Afleveringen

  • Le 5 mars 2025, Charles Onana et François Martin étaient les invités de La Grande Émission, animée par Mike Borowski sur Géopolitique Profonde.

    Charles Onana est un journaliste d’investigation, politologue et essayiste franco-camerounais, spécialiste des conflits en Afrique des Grands Lacs. Il a publié plusieurs ouvrages controversés sur le génocide rwandais et l’implication internationale dans les guerres de la région. Dans Holocauste au Congo : L’Omerta de la communauté internationale, il dénonce l’invasion du Congo par des forces liées à Paul Kagame et le silence complice des puissances occidentales. Il developpe ces thèmes lors de l’émission.

    François Martin est un géopolitologue, journaliste et essayiste français, diplômé de l’ESSEC et de l’EMBA HEC, et auditeur de l’IHEDN et de l’INHESJ. Avec une carrière de 40 ans dans le commerce international de l’alimentaire, il a acquis une expérience considérable sur plus de 100 pays et maîtrise six langues et est connu pour ses analyses pénétrantes sur des sujets internationaux complexes.

    Une tragédie aux millions de victimes

    La République Démocratique du Congo subit l’une des pires crises humanitaires de l’histoire contemporaine. Depuis les années 1990, les conflits armés ont causé des millions de morts et de déplacés, dans une indifférence internationale quasi totale.

    Des rapports de l’ONU et d’ONG dénoncent des violences impliquant des groupes armés congolais et étrangers. Certains parlent d’un génocide silencieux, sans réponse internationale malgré des preuves accablantes de crimes de guerre et contre l’humanité.

    Le rôle des puissances étrangères

    Des documents suggèrent l’implication de puissances étrangères dans cette instabilité. Les États-Unis, la France et d’autres pays sont accusés d’avoir fermé les yeux, voire soutenu certains acteurs régionaux pour des raisons stratégiques.

    Paul Kagame, président du Rwanda, est un allié clé de Washington. Son influence en RDC via l’armée rwandaise et des groupes armés affiliés est largement documentée. Les puissances occidentales lui accorderaient un soutien pour des raisons sécuritaires et économiques, notamment face aux groupes terroristes.

    Les ressources minières au cœur des tensions

    La RDC possède un sous-sol parmi les plus riches du monde : coltan, cobalt, or, diamant. Ces ressources sont cruciales pour les industries technologiques et énergétiques mondiales. Des groupes armés financent leurs activités par l’exploitation illégale de ces minerais, perpétuant un cercle de violence.

    Les grandes puissances, des États-Unis à la Chine, ont des intérêts stratégiques en RDC. Certaines multinationales sont accusées de se procurer des minerais issus de zones contrôlées par des groupes armés, soulevant des questions éthiques et de responsabilité internationale.

    Ne restez pas spectateur de cette tragédie orchestrée par les élites occidentales, informez-vous avec votre revue mensuelle de Géopolitique Profonde.

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  • Le 5 mars 2025, dans un micro-trottoir exclusif, Mickaël donnait la parole aux citoyens sur la fermeture de C8. Entre indignation et inquiétudes pour la liberté d’expression, leurs réponses sans filtre, sur GPTV Investigation !

    Une non-reconduction aux motifs réglementaires

    La non-reconduction de la fréquence TNT de C8 dépasse le simple cas de Cyril Hanouna et TPMP. Officiellement, cette décision repose sur des motifs réglementaires : la chaîne, détenue par Canal+, n’aurait pas respecté certains engagements, notamment en matière de diversité des programmes. Cette annonce survient alors que le contrat arrivait naturellement à son terme. Il ne s’agissait donc pas d’une sanction illégale, mais d’un choix de non renouvellement.

    Malgré cet argument technique, beaucoup dénoncent un manque de transparence et l’absence de consultation du public. L’idée qu’un média disparaisse sans que les téléspectateurs aient leur mot à dire inquiète quant à la liberté d’expression et l’indépendance des médias. Pour certains, cette décision ne relève pas seulement du respect des règles audiovisuelles, mais d’une volonté d’écarter une chaîne dont les contenus dérangeaient certains cercles du pouvoir.

    Une inquiétude pour la liberté d’expression

    L’affaire C8 illustre une tension croissante sur la liberté d’expression en France. Si la chaîne était critiquée pour ses prises de position et ses émissions polémiques, sa disparition de la TNT soulève une question plus large : jusqu’où s’étend le contrôle des autorités sur les médias ? Certains jugent la décision justifiée au regard du cahier des charges, d’autres y voient un signal préoccupant.

    De plus en plus de voix dénoncent un climat où seules les opinions conformes aux cadres institutionnels sont tolérées. La non-reconduction de la fréquence de C8 renforce l’idée d’un durcissement du paysage médiatique, où les chaînes trop contestataires risquent d’être écartées. Ce contexte alimente une défiance croissante envers les instances de régulation et les décideurs politiques.

    Un choix qui n’est pas dénué de politique

    Si la décision repose sur des critères réglementaires, elle est aussi politique. C8 rassemblait un large public, notamment autour de Cyril Hanouna, dont l’influence médiatique était indéniable. Son éviction de la TNT est perçue par certains comme une manière d’écarter une voix discordante du débat public.

    Ce choix ne se limite pas à un simple ajustement technique : il s’inscrit dans un contexte plus large de concentration des médias et de restriction des espaces d’expression libre. Avec la disparition de C8 du paysage audiovisuel gratuit, une question se pose : quel autre média pourrait être privé de sa plateforme sous couvert de régulation ? Beaucoup craignent un paysage médiatique de plus en plus verrouillé, où seules certaines lignes éditoriales restent acceptables.

    Déjouez la propagande et découvrez les vérités interdites avec votre revue mensuelle de Géopolitique Profonde.

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  • Le 5 mars 2025, Mike Borowski analysait le discours de Donald Trump devant le Congrès des États-Unis, sur Géopolitique Profonde.

    L’Amérique paye, l’Europe profite

    Donald Trump a marqué les esprits lors de son discours de 1h30 devant le Congrès. Il a dénoncé le coût humain et financier du conflit en Ukraine, critiquant l’Europe pour son manque d’investissement militaire. Selon lui, les États-Unis ont dépensé plus de 350 milliards de dollars pour soutenir Kiev, contre seulement 100 milliards pour l’Europe, un déséquilibre inacceptable.

    Trump a fustigé les dirigeants européens qui achètent toujours du gaz et du pétrole russes tout en prônant un soutien total à l’Ukraine. Il a rappelé que sous son administration, il avait contraint les membres de l’OTAN à augmenter leurs dépenses militaires et dénoncé une situation où l’Europe finance indirectement Moscou tout en comptant sur Washington pour armer Kiev.

    Vers un retournement stratégique ?

    L’un des moments forts du discours a été la révélation d’un rapport de Volodymyr Zelensky. Selon Trump, le président ukrainien serait prêt à négocier, ce qui contraste avec l’intransigeance affichée par Kiev ces derniers jours. Il affirme aussi que la Russie envoie des signaux indiquant une disposition à conclure un accord de paix.

    Alors que la guerre s’enlise, ces déclarations pourraient marquer un tournant. Aux États-Unis, l’opinion publique se lasse d’un conflit interminable, et en Europe, des voix appellent à la diplomatie. Si ces informations se confirment, la pression pour entamer des négociations sérieuses augmentera.

