Afleveringen
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Aurélia Carré est experte en stratégie de marque, avec une carrière marquée par 13 années au sein de la marque Yves Rocher, où elle a occupé les fonctions de directrice de la Fondation et de la communication. Elle y a développé une expertise approfondie des enjeux liés à la RSE, au marketing, aux RH et à la communication des grandes entreprises.
Aujourd’hui, Aurélia est présidente et co-fondatrice de l’agence 3e étage, spécialisée en branding et communication responsable. Conférencière passionnée, elle partage régulièrement sa vision et ses expériences sur la transformation des marques et des organisations, en mettant l’accent sur l’impact positif et l’excellence créative.
Notre échange a permis de décrypter les enjeux de lacommunication responsable et de mettre en lumière les bonnes pratiques.
Voici 5 points clés à retenir :
1️⃣ Intégrer la RSE au business model : La communication responsable va au-delà de la simplediffusion des engagements RSE. Elle implique de les ancrer profondément dans lastratégie de l'entreprise et dans son offre, à l'image de Célio qui a abandonnéles promotions incessantes au profit d'un "juste prix", plusrespectueux de la chaîne de valeur. Pour Aurélia, la communication responsable,c’est faire du business autrement et relier les enjeux de croissance avec sesambitions écologiques et sociétales.
2️⃣ L'engagement sincère du dirigeant : 90% des consommateurs attendent des marques qu'elless'engagent pour le bien commun. Cet engagement doit être porté par la directionpour être crédible. Aurélia a mentionné notamment Alexandra Palt,l'ex-directrice RSE de L'Oréal, qui aujourd'hui est présidente du WWF France. Ellevient d’entreprendre une thèse sur le sujet suivant : « comment êtreà la hauteur de la responsabilité qui incombe à un leader ? »
3️⃣ Cohérence et transparence : La communication responsable exige une cohérenceglobale et une transparence totale. Il s'agit de communiquer aussi bien sur lesréussites que sur les difficultés rencontrées, comme l'illustre Action Contrela Faim qui a augmenté ses dons de 10% grâce à une campagne transparenteincitant les salariés à donner leurs tickets restaurant périmés. Aurélia a égalementcité l'exemple d'Yves Rocher, entreprise pionnière en matière d'éco-conception,qui gagnerait à aligner sa communication commerciale sur ses valeurs.
4️⃣ Co-construire avec les parties prenantes : Valrhona a co-créé sa politique cacao durable avecl'ensemble de ses équipes (sourceurs, direction achats, RSE, marketing).Mustela a quant à elle impliqué ses concurrents (Pierre Fabre, Bioderma, dansle développement d'une offre de cosmétiques en vrac, limitant ainsil'utilisation de plastique et de carton.
5️⃣ Oser se réinventer : Evaneos a supprimé les vols long-courriers pour lesséjours de moins de 5 jours, privilégiant les offres de proximité et le train.Interface a mis 10 ans pour transformer son offre de revêtements de sol et larendre plus durable.
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Episode 3/3
Quels sont les défis et les opportunités de l'électrification en France ?
- Pourquoi l'électrification est-elle indissociable de la réindustrialisation et de l'atteinte de la neutralité carbone ?
- Pourquoi serait-il contre-productif d'ajouter une taxe sur l'électricité ?
- La réglementation fait-elle obstacle au développement de capacités électriques bas-carbone ?
- Comment les prix de l'électricité sont-ils fixés ? Comment faire évoluer le système actuel ?
- Le système de l'ARENH (Accès Régulé à l'Electricité Nucléaire Historique) doit-il être prolongé ?
- Comment tirer parti des capacités excédentaires de production électrique ?
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Zijn er afleveringen die ontbreken?
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Expert de l'énergie et de l'électricité, top voice de LinkedIn, Maxence Cordiez revient pour De Gré ou de Force sur son parcours, sur le rôle de la vulgarisation des enjeux liés à l'énergie et sur la responsabilité des politiques dans la modification des systèmes énergétiques et l'atteinte des objectifs climatiques.
Il s’agit du 2ème épisode d’une série de 3.
Sommes-nous entrés dans « l’âge d’or de l’électricité » ?
L’électrification semble promise à un essor important. L’électricité est en effet le vecteur énergétique le plus facile à décarboner, notamment grâce au déploiement des EnR.
En France, l’électricité compte pour 25% de l’énergie finale consommée et la stratégie nationale bas-carbone envisage 55% à 60% d’électricité dans le bouquet énergétique pour atteindre la neutralité carbone à l’horizon 2050.
Cependant, l’électrification n’est pas la panacée :
Nous aurons besoin de molécules bas-carbone comme le biogaz pour les secteurs difficiles à électrifier (ex: l’industrie), avec des limites sur la disponibilité en volume et le coût de ces molécules.
