Afgespeeld

  • Dans cet épisode, je reviens sur la notion de déni, ce que l'on en dit et ce que l'on peut en penser.

    Le déni peut-il être une ressource ? Doit-on en sortir ?

    Pour illustrer mon propos, je vous partage quelques exemples!


    J'espère que cet épisode va vous plaire, je vous souhaite une bonne écoute :)


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  • Dans cet épisode, je reçois au micro Vélina Negovanska, psychologue et directrice du programme de la santé mentale chez Alan. Vélina nous parle de son parcours, de ce qui lui tient à coeur et nous échangeons sur les représentations de la santé mentale, notamment en entreprise.


    J'espère que cette discussion vous plaira :-)


    Alan est le sponsor de cet épisode, merci à eux !

    Lien Alan Mind : mind.alan.com/comptoir

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  • J’ai eu envie de vous proposer cette thématique puisqu’elle est très présente sur le plan individuel, familial, sociétal. 

    Qu’est-ce que l’on m’a transmis ? Qu’est ce que transmettre ? Qu’est ce que je laisse ? 

    D’un point de vu plus général, comment les générations précédentes nous ont laissé des traces de leurs vécus et comment nous on vit le besoin de laisser quelques chose ? 


    Je vous souhaite une bonne écoute :-)


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    Bibliographie :


    Abraham, N., & Torok, M. (1994). La coquille et le noyau : Renouveaux de la psychanalyse, Volume 1 (Vol. 1). Presse de l'Université de Chicago.

    Bertrand, M. (2008). Qu'est-ce que transmettre?. Etudes théologiques et religieuses, 83(3), 389-404.



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  • Puberté, pubertaire, adolescence, crise, rebellion,... Et si nous pensions cette période de vie différemment ?

    Voici un petit pot-pourri de mes réflexions à ce sujet ;)


    Biblio :


    Agraimbah, A., Carda, P., & Couppey, É. (2011). Adolescence: Crise!. Specificites, (1), 55-64.

    Goldbeter-Merinfeld, E. (2008). Adolescence: de la crise individuelle à la crise des générations. Cahiers critiques de thérapie familiale et de pratiques de réseaux, (1), 13-26.

    Marty, F. (2010). Adolescence et émotion, une affaire de corps. Enfances Psy, (4), 40-52.


    Je vous souhaite une bonne écoute :-)


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  • Le transfert, mot familier et inconnu qui a cette particularité de s’inviter dans plusieurs lieux : dans l’informatique, le droit, la bourse, le sport etc… 

    Mais quand celui-ci se niche dans les concepts psychanalytiques, qu’est-ce qu’il vient nous dire ? Et surtout qu’est-ce qu’il vient ne pas dire mais faire vivre ? 

    Pour le coup, c’est la place du corps, du ressenti qui nous permettra d’être dans un lien transférentiel. Alors que la thérapie est un espace de parole ce qui s'y passe est toujours hors langage. On vient dire au psy mais on vient ressentir surtout.

    Avec cet épisode, je vous déplace, je vous transfère dans ce que je sais, ce que je questionne et ce que je ne sais pas mais que j’écoute. 


    N’hésitez pas à transférer cet épisode :-) 


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  • L’angoisse : quésaco ?

    Nous pouvons tous être traversés par l’angoisse, que celui qui ne l’a jamais vécu se présente, il faudrait qu’il aille voir un psy ;) 

    Vous allez voir que si on s’en tient à la représentation de l’angoisse chez le psychologue cela n’a pas tout à fait le même sens employé au quotidien. 

    J’ai divisé cet épisode en deux afin de mieux appréhender les termes qui gravitent autour de l’angoisse : anxiété, phobie, crise d’angoisse…

    Dans ce premier épisode nous allons donc faire un zoom uniquement sur l’angoisse et les hypothèses sur son advenue. 

    On commence fort avec un sujet technique donc ouvrez grand vos oreilles ! Ne soyez pas angoissé quand même si vous comprenez rien à l’angoisse hein ;) 

    Bonne écoute :) 


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  • La honte dans ce qu’elle n’est pas : de la pudeur, de la culpabilité.

    La honte après la culpabilité. Je suis coupable vs j’ai honte. Souvent associées, j’ai décidé de proposer deux épisodes différents où la honte peut être pensée au travers de la culpabilité mais surtout de façon distincte.

