Afleveringen

  • Arnaud a toujours recherchĂ© la prĂ©sence des animaux des autres. Les chiens de son entourage font partie de ses ĂȘtres prĂ©fĂ©rĂ©s, en Île-de-France comme Ă  Madagascar. Sa mĂ©moire est peuplĂ©e d'images d'animaux ayant croisĂ© sa route : zĂ©bus des riziĂšres, araignĂ©es gĂ©antes ou lĂ©muriens espiĂšgles. PassionnĂ© de journalisme sportif, Arnaud met en parallĂšle son lien aux animaux domestiques et son rapport au sport — deux sources de rĂ©confort, de partage et d'Ă©motions sincĂšres.

    Entretien, montage, réalisation : Flor Alazraki.

    Musique : Mathilde Forget.

    Illustration : IrĂšne Tardif.

    GĂ©nĂ©rique : « Quand on parle aux animaux c’est une maniĂšre un peu de se parler Ă  soi-mĂȘme. À part quand ils sont malades ou qu’ils ont l’air malheureux ou qu’ils ont des crises de mĂ©lancolie – ce qui leur arrive – normalement quand on parle Ă  un animal, quand on dit "Eh bien mon petit coco, mon pauvre vieux" c’est une maniĂšre de se parler Ă  soi-mĂȘme, un peu indirecte quoi. » ‱ Extrait de la vidĂ©o ‘Françoise Sagan : bonjour tendresse’, 1979.

    DurĂ©e de l'Ă©pisode : 00:30:46 🐕

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  • Partie 2 🐖

    Lucie, vidĂ©aste antispĂ©ciste, documente la lutte et les actions directes du collectif 269 LibĂ©ration Animale — les blocages d’abattoirs, les vols d’animaux mĂ©thodiquement prĂ©parĂ©s, les trajets retour hors du temps. En l’honneur de toutes les libĂ©rations n’ayant pu avoir lieu, qui hantent et donnent le courage de recommencer.

    « Coeur de bƓuf », court-mĂ©trage filmĂ© et rĂ©alisĂ© par Lucie Aragon, montĂ© par Silvia Arecco, produit par les Ateliers Varan. « Ce court-mĂ©trage suit un livreur de viande qui dessert les boucheries parisiennes. Entre deux personnes que tout oppose, une amitiĂ© se dessinera. Parfois, c’est parce qu’on est trĂšs loin de quelqu’un que l’on s’en rapproche. Les animaux dans tout ça, morcelĂ©s, rĂ©ifiĂ©s, que j’ai voulu filmer pour ce qu’ils sont : des corps sans vie d’individus Ă  qui il manque la peau, la tĂȘte, et votre regard. »

    Extraits sonores issus de vidéos réalisées par Lucie Aragon pour 269 Libération Animale.

    Exception de courte citation : extrait de la chanson « Run Cried the Crawling » d’Agnes Obel, album Aventine, 30 septembre 2013, label Play It Again Sam, [PIAS] Group.

    Entretien, montage, réalisation : Flor Alazraki.

    Musique : Mathilde Forget.

    Illustration : IrĂšne Tardif.

    GĂ©nĂ©rique : « Quand on parle aux animaux c’est une maniĂšre un peu de se parler Ă  soi-mĂȘme. À part quand ils sont malades ou qu’ils ont l’air malheureux ou qu’ils ont des crises de mĂ©lancolie – ce qui leur arrive – normalement quand on parle Ă  un animal, quand on dit "Eh bien mon petit coco, mon pauvre vieux" c’est une maniĂšre de se parler Ă  soi-mĂȘme, un peu indirecte quoi. » ‱ Extrait de la vidĂ©o ‘Françoise Sagan : bonjour tendresse’, 1979.

    DurĂ©e de l'Ă©pisode : 00:34:46 â›“ïžâ€đŸ’„

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  • Partie 1 🐇
    Dans son enfance, plus en danger encore que Lucie, Ă©taient les animaux. Devenue adulte, sortie de l'impuissance et mue par l'obsession de l'action, Lucie continue de faire corps avec ses camarades animaux. Une complicitĂ© active qui s'exprime quand elle arrache une lapine des bras de son bourreau, recueille des oiseaux blessĂ©s, adopte deux sƓurs fĂ©lines ou filme le sabotage de chasses Ă  courre par l'action directe antispĂ©ciste.