    Un discours aux multiples facettes

    Au-delà de la guerre en Ukraine, Trump a abordé d’autres sujets majeurs. Il a dénoncé l’immigration massive, critiqué la montée du wokisme dans les institutions et réaffirmé sa volonté de restaurer la souveraineté américaine face à la Chine et aux élites mondialisées. Son ton direct et combatif visait à asseoir son image de leader fort et pragmatique.

    L’évocation de l’Ukraine s’inscrit dans cette stratégie : Trump veut apparaître comme un faiseur de paix, capable de mettre fin à un conflit coûteux pour les contribuables américains. Son discours a été salué par ses partisans, tandis que ses opposants l’accusent de se rapprocher de Moscou.

    Un pari risqué mais stratégique

    En suggérant que la paix est proche, Trump prend un pari audacieux. L’administration Biden et les faucons de Washington plaident pour un soutien inconditionnel à l’Ukraine. Mais Trump mise sur un changement d’opinion : après deux ans de guerre et de lourdes dépenses, les Américains veulent-ils continuer ou revenir à la stabilité ?

    S’il parvient à convaincre qu’il est le seul à pouvoir mettre fin au conflit, il renforcera sa stature internationale. À l’inverse, s’il est perçu comme trop conciliant avec la Russie, ses adversaires exploiteront ce point pour l’attaquer. Quoi qu’il en soit, son discours marque une rupture avec la ligne actuelle de Washington et relance le débat sur la meilleure stratégie à adopter face à la crise ukrainienne.

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  • Le 5 mars 2025, Finn Andreen et Gilles Lartigot étaient les invités de La Matinale, animée par Raphaël Besliu sur Géopolitique Profonde.

    Finn Andreen est un entrepreneur et auteur suédois basé en France, spécialiste des rapports de force mondiaux. Il publie régulièrement des analyses géopolitiques et économiques sur les dynamiques internationales.

    Gilles Lartigot, auteur et conférencier français, est connu pour son militantisme en faveur d’une consommation alimentaire saine et pour ses ouvrages : EAT – Chronique d’un fauve dans la jungle alimentaire , et EAT 2 – Des morts et des vivants, et son dernier livre, La jungle alimentaire.

    L’Ukraine abandonnée par Washington, un tournant décisif

    Le voyage de Zelensky à Washington marque un revers stratégique majeur. Sous la pression de Donald Trump et d’une opinion publique lassée, l’administration américaine stoppe l’aide financière à Kiev. Trump veut imposer un cessez-le-feu et négocier directement avec Moscou. Ce retrait brise le front occidental et place l’Europe face à un dilemme : assumer seule le conflit ou reconnaître l’échec de sa politique belliciste.

    Les élites européennes, paniquées, dissimulent cette débâcle par un discours martial. Au Sommet de Londres, la priorité est claire : réarmer l’Europe, compenser le retrait américain et trouver de nouveaux financements. Mais avec des économies affaiblies et des dettes colossales, la solution envisagée est explosive : ponctionner l’épargne des citoyens pour financer un budget militaire en pleine expansion.

    L’Europe sous tension, entre fuite en avant et servitude financière

    Face au désengagement américain, l’UE se radicalise. La doctrine affichée est : « préparer la paix par la force ». Une rhétorique qui masque une réalité plus brutale : prolonger la guerre en Ukraine pour justifier une politique toujours plus coercitive. Explosion des budgets militaires, endettement massif, suppression des souverainetés nationales au profit d’une gouvernance centralisée.

    En France, le projet d’atteindre 5 % du PIB pour la défense se précise. Cette montée en puissance se fera au détriment des contribuables et des épargnants, menaçant la stabilité économique du pays. Plutôt qu’assurer la sécurité, cette militarisation accélérée enferme l’Europe dans une spirale où les peuples deviennent otages d’une élite prête à sacrifier leur prospérité pour une guerre sans fin.

    Trump impose sa loi, l’affrontement économique s’intensifie

    Tandis que l’Europe s’enferme dans une logique militaire, Trump change de stratégie. Il amorce une nouvelle guerre économique en augmentant brutalement les taxes douanières, frappant la Chine mais aussi les alliés traditionnels comme le Canada. Ce protectionnisme assumé annonce un bouleversement des équilibres commerciaux.

    Plutôt que l’isolement, cette politique vise un objectif clair : redéfinir les rapports de force et imposer un nouvel ordre économique. En retirant son soutien militaire à l’Ukraine et en durcissant sa posture commerciale, Trump met l’Europe face à ses contradictions. Livrée à elle-même, dépendante d’un système financier affaibli, elle risque de plonger dans une crise politique et sociale sans précédent.

    Anticipez les basculements géopolitiques et protégez-vous des manipulations des élites grâce à votre revue mensuelle de Géopolitique Profonde.

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  • Le 4 mars 2025, Philippe Prévost, Jean Michel Vernochet et Patrick Pasin étaient les invités de La Grande Émission de Géopolitique Profonde, animée par Mike Borowski !

    Philippe Prévost, historien, essayiste et spécialiste des relations franco-canadiennes et des crises de l’Église, démontre les manipulations historiques autour du catholicisme et de la République. Dans Vraie et fausse laïcité, il analyse l'impact de la laïcité sur l’effacement des racines chrétiennes de la France et comment ce principe a été détourné pour servir un projet idéologique hostile à la tradition catholique.

    Jean-Michel Vernochet, ancien grand reporter et géopolitologue, connu pour sa critique de l’oligarchie mondialiste et son analyse des politiques européennes, est l'auteur de nombreux ouvrages, dont La France en flammes : des gilets jaunes à Notre-Dame de l’apocalypse, il explore les enjeux de l’intégration européenne.

    Patrick Pasin est un auteur, conférencier et entrepreneur français, connu pour ses critiques sur la géopolitique, la santé publique et la souveraineté individuelle.

    La laïcité, une arme contre le sacré

    La laïcité républicaine ne se limite pas à la séparation entre l’Église et l’État. Derrière un principe de neutralité, elle impose une idéologie matérialiste reléguant la spiritualité à la sphère privée. Depuis la Révolution française, la République a imposé une morale d’État, remplaçant les fondements chrétiens par un rationalisme froid.

    Les lois de 1905 ont amorcé une éviction systématique du religieux, permettant à l’État de redéfinir les normes morales. L’école fut le premier champ de bataille : la suppression de l’enseignement religieux ne visaient pas la neutralité mais l’imposition d’une nouvelle doctrine. Aujourd’hui, toute tentative de réintroduire un héritage chrétien est dénoncée comme une menace.

    Une hostilité assumée contre le catholicisme

    Si la République était neutre, elle appliquerait la laïcité à toutes les religions avec la même rigueur. Or, son acharnement vise essentiellement le catholicisme. Tandis que les églises se vident et que les fêtes chrétiennes disparaissent, d’autres traditions religieuses bénéficient d’une tolérance bienveillante.

    Ce ciblage n’est pas anodin. Le catholicisme incarne des valeurs structurantes échappant au contrôle de l’État. Contrairement aux autres religions, son identité est enracinée dans l’histoire de France.

    La destruction du catholicisme passe par la fermeture des églises, l’interdiction des signes chrétiens et la criminalisation de certaines positions doctrinales. La République promeut une culture de l’indifférenciation, assimilant le catholique pratiquant à un réactionnaire.

    L’inversion des valeurs et le vide spirituel

    L’éradication du christianisme laisse un vide que l’État tente de combler par une morale artificielle. Ce ne sont plus des principes transcendants qui dictent l’éthique, mais des lois fluctuantes adaptées aux idéologies du moment.