    La honte d’être vu, regardé, exhibé mais aussi la honte d’exister ou d’être invisible, absent. Dans la honte, il y a quelque chose qui témoigne d’une catastrophe, d’une angoisse d’être exclu du monde des humains, de la civilisation.

    Je m’appuie dans cet épisode sur les travaux de Serge Tisseron, je vous conseille vivement d’étoffer cette proposition qui ne serait se suffire.

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    Biblio

    Ciccone, A., & Ferrant, A. (2015). Honte, culpabilité et traumatisme. Dunod.

    Selz, M. (2006). Clinique de la honte. Honte et pudeur: les deux bornes de l'intime. Le Coq-héron, (1), 48-56.

    Tisseron, S. (1997). Du bon usage de la honte. FeniXX.

    Tisseron, S. (2006). De la honte qui tue à la honte qui sauve. Le coq-heron, (1), 18-31.


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  • PARTIE 1

    Dans cet épisode, je suis partie à la rencontre de Nunzio D'Annibale et Isabelle Malleville, psychologues tous les deux, ils viennent nous partager leurs expériences et réflexions dans les cliniques de la protection de l'enfance.


    Voici quelques recommandations bibliographiques :


    Ariès, P. (2014). Enfant et la vie familiale sous l'Ancien régime (L'). Média Diffusion.

    Berger, M. (2011). Les séparations à but thérapeutique. Hachette.

    Bonneville-Baruchel, E. (2017). Les traumatismes relationnels précoces. Erès.

    David, M., & Cadart, M. L. (2014). Prendre soin de l'enfance: Textes et commentaires recueillis par Marie-Laure Cadart. Erès.

    Segalen, M. (2015). À qui appartiennent les enfants?. Tallandier.


    Le site La troisième rive : www.latroisiemerive.com


    Bonne écoute :)


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  • Aujourd’hui l’enfant est considéré comme un sujet à part entière, on s’en préoccupe, on s’intéresse à ce qu’il vit, aux conséquences de son éducation, de ses expériences etc… Le fonctionnement psychique de l'enfant prend donc sa place dans les préoccupations du monde des adultes, de la société.

    Est-ce qu’on doit parler de psychologie, de psychanalyse de l’enfant ? Comment ça se passe pour un enfant d'aller chez le.la psy ?


    Je propose plusieurs axes de réflexions dans cet épisode, j'espère que cela va vous plaire :)


    Je vous souhaite une bonne écoute ! 


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  • Bienvenue au pays du refoulement ! Dans cet épisode je vous propose de monter au grenier, cette pièce poussiéreuse où on ne va jamais, les meubles sentent le vieux mais sûrement qu'un tri serait bien nécessaire... Parfois, il faut aller chercher la veste de cette personne dans ce carton ou cette babiole qui signifie beaucoup ou encore le carnet où les premiers émois ont été écrits.

    Oui je parle bien du refoulement, cette pièce pleine de poussière qu’il faudrait ranger plus souvent mais on préfère oublier ce qui s’y trouve...

    Le refoulement, défense universelle et nécessaire, je vous parle de sa fonction protectrice mais aussi de sa fonction parfois invalidante. Le refoulement comme partie intégrante de la vie mais aussi dans son excès qui mobilise parfois un trop plein d’énergie. Le refoulement c’est le réservoir inconscient de différentes images, représentations qui ne sont pas conciliables avec notre moi.

    Qu’est-ce qu’on refoule ? Est-ce que c’est l’angoisse qui produit le refoulement ou le contraire ? Quels sont les bénéfices et les limites du refoulement ? Est-ce qu’il faut toujours lever le refoulement ? Je vous pose toutes ces questions pour permettre à vos oreilles d’ouvrir les réflexions autour de notre pièce que l’on garde fermée.

    Entre deux idées sur vos pensées refoulées, je vous souhaite une bonne écoute :-)

    Bibliographie :

    Le Guen, C. (2018). Dictionnaire freudien. Presses universitaires de France.


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  • L’inconscient

    Scoop : on n’est pas maître chez nous.

    Et oui alors que vous pensiez être la personne que vous connaissez le mieux, il n’y a pas de secret chez vous, vous pouvez être bien en confiance avec dans votre tête, et bien non !

    Notre conscience est une partie de nous mais la partie immergée existe bien et cet inconscient agit aussi sur nous, nos pensées, comportements, relations etc. Même quand on pense tout savoir et être transparent avec soi-même ou alors si on a un refoulement bien opérationnel, l’inconscient n’hésite pas à nous faire des coucous pour nous rappeler que c’est lui le patron.