    Entretien, montage, réalisation : Flor Alazraki.

    Musique : Mathilde Forget.

    Illustration : IrĂšne Tardif.

    GĂ©nĂ©rique : « Quand on parle aux animaux c’est une maniĂšre un peu de se parler Ă  soi-mĂȘme. À part quand ils sont malades ou qu’ils ont l’air malheureux ou qu’ils ont des crises de mĂ©lancolie – ce qui leur arrive – normalement quand on parle Ă  un animal, quand on dit "Eh bien mon petit coco, mon pauvre vieux" c’est une maniĂšre de se parler Ă  soi-mĂȘme, un peu indirecte quoi. » ‱ Extrait de la vidĂ©o ‘Françoise Sagan : bonjour tendresse’, 1979.

    DurĂ©e de l'Ă©pisode : 00:31:25 🩌

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  • Merci Ă  ÉloĂŻse, Roman, Alexis, Domina et Sidney qui ont participĂ© Ă  cet Ă©pisode en m’envoyant leurs voix et leurs souvenirs d’animaux.

    Vous entendrez parler de moutons Ă©cossais, d’un bateau de la mort, d’une puce de sable familiĂšre et de chiens fidĂšles, d’une petite souris un Ă©tĂ© Ă  Paris, d’une tortue expressive et d’une chatonne grecque sans papiers


    Entretien, montage, réalisation : Flor Alazraki.

    Musique : Mathilde Forget.

    Illustration : IrĂšne Tardif.

    GĂ©nĂ©rique : « Quand on parle aux animaux c’est une maniĂšre un peu de se parler Ă  soi-mĂȘme. À part quand ils sont malades ou qu’ils ont l’air malheureux ou qu’ils ont des crises de mĂ©lancolie – ce qui leur arrive – normalement quand on parle Ă  un animal, quand on dit "Eh bien mon petit coco, mon pauvre vieux" c’est une maniĂšre de se parler Ă  soi-mĂȘme, un peu indirecte quoi. » ‱ Extrait de la vidĂ©o ‘Françoise Sagan : bonjour tendresse’, 1979.

    DurĂ©e de l'Ă©pisode : 00:39:26 🐭

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  • Au-delĂ  de sa profession d’agente de sĂ©curitĂ© conductrice de chiens, Florence entretient des liens familiaux avec sa meute. Sardine le dobermann est douĂ© d’une sensibilitĂ© relationnelle extraordinaire. S'il a participĂ© Ă  la protection du chantier de la CitĂ© internationale de la langue française, il prĂ©fĂšre la mĂ©diation Ă  l’intervention. Florence nous raconte les coulisses d’un mĂ©tier entachĂ© du flĂ©au de la maltraitance canine, qui voit Ă©merger une nouvelle gĂ©nĂ©ration dĂ©sireuse de redonner son sens Ă  l’adjectif « cynophile » : qui aime les chiens.

    Entretien, montage, réalisation : Flor Alazraki.

    Musique : Mathilde Forget.

    Illustration : IrĂšne Tardif.

    GĂ©nĂ©rique : « Quand on parle aux animaux c’est une maniĂšre un peu de se parler Ă  soi-mĂȘme. À part quand ils sont malades ou qu’ils ont l’air malheureux ou qu’ils ont des crises de mĂ©lancolie – ce qui leur arrive – normalement quand on parle Ă  un animal, quand on dit "Eh bien mon petit coco, mon pauvre vieux" c’est une maniĂšre de se parler Ă  soi-mĂȘme, un peu indirecte quoi. » ‱ Extrait de la vidĂ©o ‘Françoise Sagan : bonjour tendresse’, 1979.

