Afleveringen
-
Le 31 décembre 2024, Franck Pengam, Mike Borowski, Raphaël Besliu, Nicolas Stoquer et Lara Stam vous donnaient rendez-vous pour une émission spéciale bilan de l’année 2024 de Géopolitique Profonde !
Il y a un an, Géopolitique Profonde lançait ses émissions plateau, ouvrant une nouvelle ère dans notre mission d’informer et d’éveiller les consciences.
Aujourd’hui, nous célébrons un bilan exceptionnel : 200 000 abonnés conquis et plus de 60 millions de vues sur YouTube.
Une progression fulgurante qui témoigne de l’engouement pour notre média libre et engagé.Pour fêter les 200 000 abonnés, nous avons organisé en juin une grande soirée à Paris avec notre communauté. Une belle réussite grâce à votre présence et votre soutien !
Une diversification des formats pour une information sans filtre
En 2024, notre offre s’est considérablement enrichie. La revue mensuelle de Géopolitique Profonde continue de séduire les esprits curieux avec des analyses rigoureuses et inédites.
La Grande Émission, un plateau dynamique où des invités prestigieux partagent leurs points de vue, enrichissant chaque débat avec des perspectives variées.GPTV Investigation, au micro de Mickaël et Alexis Tarrade. Ces micro-trottoirs donnent enfin la parole aux Français et capte leur réalité sans détour.La Matinale, devenue incontournable, vous accompagne chaque matin avec des analyses percutantes et des sujets brûlants, animée par Raphaël Besliu et Nicolas Stoquer.L’émission du midi, animée par Mike Borowski et Nicolas Stoquer, s’impose comme un rendez-vous quotidien pour analyser les sujets d’actualité.Les entretiens du dimanche animés par Raphaël Besliu.Les Nocturnes avec Divergence animée par Alexis Tarrade, et Un Soir avec Lara animée par Lara Stam.
Mais l’année a également été marquée par de nouvelles initiatives ambitieuses :Une communauté engagée et des projets ambitieux pour 2025
Le succès de Géopolitique Profonde repose avant tout sur vous, notre communauté grandissante. Votre enthousiasme, vos partages et vos messages nous rappellent chaque jour pourquoi nous faisons ce métier : informer face à la propagande des médias mainstream, défendre la liberté d’expression, et offrir une tribune aux voix étouffées par le système.
Cette mission, nous la poursuivons avec ferveur, portés par votre soutien indéfectible.L’année 2025 s’annonce encore plus ambitieuse, avec de nouveaux projets en préparation pour vous offrir des contenus toujours plus innovants et engagés.
Nous comptons sur vous pour continuer à faire vivre ce projet collectif extraordinaire.Un grand merci et meilleurs vœux pour 2025 de la part de toute l’équipe de Géopolitique Profonde !
Vous avez la possibilité de soutenir notre travail en faisant un don !
Et si ce n’est pas encore fait, il est encore temps de vous procurez votre revue mensuelle Géopolitique Profonde.
https://geopolitique-profonde.com/
-
Le 31 décembre 2024, Nicolas Stoquer vous donnait rendez-vous pour un sujet d’actualité explosif en direct sur Géopolitique Profonde.
Le pouvoir se déclare irresponsable face au chaos
La crise sanitaire liée au Covid-19 marque un tournant dans l’histoire politique française. La Cour de Justice de la République (CJR) a annoncé le 30 décembre 2024 qu’aucun membre du gouvernement – Agnès Buzyn, Olivier Véran et Édouard Philippe – ne sera poursuivi pour leur gestion de la pandémie. Cette décision illustre l’impunité systémique des élites politiques, tandis que le peuple, marqué par des mesures liberticides et une gestion économique désastreuse, reste sans réponse.