    Cette inversion des valeurs favorise matérialisme, déconstruction de la famille et nihilisme. Privé de repères, l’individu devient vulnérable à la culture du divertissement et à la consommation de masse.

    La République n’accepte qu’une seule spiritualité : celle conforme à ses dogmes. Pourtant, la déchristianisation entraîne individualisme, effondrement moral et atomisation sociale. Une société sans Dieu est une société sans âme, vulnérable aux dérives totalitaires.

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  • Le 4 mars 2025, Mike Borowski révélait que l’INSEE a enregistré 69 970 décès en janvier 2025, soit 8,4 % de plus qu’en 2024, un chiffre supérieur au pire mois du Covid, tandis que la natalité s’effondre. Les effets des injections et un agenda de dépopulation ne font plus aucun doute.

    Une surmortalité inexpliquée mais prévisible

    L’INSEE annonce un chiffre alarmant : 69 970 décès en janvier 2025, soit 3 000 de plus que le pire mois du Covid. Pourtant, aucune épidémie majeure, vague de froid ou catastrophe naturelle ne peut expliquer cette hécatombe. Les causes avancées – vieillissement de la population, conséquences du Covid long, saturation du système de santé – ne suffisent pas à justifier une telle augmentation.

    Les maladies cardiovasculaires, AVC, thromboses, cancers fulgurants et troubles neurodégénératifs explosent. Depuis trois ans, des médecins alertent sur les effets secondaires des injections : myocardites, péricardites, troubles immunitaires et hormonaux. Les autorités les qualifient de "rares", mais les chiffres suggèrent un impact massif et prolongé.

    Chute des naissances et effondrement démographique

    Parallèlement, la natalité s’effondre. Depuis 2022, la France connaît une baisse historique des naissances, atteignant en 2024 le plus bas niveau depuis la Seconde Guerre mondiale.

    Les explications officielles (crise économique, nouvelles aspirations des femmes) ne suffisent pas à justifier cette chute brutale. Les signaux inquiétants s’accumulent :

    Hausse des fausses couches et complications de grossesse.Dérèglements menstruels signalés après les injections.Baisse de la fertilité masculine avec un effondrement du nombre et de la qualité des spermatozoïdes.

    Ce phénomène est mondial. En Allemagne, en Italie, au Royaume-Uni et aux États-Unis, la démographie s’effondre après des campagnes massives d’injections. Une coïncidence ?

    Pourquoi cacher ces chiffres ?

    Les données de l’INSEE sont publiques, mais aucun grand média n’en parle. Pourquoi ? Parce que les conclusions dérangent.
    Admettre que la surmortalité et l’effondrement de la natalité sont liés aux injections, c’est reconnaître une catastrophe sanitaire et une responsabilité politique et pharmaceutique énorme.

    Une volonté de réduction de la population ?

    Depuis des décennies, certaines élites mondialistes défendent une réduction démographique, sous couvert d’écologie ou de gestion des ressources. Des figures comme Bill Gates et Klaus Schwab évoquent la nécessité de "contrôler" la croissance de la population mondiale.

    Si cet agenda était appliqué, à quoi ressemblerait-il ?

    Une surmortalité croissante sous couvert de crises sanitaires.Une chute des naissances sous prétexte d’évolution sociétale.Une censure médiatique empêchant toute remise en question.

    Les chiffres ne mentent pas. Quelque chose d’anormal se produit, et ceux qui refusent de voir la réalité seront les prochaines victimes.

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  • Le 4 mars 2025, Sylvain Ferreira et François Martin étaient les invités de La Matinale de Géopolitique Profonde, animée par Raphaël Besliu !

    Sylvain Ferreira est un historien militaire français, spécialisé dans l’art de la guerre et son évolution de 1850 à 1945. Il s’intéresse particulièrement à l’impact de l’ère industrielle sur les combattants et a contribué à plusieurs revues d’histoire militaire. Auteur et concepteur de jeux de stratégie, il a récemment publié La bataille de Marioupol : 25 février – 20 mai 2022.

    François Martin est un géopolitologue, journaliste et essayiste français, diplômé de l’ESSEC et de l’EMBA HEC, et auditeur de l’IHEDN et de l’INHESJ. Avec une carrière de 40 ans dans le commerce international de l’alimentaire, il a acquis une expérience considérable sur plus de 100 pays et maîtrise six langues et est connu pour ses analyses pénétrantes sur des sujets internationaux complexes.

    L’Europe choisit l’escalade militaire et rejette la paix

    Plutôt que d’opter pour la diplomatie, les dirigeants européens s’engagent dans une confrontation directe avec la Russie. Tandis que les États-Unis amorcent un retrait progressif, Emmanuel Macron et Keir Starmer plaident pour un soutien militaire accru à l’Ukraine. Leur doctrine de la paix par la force masque une montée en puissance offensive.

    Macron a proposé une trêve d’un mois, affichée comme une initiative diplomatique. Pourtant, cette pause vise à renforcer l’arsenal ukrainien et à accroître la pression sur Moscou. Cette stratégie prolonge la guerre sous prétexte de la stopper, augmentant les risques d’un conflit généralisé.

    L’illusion d’une armée européenne face à une Russie surpuissante

    Face au désengagement américain, certains prônent une armée européenne. Mais cette ambition est illusoire : aucune nation européenne ne peut rivaliser avec la puissance militaire russe. L’Europe dépend toujours des États-Unis pour son matériel, sa logistique et sa coordination.

    Les hausses budgétaires annoncées en France et en Allemagne sont insignifiantes face aux moyens colossaux de la Russie. L’échec de l’Ukraine, malgré des milliards d’aides, le prouve. Poursuivre cette voie condamne l’Europe à un conflit qu’elle ne peut ni gagner ni contrôler.

    Une stratégie dictée par les élites mondialistes

    Cette fuite en avant ne relève pas d’erreurs stratégiques, mais d’un projet global : maintenir l’Europe sous tutelle atlantiste. Le conflit ukrainien justifie une militarisation accélérée et une intégration accrue sous commandement OTAN, empêchant tout rapprochement avec Moscou.

    L’Union européenne devient le terrain d’expérimentation d’un complexe militaro-industriel avide de profits. Tandis que les États-Unis se distancient, l’Europe est poussée vers une impasse. Cette stratégie ne protège pas ses peuples, elle les expose à une catastrophe géopolitique.

    Ne soyez pas dupe des manœuvres des élites, anticipez les bouleversements à venir avec votre revue mensuelle de Géopolitique Profonde !

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  • Le 3 mars 2025, le Capitaine Hervé Moreau, Antoine Gainot et Patrice Magneron étaient les invités de La Grande Émission animée par Mike Borowski, sur Géopolitique Profonde.

    Le capitaine Hervé Moreau est un ancien officier de gendarmerie qui a quitté son poste pour dénoncer les dérives du système judiciaire français. À travers ses livres Vérité d’un capitaine de gendarmerie et Candidat libre, il expose les dysfonctionnements institutionnels, l’impuissance des forces de l’ordre et l’absence de justice pour les victimes. Engagé et sans compromis, il propose des réformes concrètes pour la sécurité et la justice, tout en assumant les risques de son franc-parler et de son indépendance.