    DurĂ©e de l'Ă©pisode : 00:38:48 🐕

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  • Dans l’atelier de sculpture d’Édouard, une grande araignĂ©e en mĂ©tal orne la fenĂȘtre et accueille dans sa toile de ferraille des arachnides bien vivants tissant leur soie. L’attrait de l’artiste pour les insectes remonte Ă  l’enfance — l’un de ses instituteurs, passionnĂ© d’entomologie, animait un club nature. MatĂ©riaux de rĂ©cupĂ©ration et objets chinĂ©s qu’il transformera en bestiaire mĂ©tallique s’amoncellent sur son lieu de travail, dans la campagne de Rennes. Un lĂ©zard composĂ© de trois piĂšces assemblĂ©es, inachevĂ© depuis vingt ans, intemporel, est aux aguets sur l’étagĂšre. ScarabĂ©es, poissons, crapauds et autres animaux mal-aimĂ©s prennent vie et dĂ©voilent leur beautĂ© dans l’assemblage et le vissage mĂ©ticuleux de vestiges du passĂ©.

    www.edouardmartinet.fr

    Entretien, montage, réalisation : Flor Alazraki.

    Musiques : Mathilde Forget ‱ Guillaume Jacquemin.

    Illustration : IrĂšne Tardif.

    GĂ©nĂ©rique : « Quand on parle aux animaux c’est une maniĂšre un peu de se parler Ă  soi-mĂȘme. À part quand ils sont malades ou qu’ils ont l’air malheureux ou qu’ils ont des crises de mĂ©lancolie – ce qui leur arrive – normalement quand on parle Ă  un animal, quand on dit "Eh bien mon petit coco, mon pauvre vieux" c’est une maniĂšre de se parler Ă  soi-mĂȘme, un peu indirecte quoi. » ‱ Extrait de la vidĂ©o ‘Françoise Sagan : bonjour tendresse’, 1979.

    DurĂ©e de l'Ă©pisode : 00:22:41 đŸȘČ

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  • En embarquant sur un navire de la flotte de Sea Shepherd, l’engagement environnemental de Karine s’est muĂ© en apprentissage de l’éthique animale. Devant le ballet aĂ©rien des baleines Ă  bosse au large du Gabon, face Ă  la vulnĂ©rabilitĂ© des tortues marines Ă  Mayotte et la dĂ©tresse d’élĂ©phants captifs en Bretagne, c’est dans l’activisme de terrain que Karine a vu Ă©voluer son rapport aux animaux et qu’elle combat tout sentiment d’impuissance.

    Extraits sonores issus de la conférence publique du Capitaine Paul Watson et de Lamya Essemlali à la REcyclerie, Paris 18e, diffusée en direct le 21 octobre 2023.

    www.seashepherd.fr « La mission de Sea Shepherd est de lutter contre la destruction de la vie et de l’habitat marin dans son ensemble. Depuis 1977, nous utilisons des stratĂ©gies novatrices d’action directe pour dĂ©fendre, conserver et protĂ©ger la biodiversitĂ© fragile de nos mers, ocĂ©ans, et faire respecter les lois internationales de conservation, trop souvent bafouĂ©es. »

    Entretien, montage, réalisation : Flor Alazraki.

    Musique : Mathilde Forget.

    Illustration : IrĂšne Tardif.

    GĂ©nĂ©rique : « Quand on parle aux animaux c’est une maniĂšre un peu de se parler Ă  soi-mĂȘme. À part quand ils sont malades ou qu’ils ont l’air malheureux ou qu’ils ont des crises de mĂ©lancolie – ce qui leur arrive – normalement quand on parle Ă  un animal, quand on dit "Eh bien mon petit coco, mon pauvre vieux" c’est une maniĂšre de se parler Ă  soi-mĂȘme, un peu indirecte quoi. » ‱ Extrait de la vidĂ©o ‘Françoise Sagan : bonjour tendresse’, 1979.

    DurĂ©e de l'Ă©pisode : 00:30:17 🐋

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  • Carole a grandi dans un village du Centre Bretagne, entourĂ©e par les chiens de la maison, les animaux de ferme que l’on nommait, que l’on soignait puis que l’on tuait, et la fascinante faune de la forĂȘt. Dans son roman « Un bref instant de splendeur », Ocean Vuong Ă©crit : « Pour ĂȘtre magnifique, il faut d'abord ĂȘtre vu, mais ĂȘtre vu permet que l'on vous chasse. » Qu’est-ce que l’ĂȘtre humain cherche Ă  possĂ©der en tuant les animaux sauvages — leur beautĂ©, leur libertĂ©, leur supĂ©rioritĂ© ? SubjuguĂ©e par le souvenir d’un paon, Ă©motion esthĂ©tique de son enfance, Carole prolonge ces rĂ©flexions Ă  travers sa dĂ©couverte de l’art de la taxidermie, qu’elle considĂšre comme une ode au vivant.

