succès y ont remplacé la quête spirituelle. L’homme moderne y est réduit à un rouage d’un système dominé par la rentabilité et le pouvoir, sans élévation spirituelle.
La destruction programmée de la spiritualité humaine
Ahriman ne se contente pas de dominer la matière, il s’attaque aussi à l’âme humaine. Steiner prédisait qu’il pousserait les hommes à l’intelligence purement rationnelle, détruisant leur lien avec le divin. Il favoriserait un monde d’hyper-individualisme, empêchant toute unité spirituelle.
La science, au lieu d’être un outil d’élévation, est devenue un instrument de domination. L’intelligence artificielle, la surveillance numérique et le transhumanisme sont les armes d’Ahriman pour couper définitivement l’homme de sa nature spirituelle et l’asservir à un monde technologique contrôlé.
L’Antéchrist et le contrôle total de l’humanité
Selon Steiner, Ahriman s’incarnera physiquement en Amérique au début du IIIᵉ millénaire. Son règne ne sera pas celui d’un tyran visible, mais d’un maître de l’illusion, utilisant la technologie pour dominer discrètement l’humanité.
Il manipulerait les forces matérielles, notamment le magnétisme terrestre, pour contrôler les consciences. Cette prédiction semble se réaliser à travers l’ère du numérique, où la surveillance et l’influence des ondes électromagnétiques façonnent les pensées et comportements humains.
Le Nouvel Ordre Mondial, loin d’être un simple projet politique, est en réalité l’infrastructure du règne de l’Antéchrist, visant à soumettre l’humanité à une domination matérielle totale, annihilant toute transcendance.
Vers une humanité sans âme ?
La modernité a éloigné l’homme de toute spiritualité, favorisant une vision matérialiste du monde. Le dogme technologique et la consommation de masse façonnent un individu rationalisé, coupé de sa dimension sacrée.
Steiner affirmait que seule une conscience éveillée pouvait résister à cette emprise. Renouer avec une spiritualité libre et affranchie du matérialisme est le seul moyen d’empêcher l’humanité de sombrer définitivement dans le règne de l’Antéchrist.
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Le 7 février 2025, Philippe Pascot était l’invité du Monde Réel, animé par Nicolas Stoquer sur Géopolitique Profonde.
Philippe Pascot est un écrivain a succès, ancien maire adjoint d’Evry et ancien conseiller régional. Administrateur de l’association ANTICOR, il joue un rôle actif dans la promotion de la transparence et de l’intégrité en politique. Il vient aujourd’hui nous parler de la réédition de son ouvrage à succès « Pilleur d’État ».
Les lois se multiplient, les promesses de transparence se succèdent, et les discours politiques vantent une démocratie plus éthique.
Pourtant, les règles censées lutter contre la corruption et la fraude s’appliquent à tous… sauf aux élus qui les votent. Pendant que les citoyens sont surveillés, traqués et contrôlés, les élites politiques bénéficient de privilèges opaques et d’une impunité totale.
Une démocratie verrouillée par l’impunité des élites
Alors que les lois de contrôle et de surveillance s’accumulent pour le peuple, les élus bénéficient d’un système opaque leur assurant une impunité totale. Derrière les discours de transparence, la corruption reste institutionnalisée.
Les scandales s’enchaînent, mais aucune véritable sanction ne tombe. Les commissions d’enquête sont des mascarades, et les rares affaires judiciaires se terminent par des condamnations symboliques. Pendant que le citoyen est écrasé sous des réglementations strictes, les élus échappent à toute responsabilité grâce à un système conçu pour les protéger.
Des technologies au service de la répression, pas de la sécurité
L’État intensifie la surveillance des citoyens sous prétexte de sécurité. Drones, caméras, reconnaissance faciale : chaque manifestation devient une cible. En revanche, ces mêmes outils ne sont pas déployés pour contrôler les flux migratoires ou lutter contre l’insécurité. La priorité n’est pas la protection du pays, mais la répression du peuple.
Les citoyens sont traqués, mais les frontières restent grandes ouvertes. L’hypocrisie atteint son sommet lorsque des technologies sont interdites d’usage contre l’immigration clandestine, mais massivement utilisées contre les manifestants.
