Afleveringen

  • Aujourd’hui nous sommes en compagnie de Marine CALMET.

    Dans le 17e arrondissement de Paris, à la fin d’une belle journée d’été, Marine nous a accueillis dans les petits locaux de son ONG grandissante. Au travers de Wild Legal, Marine travaille à la construction d’un autre rapport au vivant et aux écosystèmes, un rapport plus équilibré, plus durable, mais aussi plus enthousiasment.

    Depuis ses expériences contre le projet Montagne d’or en Guyane jusqu’à son petit lopin de terre dans la Nièvre, Marine rêve un monde plus aligné avec le vivant, et agit concrètement pour le faire émerger. Ainsi, Marine travaille à la reconnaissance des droits de la nature.

    Alors oui, pour beaucoup, le droit est une matière rébarbative, réservée à des juristes qui ne parlent qu’entre eux avec un langage incompréhensible au fond d’une bibliothèque poussiéreuse.

    Si c’est votre vision du droit, cet épisode est fait pour vous. Avec Marine, vous allez redécouvrir le droit sous un autre jour, un droit plus local, un droit qu’on s’approprie, un droit qui nous ressemble et que l’on comprend. En bref, un droit au service du vivant, qui nous permet de habiter ensemble notre monde de manière durable.

    Utopique ? Et bien non justement, les droits de la nature existent déjà, partout dans le monde !

    Alors paré.e.s à embarquer avec nous ?

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    Découpage épisode :

    (00:00) Introduction

    (01:59) Présentation de Stéphane

    (02:38) Le droit de l’environnement et les droits de la nature

    (04:22) Le problème de notre modèle juridique

    (06:38) D’où vient son amour de la nature ?

    (08:25) Le concept de nature

    (09:32) Notre droit n’est pas fondé sur la la notion d’équilibre

    (14:43) L’impact de son passage en Guyane

    (18:38) La lutte contre le projet montagne d’or

    (23:35) D’où vient son énergie ?

    (24:58) Utopistes ?

    (27:01) Combattre un système juridique par des recours en justice ?

    (29:44) Comment changer le droit ?

    (34:07) Les conséquences d’accorder des droits à la nature

    (45:53) Changer notre droit pour changer notre rapport au monde

    (50:50) Le lien à la nature

    (58:28) D’où vient sa sérénité

    (01:03:50) L’impact de la parentalité : le fait de prendre soin

    (01:14:17) Conclusion

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  • Aujourd’hui, nous sommes en compagnie de Stéphane La Branche. Stéphane est un chercheur indépendant, pionnier dans un domaine assez singulier : la sociologie du climat. Très vite, il a eu l’intuition que cette discipline émergente pourrait nous aider à mieux comprendre notre manière d'appréhender les enjeux climatiques.

    Et comme la sociologie est un sport de combat, en parallèle de son activité de chercheur, Stéphane est également passionné d’arts martiaux, disciplines qu’il enseigne dans son Dojo.

    Dans cet épisode, Stéphane nous éclaire sur son rôle en tant que chercheur, mais également sur la posture à adopter pour faire évoluer les comportements individuels et collectifs. L’enregistrement a eu lieu à Grenoble et Bapt ne pouvait malheureusement pas être là, mais il a apprécié autant que moi le franc parler de Stéphane et l’angle original de cet échange, à la croisé du climat et de la sociologie. Sur ce place, à l’épisode !

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    Découpage épisode :

    (00:00) Introduction

    (01:45) Présentation de Stéphane

    (03:37) Ses débuts dans la sociologie du climat

    (09:36) L’impact des rapports du GIEC : entre sciences dures et sciences sociales

    (16:06) Le rôle de la peur dans le changement

    (21:06) Les leviers d’action efficaces pour changer nos comportements : apporter des solutions concrètes à des problèmes concrets

    (24:25) Le quotidien d’un sociologue du climat : l’exemple des profils socio-énergétiques

    (31:06) La difficulté de convaincre les individus

    (35:36) Pourquoi on a des difficultés à connaître les levier d’action efficaces

    (38:21) Le rôle des imaginaires dans la transition : la question de la réussite

    (44:25) Les comportements selon les générations

    (50:36) La création de synergies intergénérationnelles

    (52:21) Les parallèles entre la pratique des arts martiaux et la recherche académique

    (59:37) Être le premier sociologue du climat

    (01:05:51) Créer de nouveaux récits de futurs désirables pour donner envie d’agir

    (01:09:00) Conclusion

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  • Aujourd’hui nous sommes en compagnie de Côme Girschig.

    Côme est ce que l’on peut appeler un conciliateur, un pont entre des mondes qui ne se parlent pas forcément :

    Entre le milieu rural de Boulogne Sur Mer dans lequel il a grandi, et le monde urbain de Paris où il vit aujourd’hui, Entre le monde des sciences dures et celui des sciences humaines, Entre les personnes qui militent pour un monde plus écologique, et celles pour qui l’écologie n’est pas encore une priorité.