    Entretien, montage, réalisation : Flor Alazraki.

    Musique : Mathilde Forget.

    Illustration : IrĂšne Tardif.

    GĂ©nĂ©rique : « Quand on parle aux animaux c’est une maniĂšre un peu de se parler Ă  soi-mĂȘme. À part quand ils sont malades ou qu’ils ont l’air malheureux ou qu’ils ont des crises de mĂ©lancolie – ce qui leur arrive – normalement quand on parle Ă  un animal, quand on dit "Eh bien mon petit coco, mon pauvre vieux" c’est une maniĂšre de se parler Ă  soi-mĂȘme, un peu indirecte quoi. » ‱ Extrait de la vidĂ©o ‘Françoise Sagan : bonjour tendresse’, 1979.

    DurĂ©e de l'Ă©pisode : 00:35:58 🩚

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  • Merci Ă  CĂ©lestine, Jenn, Eva, Pierre, Clara et Margaux qui ont participĂ© Ă  cet Ă©pisode en m’envoyant leurs voix et leurs souvenirs d’animaux.

    Vous entendrez parler de crĂ©atures rugissantes en bord de Loire, d’un chat parti trop tĂŽt, de rongeurs et de cacahuĂštes Ă©picĂ©es, d’une pieuvre sur son rocher, d’animaux mĂ©diateurs et d’un poney qui faisait la sortie des classes


    Entretien, montage, réalisation : Flor Alazraki.

    Musique : Mathilde Forget.

    Illustration : IrĂšne Tardif.

    GĂ©nĂ©rique : « Quand on parle aux animaux c’est une maniĂšre un peu de se parler Ă  soi-mĂȘme. À part quand ils sont malades ou qu’ils ont l’air malheureux ou qu’ils ont des crises de mĂ©lancolie – ce qui leur arrive – normalement quand on parle Ă  un animal, quand on dit "Eh bien mon petit coco, mon pauvre vieux" c’est une maniĂšre de se parler Ă  soi-mĂȘme, un peu indirecte quoi. » ‱ Extrait de la vidĂ©o ‘Françoise Sagan : bonjour tendresse’, 1979.

    DurĂ©e de l'Ă©pisode : 00:31:13 🐅

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  • Partie II 🌗
    Depuis les proto-rĂ©seaux sociaux de la fin des annĂ©es 1990, SMITH privilĂ©gie les Ă©changes virtuels avec le monde extĂ©rieur. C’est par Ă©cran interposĂ© qu'il rencontre sa chatte tricolore Ludwig avant de l’adopter, et qu'il dĂ©couvre l'existence des cabinets de communication animale. Dans son court mĂ©trage "TRAUM", le personnage principal vit des mĂ©tamorphoses Ă  la suite d’un traumatisme spatial et voit une partie de lui-mĂȘme se dĂ©tacher pour devenir un chien — un chien dont la peau ressemble Ă  une peau humaine. Ainsi naĂźt la fascination de SMITH pour les chiens sans poils, ĂȘtres rares, primitifs, mythologiques, passeurs des Ăąmes des dĂ©funts vers le territoire des morts. Quelques annĂ©es plus tard, en travaillant sur le projet "DĂ©sidĂ©ration", qui invite Ă  reconsidĂ©rer nos relations avec le cosmos au sens trĂšs large et avec les animaux en particulier, SMITH se rĂ©pĂšte que si un chien nu croise sa route, alors il l’adoptera...

    www.instagram.com/traumsmith/

    Entretien, montage, réalisation : Flor Alazraki.

    Musique : Mathilde Forget.

    Illustration : IrĂšne Tardif.