Dans certains pays en développement, l’électricité bas-carbone vient seulement superposer à la consommation d’énergies fossiles au lieu de s’y substituer (heureusement pas en Europe, où l’on constate une réelle substitution).
L’une des caractéristiques de l’électricité est de nécessiter de gros investissements de départ (le coût d’un réacteur nucléaire comme l’EPR de Flamanville se chiffre en milliards d’euros - 19 selon la Cour des Comptes), d’où une barrière de financement qui peut ralentir le déploiement de l’électrification.
Pour soutenir la décarbonation de l’économie européenne :
1) l’Union Européenne devrait soutenir les entreprises bien davantage qu’elle ne le fait aujourd’hui, notamment lorsque l’on observe les politiques énergétiques menées en Chine et aux Etats-Unis. Il est urgent de soutenir nos entreprises dans le secteur des batteries, du nucléaire, des éoliennes, des pompes à chaleur…Faute de quoi nous risquons de connaître un scénario semblable à celui qui a frappé le secteur du solaire photovoltaïque, où l’industrie européenne a perdu la bataille face à la puissance chinoise.
2) L’application d’un mécanisme robuste d’ajustement carbone aux frontières couvrant la totalité des secteurs de l’économie en profondeur pourrait permettre de soutenir la compétitivité des industries européennes en ajoutant un prix du carbone aux produits importés et en permettant aux exportateurs européens de jouer sur un pied d’égalité avec leurs concurrents étrangers.
3) Tous les leviers disponibles devront être mobilisés pour atteindre la neutralité carbone, d’où la nécessité d’une neutralité dans les choix technologiques. On ne décarbonera pas Malte de la même manière que la République Tchèque ou la France. Il faut donc redonner des degrés de liberté aux Etats-Membres afin qu’ils mettent en place des politiques adaptées à leurs besoins et à leurs ressources et que l’on puisse mobiliser tous les leviers de décarbonation disponibles.
La transition va coûter cher, d’où la nécessité de faire un effort d’efficacité dans la dépense.
En attendant l’électrification à grande échelle, la sécurité énergétique passera par la sécurisation de volumes d’énergie à des prix compétitifs et par des efforts d’efficacité et de sobriété soutenus par une fiscalité incitative.
L’augmentation des prix des énergies fossiles peut également présenter des opportunité : lors du premier choc pétrolier, l’industrie automobile européenne avait par exemple pris des parts de marché à l’industrie américaine, aux véhicules plus gourmands en carburant.
En se positionnant dès aujourd’hui en champion de l’électricité bas-carbone, l’Europe peut se positionner en avance de phase sur les marchés de demain, et ainsi renforcer sa compétitivité.
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"On va dans le mur et on n'a même pas l'idée d'appuyer sur le frein".
Expert de l'énergie et de l'électricité, top voice de LinkedIn, Maxence Cordiez revient pour De Gré ou de Force sur son parcours, sur le rôle de la vulgarisation des enjeux liés à l'énergie et sur la responsabilité des politiques dans la modification des systèmes énergétiques et l'atteinte des objectifs climatiques.
Il formule un certain nombre de recommandations et de suggestions pour accélérer la transition, exhortant à arrêter les positions dogmatiques.
Cet épisode est le premier d'une série de 3 entretiens avec Maxence Cordiez.
Maxence Cordiez est responsable du cycle du combustible nucléaire chez HEXANA et expert associé énergie à l'Institut Montaigne.Il était auparavant en charge des affaires publiques européennes du Commissariat à l’énergie atomique et aux énergies alternatives (CEA), après avoir été conseiller nucléaire adjoint à l’ambassade de France au Royaume-Uni. Spécialisé dans les questions énergétiques, Maxence Cordiez a publié le livre Énergies aux éditions Tana en 2022 et il rédige régulièrement des articles sur ces thématiques.Il enseigne en tant que vacataire au sein de l'ENSTA, de l’université PSL, de HEC et du CNAM. Maxence Cordiez est ingénieur, diplômé de Chimie ParisTech – PSL et titulaire d’une maîtrise en énergie nucléaire de l’INSTN.
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Le transport maritime est la colonne vertébrale de l'économie mondiale.
Le secteur fait face à de nombreux défis : décarbonation, réduction des pollutions, amélioration du bien-être des marins, digitalisation, amélioration de l'efficience et nouveaux modes de propulsion.
Les réglementations édictées par l'organisation Maritime Internationale et par l'Union européenne suffiront-elles à rendre le secteur plus durable ?
Nous en parlons avec Julien Boulland, expert chez Bureau Veritas.
Julien Boulland occupe actuellement le poste de responsable du développement des services liés à la « sustainability » au sein de la direction stratégique de Bureau Veritas Marine & Offshore. Il pilote egalement l’initiative interne « Future Shipping Team », dont l’objectif est de créer une communauté de pratiques et de connaissances sur la décarbonation du transport maritime au sein de sa société.