    Antoine Gainot est un éditorialiste au sein de la revue « Front populaire », une publication française fondée par Michel Onfray, qui se consacre à une réflexion critique sur les enjeux contemporains en France et en Europe. À travers ses écrits, Antoine Gainot aborde des sujets variés, souvent marqués par une analyse de l’actualité politique et sociétale, et s’inscrit dans une démarche de défense de la souveraineté populaire et de remise en question des dogmes dominants.

    Patrice Magneron est le président de l’association IDNF (Initiative pour la Défense de la Nation Française), une organisation engagée dans le rapprochement entre militaires et civils. À travers diverses actions et activités, l’IDNF œuvre pour renforcer les liens entre ces deux composantes essentielles de la société, en mettant l’accent sur des valeurs de patriotisme et de défense de l’identité nationale.

    Un pays au bord de l’explosion

    La France vacille sous une élite politique incapable de garantir la sécurité. Zones de non-droit, immigration incontrôlée, justice laxiste : le pays se dirige vers un chaos imminent. Face à cette menace, l’absence de leadership ferme renforce l’anarchie. Un État qui ne protège pas ses citoyens les abandonne à la violence.

    Seul un dirigeant déterminé peut stopper cette dérive. L’histoire montre qu’un pays sans autorité sombre. Il est urgent de restaurer l’ordre, de rétablir une justice efficace et de reprendre le contrôle du territoire.

    Pourquoi l’État protège les voyous mais harcèle les Français ?

    L’État, au lieu de combattre la criminalité, s’acharne sur les citoyens honnêtes. Amendes abusives, restrictions liberticides, impôts confiscatoires : tout est fait pour briser les individus autonomes. Pendant ce temps, les délinquants multirécidivistes sont relâchés, les quartiers abandonnés aux gangs, et l’insécurité explose.

    Ce chaos n’est pas une conséquence de l’incompétence, mais d’une volonté d’instaurer un climat de peur permettant de justifier un contrôle accru sur la population. Seule une politique forte et déterminée pourra renverser cette stratégie et restaurer la sécurité nationale.

    Rétablir la France : justice, frontières, autorité

    Le redressement du pays repose sur trois piliers :

    Une justice ferme : appliquer les peines, punir les criminels et mettre fin à l’impunité.Des frontières contrôlées : stopper l’immigration incontrôlée qui alimente l’insécurité et détruit l’unité nationale.Une autorité affirmée : un chef d’État doit défendre son peuple et refuser les soumissions aux dogmes mondialistes destructeurs.

    Ne subissez plus le chaos organisé par les élites : imposez la vérité et l’ordre avec votre revue mensuelle de Géopolitique Profonde.

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  • Le 3 mars à 2025, Mike Borowski vous donnait rendez-vous pour un sujet explosif, sur Géopolitique Profonde.

    Un film primé, un message clair

    Le film Emilia Pérez de Jacques Audiard a marqué l’histoire du cinéma français en remportant sept César, dont celui de meilleur film. Son récit, centré sur un baron de la drogue mexicain qui transitionne pour devenir une femme, dépasse le cadre de la fiction : il illustre une transformation profonde du paysage culturel français.

    Jadis marginale, la question transgenre est désormais au cœur du discours dominant, imposée comme une évidence par les institutions médiatiques et politiques. Ce sacre symbolise l’aboutissement d’un projet idéologique qui s’accélère depuis plusieurs années.

    Un projet politique assumé

    Depuis l’élection d’Emmanuel Macron en 2017, la question trans s’est hissée au premier plan des débats sociétaux. Derrière le prisme de l’inclusion et de la diversité, c’est une refonte complète des repères identitaires qui se met en place. L’État, les médias et les industries culturelles avancent ensemble pour déconstruire le modèle traditionnel de l’homme et de la femme.

    Dans les écoles, les administrations et les productions audiovisuelles, la promotion du transgenrisme est devenue systématique, présentée comme une avancée incontournable. Cette dynamique ne relève pas d’un mouvement organique, mais d’une volonté politique appuyée par les élites progressistes, où toute remise en question est taxée de conservatisme.

    Un effacement des repères identitaires

    Cette évolution dépasse largement le simple combat pour les droits des minorités. Elle s’inscrit dans un projet de société qui vise à effacer toute notion de structure biologique et naturelle de l’identité. La dissolution des catégories traditionnelles ne se limite pas au genre : elle touche la famille, l’éducation et les fondements de la civilisation occidentale.

    Cette stratégie repose sur un matraquage culturel, où la moindre opposition est immédiatement diabolisée. Ce que l’on présente comme une simple reconnaissance des identités fluides est en réalité une transformation radicale imposée par le haut, où les figures d’autorité – politiques, médiatiques et artistiques – façonnent un nouveau paradigme sans consultation démocratique.

    Un basculement civilisationnel imposé

    Le sacre d’Emilia Pérez aux César n’est pas un simple événement cinématographique : il s’agit d’un signal fort d’un basculement sociétal. Cette victoire consacre un nouveau modèle idéologique où le transgenrisme devient la norme à promouvoir et où toute critique est assimilée à une hérésie réactionnaire.

    Ce phénomène ne relève pas du progrès naturel, mais d’une volonté d’ingénierie sociale, visant à redéfinir en profondeur les repères civilisationnels. Le comprendre, c’est se donner les moyens d’y résister.

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  • Le 3 mars 2025, Claude Janvier et Laurent Michelon étaient les invités de La Matinale, animée par Raphaël Besliu, sur Géopolitique Profonde.

    Claude Janvier est un écrivain et essayiste français connu pour ses prises de position tranchées sur des sujets de société et de politique. Il est l’auteur de plusieurs ouvrages qui explorent les dynamiques de pouvoir et les influences cachées au sein des structures étatiques et supranationales. Son dernier livre se nomme « L’État Profond Français » .

    Laurent Michelon, entrepreneur français , est établi en Chine depuis plus de 20 ans, et y a travaillé dans la diplomatie culturelle française et pour plusieurs groupes de communication internationaux. Il est l’auteur du livre « Comprendre la relation Chine-Occident ».

    Zelensky humilié, l’Ukraine plus isolée que jamais

    Volodymyr Zelensky espérait un soutien américain. Il a reçu une leçon. Lors de sa rencontre avec Donald Trump, ce dernier lui a reproché son refus du cessez-le-feu et l’a accusé de jouer avec la Troisième Guerre mondiale. Loin du soutien espéré, il a été publiquement désavoué.

    L’onde de choc dépasse la scène diplomatique. L’aide occidentale s’essouffle. En Europe, des pays comme la Norvège refusent désormais de soutenir militairement l’Ukraine. La fracture entre les alliés se creuse, rendant l’isolement de Kiev de plus en plus évident.

    L’Union européenne enchaîne les humiliations

    Macron, espérant imposer son leadership, s’est incliné devant Trump. Résultat : les États-Unis imposent une taxe de 25 % sur les importations européennes, fragilisant une économie déjà affaiblie. L’Europe, incapable de tenir tête à la Russie, se retrouve dans une impasse stratégique.

    Kier Starmer, nouveau Premier ministre britannique, pensait réaffirmer l’influence du Royaume-Uni. Il a dû constater l’impuissance militaire européenne face à la Russie. Malgré ces revers, Bruxelles continue son hostilité envers Moscou, refusant d’admettre son incapacité à peser dans le conflit.

    Trump avance, l’État profond recule

    Pendant que l’Europe accumule les échecs, Trump applique méthodiquement son programme : fin du wokisme, durcissement migratoire, remise en cause du chantage climatique. Il impose son agenda sans concession.