    GĂ©nĂ©rique : « Quand on parle aux animaux c’est une maniĂšre un peu de se parler Ă  soi-mĂȘme. À part quand ils sont malades ou qu’ils ont l’air malheureux ou qu’ils ont des crises de mĂ©lancolie – ce qui leur arrive – normalement quand on parle Ă  un animal, quand on dit "Eh bien mon petit coco, mon pauvre vieux" c’est une maniĂšre de se parler Ă  soi-mĂȘme, un peu indirecte quoi. » ‱ Extrait de la vidĂ©o ‘Françoise Sagan : bonjour tendresse’, 1979.

    DurĂ©e de l'Ă©pisode : 00:34:08 🐕

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  • Partie I 🌓
    L'imaginaire animal de SMITH s'est construit dans son enfance citadine, autour d'histoires, de films et de dessins animĂ©s – des enfants "Ă  part" y dĂ©couvraient la puissance de l'amitiĂ© et des familles choisies Ă  travers leur rencontre avec des animaux ou des crĂ©atures anthropomorphiques. PropulsĂ© Ă  la tĂȘte d'un Ă©levage involontaire d'hamsters russes, SMITH noue ensuite sa premiĂšre vĂ©ritable alliance animale avec Peaches, une chatte tricolore. Ses enquĂȘtes artistiques transdisciplinaires convoquent notre rapport Ă  l'absence, aux fantĂŽmes, au cosmos. L'usage de la camĂ©ra thermique offre Ă  SMITH un sens supplĂ©mentaire et la consolation de percevoir les traces de chaleur, de prĂ©sence, laissĂ©es par les ĂȘtres aimĂ©s. Le rĂȘve, la mĂ©ditation et la transe cognitive lui permettent d'accĂ©der Ă  des mondes superposĂ©s, et de se retrouver sur la mĂȘme longueur d'onde que "les espĂšces compagnes" dĂ©crites par la philosophe Donna Haraway.

    www.instagram.com/traumsmith/

    Entretien, montage, réalisation : Flor Alazraki.

    Musique : Mathilde Forget.

    Illustration : IrĂšne Tardif.

    GĂ©nĂ©rique : « Quand on parle aux animaux c’est une maniĂšre un peu de se parler Ă  soi-mĂȘme. À part quand ils sont malades ou qu’ils ont l’air malheureux ou qu’ils ont des crises de mĂ©lancolie – ce qui leur arrive – normalement quand on parle Ă  un animal, quand on dit "Eh bien mon petit coco, mon pauvre vieux" c’est une maniĂšre de se parler Ă  soi-mĂȘme, un peu indirecte quoi. » ‱ Extrait de la vidĂ©o ‘Françoise Sagan : bonjour tendresse’, 1979.

    DurĂ©e de l'Ă©pisode : 00:31:34 🩕

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  • ÉtĂ© 2021, record d'abandons d'animaux dans les refuges. Je suis bĂ©nĂ©vole et habituĂ©e aux bruits mais ils me saisissent dĂšs l'entrĂ©e - les aboiements incessants, les miaulements anxieux, les claquements mĂ©talliques des cages... S'y ajoute l'Ă©motion des personnes venues pour adopter, dans cet environnement fĂ©brile et tendre.

    Enregistrement, montage, réalisation : Flor Alazraki.

    Toutes les participations au concours ARTE Radio 2021 sont Ă  retrouver ici :

    https://audioblog.arteradio.com/blog/168423/concours-arte-radio-2021

    DurĂ©e du podcast : 02:59 đŸ±


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  • Jonathan a passĂ© six mois en volontariat de service civique Ă  la ferme de la Butte Pinson, dans le Val d'Oise. Il y dĂ©couvre l’éco-pĂąturage et la mĂ©diation animale, prĂ©sente les activitĂ©s de la ferme aux groupes, aux familles, et encadre les personnes en travail d’intĂ©rĂȘt gĂ©nĂ©ral (TIG). Au contact des impressionnantes mascottes de la ferme, Blanco le bouc qui se dresse sur deux mĂštres et Alphonse le cochon de trois cents kilos, Jonathan voit Ă©voluer le rapport des tigistes aux animaux, Ă  la sociĂ©tĂ© et Ă  eux-mĂȘmes.

    www.lesfermesdespoir.fr

    Reportage de France TV Slash sur la ferme de la Butte Pinson :

    https://www.france.tv/slash/generation-2021/2545063-prison-sous-covid.html

    Entretien, montage, réalisation : Flor Alazraki.