Un entre-soi politique indéboulonnable
Les lois anticorruption ne sont que des écrans de fumée. Derrière les discours, le système est verrouillé par des intérêts communs. Ceux qui osent dénoncer sont immédiatement marginalisés ou poursuivis.
Les citoyens, eux, sont soumis à un arsenal juridique toujours plus contraignant. Un entrepreneur peut être ruiné pour une erreur administrative, tandis qu’un élu pris en flagrant délit de fraude continue sa carrière sans encombre.
La corruption protégée sous couvert de lois
Plus on parle de transparence, plus la corruption prospère. En complexifiant à outrance les règlements, les élites rendent leur propre contrôle impossible. Derrière les promesses de moralisation, c’est un véritable écran de fumée qui permet aux abus de perdurer.
Les lois censées protéger la démocratie servent en réalité à garantir l’impunité des puissants. Pendant que le peuple subit des restrictions croissantes, les vrais fraudeurs continuent d’agir en toute liberté.
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Le 7 février 2025, Mike Borowski vous donnait rendez-vous pour décrypter un sujet brûlant d’actualité sur Géopolitique Profonde.
L’USAID : Un instrument de propagande au service du pouvoir américain
Loin d’être une simple agence d’aide humanitaire, l’USAID a servi de bras armé du pouvoir américain, orchestrant des ingérences sous couvert de progrès et de démocratie.
L’Ukraine est l’un des cas les plus flagrants : l’USAID a investi des millions pour façonner l’image de Zelensky et légitimer son régime. Hollywood a été mis à contribution : Angelina Jolie (20M$), Orlando Bloom (8M$), Ben Stiller (4M$), Sean Penn (5M$) et même Jean-Claude Van Damme (1,5M$) ont été rémunérés pour se rendre à Kiev et poser avec Zelensky, renforçant ainsi le soutien occidental à la guerre contre la Russie.
Parallèlement, l’agence a financé des médias et groupes politiques anti-russes, multipliant les tensions et précipitant le conflit.
Des milliards injectés pour imposer l’idéologie mondialiste
L’USAID ne se limite pas aux zones de guerre : elle déploie des fonds colossaux pour façonner les sociétés selon les intérêts de Washington.
Voici quelques exemples de dépenses :
7,9M$ pour former les journalistes sri-lankais à éviter le « langage binaire ».20M$ pour un Sesame Street en Irak.4,5M$ pour lutter contre la désinformation au Kazakhstan.6M$ pour remodeler les espaces numériques selon des principes féministes.L’USAID finance aussi des projets LGBT à l’étranger, souvent perçus comme une ingérence culturelle :
2M$ pour l’activisme LGBT et les changements de sexe au Guatemala.5,5M$ en Ouganda.3,9M$ pour imposer l’agenda LGBT dans les Balkans occidentaux.L’agence a aussi financé des opérations controversées :
5M$ versés à EcoHealth Alliance, impliquée dans les recherches du laboratoire de Wuhan.10M$ de nourriture livrés à un groupe terroriste lié à Al-Qaïda.Trump et Musk frappent au cœur de l’État profond
La fermeture de l’USAID constitue un coup majeur contre l’État profond. Utilisée pour imposer l’idéologie mondialiste sous couvert de démocratie, cette agence pilotée par des intérêts privés a perdu son influence.
Trump et Musk marquent ainsi la fin d’un système de manipulation globale basé sur le financement occulte des médias, des révolutions de couleur et des campagnes d’ingénierie sociale.
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Le 7 février 2025, Marc-Gabriel Draghi, le Général Dominique Delawarde, David Pliquet, Vincent Pavan et Charlotte Laskowski étaient les invités de La Matinale, animée par Nicolas Stoquer et Raphaël Besliu, sur Géopolitique Profonde.