    Sur le plan international, il évoque l’idée explosive de placer Gaza sous administration américaine. Une décision qui renforcerait encore l’influence des États-Unis au Moyen-Orient. Mais la bataille la plus critique se joue en interne. L’État profond américain semble en déroute, se repositionnant en Europe, où son agenda trouve moins de résistance.

    Un monde sous la domination de Trump

    Trump impose son influence, humiliant ses adversaires et restructurant l’ordre mondial à son avantage. L’Europe s’enlise, l’Ukraine se retrouve isolée, et l’État profond cherche un nouveau point d’ancrage. Une réorganisation est en cours et son issue marquera l’avenir géopolitique.

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  • Le 2 mars 2025, Alexis Tarrade, Xavier Moreau et Nikola Mirkovic vous donnaient rendez-vous pour un nouvel épisode de Divergence sur Géopolitique Profonde !

    Alexis Tarrade est un acteur clé des relations franco-russes et du soutien aux expatriés en Russie. Ancien président des Républicains en Russie et Biélorussie, il a dirigé l’Union des Français de l’Étranger en Russie et intervient régulièrement dans des débats sur les relations internationales.

    Xavier Moreau, ancien officier parachutiste et diplômé de Saint-Cyr, vit en Russie depuis 24 ans. Il dirige LinkIT Vostok et a fondé le centre d’analyse Stratpol. Spécialiste de la géopolitique russe, il est l’auteur de plusieurs ouvrages, dont Nouvelle Grande Russie et Pourquoi la Russie a gagné ?.

    Nikola Mirkovic, président de l’association Ouest-Est, mène des missions humanitaires au Donbass et au Kosovo. Auteur de Bienvenue au Kosovo et L’Amérique Empire, il analyse les enjeux entre l’Est et l’Ouest.

    L’AfD explose en ex-RDA et bouleverse l’Allemagne

    L’Alternative für Deutschland (AfD) progresse fortement dans l’ex-RDA, reflétant un rejet massif des politiques fédérales de Berlin. L’Est, en opposition frontale avec l’Ouest, refuse l’immigration massive, l’inflation et les restrictions énergétiques. L’AfD, diabolisée par l’establishment, devient le dernier recours des citoyens en rupture avec le pouvoir central.

    L’élite politique panique. Certains évoquent une dissolution du parti, une menace qui ne ferait qu’alimenter la révolte. Cette fracture Est-Ouest rappelle les tensions historiques de la guerre froide et préfigure un clivage explosif dans l’avenir de l’Allemagne.

    Macron humilié par Trump

    La rencontre entre Emmanuel Macron et Donald Trump a confirmé l’impuissance française face aux États-Unis. Sur le climat, le commerce et l’Iran, Trump a imposé sa vision sans faire de concessions. Macron, qui espérait un rôle de médiateur, s’est heurté à un mur.

    Cette rencontre illustre la vassalisation de la France, incapable de peser sans l’aval de Washington. L’Europe, qui se rêve autonome, reste sous influence américaine. Trump en sort gagnant, Macron affaibli, et l’illusion d’un leadership européen s’effondre une fois de plus.

    Roumanie : un coup d’État électoral orchestré par Bruxelles

    L’arrestation de Georgescu en pleine campagne électorale illustre une ingérence brutale de l’Union européenne. Sous prétexte de lutte contre la corruption, Bruxelles élimine les opposants et verrouille le pouvoir. Ce modèle de contrôle, déjà appliqué en Hongrie et en Pologne, s’étend désormais à l’ensemble de l’Europe de l’Est.

    La démocratie devient un simulacre où seuls les candidats validés par l’UE ont une chance d’accéder au pouvoir. La souveraineté des peuples est écrasée par une technocratie qui ne tolère aucune dissidence.

    Ne laissez pas les élites écrire l’histoire à votre place, décortiquez les véritables enjeux avec votre revue mensuelle de Géopolitique Profonde !

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  • Le 2 mars 2025, Mike Borowski révélait comment Pierre-Alain Cottineau, assistant familial et militant LFI, a organisé un réseau pédocriminel en Loire-Atlantique, profitant de l’Aide sociale à l’enfance pour livrer des enfants drogués à des prédateurs protégés, dans un système étendu et occulté sur GPTV.

    Un réseau pédocriminel infiltré dans l’Aide sociale à l’enfance

    L’affaire révèle une infiltration criminelle au sein des structures de protection de l’enfance. Pierre-Alain Cottineau, président de l’association Esprit Arc-en-Ciel et militant LFI, s’est servi de son engagement pour obtenir la garde d’enfants vulnérables. Derrière son activisme, il opérait un réseau structuré, exploitant des victimes sous couvert d’un cadre institutionnel censé les protéger.

    Grâce à son statut et ses relations politiques, il a bénéficié d’une impunité totale, lui permettant d’agir sans entraves. Comme dans d’autres affaires, la proximité avec des élus et des groupes militants a joué un rôle clé dans la dissimulation de ses crimes.

    Des enfants livrés à un réseau organisé

    Les faits sont d’une brutalité inouïe : des enfants placés sous sa responsabilité ont été drogués, agressés et filmés pour être diffusés sur le darknet. Une fillette de 4 ans handicapée et un bébé de 5 mois comptent parmi les victimes identifiées.

    Le réseau ne se limite pas à un prédateur isolé. Des pédocriminels de France et de Belgique étaient impliqués, utilisant des messageries cryptées et des circuits logistiques élaborés. L’organisation rappelle d’autres scandales où les institutions ont servi de couverture aux criminels.

    Complicités et silence médiatique

    Malgré des signalements, Cottineau a conservé son rôle auprès des enfants. Pourquoi l’ASE lui a-t-elle accordé sa confiance malgré des soupçons ? Comment un tel individu a-t-il pu échapper à tout contrôle ? Ces questions restent sans réponse, illustrant l’aveuglement ou la complicité des institutions.

    Les médias, habituellement prompts à s’indigner, ont minimisé l’affaire. Aucune grande chaîne d’information ne l’a traitée sérieusement. Ce silence interroge : pourquoi ces crimes sont-ils si souvent occultés par les élites politiques et médiatiques ?

    Un schéma criminel bien rodé

    Cette affaire suit un schéma récurrent :

    Un criminel infiltré dans une institution de confiance.Une couverture militante ou politique qui protège ses actions.Des complicités institutionnelles permettant la persistance des abus.

    L’ampleur du réseau prouve qu’il ne s’agit pas d’actes isolés, mais bien d’un système où les prédateurs opèrent sous la protection d’institutions censées défendre les victimes.

    Pourquoi tant d’impunité ?

    Les scandales pédocriminels sont systématiquement étouffés. Dès qu’ils éclatent, une machine médiatique se met en place pour minimiser leur portée et détourner l’attention. Trop souvent, les enquêtes se heurtent à des blocages judiciaires, laissant penser que ces réseaux bénéficient d’appuis haut placés.

    Tant que ces affaires ne seront pas traitées comme une priorité absolue, les criminels continueront à agir en toute impunité. Exiger vérité et justice est un impératif pour mettre fin à ces protections indignes.

    Sortez de la propagande médiatique et découvrez la vérité sur ces réseaux occultes avec votre revue mensuelle de Géopolitique Profonde.

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  • Le 2 mars 2025, Serge Federbusch était l’invité du Libre Journal de Géopolitique Profonde, animé par Nicolas Stoquer !