    Son idée est simple : pour que les choses bougent, il faut avant tout changer nos référentiels, nos imaginaires. Pour cela, Côme réalise des conférences, écrit, crée, pour participer à une véritable bascule écologique.

    Côme nous a chaleureusement accueillis autour d’un café, dans son bureau aux airs de chambre ou de salon. Dans le confort de ce lieu, nous avons passé 1 heure à discuter avec passion de sujets sérieux, sans trop se prendre au sérieux.

    Alors imaginez-vous dans cette pièce multifonction, installez-vous confortablement, et surtout, bonne écoute !

    Découpage épisode :

    (00:00) Introduction

    (01:55) Présentation de Côme

    (06:03) Son déclic écologique

    (09:19) La complémentarité des sciences dures et des sciences humaines : les limites de l’approche rationelle et technique

    (12:43) L’importance des imaginaires

    (16:52) Jouer sur les émotions grâce à la musique

    (24:02) Quelle posture adopter pour parler des sujets écologiques sans diviser ? Les différentes formes engagements possibles

    (28:40) Le profil de conciliateur : un pont entre les mondes

    (31:00) Comment ne pas participer au greenwashing de certains acteurs ?

    (33:29) Jouer sur les imaginaires VS jouer sur les rapports de forces

    (37:12) Quels sont ses moteurs ?

    (42:57) Comment redonner la possibilité aux gens de rêver ?

    (46:00) Ses rêves

    (51:25) Le bon échelon pour s’engager politiquement

    (55:10) Le concept de redirection écologique

    (58:28) Conclusion

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  • Aujourd’hui, nous sommes en compagnie d’Eva MOREL.

    Eva est issue d’une famille dans laquelle s’engager est la normalité. C’est pourquoi Eva s’est tournée très tôt vers les questions d’écologie , et plus particulièrement de leur traitement par les médias.

    Elle est partie d’un constat assez simple : durant la présidentielle de 2022, l’écologie représentait 3,6% du temps médiatique. De toute évidence, ce n’est pas assez pour traiter les causes, les conséquences et les solutions liées aux problématiques écologiques.

    C’est pourquoi elle a créé en 2022 Quota Climat, une asso dont l’objectif est à la fois d’interpeler, de mettre en avant les mauvaises mais également les bonnes pratiques médiatiques, et de militer pour que le politique permette que le citoyen bénéficie d’une information écologique qualitativement et quantitativement satisfaisante.

    Cet épisode est un peu plus court que d’habitude, mais cette discussion avec Eva est très utile, surtout après la période électorale que l’on vient de vivre.

    Découpage épisode :
    (00:00) Introduction
    (01:55) Présentation d'Eva et naissance de Quota Climat
    (04:42) Les relations de Quota Climat avec les médias
    (06:03) Une proposition de loi pour responsabiliser les médias
    (08:40) Qu'est-ce qu'un contenu écologique ?
    (10:15) Pourquoi est-ce important de mettre l'écologie à l'agenda médiatique ?
    (14:40) Un quota climat pendant les périodes électorales
    (18:29) Le risque d'atteinte à la liberté d'information
    (22:39) Le contenu écologique serait trop anxiogène ?
    (24:32) Parler des causes, des conséquences, et des solutions face aux enjeux écologiques
    (26:57) Pourquoi s'engager auprès d'une députée ?
    (28:54) Face aux enjeux écologiques, le rôle de l'individu
    (31:26) L'origine de son engagement
    (32:39) Refuser de s'informer par les médias
    (34:25) Comment ne pas subir une mauvaise information ?
    (36:22) Ceux qui ne parlent pas d'écologie sont les vrais militants
    (37:26) Conclusion


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  • Aujourd’hui, nous sommes en compagnie de Jean-Pierre GOUX.

    La première fois qu’on a entendu parler de Jean-Pierre, c’était au cours de la convention des entreprises pour le climat (CEC) à Lyon. Jean-Pierre animait une conférence sur les imaginaires, vous savez, ces récits qui guident nos comportements et dirigent d’une certaine façon la trajectoire de notre société.

    Sa conférence était magistrale, car, pour la première fois, nous entendions que l’humanité, souvent vue comme le cancer d’une planète malade, pouvait avoir un grand rôle à jouer !

    Cette réflexion, Jean-Pierre l’a notamment développée dans son dernier roman, Révolution Bleue : La Petite Princesse. Par la force de la fiction, il expérimente l’émergence d’une nouvelle humanité, unie dans sa diversité pour répondre aux enjeux de notre époque.

    Jean-Pierre GOUX est également le co-fondateur de l’ONG One Home, qui vise à recréer virtuellement l’overview effect, cette sensation unique vécue par les astronautes lorsqu’ils voient la Terre depuis l’espace.

    Avant d’aller plus loin, nous évoquerons à plusieurs reprises le terme Gaïa qui correspond à un concept développé par James Lovelock et Lynn Margulis selon lequel la Terre serait comparable à un super-organisme qui s’autorégule. Intriguant non ? On explorera ensemble cette hypothèse Gaïa qui nous invite à revoir notre vision du monde.