Marc-Gabriel Draghi, juriste et auteur, analyse l’histoire du droit et les mécanismes du capitalisme mondial. Il alerte sur le projet du Forum économique mondial, qu’il considère comme un outil de domination des élites.Le Général Dominique Delawarde, ancien chef de la « Situation-Renseignement-Guerre électronique », possède une expertise militaire reconnue. Il a dirigé des unités d’élite et participé aux crises des Balkans.David Pliquet, ingénieur et fondateur d’E-Mage-In 3D, explore les enjeux sociétaux à travers Citizen Light. Passionné par la culture bretonne, il valorise l’innovation locale.Vincent Pavan, mathématicien et maître de conférences, critique les politiques sanitaires et leur manque de fondements scientifiques.Charlotte Laskowski, professeure de philosophie et militante pour les droits des enfants, sensibilise aux enjeux éducatifs et sociaux.France Pedoland : l’ASE, pilier d’un système de prédation
L’Aide Sociale à l’Enfance (ASE) est accusée de servir de réservoir humain aux réseaux de prostitution et de pédocriminalité. Placements abusifs, abus institutionnels, médicalisation forcée : des milliers de mineurs sont livrés à un système de destruction sous prétexte de protection. Les psychotropes et la manipulation psychologique réduisent leur résistance, facilitant leur exploitation par des réseaux criminels bénéficiant d’une impunité totale.
Xavier Niel, Bernard Arnault et l’industrie pornographique
Les grandes fortunes françaises ne sont pas étrangères à ce système. Xavier Niel, pionnier des réseaux pornographiques en ligne, a bâti sa fortune sur l’exploitation de ces contenus. Candace Owens dénonce l’implication de Free dans l’hébergement de contenus pédopornographiques. L’expansion de la pornographie en ligne s’appuie sur des infrastructures liées aux élites économiques, révélant une collusion inquiétante entre pouvoir et industrie du vice.
Macron verrouille la censure et le budget
Le 49.3 devient l’outil privilégié d'Emmanuel Macron pour imposer une gestion autoritaire. La censure numérique s’intensifie sous couvert de lutte contre les « fake news ».
La France brade son électricité, l’UE en profite
L’électricité française, vendue à bas prix à l’Allemagne, asphyxie les Français soumis à des hausses tarifaires massives. L’UE impose une transition énergétique désastreuse, fragilisant la compétitivité industrielle et sacrifiant la souveraineté énergétique.
L’Agenda Vert s’effondre face aux révoltes européennes
Bruxelles recule sur son programme écologique, confrontée aux réalités économiques et aux révoltes paysannes. L’Allemagne et les Pays-Bas revoient leurs objectifs climatiques, tandis que la France tente de sauver son industrie grâce au nucléaire.
Donald Trump et la révolution conservatrice contre la décadence morale
Trump et son entourage ont identifié la pornographie comme un instrument de déstabilisation et de contrôle des masses. Son administration prépare une offensive contre les réseaux de corruption morale, révélant les collusions entre élites, presse et plateformes du vice.
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Le 6 janvier 2025, François Martin était l’invité de Lara Stam, dans Un Soir avec Lara, sur Géopolitique Profonde !
François Martin est un géopolitologue, journaliste et essayiste français, diplômé de l’ESSEC et de l’EMBA HEC, et auditeur de l’IHEDN et de l’INHESJ. Avec une carrière de 40 ans dans le commerce international de l’alimentaire, il a acquis une expérience considérable sur plus de 100 pays et maîtrise six langues et est connu pour ses analyses pénétrantes sur des sujets internationaux complexes.
Une passion forgée par l’histoire et les voyages
Dès son plus jeune âge, François Martin se passionne pour l’histoire et les dynamiques de pouvoir. Il comprend rapidement que les conflits et alliances résultent de causes profondes et d’une continuité historique. Plutôt qu’une simple discipline stratégique, il perçoit la géopolitique comme une clé essentielle pour décrypter le monde.
Son approche ne repose pas sur la seule analyse académique : il privilégie l’observation de terrain. De l’Afrique à l’Asie centrale, en passant par le Moyen-Orient et l’Amérique latine, il confronte ses connaissances aux réalités locales, échange avec les populations et analyse les dynamiques culturelles souvent ignorées des grandes analyses à distance.
