Afleveringen
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Le show Donald Trump continue à animer des marchés financiers qui s'en accommodent finalement assez bien. Contrairement à la plupart des pronostics les plus funestes, l'Europe s'en tire plutôt pas mal d'un point de vue boursier, tout en restant à la merci du pouce levé ou du pouce baissé de l'empereur de la Maison Blanche et de sa cour. La dernière séance de la semaine sera dominée par les chiffres de l'emploi aux Etats-Unis en janvier, qui pourraient révéler quelque surprises et relancer la machine à spéculer sur la politique monétaire de la Fed.
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Dans une ambiance un peu curieuse, les marchés actions progressent grâce aux espoirs liés à l'IA et à l'évolution des taux directeurs, en dépit d'une série de résultats d'entreprises médiocres et des incertitudes concernant la guerre commerciale relancée par les Etats-Unis. Les temps forts du jour comprennent la décision de la Banque d'Angleterre sur ses taux et les résultats d'Amazon après la clôture.
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Zijn er afleveringen die ontbreken?
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Les marchés actions continuent à évoluer au gré de la grande histoire, le retour de Trump aux affaires, et de la multitude de petites histoires, les résultats d'entreprises. Hier, le vert a dominé. Mais dans la soirée, les résultats d'Alphabet et d'AMD ont assombri le tableau.
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Le yoyo trumpo-émotionnel est de nouveau la norme sur les marchés financiers, comme c'était le cas au début du premier mandat du président américain. Donald Trump a démarré par un coup de tonnerre protectionniste avant d'imposer une accalmie diplomatique. Le Mexique et le Canada se sont rués dans la brèche, mais la Chine a refusé de se prêter au jeu. Les marchés actions sont un peu rassurés malgré tout, du moins à court terme.
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Le mois de janvier 2024 fut un excellent millésime boursier, mais j'ai l'impression qu'il va falloir l'évacuer fissa. Donald Trump a dégainé samedi 1er février des surtaxes douanières ciblant le Mexique, le Canada et la Chine, soit les trois principaux partenaires commerciaux des Etats-Unis. Il l'avait dit et il l'a fait, ce qui n'empêche pas les marchés financiers d'être pris en flagrant délit d'impréparation.
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Les marchés actions n'ont connu hier que des nuances de vert, dans une actualité financière à haute densité faite des décisions de politique monétaire des deux principales banques centrales du monde et d'une liste interminable de résultats d'entreprises. L'équation va probablement se compliquer dès aujourd'hui car Donald Trump s'est souvenu qu'il a prévu d'imposer des droits de douane à ses voisins à partir de demain.
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Le milieu de la dernière semaine de janvier fait se rencontrer la Fed, la BCE, Microsoft, Apple, Tesla, Meta, Sanofi, Roche, des stats de PIB et le nouvel an lunaire. Autant dire que la journée sera probablement animée, au lendemain d'une séance mitigée aux Etats-Unis et à Paris, et plus favorable sur les autres places occidentales.
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Après la stupeur provoquée par DeepSeek, la riposte s'organise. Wall Street se rassure, Nvidia rebondit, mais les tensions restent vives autour de l’IA chinoise. Pendant ce temps, la Fed s’apprête à trancher sur ses taux et les résultats de Microsoft, Meta et Tesla pourraient redéfinir les tendances du marché. En Europe, ce sont LVMH et ASML qui sont sous le feu des projecteurs.
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L'arrivée de DeepSeek, un IA générative chinoise performante et peu coûteuse, sur le devant de la scène, a déclenché hier un véritable séisme sur les marchés financiers. Des valeurs technologiques aux énergéticiens, tout un écosystème s’est effondré sous le poids d’une redéfinition inattendue des attentes et des investissements. Mais attention, toute la cote n'a pas flanché, loin de là. Les investisseurs ont surtout regardé les paris les plus embouteillés des derniers mois se faire éparpiller façon puzzle.
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On pensait que la semaine serait dominée par la décision de la Fed sur ses taux, mercredi, et par les résultats Microsoft, Meta, Tesla, LVMH ou Amazon. Que nenni, c'est le ChatGPT chinois DeepSeek qui est en train de voler la vedette à tout le monde, et ça n'a pas l'air de faire plaisir à la Silicon Valley.