    En tout cas cette rencontre avec Jean-Pierre nous a beaucoup touchés, non seulement en raison des valeurs que nous partageons, mais aussi de notre passion commune pour un personnage qui est à la racine de nos projets : le Petit Prince de Saint Exupéry.

    Alors si vous voulez connaître l’interprétation fascinante que Jean-Pierre a eu de cet ouvrage mythique et pourtant si mystérieux, installez-vous confortablement, et place à l’épisode !


    Découpage épisode :
    (00:00) Introduction
    (02:22) Présentation de Jean-Pierre, origines et parcours
    (11:18) Comment passer des sciences à la poésie et au sensible ?
    (15:46) Imaginer un autre monde grâce au roman : de Siècle Bleu à La Révolution Bleue
    (23:09) Pourquoi les individus choisiraient de suivre un même mouvement pour faire humanité ?
    (25:36) L’intuition de l’évolution de l’humanité : l’inspiration du Petit Prince de St Exupéry.
    (34:56) Conserver l’émerveillement de l’enfance
    (40:18) Passer de l’amour de la force à la force de l’amour
    (45:05) L’influence artistique : du bleu d’Yves Klein au bœuf de jazz
    (50:19) Quelles sont les conditions de l’union de l’humanité ?
    (54:21) Comment la Révolution Bleue peut se déployer concrètement ?
    (57:04) Triangle de l’inaction
    (01:01:18) L’union dans la diversité pour mener le projet de l’humanité
    (01:11:56) Le projet One Home
    (01:20:24) L’équilibre avec la nature doit être redécouvert au niveau mondial
    (01:23:51) La Révolution Bleue - La Petite Princesse : la continuité du Petit Prince ?
    (01:38:10) Gaïa serait elle-même une partie d’un tout plus grand
    (01:39:26) Les sensations dans un concert
    (01:43:08) Conclusion

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  • Aujourd’hui nous sommes en compagnie de Nicolas Sabatier. Si l’on ne devait retenir qu’une seule chose de Nicolas, c’est sa capacité à avoir toujours su mettre ses entreprises au service d’une cause, jusqu’à co-fonder TFTP. Nicolas se passionne pour les organisation humaines, et préfère se focaliser sur les choses qui nous réunissent plutôt que sur celles qui nous divisent.

    Nous avons eu le plaisir de partager quelques heures avec Nicolas dans son bar à Lyon, l’Atenium. C’est dans un lieu envoutant, pensé autour de l’échange et des rencontres, que nous avons eu le bonheur de discuter.

    Alors ne soyez pas effrayé par la durée de l’épisode ! Ce que vous allez entendre est un véritable échange, authentique, dans lequel Nicolas nous a donné plein de secrets et d’anecdotes inédites.

    C’est un peu comme si vous écoutiez une discussion entre potes, vous savez, ces discussions de certaines fin de soirée qui restent à jamais gravées dans nos mémoires. Installez-vous confortablement, profitez et inspirez-vous !

    Juste avant de vous laisser, parfois on parle de Time for the Planet, qui est aujourd’hui devenu Team for the Planet, mais c’est bien la même entreprise, comme Time ou Team d’ailleurs.

    _____________________________

    Découpage épisode :

    (00:00) Introduction

    (01:59) Présentation Nicolas, sa jeunesse et ses idéaux

    (08:21) comment se projetait-il dans le monde professionnel à la sortie de ses études ?

    (08:10) Quel est le but des chercheurs sur les bases scientifiques des pôles ?

    (09:36) Les débuts dans l'entrepreneuriat : Vitacolo et le tour de la France chez l'habitant

    (21:04) Le projet de création de son bar (L'Atenium à Lyon) et le modèle de l'entreprise libérée

    (34:23) Pourquoi le mode de management vertical et descendant est-il majoritaire aujourd'hui ?

    (39:07) L'entreprise libérée est-elle une source de bonheur au travail ? Quelles sont les autres sources de bonheur au travail ?

    (45:58) La création de Team For The Planet (TFTP = Time For The Planet = Time = Team)

    (57:55) La mission de TFTP

    (01:03:39) Le fonctionnement de TFTP

    (01:08:07) Entreprendre avec Mehdi COLY et leur forte complémentarité

    (01:13:01) Comment entreprendre à plusieurs ? Et comment entreprendre avec ses amis ?

    (01:21:42) Avoir un enfant dans notre monde à l'heure actuelle

    (01:27:29) Conclusion

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  • Un mot permet de qualifier Justine, un mot qui lui colle à la peau autant qu'il lui tient à cœur : humanitaire.

    Humanitaire car Justine s’est engagée très tôt dans des ONG qui portent assistance aux populations civiles victimes de conflits ou de catastrophes.

    Humanitaire car Justine tend la main à des êtres humains, à ceux qui n’ont plus rien, sinon du temps.

    Humanitaire, car redonner un peu de dignité à des personnes désolées par les guerres, les violences et les désastres, est la première, et parfois la seule chose, que l'on puisse faire.

    Maman et humanitaire à plein temps, Justine nous a offerts un moment passionnant dans son quotidien effréné.