Ses voyages lui permettent de démontrer que la géopolitique ne se limite pas aux décisions des grandes puissances, mais qu’elle est avant tout une affaire de peuples, d’histoire et de culture. Il développe ainsi une approche où chaque événement trouve son origine dans une trame historique et sociétale bien plus vaste.
Une vision humaniste de la géopolitique
Contrairement aux analyses purement stratégiques, François Martin met l’humain au centre de ses réflexions. Derrière chaque crise ou reconfiguration des alliances, il rappelle que ce sont des millions de vies qui sont directement impactées.
Il s’intéresse particulièrement aux migrations et aux résistances locales. Là où certains voient une problématique sécuritaire, il y perçoit des récits de survie, d’exil et d’adaptation. Il démontre que ces mouvements sont le résultat direct des guerres économiques et des jeux de pouvoir entre nations.
Son travail met aussi en lumière comment certaines populations s’organisent en l’absence d’État, développant des réseaux de solidarité et des résistances. Cette approche humaniste permet d’apporter un regard nouveau sur des conflits souvent analysés sous un prisme purement technocratique.
Un passeur de savoir engagé et accessible
François Martin refuse de réserver la géopolitique aux cercles élitistes. Pour lui, comprendre les enjeux internationaux est essentiel pour chaque citoyen. Dans un monde où l’information est omniprésente mais souvent biaisée, il défend une analyse rigoureuse et indépendante.
Mais son engagement va au-delà de la transmission de savoir. Il critique ouvertement les manipulations des grands médias, dénonçant les analyses biaisées et les discours formatés. Il incite son audience à croiser les sources et à adopter un regard critique face aux récits officiels.
S’appuyant sur son expérience de terrain, il montre que la géopolitique ne se limite pas aux stratégies d’États : chaque société et chaque individu y joue un rôle. Dans un monde en mutation, son travail éclaire les tensions et les évolutions qui redessinent l’équilibre des puissances.
Brisez le filtre des analyses superficielles et plongez au cœur des véritables enjeux géopolitiques avec votre revue mensuelle de Géopolitique Profonde !
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Le 7 février 2025, Jean-Michel Vernochet, Sylvain Baron et Patrick Pasin étaient les invités de Mike Borowski, sur Géopolitique Profonde !
Jean-Michel Vernochet, journaliste et géopolitologue, est connu pour ses positions tranchées contre l’oligarchie mondialiste et son analyse rigoureuse des politiques européennes. Ancien grand reporter et auteur de nombreux ouvrages, dont La France en flammes : des gilets jaunes à Notre-Dame de l’apocalypse, il aborde des sujets complexes avec une lucidité déconcertante, mettant en lumière les enjeux cachés de l’intégration européenne et de la soumission aux forces extérieures.
Sylvain Baron, journaliste engagé, revient tout juste de son périple en Ukraine, où il a plongé au cœur des zones de conflit à Zaporija et Marioupol.
Patrick Pasin est un auteur, conférencier et entrepreneur français, connu pour ses critiques sur la géopolitique, la santé publique et la souveraineté individuelle.
L’Occident instrumentalise le terrorisme pour affaiblir la Russie
Les attentats en Russie s’inscrivent dans une guerre hybride où le terrorisme devient une arme politique. Des groupes djihadistes, financés et armés par l’Occident, ont ciblé Moscou et la Tchétchénie. Derrière chaque attaque, une stratégie de déstabilisation se cache sous couvert de lutte pour la liberté.
Hier ennemis sous al-Qaïda, certains groupes terroristes sont aujourd’hui qualifiés de “combattants de la liberté” dès qu’ils servent l’agenda occidental. Hayat Tahrir al-Cham, héritier du Front al-Nosra, en est l’exemple parfait : ex-djihadistes réhabilités lorsqu’ils combattent la Russie.
L’Occident masque son double jeu derrière les droits de l’homme
L’Occident dénonce le terrorisme sur son sol, mais l’utilise en Syrie, Afghanistan et Ukraine. Les attentats de Moscou revendiqués par l’État islamique au Khorasan soulèvent des questions : pourquoi les assaillants ont-ils fui vers l’Ukraine ? Comment expliquer que les services de renseignement occidentaux avaient “prévu” l’attaque, mais échouent à anticiper celles sur leur propre territoire ?