    Serge Federbusch est un essayiste et homme politique français, connu pour ses positions tranchées sur la politique nationale et son engagement contre le déclin de Paris. Fondateur du mouvement Aimer Paris, il est un critique fervent des élites politiques et des dysfonctionnements de la gestion publique. Il présentera son dernier livre, Le Sabre et l’Esprit .

    Macron et l’effondrement de la diplomatie française

    Autrefois puissance d’équilibre, la France est devenue un acteur secondaire sur la scène mondiale. L’alignement sur Washington et Bruxelles, la communication infantilisante sur TikTok et l’absence de vision stratégique ont précipité ce déclin. Macron privilégie l’image à l’action, tandis que la politique intérieure se réduit à des jeux de pouvoir, illustrés par l’affaire Richard Ferrand et la complicité tacite du Rassemblement National. La souveraineté et la puissance sont sacrifiées au profit du court-termisme.

    La faillite économique, bombe à retardement

    Le modèle français repose sur un endettement insoutenable. Chaque euro dépensé pour acheter la paix sociale fragilise davantage l’économie. L’industrie a été démantelée, la compétitivité sacrifiée, et la fiscalité décourage toute relance. La France est un marché sous perfusion de l’UE et de la BCE. Lorsque les marchés cesseront de financer ce modèle, l’effondrement sera brutal.

    Choc entre État-nation et mondialisation totalitaire

    Le monde est en guerre entre souverainistes et mondialistes. La France, piégée dans des dogmes dépassés, refuse d’admettre la fin du modèle globalisé. La guerre en Ukraine, la crise de Gaza et la rivalité sino-américaine ne sont que des symptômes d’un affrontement bien plus large. Face au retour du protectionnisme, Paris persiste dans une stratégie perdante. L’histoire avance, et ceux qui ne s’adaptent pas disparaissent.

    Découvrez les vérités cachées derrière la chute inexorable de la France avec votre revue mensuelle de Géopolitique Profonde !

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  • Le 1er mars 2025,Mike Borowski, vous donnait rendez-vous sur Géopolitique Profonde.

    L’audience de Volodymyr Zelensky chez Donald Trump a tourné au fiasco diplomatique.
    Le président américain n’a pas mâché ses mots, recadrant son homologue ukrainien avec une fermeté jamais vue sur la scène internationale. Derrière cette scène brutale, c’est un changement stratégique majeur qui se dessine : l’abandon progressif de l’Ukraine par Washington.

    Trump lâche l’Ukraine : un tournant géopolitique majeu

    Lors de leur rencontre à la Maison-Blanche, Donald Trump a sèchement reproché à Zelensky de « jouer avec la troisième guerre mondiale ». Le vice-président J.D. Vance a enfoncé le clou, qualifiant le président ukrainien de « dictateur sans élections ». Ce ton traduit un changement profond : l’Ukraine n’est plus une priorité stratégique pour les États-Unis.

    En refusant de signer l'accord sur l’exploitation conjointe des ressources minérales ukrainiennes, Zelensky ne fait pas que rompre un partenariat économique, il scelle une rupture politique. Les alliés européens, pris de court, doivent désormais réévaluer leur position face à cette nouvelle donne en Europe de l’Est.

    L’effondrement du mythe Zelensky

    Présenté comme un héros de la résistance, Zelensky voit son image s’effriter. En remettant en cause la légitimité de son pouvoir et l’absence d’élections en Ukraine, Trump et Vance brisent le vernis démocratique entretenu par Kiev.

    Désormais, les critiques fusent sur la gestion autoritaire du pouvoir ukrainien, la répression des opposants et la dépendance totale du régime vis-à-vis des aides occidentales. L’État ukrainien, vendu comme un rempart démocratique contre Moscou, apparaît de plus en plus comme un régime sous perfusion, incapable de survivre sans le soutien des États-Unis et de l’UE.

    Un revers pour l’État profond

    Ce désaveu de l’Ukraine par Trump est un camouflet pour l’État profond américain, qui pousse depuis des années à l’escalade avec la Russie. L’objectif était de maintenir l’Europe sous tutelle américaine, affaiblir Moscou et enrichir le complexe militaro-industriel.

    Trump, en refusant d’impliquer davantage les États-Unis, privilégie le désengagement et le rapprochement avec Moscou. Cette rupture avec la ligne belliciste de Biden pourrait marquer un changement de paradigme et redéfinir l’équilibre des forces en Europe.

    Un bouleversement pour l’Europe

    L’Europe, longtemps protégée par le parapluie militaire américain, pourrait être la grande perdante de ce réalignement. La France, l’Allemagne et d’autres puissances européennes devront revoir leurs stratégies de défense et envisager de nouvelles alliances, y compris avec des acteurs autrefois perçus comme des adversaires.

    Pour Washington, cette réorientation marque une transition vers une politique moins interventionniste. Trump se positionne comme un pragmatique qui met fin aux guerres coûteuses et inutiles, une posture qui pourrait séduire une opinion publique américaine lassée des conflits interminables.

    L’époque où Volodymyr Zelensky était acclamé en héros semble révolue. Il incarne désormais l’échec d’une stratégie occidentale, une marionnette sacrifiée au gré des intérêts américains.

    Nous entrons dans une nouvelle ère géopolitique, où les alliances se redessinent et où les vérités cachées émergent. L’abandon progressif de l’Ukraine n’est que le début d’un basculement stratégique dont les conséquences restent imprévisibles.

    Allez plus loin dans l’analyse et la compréhension des grands bouleversements, grâce à votre revue mensuelle de Géopolitique Profonde.

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  • Le 1er mars 2025, Youssef Hindi et Pierre-Antoine Plaquevent étaient les invités de Mike Borowski, sur Géopolitique Profonde.

    Youssef Hindi est écrivain, chercheur indépendant et historien de l’eschatologie messianique. Ses travaux de recherches sont tournés principalement vers l’étude des origines des idéologies modernes, de leur évolution et leur influence sur la politique et la géopolitique contemporaines.

    Pierre-Antoine Plaquevent est un essayiste français, expert en géopolitique et en stratégies d’influence des élites mondiales. Il est reconnu pour ses ouvrages sur la manipulation et la réingénierie sociale orchestrée par les élites globalistes.

    Tous deux ont récemment co-écrit et publié l’ouvrage « Israël et la guerre mondiale des religions : Géopolitique et millénarisme » dont ils vont nous parler lors de cette émission. Cet article sert d’introduction.

    Un sionisme messianique en pleine expansion

    Le conflit israélo-palestinien ne se limite pas à une guerre territoriale. Il s’inscrit dans une dynamique messianique et géopolitique globale, où les ambitions du sionisme millénariste s’entrelacent avec les stratégies impérialistes occidentales.

    Loin d’être un simple affrontement entre deux peuples, cette guerre s’impose comme un choc des civilisations orchestré, aux répercussions bien au-delà du Moyen-Orient.

    Un sionisme messianique expansionniste

    Le projet sioniste, initialement laïc, glisse vers une vision théocratique visant à reconstruire le Troisième Temple de Jérusalem sur l’emplacement d’Al-Aqsa. Cette ambition justifie une politique de déplacement des Palestiniens, perçus comme un obstacle. Depuis des années, l’expansion israélienne s’accélère, favorisée par le chaos dans les États voisins comme l’Irak ou la Syrie, affaiblissant toute opposition régionale.