    Forte de son empathie empreint parfois de folie, nous ne lui disons qu'une chose : Merci !



    Découpage épisode :

    (00:00) Introduction
    (01:35) Présentation de Justine
    (02:51) Le déclic pour s’engager dans l’humanitaire
    (04:57) Les premières expériences d’humanitaire
    (08:00) Les premiers contacts avec les populations
    (11:07) Comment communiquer à la fois avec les populations et les groupes armés ?
    (13:58) L’humanitaire reste une solution temporaire
    (14:46) D’où vient son courage ?
    (17:06) Absence de peur ou inconscience ?
    (21:35) Comment concilier l’humanitaire et la vie de famille ?
    (25:34) Le besoin d’aller là où les choses bougent
    (28:19 Comment passer du monde “normal” au monde de l’humanitaire ?
    (29:52) L’empathie et la foi en l’humain
    (33:41) Comment trouver ce qui nous lie malgré nos différences ?
    (36:42) Des anecdotes qui lui donnent envie de continuer son métier
    (40:32) Les populations sont-elles victimes de l’incapacité de leurs gouvernants à coopérer ?
    (43:17) Un rêve ?
    (51:45) Conclusion


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  • Après avoir été sauvé par les Kogis, un peuple premier vivant en Colombie, Éric s’est donné pour mission de les aider à retrouver leurs terres en guise de remerciement. Avec le temps, il a appris à vivre à leur côté et à regarder le monde, ou plutôt le ressentir, d’une manière tout à fait singulière.

    Nous avons tant à apprendre de ces peuples qui n’ont pas perdu de vue leur place au sein de la nature.

    Éric est de ces personnes qui vous marquent à jamais. Humain au grand cœur, il a accepté de nous rencontrer au sein de l’École pratique de la nature et des savoirs, qu’il a créée dans la Drôme. Nous avons enregistré cet épisode à 1300 m d’altitude, réchauffés par les flammes du poêle à bois, face à un panorama d’une beauté sans pareil alors qu’il se mettait à neiger. Une expérience de partage, de générosité et d’émerveillement source d’une joie immense.

    Du fond du cœur, merci Eric !

    __________________

    Découpage épisode :

    (00:00) Introduction

    (01:49) Présentation Eric

    (03:23) La rencontre avec les Kogis

    (06:05) Quel est le quotidien d’Eric ?

    (08:13) L’école pratique de la nature et des savoirs

    (10:22) Les premières interactions avec les Kogis

    (18:00) Comment les Kogis voient le monde dans lequel ils vivent ?

    (20:37) Comment créer des passerelles entre nos deux mondes ?

    (26:53) Le féminin chez les Kogis

    (30:12) La danse et le chant pour nourrir le lien social

    (30:48) Comment les Kogis développent et transmettent leur connaissance du monde ?

    (34:56) Le diagnostic croisé du territoire avec les Kogis et des scientifiques

    (40:17) La posture de l’occidental et le risque de projection, voire de colonisation et de domination

    (44:09) Comment les Kogis ont choisi leur délégation venue en France ?

    (46:09) La structure sociale chez les Kogis

    (49:20) Le rôle et le parcours des Mamu et Saga (chamanes)

    (55:31) Pourquoi on continue d’accélérer alors qu’il faudrait ralentir ?

    (01:00:03) Comment Éric définit-il son rôle ?

    (01:02:19) Son moteur dans la vie

    (01:04:32) Quels rêves guident Éric ?

    (01:08:02) Comment traduire l’invisible et l’indicible ?

    (01:14:10) Son lien avec la nature

    (01:14:55) Conclusion

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  • Glaciologue de formation, Daphné allie son travail de scientifique avec son goût pour l’aventure afin de diffuser un message profondément écologique et humain.
    En tant que chercheuse, Daphné explore les régions les plus reculées du globe, associant observation scientifique, expérience sensible et émerveillement face à des écosystèmes fragiles.
    Daphné nous rappelle, au travers de son travail de scientifique, mais également de conférencière, d’écrivaine et de photographe, l'importance cruciale de préserver ce qui fait la beauté de notre planète. C’est pourquoi Daphné adopte cette position d’exploratrice de terrain, afin de nous guider, au travers de la science comme de l’art, vers des futurs plus soutenables.
    ___________________
    Découpage épisode :
    (00:00) Introduction
    (01:37) Présentation Daphné
    (04:00) D’où vient l’envie d’aller explorer les pôles ?
    (06:33) Comment c’était la première fois en Antarctique ?
    (08:10) Quel est le but des chercheurs sur les bases scientifiques des pôles ?
    (10:53) Quel ressenti d’être sur la glace ?
    (12:25) Aller en Antarctique était-il une manière de fuir le monde qui nous entoure ?
    (14:18) La recherche est-elle forcément scientifique ?
    (16:30) Le lien entre science et art ?
    (19:13) La perte du sensible
    (21:19) D’où est venu son intérêt pour la question du sensible ?
    (23:37) Quel est son rôle dans la société ?
    (25:26) Les rêves et l’émerveillement : des moteurs dans la vie
    (26:17) Quel rapport au voyage ?
    (27:43) Comment est-elle parvenue à ne pas suivre une carrière classique ?
    (31:36) Être une femme scientifique
    (32:44) Qu’est-ce qui marque au retour dans la société après 1 an en Terre Adélie ?
    (36:46) Qu’est-ce que ça fait de voir des aurores boréales ? Et d’être devant une immensité de glace ?
    (39:01) Le rapport au sauvage
    (41:16) Quel message délivre-t-elle dans ses conférences ?
    (43:46) A-t-elle plutôt espoir aujourd’hui ?
    (45:51) Comment opérer une prise de conscience écologique ?
    (48:27) Conclusion
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  • Selon vous, l’influence marketing et la transition écologique sont-elles compatibles ?