Ces incohérences révèlent que ces groupes sont utilisés pour affaiblir la Russie et servir l’OTAN.
L’Occident recycle les terroristes en pantins politiques
Le cynisme atteint son apogée lorsque des groupes djihadistes, responsables de massacres, sont intégrés aux stratégies occidentales. En Syrie, les milices financées hier deviennent des partenaires stratégiques dès que nécessaire.
L’Ukraine suit la même logique. Depuis 2014, des mercenaires djihadistes combattent aux côtés des forces de Kiev, sans réaction des États-Unis ni de l’UE.
L’Occident, empire du chaos et de la manipulation
Derrière son discours moralisateur, l’Occident orchestre des guerres clandestines. Du Kosovo à l’Ukraine, la même stratégie se répète : manipuler des groupes extrémistes pour renverser des gouvernements, puis les réhabiliter selon l’agenda géopolitique.
Les peuples doivent ouvrir les yeux : ceux qui prétendent combattre le terrorisme sont souvent ceux qui l’organisent en coulisses.
Déjouez la propagande et comprenez qui orchestre vraiment le chaos mondial avec votre revue mensuelle de Géopolitique Profonde !
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Le 6 janvier 2025, Nicolas Stoquer dénonçait l’influence de Brigitte Macron sur l’Éducation nationale, son contrôle idéologique et ses liens avec les élites économiques sur GPTV.
Brigitte Macron impose son emprise sur l’Éducation nationale
Sans mandat officiel, Brigitte Macron s’est imposée comme une figure influente dans l’Éducation nationale. Depuis 2017, elle oriente discrètement les grandes réformes et joue un rôle clé dans les nominations ministérielles. L’éviction de Jean-Michel Blanquer en 2022, remplacé par Pap Ndiaye, illustre son influence.
Elle agit comme porte-parole officieuse du gouvernement, imposant des directives et orientant les débats éducatifs. Son rôle dépasse celui d’une Première dame engagée : elle façonne activement l’agenda éducatif national.
L’éducation à la sexualité : un outil de contrôle idéologique
Brigitte Macron pousse l’éducation à la sexualité dès le plus jeune âge, justifiant cette initiative par la lutte contre le harcèlement et les violences. Mais ce programme sert à remodeler le rôle de l’école, où l’État devient l’unique référent éducatif, marginalisant les familles.
S’inspirant de modèles étrangers, elle veut généraliser ces enseignements et renforcer l’emprise de l’État sur l’éducation des enfants. Ce changement de paradigme transforme l’école en outil de formatage idéologique.
Un réseau d’influence financé par les élites
Brigitte Macron ne se limite pas aux circuits étatiques. Son projet Institut des vocations pour l’emploi (LIVE), financé par Bernard Arnault, est une structure parallèle échappant au contrôle public. En créant ces centres indépendants, elle impose ses méthodes pédagogiques et ses choix idéologiques sans passer par les institutions.
Son influence est amplifiée par des alliances avec des géants économiques, qui y voient un levier de contrôle et d’image. LVMH et d’autres acteurs privés financent ces initiatives, donnant à Brigitte Macron une autonomie stratégique qui échappe aux règles classiques de l’Éducation nationale.
Une prise de contrôle éducative sous couvert de modernisation
Brigitte Macron s’impose comme un acteur incontournable du système éducatif français. En jouant sur la protection de l’enfance et la lutte contre le harcèlement, elle prépare un terrain favorable à une réforme profonde du modèle éducatif. Son influence dépasse largement son rôle officiel, et le silence médiatique autour de cette mainmise renforce les interrogations.
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Le 6 janvier 2025, Oskar Freysinger, Driss Ghali, Patrice Magneron et Maurice Signolet étaient les invités de Nicolas Stoquer et Raphaël Besliu, pour La Matinale de Géopolitique Profonde !
Oskar Freysinger est un ex-élu au parlement suisse, ancien Secrétaire d’État et ex vice-président de l’Union Démocratique du Centre). Il se consacre aujourd'hui à l’écriture, la traduction et partage ses analyses en tant que chroniqueur. Son dernier ouvrage est Animalia.