    Dans cet épisode, on parle de lui, on lui laisse toute la place pour le définir, le critiquer. Vous allez voir que ce n’est pas une tâche simple puisque rendre conscient l’inconscient c’est un peu comme passe le balai sur une plage de sable, le travail est sans fin et quand on est bien fier d’avoir traiter une partie, un coup de vent et on repart à zéro. Le meilleur moyen d’être allié avec notre inconscient est à mon avis de lui laisser une place à table. On en parle dans cet épisode !

    Et vous votre inconscient est-il bruyant ?

    Allez bonne écouille (vive les lapsus !) :-)


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  • « Comment avoir une sexualité épanouie ? » ; « Sexualité et santé » ; « Mieux vivre sa sexualité » ; « Booster sa sexualité » ; « Il n’y a pas d’âge pour jouir » Ça c’est bien vrai, la psychanalyse ose même dire que ça commence dès la prime enfance !

    Si on se penche sur les apports de la psychanalyse, soyez rassurés (ou pas), le sexuel est universel et il constitue le noyau de notre inconscient. Et oui, la sexualité en psychanalyse n’est pas réductible au sexe biologique ou encore à la pratique.

    Je propose une interprétation des termes sexuel, sexualité, sexe au sens freudien. De sa part intériorisée jusqu’au comportement observable, nous allons voir que la sexualité, avant d’être une pratique chez Freud, elle est avant tout terreau de l’inconscient.

    Donnez-moi vos avis sur votre application d’écoute, c’est un vrai plaisir de vous lire.

    Bonne écoute :-)

    contact : [email protected]


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  • Le cadre c’est ce qui permet que le dispositif existe, que la rencontre puisse avoir lieu. Ce n’est pas parce que nous sommes tous un peu obsessionnels et qu’on a besoin que les choses soient claires, carrées, précises. Au contraire, c’est parce que le cadre est là que le hors cadre, le hors maîtrise l’incertitude, le fou, le libre va pouvoir se déployer.

    Dans cet épisode, je vous parle de l’unité de temps, de lieu donc du cadre externe. Je parle du cadre interne, pilier central du psychologue. J’aborde aussi la question du prix, de l’argent comme élément primordial à penser dans un cadre thérapeutique.

    Cet épisode est un peu différent, j’espère qu’il pourra susciter en vous des échos, des réflexions, des avancées.

    Bonne écoute :)


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  • Aujourd’hui je ne suis pas seule, puisque je sors de mon petit nid pour vous proposer un nouveau format. 

    Je vais recevoir une fois par mois, un.e invité.e pour échanger avec moi sur un thème en lien de près ou de loin avec la psychologie, la psychanalyse. Je nomme cette série « Le café au comptoir » ;)

    C’est Mélanie Gauthier qui inaugure ce nouveau format avec pour thématique l’hypnose. Mélanie est psychologue clinicienne et hypnothérapeute et elle nous donne plein d’éléments pour comprendre la pratique et les indications. Également, nous revenons sur plusieurs idées reçues autour de l’hypnose, son évolution, la relation hypnotique, le pourquoi ça peut fonctionner et le pourquoi ça peut aussi passer à côté etc. 

    Merci encore à Mélanie pour ses apports, j’espère que cette conversation va vous plaire autant qu’à moi (oui j’ai adoré) ! 

    N’hésitez pas à me faire un retour :) 


    Bonne écoute :) 


    Site de Mélanie : https://melaniegauthier-psychologue.fr/


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  • « Alors toi tu n’as pas résolu ton Oedipe ! »

    « Normal qu’il soit collé à sa mère, il nous fait un petit Oedipe »

    « Non mais vraiment la psychanalyse, je ne comprends pas, perso je n’ai jamais voulu coucher avec ma mère » (moi non plus j’avoue)

    Il a bon dos l’Oedipe !

    Dans cet épisode, je déconstruis la notion, en partant du mythe, de ce pauvre Oedipe qui en a vu des vertes et des pas mûres (c’est le cas de le dire, il va même finir par se crever les yeux, RIP) pour expliquer comment cela se pense en psychanalyse et pour finir sur comment moi je le pense :-)

    Je vous propose la vision structurante de l’Oedipe, qui se situe dans un pas de côté avec les représentations communes du complexe d’Oedipe.