    À première vue, les réseaux sociaux, les influenceurs et la publicité sont plutôt associés à la consommation et aux achats compulsifs, qu’au changement climatique ou à la préservation de la biodiversité.

    Mais après tout, pourquoi ces deux mondes ne pourraient pas coexister, et même collaborer ?

    C'est précisément le défi que relève Amélie : intégrer les enjeux de transition écologique au sein du secteur de l'influence marketing.

    Cela donne un métier peu commun, assez unique, voire avant-gardiste : celui de consultante en influence éthique, écologique et responsable.

    Pour Amélie, il ne suffit pas de dénoncer les comportements irresponsables des influenceurs ou des publicitaires. Il est essentiel d'accompagner les acteurs du secteur pour trouver des solutions concrètes et viables !

    Si les concepts d’influence ou de marketing vous paraissent un peu nébuleux pour le moment, ne vous inquiétez pas !

    Grâce à Amélie vous saisirez mieux l’impact réel de la publicité, des réseaux sociaux et des influenceurs sur notre vie quotidienne et nos imaginaires collectifs. De habitudes de consommation à nos envies voyages, en passant par notre relation aux autres et à l’environnement, l’influence marketing façonne nos vies.

    Alors plutôt que de subir, tentons de comprendre et, pourquoi pas, d’en faire un levier de la transition !

    __________________

    Découpage épisode :

    (00:00) Introduction

    (01:48) Présentation Amélie

    (02:04) L’influence marketing, qu’est-ce que c’est ?

    (02:28) D’où est venu cet engagement dans le secteur de l’influence marketing

    (04:43) Les modes d’action du collectif Paye ton influence

    (07:05) Quelle est la responsabilité des influenceurs en matière écologique et sociale ?

    (13:30) Intégrer le monde de l’influence marketing pour combattre l’influence marketing irresponsable, ça fonctionne ?

    (17:27) Comment réagissent les influenceurs ?

    (20:21) Comment se sent-elle face aux enjeux écologiques et sociaux ?

    (22:58) L’éco-anxiété est-elle un moteur ?

    (24:40) Entrer dans une école de commerce, puis bifurquer ?

    (31:28) Comment embarquer la jeunesse malgré ses différences ?

    (36:48) Créer de nouveaux imaginaires grâce aux influenceurs

    (37:42) Mettre les outils marketing au service de l’écologie et du social ?

    (41:10) L’omniprésence de la publicité dans la rue et sur nos écrans

    (44:16) D’autres imaginaires dans le secteur du voyage

    (49:22) Conclusion

    ______________________

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  • Corentin est ce que l’on peut appeler un explorateur des modes de vie, notamment au travers du Low-Tech Lab, qu’il a créé en 2010. Après avoir sillonné les océans du globe pendant près de 6 ans à bord d’un voilier laboratoire, le nomade des mers, Corentin s’attèle aujourd’hui à expérimenter d’autres manières de vivre, au sein de biosphères inspirées des low-techs.

    Corentin a notamment vécu en totale autonomie, sur une plateforme de 60 m carré pendant 4 mois en Thaïlande, ou encore dans le désert mexicain aux cotés de son acolyte, Caroline.

    En se plaçant dans ce qui apparaît a priori comme un certain inconfort ou déséquilibre, et en repoussant les limites en matière d’habitat, de nourriture et d’énergie, Corentin parvient peu à peu à montrer, qu’il est possible de vivre mieux, avec moins !

    Découpage épisode :

    (00:00) Introduction

    (01:30) Présentation Corentin

    (03:26) Le premier projet : un navire en fibre de jute au Bangladesh

    (05:13) Le début avec les low-techs et le Low-Tech Lab

    (07:12) Définition de la low-tech

    (07:43) Pourquoi la low-tech ?

    (09:45) Les études d’ingénieur et la low-tech ?

    (11:21) Quel est l’objectif derrière la low-tech : simple passion ou nouveau récit ?

    (13:34) Le rapport au travail

    (15:05) Se mettre dans l’inconfort pour développer une certaine ingéniosité

    (15:58) Ses moteurs dans la vie ?

    (16:42) Le rapport à la nature et le réensauvagement

    (17:53) Quels projets récents et quelles sensations lorsqu’on se réensauvage ?