    Musique : Mathilde Forget.

    Illustration : IrĂšne Tardif.

    GĂ©nĂ©rique : « Quand on parle aux animaux c’est une maniĂšre un peu de se parler Ă  soi-mĂȘme. À part quand ils sont malades ou qu’ils ont l’air malheureux ou qu’ils ont des crises de mĂ©lancolie – ce qui leur arrive – normalement quand on parle Ă  un animal, quand on dit "Eh bien mon petit coco, mon pauvre vieux" c’est une maniĂšre de se parler Ă  soi-mĂȘme, un peu indirecte quoi. » ‱ Extrait de la vidĂ©o ‘Françoise Sagan : bonjour tendresse’, 1979.

    DurĂ©e de l'Ă©pisode : 00:32:06 🐐

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  • Mai a passĂ© sa jeunesse au Vietnam, entourĂ©e d'animaux dont elle aurait aimĂ© connaĂźtre les besoins. DĂ©sormais rĂ©alisatrice de films d'animation en France, elle met en pratique son sens de l'observation et garde un lien sensible Ă  la faune. En devenant famille d'accueil pour l'École de chiens guides de Paris, dont les Ă©lĂšves-chiens rejoindront des personnes aveugles ou malvoyantes, elle se lance dans un apprentissage aussi bien technique qu'Ă©motionnel.

    www.chiensguidesparis.fr

    Entretien, montage, réalisation : Flor Alazraki.

    Musique : Mathilde Forget.

    Illustration : IrĂšne Tardif.

    GĂ©nĂ©rique : « Quand on parle aux animaux c’est une maniĂšre un peu de se parler Ă  soi-mĂȘme. À part quand ils sont malades ou qu’ils ont l’air malheureux ou qu’ils ont des crises de mĂ©lancolie – ce qui leur arrive – normalement quand on parle Ă  un animal, quand on dit "Eh bien mon petit coco, mon pauvre vieux" c’est une maniĂšre de se parler Ă  soi-mĂȘme, un peu indirecte quoi. » ‱ Extrait de la vidĂ©o "Françoise Sagan : bonjour tendresse", 1979.

    DurĂ©e de l'Ă©pisode : 00:33:01 🐕

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  • Merci Ă  Marcia, Paolo, Nathalie et Francisco qui ont participĂ© Ă  cet Ă©pisode en m’envoyant leurs voix et leurs souvenirs d’animaux.

    Vous entendrez parler de lĂ©gendes familiales et de loups qui se rapprochent, d’un poisson rouge non comestible, d’un jardin sanctuaire pour les animaux et d’un Ă©cureuil qui donne envie de se lever le matin, d’iguanes mexicaines et de taureaux dans l’arĂšne de la vie...

    Entretien, montage, réalisation : Flor Alazraki.

    Musique : Mathilde Forget.

    Illustration : IrĂšne Tardif.

    GĂ©nĂ©rique : « Quand on parle aux animaux c’est une maniĂšre un peu de se parler Ă  soi-mĂȘme. À part quand ils sont malades ou qu’ils ont l’air malheureux ou qu’ils ont des crises de mĂ©lancolie – ce qui leur arrive – normalement quand on parle Ă  un animal, quand on dit "Eh bien mon petit coco, mon pauvre vieux" c’est une maniĂšre de se parler Ă  soi-mĂȘme, un peu indirecte quoi. » ‱ Extrait de la vidĂ©o ‘Françoise Sagan : bonjour tendresse’, 1979.

    DurĂ©e de l'Ă©pisode : 00:35:55 đŸș

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  • Dans la maison d'Ingrid, les souvenirs d'une vie insulaire parmi les pythons et les plantes sauvages s'invitent dans les fresques colorĂ©es qu'elle peint sur les murs. Ses jumeaux grandissent en famille auprĂšs de Pharouk le jeune lĂ©vrier azawakh, de Chamallow le chat aux yeux orange et Ă  la tolĂ©rance infinie, d'HermĂšs le lĂ©vrier galgo qui aura tout vĂ©cu, et de Josiane et Jean-Pierre, deux grandes tortues sulcata qui nous survivront sans doute. L'harmonie est lĂ , dans leurs diffĂ©rents rapports au temps.