Driss Ghali est un écrivain et essayiste marocain installé au Brésil, spécialisé dans l’analyse des dynamiques sociales et politiques. Auteur de plusieurs ouvrages, il critique les élites et questionne l’identité nationale. Son dernier livre, L’identité d’abord : Lettre ouverte d’un immigré aux Français qui ne veulent pas disparaître, est paru en 2025.
Patrice Magneron est le président de l’association IDNF (Initiative pour la Défense de la Nation Française), une organisation engagée dans le rapprochement entre militaires et civils. À travers diverses actions et activités, l’IDNF œuvre pour renforcer les liens entre ces deux composantes essentielles de la société, en mettant l’accent sur des valeurs de patriotisme et de défense de l’identité nationale.
Maurice Signolet, ancien commissaire divisionnaire français, est reconnu pour ses analyses sur les questions de sécurité publique. Il est l’auteur de l’ouvrage La police ne peut plus rien pour vous, publié aux éditions Eyrolles.
Une nation sans frontières est une nation condamnée
L’identité nationale repose sur un État fort et souverain. Sans autorité, un peuple devient vulnérable aux ingérences et au chaos. Un État faible entraîne la fragmentation et la disparition des repères collectifs. La souveraineté passe par des institutions solides et la maîtrise des frontières, symboles de protection et d’identité. Accepter leur dissolution, c’est accepter la disparition progressive de la nation.
L’histoire a prouvé que l’abandon du régalien mène à l’effondrement. Sans cadre structurant, les sociétés deviennent des espaces de passage soumis à des influences extérieures incontrôlées. Une nation forte impose ses règles et protège son intégrité, faute de quoi elle se dissout.
Une société forte impose son modèle
L’identité est un filtre qui définit le soi et l’autre. L’assimilation est la clé d’une société unifiée : elle impose une culture, une langue et des valeurs communes. Sans elle, le multiculturalisme incontrôlé mène au repli communautaire et au chaos. Une nation ne doit pas subir les modèles extérieurs, mais imposer le sien.
L’histoire française a démontré la réussite de l’assimilation lorsque l’État encadrait ce processus. Aujourd’hui, l’inaction politique favorise les séparatismes et affaiblit le socle national. Seules des politiques claires et assumées permettront de restaurer la cohésion.
Pendant que la France doute, les autres avancent
Les grandes nations prospèrent grâce à des ambitions claires : indépendance énergétique, puissance militaire, conquêtes technologiques. La France a perdu cette dynamique, minée par la gestion à court terme et la soumission aux intérêts supranationaux.
Autrefois référence mondiale, elle s’efface alors que d’autres nations s’affirment. Pour survivre, elle doit renouer avec la souveraineté industrielle, militaire et énergétique, et retrouver sa capacité à imposer sa vision. Sans projet structurant, une nation disparaît.
Reprenez le contrôle de votre identité et de votre souveraineté, grâce à votre revue mensuelle de Géopolitique Profonde !
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Le 5 février 2025, Mathias Lebœuf, François Deymier et Egon Kragel étaient les invités de La Grande Émission, animée par Mike Borowski, sur Géopolitique Profonde.
Mathias Leboeuf est un journaliste français, docteur en philosophie, spécialisé dans la vulgarisation de la philosophie à travers des cafés philosophiques et des interventions en entreprise. Auteur de Tout ce que je sais, c’est que je ne sais rien, il explore les relations entre la peinture et le langage. Il enseigne également à l’Université Permanente de Paris.
François Deymier est un journaliste et ancien rédacteur en chef ayant exercé dans divers médias audiovisuels en France et à l’étranger, notamment à Radio France, Skyrock, Lagardère Europa Plus et btlv.fr. ours de sa carrière, il a interviewé de nombreuses personnalités issues d’univers variés.
Marc Obregon est un journaliste et romancier. Il est l’auteur de plusieurs livres, dont Mort au peuple (2022), L’Orbe (2021) et Omegatown (2024), qui révèlent les dessous de la crise politique et sociale que traverse la France depuis plusieurs années.