    (21:25) Comment séduire des partenaires pour les projets biosphères ? Et comment faire adhérer les gens au mode de vie low-tech ?

    (23:56) La difficulté de changer notre mode de vie : une histoire de d’habitude ou de confort ?

    (24:58) Low-tech VS High-tech/Deep-tech

    (27:07) Les futurs projets low-tech ?

    (28:43) Les projets biosphère : un mode d’expérimentation itératif

    (30:01) Les échecs apprenants

    (31:31) Frontière entre persévérance et obstination

    (32:24) Les contextes favorisant la créativité

    (33:46) Conserver une âme d’enfant ?

    (36:17) La low-tech : un mode de pensée rétrograde ?

    (38:52) Aller à l’étranger pour s’ouvrir à d’autres modes de pensée ?

    (39:57) Se reconnecter avec la nature pour faire face à la crise de la sensibilité

    (41:33) Présentation de Caroline, l’acolyte de Corentin

    (43:05) La low-tech : le concept-car des futurs désirables

    (45:25) Bifurquer pour contribuer à un futur souhaitable

    (47:08) La transition entre les projets biosphère et la vie en société

    (50:01) Comment a réagi l’entourage ?

    (50:57) Et côté financement ?

    (52:31) Espoir ou inquiétude pour l’avenir low-tech ?

    (53:35) La radicalité pour ouvrir la voie d’un futur low-tech

    (57:24) Conclusion

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  • Aujourd’hui on lève les voiles, et pas avec n’importe qui !

    1ère femme à avoir fait le tour du monde en solitaire en course, présidente de WWF pendant 11 ans, femme engagée, intrépide et remplie d’espoirs, Isabelle Autissier associe aujourd’hui son amour de la navigation avec de forts engagements.

    Dans cet épisode, Isabelle nous parle de rêves, d’imagination, et de sensibilité, mais aussi d’action, de doutes, de bonheur et de rencontres.

    En bref, Isabelle est pleine de vie et se bat chaque jour pour un monde meilleur, avec passion et grandeur !

    Découpage de l'épisode :

    (00:00) Introduction

    (01:20) Présentation Isabelle(03:50) D’où vient la passion pour la voile ?(08:30) Comment a été vécue l'arrivée dans un milieu très masculin ?(11:02) Pourquoi avoir fait le choix de la course au large ?(19:09) 1ère femme a avoir fait le tour du monde en solitaire en course(24:16) La solitude en mer(31:02) Lien entre rapport à l'océan et l'engagement écologique(35:50) L’engagement à WWF(39:19) Pourquoi se tourner vers l'écriture ?(43:09) La place de l'imaginaire et des arts pour transmettre un message(44:56) La place du rêve et l'incarnation du rêve des autres(47:52) Transformer le modèle actuel de la course au large(55:38) Plus on tarde à agir, plus l’effort à fournir sera important(57:42) Un conflit inter générationnel ?(59:34) Adopter une posture plus militante ?(01:02:27) Où Isabelle voit sa place à l’avenir ?(01:03:37) Où puise-t-elle son énergie ?(01:07:25) La place de l’échec(01:11:46) Pourquoi associer les artistes aux projets ?(01:17:37) Un rêve ?(01:18:19) Une rencontre marquante ?(01:19:47) Conclusion(01:24:27) Le rapport à la mort

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  • Aujourd’hui, on covoiture avec Thomas MATAGNE.

    Son moteur : l’avenir de notre société face aux crises environnementales.

    Son combat : s’attaquer au secteur du transport, 1er secteur émetteur de gaz à effets de serre en France.

    Il y a neuf ans, Thomas a créé Ecov, en partant d’un double constat : non nous ne pourrons pas nous passer de la voiture dès demain, et oui, il faut pourtant, et dès aujourd’hui, reconsidérer profondément le mode de déplacement individuel que permet la voiture.

    Alors, on fait comment ? C’est là qu’Ecov entre en jeu. L’objectif : résoudre les problèmes de "fin de mois" tout en répondant à l'angoisse de "fin du monde", repenser l'action publique à l'heure de l'économie du partage, et apporter à chacun une véritable alternative à la voiture individuelle.

    C'est tout cela à la fois, faire de la voiture un transport COLLECTIF.

    Découpage de l'épisode :

    (00:00) Présentation de Thomas

    (03:21) Présentation d’Ecov

    (10:52) L’implantation d’Ecov dans le secteur de la mobilité

    (17:28) Le soutien et le rôle de la puissance publique

    (22:23) Comment conserver une forte détermination malgré toutes les difficultés ?

    (27:17) D’où vient la prise de conscience et comment éviter une éco anxiété paralysante ?

    (30:34) Le besoin d’alignement entre valeurs et actions

    (34:33) La durabilité écologique et sociale est-elle compatible avec la notion de rentabilité ?

    (38:53) Comment changer les comportements des individus ?

    (45:03) Est-ce qu’Ecov aura encore sa raison d’être dans le monde de demain (peut-être avec moins de voiture ?)

    (48:21) Ecov, une menace pour les industriels de l’automobile ?

    (52:06) Des rencontres marquantes ?