Julien a travaillé 19 ans au sein de Bureau Veritas dans des fonctions techniques et commerciales, notamment pendant 10 ans en Asie.
Pour en savoir plus sur Bureau Veritas :
https://www.bureauveritas.fr/nos-marches/marine-offshore
Sur le transport maritime dans le monde :
https://news.un.org/fr/story/2024/10/1149951
Sur le transport maritime en France :
https://www.statistiques.developpement-durable.gouv.fr/edition-numerique/chiffres-cles-transports-2024/11-transport-maritime-de-marchandises-#:~:text=Champ%20%3A%20France%20entière.&text=En%202022%2C%20le%20transport%20maritime,des%20trafics%20énergétiques%20en%20hausse.
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Consultant et formateur en communication, ex Président d'Enercoop Hauts-de-France, Yonnel Poivre Le Lohé est l'auteur d'"Evitez Le Greenwashing" (éd. du Trilogue).
Dans cet épisode, nous abordons entre autres thématiques :
la définition traditionnelle du greenwashing vs la nouvelle définition les règles et principes à respecter pour éviter le greenwashing les obstacles à l'instauration d'une confiance entre les annonceurs et leurs publics le rôle de l'auto-régulation dans la communication la hype des "nouveaux récits" la définition de ce que pourrait être une communication responsable la stratégie d'Enercoop et sa communication -
Martin Bertran est Directeur de la Marque, de la Publicité et du Sponsoring chez Totalenergies.
Une multinationale de l'énergie peut-elle communiquer de façon responsable ?
Pourquoi l'entreprise Total a-t-elle changé de nom ? Totalenergies communique avec force sur ses activités dans l'électricité alors que celles-ci ne représentent que 10% des ventes : est-ce une faute de com ? Interdiction de la publicité sur les carburants : quelles conséquences ? Totalenergies : une marque mal-aimée des Français ? Totalenergies et les Jeux Olympiques de Paris : un rendez-vous manqué ? Qu'est-ce qu'une marque responsable ? -
Anne-Sophie Corbeau, spécialiste des marchés du gaz naturel, professeur à Sciences-Po et Global Research Scholar à Columbia University (NYC) aborde dans cet épisode les questions suivantes :
Quel avenir pour les énergies fossiles ? Faut-il s’attendre à une diminution à l’horizon 2050 ? Quels sont les freins à la réduction des énergies fossiles ? Qu’est-ce que la guerre en Ukraine a changé pour l’énergie et pour le gaz ? Pourquoi l’Europe continue-t-elle à importer du gaz russe malgré la guerre ? En important du gaz américain sous forme liquéfiée, est-on en train de créer une nouvelle dépendance ? Est-on sûr que les réserves de gaz des USA et du Qatar suffiront à approvisionner le monde dans les prochaines années ? Quel impact la demande domestique américaine pourrait-elle avoir sur les exportations ? Le gaz est-il plus propre que les autres énergies fossiles ? Pourquoi les émissions de méthane ne sont-elles pas éliminées ? Est-ce que le GNL (gaz naturel liquéfié) est moins propre que le gaz importé par gazoduc ? Le GNL américain provient-il du gaz de schiste ? Est-ce que le biométhane est capable de remplacer le gaz naturel ? Où en est-on du développement de l’hydrogène et des nouveaux vecteurs énergétiques ?Pour aller plus loin :
https://www.iea.org/energy-system/fossil-fuels
https://www.iea.org/energy-system/fossil-fuels/natural-gas
https://www.energypolicy.columbia.edu/publications/repowereu-tracker/
https://www.energypolicy.columbia.edu/publications/anatomy-of-the-european-industrial-gas-demand-drop/
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Les émissions de méthane (les rejets ou les fuites de gaz dans l'atmosphère) sont la 2ème cause la plus importante du réchauffement climatique. Eliminer les émissions dues au secteur de l'énergie est possible, alors pourquoi ne le fait-on pas ?
Dans cet épisode, Antoine Rostand, CEO de Kayrros, explique pourquoi il est important de disposer de données environnementales et ce qu'il faudrait faire pour en finir avec les émissions de méthane.