Des mesures sanitaires absurdes et traumatisantes
Dès mars 2020, l’État français impose des mesures drastiques bouleversant le quotidien. Des scènes marquantes restent dans les mémoires : accouchements masqués, enfants confinés dans des carrés à la craie, mourants privés de leurs proches. Les auto-attestations de sortie symbolisent l’emprise bureaucratique, tandis que des absurdités comme boire assis mais non debout redessinent l’espace public. Pass sanitaire et obligation vaccinale s’imposent sous peine de sanctions, notamment pour les soignants, accentuant le sentiment d’injustice.
Une élite protégée par un système taillé sur mesure
La gestion de la crise révèle une fracture entre élites et citoyens. Tandis que le peuple subit, les responsables politiques échappent à toute mise en cause. Depuis la loi Chirac-Jospin de 2000, une immunité de fait protège les hauts fonctionnaires et ministres. Cette justice à deux vitesses s’étend aux grands scandales sanitaires comme l’amiante ou la vache folle. Le non-lieu judiciaire sur la pandémie confirme une tradition d’irresponsabilité étatique.
Une gestion économique chaotique et brutale
Simultanément, la politique économique d’Emmanuel Macron et Bruno Le Maire aggrave la dette publique, déjà abyssale. Le confinement paralyse l’économie, favorisant les grands groupes au détriment des services publics. Les soignants travaillent sans moyens, tandis que les hôpitaux subissent une pression extrême. Le gouvernement accélère le démantèlement des protections sociales sous prétexte de rentabilité, amplifiant le sentiment d’injustice. Les confinements, loin d’être purement sanitaires, neutralisent contestations et plongent les citoyens dans une sidération collective.
Un récit réécrit pour effacer les responsabilités
La pandémie devient un outil de réécriture historique. Les dirigeants imposent un récit officiel pour dissimuler leurs échecs, ignorant le passé et plongeant la population dans un présent contrôlé. Cette stratégie, renforcée par la répression des Gilets jaunes, institutionnalise la violence et menace toute contestation future sous prétexte de sécurité.
Le non-lieu judiciaire sur la gestion de la pandémie symbolise une irresponsabilité politique enracinée, où les élites, protégées par des lois sur mesure, continuent leur démantèlement social. Le peuple, témoin et victime de ces années sombres, voit ses souffrances effacées dans un récit officiel imposé.
Pour comprendre les enjeux derrière cette crise sans précédent, procurez-vous votre revue mensuelle Géopolitique Profonde.
https://geopolitique-profonde.com/
-
Zijn er afleveringen die ontbreken?
-
Le 31 décembre 2024, Finn Andreen et le Général Dominique Delawarde étaient les invités de La Matinale, animée par Nicolas Stoquer et Raphaël Besliu, sur Géopolitique Profonde.
00:39:22 : Finn Andreen est un entrepreneur et auteur suédois basé en France, spécialisé dans les questions géopolitiques et économiques. Connu pour ses analyses percutantes sur les rapports de force mondiaux, il intervient régulièrement dans des publications et médias pour décrypter les enjeux globaux et les dynamiques internationales.01:48:00 : Le Général Dominique Delawarde, Saint-cyrien de formation, a servi dans les prestigieux chasseurs alpins et la Légion étrangère. Expert en gestion des ressources humaines, il a dirigé des officiers de liaison français aux États-Unis, où il réside régulièrement. Lors de la crise balkanique de Sarajevo en 1994-1995, il a mené des opérations à la tête du 7e Bataillon de Chasseurs Alpins . En tant qu’ancien chef de la « Situation-Renseignement-Guerre électronique » pour la planification opérationnelle, son expertise militaire est indiscutable.Le bellicisme israélo-américain bouleverse l’ordre mondial en 2024
Depuis octobre 2023, les bombardements de Gaza par Israël, soutenus par des factions américaines, traduisent une volonté de remodeler le Proche-Orient via l’expansion du « Grand Israël ». Cette stratégie, désignant l’Iran comme cible principale, intensifie les tensions mondiales. Ces actions servent aussi de levier pour détourner l’attention des échecs occidentaux tout en alimentant un cycle de domination et de violence.