    Entretien, montage, réalisation : Flor Alazraki.

    Musique : Mathilde Forget.

    Illustration : IrĂšne Tardif.

    GĂ©nĂ©rique : « Quand on parle aux animaux c’est une maniĂšre un peu de se parler Ă  soi-mĂȘme. À part quand ils sont malades ou qu’ils ont l’air malheureux ou qu’ils ont des crises de mĂ©lancolie – ce qui leur arrive – normalement quand on parle Ă  un animal, quand on dit "Eh bien mon petit coco, mon pauvre vieux" c’est une maniĂšre de se parler Ă  soi-mĂȘme, un peu indirecte quoi. » ‱ Extrait de la vidĂ©o ‘Françoise Sagan : bonjour tendresse’, 1979.

    DurĂ©e de l'Ă©pisode : 00:30:57 🐱

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  • Ludovic s’attache Ă  rĂ©vĂ©ler les personnalitĂ©s et les consciences des animaux qu’il photographie. Il montre aussi leurs environnements de vie, qu'il s'agisse de l'un des rares espaces sauvages de France, d'un refuge animalier ou d'un lieu de captivitĂ©. Sa dĂ©marche fait de lui un photographe animaliste plutĂŽt qu'animalier. Sans image mais avec le son, il nous parle de son enfance dans la campagne tarnaise oĂč tout a commencĂ©, de la distance de fuite des individus en zones chassĂ©es et des dĂ©rives de la photographie animaliĂšre.

    Pour découvrir son travail : www.ludovicsueur.com

    Entretien, montage, réalisation : Flor Alazraki.

    Musique : Mathilde Forget.

    Illustration : IrĂšne Tardif.

    GĂ©nĂ©rique : « Quand on parle aux animaux c’est une maniĂšre un peu de se parler Ă  soi-mĂȘme. À part quand ils sont malades ou qu’ils ont l’air malheureux ou qu’ils ont des crises de mĂ©lancolie – ce qui leur arrive – normalement quand on parle Ă  un animal, quand on dit "Eh bien mon petit coco, mon pauvre vieux" c’est une maniĂšre de se parler Ă  soi-mĂȘme, un peu indirecte quoi. » ‱ Extrait de la vidĂ©o ‘Françoise Sagan : bonjour tendresse’, 1979.

    DurĂ©e de l'Ă©pisode : 00:33:09 🩎

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  • Michelle est nĂ©e pendant la DeuxiĂšme Guerre mondiale et, pour reprendre ses mots, « on a tendance Ă  faire un bilan quand on parle d’animaux ». C’est pendant la prise de son que le fil conducteur de ses souvenirs est apparu clairement : les animaux sont le lien entre son passĂ© familial et les moments les plus heureux ou dĂ©terminants de sa vie. Qu’il s’agisse d’un escargot, d’un Ă©cureuil, d’une martre, d’un chat, d’un merle ou d’un lion, qu’elle les ait aperçus furtivement ou qu’elle ait nouĂ© un lien durable avec eux, ils reprĂ©sentent pour elle la beautĂ© et l’harmonie du monde, que l’on n’a pas le droit de dĂ©truire.

    Entretien, montage, réalisation : Flor Alazraki.

    Musique : Mathilde Forget.

    Illustration : IrĂšne Tardif.

    GĂ©nĂ©rique : « Quand on parle aux animaux c’est une maniĂšre un peu de se parler Ă  soi-mĂȘme. À part quand ils sont malades ou qu’ils ont l’air malheureux ou qu’ils ont des crises de mĂ©lancolie – ce qui leur arrive – normalement quand on parle Ă  un animal, quand on dit "Eh bien mon petit coco, mon pauvre vieux" c’est une maniĂšre de se parler Ă  soi-mĂȘme, un peu indirecte quoi. » ‱ Extrait de la vidĂ©o ‘Françoise Sagan : bonjour tendresse’, 1979.