Les gouvernements ont caché la vérité sur les OVNIS
Depuis l’après-guerre, les États dissimulent l’existence des OVNIS. De Roswell (1947) aux programmes Blue Book et AATIP, la désinformation a empêché tout débat sérieux. Pourtant, en secret, scientifiques et militaires étudient ces objets. En 2024, Luiz Elizondo, ex-responsable du programme AATIP, affirme sous serment que les OVNIS existent. L’enjeu est immense : reconnaître ces phénomènes remettrait en cause la souveraineté des États et l’ordre mondial.
Qui sont ces visiteurs et que veulent-ils ?
Les performances des OVNIS dépassent nos technologies connues : vitesse fulgurante, manœuvres impossibles, disparition instantanée. Deux hypothèses principales émergent : l’origine extraterrestre et l’origine interdimensionnelle. Les observations autour des bases militaires et sites nucléaires suggèrent une surveillance accrue de notre développement technologique. Des indices historiques, comme des fresques préhistoriques ou des récits antiques, évoquent une présence ancienne.
Le tabou sur la vie extraterrestre : un outil de contrôle
La reconnaissance des OVNIS bouleverserait l’ordre établi. Elle mettrait fin au monopole des énergies fossiles si ces engins utilisent une propulsion révolutionnaire. Ce serait une menace pour l’industrie et les structures de pouvoir actuelles. Malgré la censure, les fuites s’accumulent et des figures comme Alain Juillet (ex-DGSE) confirment l’existence d’études secrètes sur ces phénomènes.
L’humanité à l’aube d’un basculement
Les gouvernements retardent une révélation inévitable. L’existence des OVNIS n’est plus une question de croyance mais de preuves accumulées. Si cette vérité éclate, elle changera notre perception du monde et notre place dans l’univers.
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Le 5 février 2025, Mickaël vous donnait rendez-vous pour un nouveau micro-trottoir, sur GPTV Investigation.
Le sujet ? Les tensions géopolitiques s’intensifient, les conflits armés se multiplient et la guerre économique s’accélère. La Troisième Guerre mondiale ne se profile pas à l’horizon : elle est déjà là. Ses fronts sont multiples, ses armes sont diverses, et la majorité des populations occidentales refusent encore d’en voir les signes.
Un conflit mondial aux multiples visages
Les affrontements en Ukraine, au Moyen-Orient et en Asie ne sont que la partie visible d’une guerre plus vaste. Ce conflit global ne se limite pas aux armes : il est économique, monétaire et idéologique. Les sanctions contre la Russie, la guerre des semi-conducteurs entre Washington et Pékin et l’effondrement énergétique européen sont des formes modernes d’affrontement. L’Occident, pris dans cette spirale, voit son industrie décliner et sa dépendance énergétique s’accentuer.
Un Occident désarmé psychologiquement
Tandis que la Russie, la Chine et l’Iran préparent leurs populations au conflit, l’Occident s’enfonce dans l’individualisme et le rejet du patriotisme. Les générations élevées dans le confort ne sont pas préparées à la guerre. Cette fragilité est le fruit d’une ingénierie sociale menée depuis des décennies : éducation nivelée par le bas, pacifisme exacerbé et dilution des identités nationales. Résultat : une société fragmentée, incapable de réagir face à l’effondrement.
Une guerre idéologique et cognitive
La Troisième Guerre mondiale ne se limite pas aux bombes : elle est aussi un combat pour le contrôle des esprits. Les médias imposent un récit qui occulte les véritables enjeux, diabolisent les voix dissidentes et censurent les vérités dérangeantes. La fragmentation ethnique et les flux migratoires massifs affaiblissent les sociétés occidentales, sapant toute capacité de résilience en cas de crise.
Vers un embrasement total ?
Les tensions entre blocs atteignent un point critique. La course aux armements s’accélère, les alliances stratégiques évoluent, et l’instabilité monétaire menace l’ordre mondial. L’Occident, en perte d’influence, voit l’Eurasie prendre l’ascendant. Si un conflit militaire majeur éclate, les nations prêtes à défendre leur souveraineté auront l’avantage. L’avenir ne sera pas clément pour ceux qui refusent de voir la réalité en face.
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