    L’Europe sous influence néoconservatrice

    Les gouvernements européens sont sous emprise atlantiste et sioniste. Depuis la guerre en Libye, qui a plongé la région dans l’instabilité, chaque crise suit le même modèle : soutien inconditionnel à Israël, diabolisation de ses adversaires et instrumentalisation du chaos. La guerre en Ukraine renforce cette emprise, empêchant l’émergence d’un bloc indépendant résistant à la domination anglo-saxonne.

    Un choc des civilisations manipulé

    L’affrontement entre Israël et le monde arabe repose sur une ingénierie géopolitique. L’essor de l’islamisme radical, largement encouragé par des services occidentaux et israéliens, a permis de justifier des décennies de guerre. La menace terroriste, entretenue par des groupes comme Daech, sert de prétexte pour des interventions militaires et un contrôle accru des populations.

    L’urgence d’une alternative géopolitique

    L’Europe doit rompre avec l’atlantisme et les dogmes néoconservateurs pour retrouver son autonomie diplomatique. Il ne s’agit plus de choisir entre un soutien inconditionnel à Israël ou une soumission à une gauche mondialiste, mais de construire une vision stratégique propre, recentrée sur les intérêts européens.

    Ce conflit n’est pas qu’un problème régional : il est un révélateur des forces en jeu dans la reconfiguration du pouvoir mondial.

    Décryptez les vérités interdites et libérez-vous du récit officiel avec votre revue mensuelle de Géopolitique Profonde.

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  • Le 28 février 2025, Pierre Jovanovic et Raphaël Besliu étaient les invités de Nicolas Stoquer,sur Géopolitique Profonde !

    Pierre Jovanovic est un journaliste économique, éditeur et éditorialiste français, auteur d’essais historiques, théologiques, financiers et politiques. Il anime sa chaîne Youtube Pierre Jovanovic – La revue de presse et vient également de publier 888 : « L’humour noir et les pouvoirs surnaturels du Christ ». Grand défenseur de l’or et l’argent métal comme valeur refuge, il nous aidera à y voir plus clair dans ce sombre avenir économique qui nous tend les bras.

    La propagande médiatique repose sur un mensonge financier

    Les grands médias ne survivent que grâce aux subventions publiques et aux financements privés d’oligarques. France Télévisions, Le Monde, Libération… tous dépendent d’aides massives. Ce n’est plus l’audience qui garantit leur survie, mais une perfusion financière destinée à maintenir une influence artificielle.

    La confiance du public est anéantie. Les chiffres d’audience sont faussés par des outils comme Médiamétrie, qui mesurent des écoutes passives. En réalité, ces médias ne sont plus suivis que par une minorité, tandis que le reste de la population s’en détourne, ne les écoutant que par habitude ou faute d’alternative immédiate.

    Les médias alternatifs captent l’audience en quête de vérité

    Face à la chute des médias traditionnels, le public se tourne vers des sources indépendantes comme Sud Radio, Radio Courtoisie et des chaînes YouTube. Ce phénomène, autrefois marginal, est devenu une lame de fond.

    Ceux qui découvrent ces médias y restent, car ils y trouvent une information directe, sans filtre ni censure. Les jeunes désertent la télévision, et les actifs rejettent la presse subventionnée. La fracture médiatique est désormais irréversible. Chaque jour, de nouveaux lecteurs et auditeurs abandonnent définitivement les chaînes d’État et les journaux contrôlés.

    L’infiltration des médias alternatifs par l’oligarchie

    Conscient de cette débâcle, le pouvoir cherche à infiltrer l’information alternative. Des milliardaires pourraient investir dans ces nouveaux médias pour y insuffler une ligne éditoriale contrôlée. CNews, perçue comme dissidente, appartient pourtant à un empire médiatique totalement intégré au système.

    L’objectif est clair : empêcher l’émergence d’une presse réellement indépendante en maintenant une illusion de diversité. Mais cette stratégie est vouée à l’échec. Contrairement aux rédactions subventionnées, la nouvelle vague médiatique repose sur une volonté populaire. L’information restera libre tant que les citoyens refuseront d’être manipulés.

    Ne vous laissez pas manipuler par l’oligarchie et accédez à une information libre et sans compromis avec votre revue mensuelle de Géopolitique Profonde !

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  • Le 28 février 2025, Mike Borowski dévoilait le scandale de l’AFD : 15,96 milliards dépensés, 60 milliards de dettes et des dons à la Chine aux frais des Français, sur GPTV.

    Un gouffre financier payé par les Français

    L’Agence Française de Développement (AFD) est une machine à brûler l’argent public. En 2023, 15,96 milliards d’euros ont été dépensés pour l’aide publique au développement, un montant supérieur aux budgets de la Justice (12,2 milliards) et de l’Agriculture (6,7 milliards). Depuis Macron, cette somme a explosé, sans contrôle ni transparence. Contrairement aux affirmations du gouvernement, chaque euro provient bien des impôts français.

    L’AFD s’endette à hauteur de 85% sur les marchés financiers pour prêter aux pays étrangers, souvent à des taux ridicules. Résultat : 60 milliards de dettes cumulées, dont 10 milliards supplémentaires en deux ans. Une partie de ces prêts ne sera jamais remboursée, et ce sont encore les contribuables français qui en paieront le prix.

    Des milliards d’euros donnés à des pays étrangers

    Loin des discours officiels, la majorité des financements de l’AFD ne sont pas des prêts, mais bien des dons. En 2023, 87% de l’aide publique au développement a été distribuée sous forme de dons. Pourtant, l’AFD prétend que « 85% de son activité repose sur des prêts », en manipulant les chiffres.

    Certains bénéficiaires sont surprenants. Entre 2018 et 2020, la France a versé 371 millions d’euros à la Chine, dont 277 millions en dons. Offrir de l’argent à une puissance économique qui nous concurrence est un non-sens absolu. Pendant ce temps, des millions d’euros sont injectés dans des projets absurdes : « budgétisation genrée en Jordanie », égalité des sexes en Irak ou encore l’étude de l’impact du Covid sur les inégalités au Togo.

    Salaires dorés et projets pharaoniques

    Pendant que l’AFD accumule les dettes, ses cadres se gavent. Son directeur, Rémy Rioux, touche 17 500 € par mois, plus que le Président de la République. L’agence emploie 2 800 personnes, avec 403 millions d’euros en frais de personnel. Bureaucratie tentaculaire, elle multiplie les postes inutiles et coûte une fortune.

    Pire encore, son futur siège social en construction à Paris, gare d’Austerlitz, coûtera un milliard d’euros pour 50 000 m² de bureaux. Une dépense délirante alors que la France fait face à une crise du logement et à des services publics en ruine.

    L’AFD repose sur une dette incontrôlée et une illusion de rentabilité. Elle ne profite ni aux Français ni aux entreprises du pays. Pire, elle contribue à l’appauvrissement national sous prétexte d’une générosité internationale qui masque une gabegie financière inacceptable.

    Ouvrez les yeux sur les vérités cachées derrière ces politiques grâce à votre revue mensuelle de Géopolitique Profonde !

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  • Le 28 février 2025, Marc Gabriel Draghi, Jean Yves Le Gallou et Bernard Monnot étaient les invités de La Matinale de Géopolitique Profonde, animée par Nicolas Stoquer et Raphaël Besliu !

    Marc Gabriel Draghi est un juriste français spécialisé dans l’histoire du droit et la question monétaire. Il est l’auteur de plusieurs ouvrages dénonçant l’influence des élites mondialistes sur l’économie et la politique, dont « Le règne des marchands du temple », « Le grand reset en marche ! » et « La Grande Narration : Vers la mort des Nations ».