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Donald Trump est de retour sur le devant de la scène, et avec lui, son lot de déclarations à fort impact sur les marchés. Comme en 2017, chaque mot fait réagir les investisseurs, alors que le nouveau président américain manie toujours aussi efficacement la carotte et le bâton. Pendant ce temps, la Banque du Japon ajuste ses taux et le CAC 40 retrouve des couleurs en ce début d’année prometteur.
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Le 23 janvier, c'est apparemment la journée mondiale de la solitude. On a une pensée pour Emmanuel Macron et Olaf Scholz. Hier, l'indice américain S&P 500 a signé en séance un nouveau record à 6100 points. L'Europe suit poliment le mouvement. Les promesses de l'intelligence artificielle ont encore tout balayé sur leur passage, dans un contexte où les résultats des entreprises sont plutôt porteurs et où les craintes inflationnistes sont reléguées au second plan, du moins à court terme.
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Les tensions attendues autour de l'investiture de Donald Trump sont un peu retombées, même si le 47e président des Etats-Unis a multiplié les annonces coup-de-poing ces dernières heures. Si l'indice de volatilité VIX mesure correctement la peur des investisseurs, on peut dire qu'ils sont plutôt rassurés par les dernières 48h00, puisque cet indice est revenu à son niveau de la fin décembre. En tout cas, le scénario qui est en train de se dérouler ne déroute pas les marchés financiers à court terme.
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Les marchés actions européens ont légèrement progressé hier, juste avant l'investiture de Donald Trump pour un second mandat aux commandes des Etats-Unis. La journée était fériée à Wall Street. Le 47e président des Etats-Unis a respecté son style caractéristique en dézinguant à tout va dès les premières minutes de sa présidence. La thématique "tout pour les Etats-Unis et peu importe les autres" est à son paroxysme, mais personne n'est vraiment surpris.
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Attention, avertissement : le mot Trump est contenu à de multiples reprises dans la chronique du jour. Pour son second mandat à la tête des Etats-Unis, l'homme d'affaires qui a promis de renverser la table donnera un avant-goût de ses projets lors du discours d'investiture prévu ce soir. Les marchés financiers ont salué la semaine dernière le compte à rebours, tout en étant un peu effrayés par l'effet Trump sur les taux d'intérêts américains.
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Selon une tradition bien ancrée chez Zonebourse, le vendredi, on peut titrer n'importe comment. Mais vous verrez que ce titre n'est pas totalement dénué de fondement. Il sera question ce matin d'une étrange répétition, de Chine, de luxe et de macroéconomie.
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Après les flottements récents, les investisseurs ont retrouvé le sourire grâce à une inflation américaine plus docile qu’attendu et à des résultats spectaculaires des firmes de Wall Street. Résultat : une pluie de hausses sur les marchés et la meilleure séance boursière américaine depuis le lendemain de l'élection de Donald Trump en novembre. Le président-élu sera investi lundi prochain auréolé, de surcroît, du statut de pacificateur du Moyen-Orient puisqu'un cessez-le-feu a été décidé à Gaza grâce aux efforts conjugués de l'administration en place et de la suivante.
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Ça nous avait manqué ! Les chiffres de l'inflation américaine de décembre, attendus cet après-midi, pourraient marquer un tournant décisif pour les marchés. A quelques jours de l'investiture de Donald Trump, les investisseurs s'en sont tenus à leurs convictions les plus fortes sans prendre de risques. La journée sera pimentée, hors inflation bien sûr, par une salve de résultats bancaires aux Etats-Unis et par les rumeurs de nouvelles restrictions imposées par Washington aux producteurs de puces qui veulent commercer avec la Chine.
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La séance de lundi à Wall Street a bien failli mal tourner avant de se redresser en fin de journée, malgré la faiblesse des grandes valeurs technologiques, plombées par les tensions commerciales. Pendant ce temps, l'Europe flanche, la Chine tente un rebond, et l'entourage de Trump joue avec les nerfs des marchés à coups de rumeurs tarifaires.
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La multiplication des indicateurs économiques robustes aux Etats-Unis est en train d'effrayer les investisseurs. Cette phrase peut paraître bizarre, mais elle est bien réelle : les financiers aiment quand les situations sont sous contrôle, parce que cela limite les risques. Quand l'économie va mal ou quand elle va trop bien, des déséquilibres apparaissent et peuvent provoquer des crises.
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