    (55:04) L’engagement politique

    (57:38) Conclusion

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  • Tu te sens perdu ? Tu cherches la voie qui te permettra d’être aligné et épanoui ? C’est exactement la situation dans laquelle se trouvait Eliott PRIGENT à la sortie de ses études !

    Il a alors décidé de partir 9 mois en Asie à la rencontre d’acteurs inspirants de la transition écologique.

    Eliott est un explorateur des solutions à la perte de sens moderne et partage ses apprentissages dans sa newsletter “Les Explocréateurs”

    Son objectif : face au manque de perspectives qui caractérise notre époque, il est crucial d’inspirer le changement et de susciter l’engagement.

    Comment parvenir à agir pour ce qui nous anime ? Comment se mettre en mouvement ? Comment reconnecter avec ses curiosités ?

    Voilà les sujets que nous abordons dans cet épisode.

    Découpage de l'épisode :

    (00:00) Présentation d’Eliott(02:23) Quel est le message porté ?(03:40) Comment articuler réflexion et action ?(04:36) Pourquoi être parti en Asie ?(07:14) La rencontre la plus marquante(08:19) Quel était l'objectif des rencontres et interviews ?(09:19) Souvenirs positifs et négatifs de cette expérience de voyage seul en Asie ?(10:33) Comment les personnes rencontrées en sont arrivées là : fruit d'une réflexion ou démarche naturelle ?(12:30) L’expérience était-elle porteuse d'espoir ?(14:01) Comment passer à l'action ?(16:24) Comment passer à l’action malgré les risques ?(17:43) La réaction de l'entourage(18:28) Le bénéfice de voyager seul(19:37) Que signifie reconnecter avec ses curiosités ?(22:08) Comment envisages-tu la suite ?(23:11) L’alignement supprime-t-il les doutes ?(24:04) La place des réseaux sociaux(27:29) Quel type de contenu t’inspire ?(28:58) Laisser une trace et avoir conscience de sa sphère d'influence(29:39) Un exemple de personnes qui ont changé quelque chose en toi(30:58) Quand bifurquer ?(32:33) Mais a-t-on toujours le choix ?(33:50) Qu'est-ce qui empêche de reconnecter avec ses curiosités ?(35:30) Comment rendre l'information et la connaissance attrayantes ?(37:14) Le sentiment de décalage avec l’entourage(38:03) Que faire pour se reconnecter au réel ?(41:44) Comment faire face aux périodes de doutes et aux coups durs ?(43:15) Y a-t-il un engouement chez les jeunes autour de ces thématiques ?(44:19) Conclusion

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  • Sois sérieux, sois raisonnable, sois rationnel… Autant d’injonctions qui nous poussent à réfléchir avec notre cerveau, à nous détacher de ce qui nous entoure, et surtout, à ne pas faire confiance à nos sensations.

    Pourtant, grâce à la danse, Jade parvient à créer des instants en suspension, qui permettent d’ouvrir en chacun les portes de sa sensibilité.

    Co-fondatrice du collectif Minuit 12, Jade utilise la danse comme vecteur d’émotions pour sensibiliser aux enjeux écologiques et sociaux. Alors que les messages d’urgence s’accumulent et que les arguments chiffrés et scientifiques ne sont pas suffisamment entendus, Jade a choisi d’utiliser son corps pour exprimer autrement une même réalité.

    Libre et indépendante, Jade s’engage pour rassembler les artistes autour d’un même but : faire prendre conscience qu’il faut agir, et créer un rapport de force en dénonçant ceux qui mettent largement en péril l’habitabilité de notre planète.

    Dans cet épisode, on parle de sensibilité, d’art comme levier d’action ou encore de la place du corps et de l’humain, au sein de la nature.

    Découpage de l'épisode :

    (00:00) Introduction et présentation de Jade(01:49) Présentation du collectif Minuit 12(05:52) Pourquoi s'être intéressée au problème écologique ?(07:53) Le rapport à l’art

    (08:49) Pourquoi le vecteur corporel ?(12:09) Quel ressenti pendant la danse ?(14:15) La danse dans la sphère privée(15:15) Qu'est-ce qui crée l'émotion dans le public ?(17:11) Le ressenti est-il différent d'une représentation à l'autre ?(18:22) Est-ce que tout le monde est touché par l'art ou certaines personnes y sont hermétiques ?(19:49) Qu'est ce que ça fait de danser dans la nature ?(21:06) L’aventure “ Pourquoi on se bat ? ”(23:41) L’influence de son amitié avec Camille Étienne(25:34) L’amitié dans les projets(26:24) La réaction des proches à l'annonce d'une carrière artistique(28:34) Quelle projection professionnelle ? (30:24) La Toile Total(33:54) Est-ce que l'activisme fonctionne ?(35:18) L’optimisme ?(36:19) Le rôle rassembleur de l’art(40:13) Les artistes ont-ils une responsabilité ?(42:35) L'art est-il un moyen d'action assez concret ?(45:58) Le moteur de la création ?(49:27) Minuit 12 est très féminin, qu'est-ce que ça apporte de particulier ?(51:18) Comment gérer les doutes ?(53:26) Conclusion

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  • Imaginez : vous buvez un bon café accompagné d’un délicieux chocolat. Tout provient d’une agriculture respectueuse de l’environnement, en Amérique du Sud. Les producteurs sont justement rémunérés, et tout est parvenu en France... EN VOILIER.