    Jean-Yves Le Gallou est énarque, essayiste et président de Polémia. Il est connu pour ses analyses sur la propagande médiatique et la novlangue, ainsi que son engagement en faveur de la civilisation européenne.

    Bernard Monot, économiste et ancien député européen du FN, est un spécialiste des questions monétaires. Il a défendu la sortie de l’euro et critique l’endettement imposé aux nations par les marchés financiers.

    La dette, instrument d’asservissement

    La France est prisonnière d’une dette orchestrée par ses élites pour la soumettre aux institutions financières et à Bruxelles. Chaque emprunt renforce la dépendance du pays à un système qui impose privatisations, coupes budgétaires et réformes dictées par l’UE. Macron, parfait exécutant de cet agenda, multiplie les dépenses pour des causes idéologiques, aggravant l’endettement et la perte de souveraineté. Seul un changement radical permettrait de reprendre le contrôle : sortie du modèle néolibéral, souveraineté monétaire et alliance avec les BRICS.

    Sécurité : un État complice du chaos

    La criminalité explose alors que l’État bride la police et protège les délinquants sous prétexte des droits de l’Homme. Les tribunaux laxistes, les zones de non-droit et les sanctions disproportionnées contre les citoyens opposés au système traduisent une volonté claire : désarmer toute contestation. La surveillance des Français s’intensifie, tandis que la répression des opinions dissidentes s’accélère. Tant que l’impunité des criminels primera sur la protection des honnêtes citoyens, la situation continuera de se dégrader.

    Une opposition sous contrôle

    Le RN, par sa quête de respectabilité, ne constitue plus une opposition réelle. Cherchant à éviter toute diabolisation, il se soumet aux dogmes du politiquement correct. Pendant que l’AfD allemande progresse en assumant ses positions, le RN s’affadit et trahit ses électeurs. L’urgence n’est pas à la modération, mais à une résistance frontale contre le système. La droite doit sortir de l’autocensure et porter un discours clair sur la souveraineté, l’immigration et la sécurité.

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  • Le 27 février 2025, Youssef Hindi, Patrick Pasin et François Martin étaient les invités de La Grande Émission, animée par Mike Borowski, sur Géopolitique Profonde.

    Youssef Hindi est un auteur et chercheur indépendant, notamment historien de l’eschatologie messianique. Son travail porte sur les origines des idéologies modernes, leur évolution et leur influence sur la politique et la géopolitique contemporaines. Il nous présente son dernier ouvrage, co-écrit avec Pierre-Antoine Plaquevent « Israël et la guerre mondiale des religions : Géopolitique et millénarisme ».

    Patrick Pasin est un auteur, conférencier et entrepreneur français, connu pour ses critiques sur la géopolitique, la santé publique et la souveraineté individuelle.

    François Martin est géopolitologue, journaliste et essayiste. Diplômé de l’ESSEC et auditeur de l’IHEDN, il a 40 ans d’expérience dans le commerce international et analyse les enjeux globaux avec une expertise économique et stratégique.

    Une lecture millénariste du conflit au Moyen-Orient

    Le Moyen-Orient ne se limite pas à un affrontement géopolitique. Derrière les intérêts stratégiques, une dimension messianique influence profondément les acteurs du conflit. De nombreux groupes religieux – juifs, chrétiens et musulmans – considèrent ces guerres comme des étapes vers une prophétie ultime.

    Les grandes puissances intègrent ces croyances dans leurs stratégies. Aux États-Unis, les milieux évangéliques influencent la politique étrangère en faveur d’Israël, perçu comme un élément clé du plan divin. Dans le monde musulman, des factions djihadistes s’inspirent d’écrits apocalyptiques pour légitimer leurs combats. Ces visions façonnent les alliances et les conflits bien au-delà des considérations purement politiques.

    Les mouvements millénaristes et leur impact géopolitique

    Trois grands courants messianiques dominent la scène internationale :

    Le sionisme messianique, qui prône l’expansion territoriale d’Israël et la reconstruction du Temple de Jérusalem.Le christianisme évangélique, influençant Washington à soutenir inconditionnellement Israël.L’islam apocalyptique, chez certaines factions chiites et sunnites, qui attendent la venue du Mahdi.

    Cette vision du monde transforme le Moyen-Orient en un champ de bataille spirituel où les conflits ne sont plus guidés uniquement par la politique, mais par une quête religieuse. Des guerres comme celles en Syrie ou en Irak prennent une dimension mystique, échappant aux logiques diplomatiques classiques.

    Israël, entre identité religieuse et attentes messianiques

    Israël oscille entre une vision laïque et une dynamique messianique de plus en plus influente. Des groupes religieux radicaux, soutenus par des leaders politiques, appellent à la reconstruction du Temple, un acte qui provoquerait une explosion régionale.

    Cette tension façonne les décisions stratégiques du pays : la colonisation, la politique envers les Palestiniens et les relations avec les États-Unis. Le soutien des milieux évangéliques américains renforce ce positionnement, créant une alliance politico-religieuse.

    Loin d’être un simple conflit territorial, le Moyen-Orient est devenu un théâtre où les prophéties orientent les stratégies militaires et politiques, donnant à ces affrontements une portée qui dépasse le cadre du rationnel.

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  • Le 27 février 2025, Nicolas Stoquer vous donnait rendez-vous pour traiter d'un sujet d’actualité sur Géopolitique Profonde : la scandaleuse arrestation de Calin Georgescu !

    Un coup d’État judiciaire orchestré par Bruxelles

    L’UE et ses relais nationaux franchissent un cap dans leur dérive autoritaire. Après l’annulation de l’élection présidentielle roumaine, l’arrestation de Calin Georgescu, favori des sondages et opposant à l’OTAN, confirme cette volonté d’éliminer toute dissidence. Son crime ? Prôner une Roumanie souveraine et un rapprochement avec Moscou.

    Officiellement accusé d’« ingérence russe via TikTok », le motif est grotesque, rappelant les manipulations médiatiques visant à neutraliser les dirigeants anti-système. Juges trop indépendants écartés, médias complices… tout est orchestré pour maintenir la Roumanie sous domination euro-atlantiste.

    La Roumanie : un bastion militaire de l’OTAN

    L’acharnement contre Georgescu s’explique par la place stratégique de la Roumanie dans le conflit avec la Russie. Paris et Washington y renforcent leur présence militaire, préparant l’acheminement de troupes vers Odessa via la Légion étrangère.

    Georgescu, qui plaidait pour un désengagement de l’OTAN, était une menace pour cet agenda belliciste. Son arrestation montre que toute opposition à la stratégie occidentale est désormais réprimée sans ménagement, comme en Hongrie ou en Slovaquie.

    L’UE bascule dans la dictature

    L’arrestation de Georgescu illustre la nature antidémocratique de l’UE. Si le peuple vote mal, le scrutin est annulé. Si un candidat dérange, il est arrêté.

    Ce durcissement est le symptôme d’un système en crise. L’UE et l’OTAN savent que les peuples rejettent leur agenda de guerre et de soumission à Washington. Incapables d’accepter ce rejet, ils optent pour la répression et la censure.

    Les médias alignés tentent de dissimuler cette dérive, mais la réalité est évidente : l’Union européenne est devenue un régime autoritaire où toute opposition est criminalisée. La Roumanie n’est que le premier terrain d’expérimentation de cette dictature à venir.

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