Les émissions de méthane sont un problème connudepuis des décennies. Le méthane a un pouvoir réchauffant de 28 à 84 fois plus élevé que le CO2 en fonction de l’horizon de temps considéré. 60% des émissions de méthane proviennent des activités humaines La bonne nouvelle : 75% des émissions de méthane pourraient être éliminées à un coût quasi-nul selon l’Agence Internationale de l’Energie Or, les industries du pétrole, du gaz et du charbon n’ont toujours pas résolu le problème, par paresse, par négligence ou par manque de sanctions Il y a un consensus scientifique et politique sur le fait que l’on manque de données environnementales pour piloter les politiques publiques La réglementation européenne sur les émissionsde méthane (EU Methane Legislation) a été mise en place entre autres grâce aux technologies de détection des fuites de méthane comme celle développée par Kayrros. Cette réglementation obligera bientôt les importateurs d’énergie à s’assurer qu’il n’ya pas de fuites de méthane en amont Selon Antoine Rostand, aucune industrie ne s’estjamais auto-régulée. Il est indispensable d’imposer des sanctions à ceux qui ne respecteront pas cette réglementation A partir de données géospatiales, Kayrrosfournit aux décideurs – aux gouvernements, à la Commission Européenne, aux Nations Unies, mais aussi à des fonds d’investissement - des données concernant les volumes et les sources d’émissions de gaz à effet de serre, mais aussi des données sur les forêts En France, Kayrros collabore aussi avec lespompiers sur la prévention des incendies en mesurant la végétation autour des maisons pour savoir si celles-ci sont défendables ou non contre les incendies Les opérateurs amont ne coopérent pas avecKayrros, qui travaille davantage avec les importateur, ce qui fait dire à Antoine Rostand qu’ « on ne peut pas être du côté des flics et des brigands à la fois. » Eliminer les émissions de méthane permettrait d’éliminer près de 50% du réchauffement à court terme ! La situation n’est pas tenable car les coupablessont connus. Le problème, c’est qu’il n’y a pas de boucle de répression Il y a un vrai problème de réglementation et de juridiction : Algérie, Kazakhastan, Iran, Russie, Turkmenistan, Etats-Unis sont de grandsémetteurs de méthane mais ni la France ni l’Union Européenne n’ont juridiction sur ces pays Parmi les solutions : il faudrait constituer un buyer’s club pour faire pression sur les exportateurs.Organismes cités dans l’épisode :
AIE (Agence Internationale de l’Energie)
CNES (Centre National d’Etudes Spatiales)
IMEO (International Methane Emissions Observatory)
NASA (NationalAeronautics and Space Administration)
UNEP (Programme des Nations Unies pour l’Environnement)
Chansons citées dans l’épisode :
Eye in the Sky – The Alan Parsons Project
Satellite – Lena Meyer Landrut
Pour aller plus loin :
UNEP IMEO (International Methane Emissions Observatory) :https://www.unep.org/topics/energy/methane/international-methane-emissions-observatory
IEA Methane Tracker Database : https://www.iea.org/data-and-statistics/data-product/methane-tracker-database
EU Methane Legislation (juillet 2024) : https://eur-lex.europa.eu/legal-content/EN/TXT/?uri=OJ:L_202401787&pk_campaign=todays_OJ&pk_source=EURLEX&pk_medium=X&pk_keyword=energy_sector&pk_content=Regulation&pk_cid=EURLEX_todaysOJ
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De Gré ou De Force: la transformation écologique en questions.
Après 20 ans dans le secteur de l’énergie, j’ai décidé de prendre du recul.
Chaque jour nous apporte son lot de nouvelles anxiogènes sur le dérèglement climatique, la perte de biodiversité, les pollutions diverses et les inégalités.
Dans les conversations avec mon entourage, je me suis rendu compte qu’il y avait une grande méconnaissance des enjeux énergétiques alors qu’ils sont au cœur de la transformation écologique.
J’ai aussi réalisé à quel point la communication d’entreprise était déconnectée de la réalité de l’urgence et des défis actuels. Pourtant, à l’ère de l’image, la communication est indissociable de la transformation des modèles d’affaires.
A travers ce podcast, je vais donc à la rencontre de ceux qui contribuent de près à la transformation écologique, dans le secteur de l’énergie mais aussi dans celui de la communication, pour sortir du débat entre experts et poser les questions que tout le monde se pose.
Energie responsable et communication responsable seront donc au cœur de mon exploration.
Face aux limites planétaires et à l'urgence écologique, quelles responsabilités et quelles marges de manoeuvre?
Professionnels de l'énergie, de la communication, de la RSE, scientifiques et artistes répondent.
Bienvenue dans « De gré ou De force ».
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Les énergies renouvelables se développent-elles assez vite ? Eolien, photovoltaïque, agrivoltaïsme, où en est-on ? Les EnR, est-ce uniquement pour les pays riches ? Pourquoi les leaders populistes sont-ils généralement contre les renouvelables ? Comment faire pour renforcer l'acceptabilité des projets EnR ? Peut-on stocker de l'électricité renouvelable ? Les énergies renouvelables servent-elles uniquement à fabriquer de l'électricité ? Peut-on recycler une éolienne ? La disponibilité des terres rares et des métaux critiques peut-elle freiner l'expansion des renouvelables ? Qu'est-ce qu'une énergie renouvelable responsable ?