    “ Mais ça doit coûter un bras ??? ”, nous direz vous ! Même pas ! Tout ceci, à un prix très abordable similaire à celui des produits classiques.

    Non vous ne rêvez pas, ce café et ce chocolat existent vraiment, et ce, grâce à Grain de Sail !

    Dans cet épisode, vous partirez à l’aventure aux côtés de Jacques BARREAU, un passionné qui voit en grand dès lors qu’il s’agit de concilier les limites planétaires, les enjeux sociaux, et la nécessaire rentabilité économique. La preuve qu'un modèle d’entreprise durable est possible !

    Découpage de l'épisode :

    (00:00) Introduction et présentation de Jacques

    (01:52) Présentation Grain de Sail

    (07:34) Grain de Sail à horizon 2030

    (08:57) Origine de la volonté de décarboner le transport maritime

    (13:27) Le rôle de Grain de Sail à l'heure de la mondialisation

    (19:00) Grain de Sail : un rêve ou un devoir ?

    (20:58) Créer un autre récit en gardant les petits plaisirs de la vie : l'enjeu de consommer différemment

    (25:47) L'espoir d'opérer un vrai changement dans les esprits

    (28:20) Comment trouver l'équilibre entre vie pro et vie perso ?

    (30:37) Le goût pour la navigation

    (32:38) Une tension interne entre la nécessaire rentabilité/industrialisation et les valeurs de Grain de Sail?

    (34:00) La réaction de l'entourage au lancement de Grain de Sail

    (36:50) Les acteurs de la chaîne de valeur de Grain de Sail sont-ils tous en adéquation avec les propres valeurs de Grain de Sail ?

    (39:50) Le ressenti des marins qui naviguent pour Grain de Sail ?

    (41:18) La tendance actuelle au retour à la voile

    (44:45) Une rencontre marquante ?

    (47:13) Quel futur pour Grain de Sail en terme d'échelle ?

    (48:30) D'autres formes d'engagement que celle de créer Grain de Sail ?

    (52:10) Quel soutien local pour Grain de Sail ?

    (53:31) Conclusion _______________Si cet épisode vous a plu, vous pouvez bien sûr le partager et poursuivre la réflexion ! On sera ravi de lire vos retours ou questions sur l’adresse ⁠⁠[email protected]⁠⁠.N’oubliez-pas de vous abonner au podcast des Rêveurs de l’Atlas et à nous suivre sur instagram, et surtout, merci, merci infiniment pour votre écoute !Crédits : Musique proposée par La Musique Libre :Isolated - Perfection : ⁠ • |Musique libre de droits| Isolated - ... ⁠Isolated : ⁠ / isolateyourmind ⁠

  • Navigateur de la première heure, Amaury est un aventurier qui vogue par delà les océans pour suivre ses rêves. Alors qu’il vient d’achever une expédition scientifique dans le cercle polaire arctique, il prépare actuellement la boucle transatlantique 2025 en mini 6.50, une expédition en solitaire sans assistance sur un bateau à peine plus grand qu’une voiture.

    Son objectif : esquisser un nouveau modèle de course au large plus durable, en revenant à son point de départ à la voile sans charger le bateau sur un cargo, comme cela se fait aujourd’hui.

    Sa devise : plus le bateau est petit, plus l'aventure est grande.

    Si ses projets peuvent paraître fous, ils font vibrer Amaury, et nous aussi à vrai dire !

    Découpage de l'épisode :

    (00:00) Introduction et présentation d'Amaury

    (01:56) Pourquoi être devenu navigateur ?

    (03:07) Le projet de boucle transatlantique en mini 6,50 (course, préparation et message transmis)

    (07:12) Les impacts de la course au large

    (11:56) Le projet scientifique sur le plancton au cercle polaire avec Plankton Planet

    (19:41) Comment lier passion et intérêt sociétal ?

    (20:15) Le ressenti d'Amaury lorsqu'il est en mer

    (21:50) La gestion du risque en mer

    (23:58) Comment faire confiance à ses sensations malgré la fatigue ?

    (26:06) L'impact de son entourage dans ses projets

    (28:26) Trouver un sponsor

    (30:51) Comment parvient-il à être sur tous les fronts ?

    (32:19) Alignement entre ses actions et l'environnement + projection dans sa carrière pro

    (34:30) Être guidé par ses rêves

    (36:05) Une rencontre importante dans sa vie

    (38:58) Son rapport à son bateau et le sentiment de puissance/impuissance

    (41:49) Impulser quelque chose de nouveau ou revenir à un temps d'avant ?

    (45:32) La navigation dans le grand Nord et notre place en tant qu'être humain

    (50:20) Conclusion

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  • Retrouvez bientôt notre premier épisode !

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