    DurĂ©e de l'Ă©pisode : 00:32:05 đŸżïž

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  • Erwann a gardĂ© de sa jeunesse dans la campagne bretonne un rapport peu sentimental aux animaux et il est devenu vĂ©tĂ©rinaire par accident. Ce sont ses paroles. C’est peut-ĂȘtre cette distance salutaire qui lui permet d’assurer ses visites d’urgences Ă  domicile dans la nuit parisienne. Mais il faut l’écouter parler des animaux - les vaches folles en 1998, les chats tigres, un pigeon gavĂ© aux raviolis, un petit chien de quinze ans... - pour saisir que dans chacune de ses histoires nocturnes, ce sont les vĂ©cus humains, leurs angoisses et lueurs qui se rĂ©vĂšlent en filigrane.

    Le roman 'Carnivores domestiques' d’Erwann CrĂ©ac’h est paru en 2011 aux Ă©ditions Édite et en 2012 aux Ă©ditions Points. Il a reçu en 2011 le Prix littĂ©raire 30 millions d'amis.

    Entretien, montage, réalisation : Flor Alazraki.

    Musique : Mathilde Forget.

    Illustration : IrĂšne Tardif.

    GĂ©nĂ©rique : « Quand on parle aux animaux c’est une maniĂšre un peu de se parler Ă  soi-mĂȘme. À part quand ils sont malades ou qu’ils ont l’air malheureux ou qu’ils ont des crises de mĂ©lancolie – ce qui leur arrive – normalement quand on parle Ă  un animal, quand on dit "Eh bien mon petit coco, mon pauvre vieux" c’est une maniĂšre de se parler Ă  soi-mĂȘme, un peu indirecte quoi. » ‱ Extrait de la vidĂ©o ‘Françoise Sagan : bonjour tendresse’, 1979.

    DurĂ©e de l'Ă©pisode : 00:34:21 🐩

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  • Merci Ă  toutes les personnes qui ont participĂ© Ă  cet Ă©pisode en m’envoyant leurs voix et leurs souvenirs d’animaux. Merci Ă  Louise, Mathilde, Michelle, AdĂšle, HĂ©lĂšne, Françoise, Inge et l’association Gamelles Pleines, Caroline, GaĂ«lle, Daisy, Marion, Benjamin, Nita et MĂ©lanie, et Lucie.

    Vous entendrez parler d’un cheval qui avait peur de la mer, de chats du passĂ© et de chats du prĂ©sent, d’un lapin bĂ©lier quĂ©bĂ©cois, d’un singe de l’autre cĂŽtĂ© d’une vitre, d’une chauve-souris vampire, d’un rat dans un hĂŽpital, des oiseaux de Maguelone, d’une truie jamais oubliĂ©e, d’insectes vintage, d’un chien qui souriait constamment


    Gamelles Pleines : www.gamellespleines.fr

    L'association Gamelles Pleines lutte contre l’exclusion sociale des personnes en situation de prĂ©caritĂ© en agissant par la dimension animale. Vous entendrez dans cet Ă©pisode les voix des bĂ©nĂ©ficiaires Inge, Fabrice, Nico et Jacques, de la bĂ©nĂ©vole Laura et de la vice-prĂ©sidente Katia.

    Entretien, montage, réalisation : Flor Alazraki.

    Musique : Mathilde Forget.

    Illustration : IrĂšne Tardif.

    GĂ©nĂ©rique : « Quand on parle aux animaux c’est une maniĂšre un peu de se parler Ă  soi-mĂȘme. À part quand ils sont malades ou qu’ils ont l’air malheureux ou qu’ils ont des crises de mĂ©lancolie – ce qui leur arrive – normalement quand on parle Ă  un animal, quand on dit "Eh bien mon petit coco, mon pauvre vieux" c’est une maniĂšre de se parler Ă  soi-mĂȘme, un peu indirecte quoi. » ‱ Extrait de la vidĂ©o ‘Françoise Sagan : bonjour tendresse’, 1979.

    DurĂ©e de l'Ă©pisode : 00:30:24 🩇

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