    À tout les oedipes mal résolus, celles·ceux qui cherchent leur père ou leur mère, et à celles·ceux qui font tout pour ne pas les trouver, cet épisode est fait pour vous (ou pas) !

    PS : désolée pour le son qui malgré mon obstination a un petit coup de mou à un moment du podcast.

    Bonne écoute :-)


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  • Ça : Tiens j’aimerais que tout le monde me regarde, m’écoute, être une grande star un peu comme Beyoncé.

    Surmoi : Oui enfin il faudrait vraiment proposer un contenu très intelligent.

    Moi : On peut essayer de se lancer dans le podcast ?

    Surmoi : Bonne idée mais il va falloir que tu investisses dans du matériel au top pour avoir le meilleur son possible.

    La réalité extérieure : Euuuh les gars niveau timing c’est chaud non ?

    Ça : On va être trop connu, vive la célébrité !

    Surmoi : Oui enfin je te rappelle que t’as tendance à beaucoup t’égarer dans les projets et à ne rien terminer.

    Moi : Peut-être qu’on peut commencer par essayer de faire écouter à quelques personnes ?

    Ça : Papa va enfin être fier de nous.

    La réalité extérieure : Ça peut le faire !

    Voilà ce qui pourrait se passer très grossièrement chez nos amies les instances, toujours en désaccord, jamais satisfaites et ce pauvre moi qui essaie de les servir et de réguler.

    Cet épisode permettra de mieux appréhender les prochains où nous allons traverser les troubles qui peuvent nous habiter !

    Bonne écoute :)

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    Schéma : http://philoterm.canalblog.com/archives/2009/06/09/14013879.html

    Biblio :

    Freud, S. (1923). Le moi et le surmoi (idéal du moi). Le moi et le ça, Œuvres Complètes, 16, 255-303.

    Quinodoz, J. M. (2004). Lire Freud: découverte chronologique de l'oeuvre de Freud. Presses universitaires de France.

    Groddeck, G., Jumel, L., Lewinter, R., & Durrell, L. (1973). Le livre du ça. Paris: Gallimard.


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  • L’autre côté du rivage, dans cet épisode on questionne le contre-transfert en écho avec son allié, le transfert. En tant que psy, nous travaillons avec le langage mais l’outil principal se situe en réalité hors-mot. Ce qui ne se dit mais se perçoit, en prêtant notre appareil à penser, on prête notre appareil à ressentir. 

    Dans cette fonction miroir, vous allez voir que le travail du psychologue se joue aussi dans l’étude de son propre ressenti et de comment il perçoit le ressenti de celui qu’il a en face de lui. Il s’agit d’éprouver pour rendre compte ce qui peut se jouer dans le travail thérapeutique pour proposer un décalage et donc enclencher un processus de transformation. 

    J’espère que cet épisode va vous plaire, appuyer le premier épisode sur le transfert pour percevoir le travail thérapeutique des deux côtés. 


    N’hésitez pas à me donner vos avis et à transférer cet épisode :-) 

    Bonne écoute ! 


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  • L’angoisse : quésaco ?

    Nous pouvons tous être traversés par l’angoisse, que celui qui ne l’a jamais vécu se présente, il faudrait qu’il aille voir un psy ;)

    Vous allez voir que si on s’en tient à la représentation de l’angoisse chez le psychologue cela n’a pas tout à fait le même sens employé au quotidien.

    J’ai divisé cet épisode en deux afin de mieux appréhender les termes qui gravitent autour de l’angoisse : anxiété, phobie, crise d’angoisse…

    Dans ce premier épisode nous allons donc faire un zoom uniquement sur l’angoisse et les hypothèses sur son advenue.

    On commence fort la saison 2 avec un sujet technique donc ouvrez grand vos oreilles ! Ne soyez pas angoissé quand même si vous comprenez rien à l’angoisse hein ;)

    Bonne écoute :)


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  • En partant d'un point historique, je vous embarque dans les représentations de l'attachement, son processus, ses théoriciens et ses critiques ;)


    Quelques articles où je me réfère :

    Dugravier, R., & Barbey-Mintz, A. S. (2015). Origines et concepts de la théorie de l’attachement. Enfances Psy, (2), 14-22.

    Maman Vogue a fait un super article : https://www.mamanvogue.fr/limportance-de-lattachement-dans-la-petite-enfance/


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