L’Europe dans une crise systémique
Sous l’influence américaine, l’Europe subit désindustrialisation, chômage croissant et effondrement du pouvoir d’achat. Les révoltes populaires sont réprimées par des moyens insidieux, et les gouvernements souverainistes, comme en Hongrie et en Slovaquie, subissent de fortes pressions. Cette crise socio-économique exacerbe les tensions et met en péril l’avenir du continent.
États-Unis : Trump face à des choix décisifs
Avec l’élection de Donald Trump en 2024, les États-Unis doivent redéfinir leurs priorités géopolitiques : désescalade en Ukraine, guerre commerciale contre la Chine ou confrontation avec l’Iran. Les décisions de la Maison-Blanche auront des conséquences majeures, entre recomposition diplomatique ou escalade de conflits régionaux vers des guerres globales.
Un monde à la croisée des chemins
Les ingérences étrangères et les conflits incessants poussent les nations à reprendre leur souveraineté. L’effondrement économique occidental et les tensions géopolitiques offrent une opportunité de construire un ordre mondial plus équitable, mais nécessitent des alliances solides et une vision stratégique à long terme.
Pour explorer ces enjeux et comprendre les stratégies en cours, plongez dans votre revue mensuelle Géopolitique Profonde.
https://geopolitique-profonde.com/
-
Le 30 décembre 2024, David Pliquet était l’invité d’Un Soir avec Lara, animé par Lara Stam, sur Géopolitique Profonde.
David Pliquet, ingénieur en mécanique et productique, est le fondateur de la start-up E-Mage-In 3D, spécialisée en modélisation, impression 3D et réalité augmentée. Également journaliste pour Citizen Light, il anime des émissions explorant les enjeux sociétaux avec une approche critique. Passionné par la culture bretonne, il s’engage à valoriser l’innovation et le patrimoine de sa région.
Elon Musk : l’ingénieur et visionnaire du futurElon Musk ne se limite pas au rôle d’entrepreneur. Il est directement impliqué dans la conception et l’innovation technologique de ses entreprises. Chez SpaceX, il a révolutionné l’industrie spatiale avec des fusées réutilisables, et chez Tesla, il a optimisé batteries et chaînes de production. Son obsession pour les détails techniques et son pragmatisme radical font de lui un leader atypique, parfois critiqué pour ses méthodes exigeantes.
Une vision révolutionnaire des industries
Musk anticipe les besoins futurs et façonne des industries pour y répondre :
SpaceX pour la colonisation martienne.Tesla pour la transition énergétique mondiale.Neuralink pour connecter cerveau et intelligence artificielle.The Boring Company pour résoudre la congestion urbaine.Sa capacité à transformer des idées ambitieuses en réalités concrètes bouleverse les standards industriels et inspire autant qu’elle divise.
Un acteur disruptif sur tous les fronts
Musk s’implique aussi dans les débats politiques et culturels, collaborant avec des figures comme Donald Trump sur des projets comme le Department of Government Efficiency. Ce département vise à moderniser l’administration publique en utilisant les technologies innovantes qu’il a développées.
L’homme qui polarise mais transforme
Musk fusionne le pragmatisme d’un ingénieur et l’audace d’un visionnaire, se positionnant entre Edison et Jobs. Ses méthodes polarisent, mais son impact est incontestable : il réinvente les industries, imagine un avenir durable et explore des horizons technologiques inimaginables.
Découvrez notre plan Anti-CBDC pour anticiper les transformations économiques à venir.
https://geopolitique-profonde.com/
-
Le 30 décembre 2024, Michel Fize, Jean-Luc Robert et Patrick Pasin étaient les invités de La Grande Émission en direct sur Géopolitique Profonde.
Michel Fize est un sociologue français et ancien chercheur au CNRS, reconnu pour ses travaux sur la jeunesse, la famille, et les mutations sociales. Il possède une chaîne Youtube Café Social Club, il est également un auteur prolifique, il adopte une approche critique des dynamiques sociétales et politiques. Dans “Macron, le président anormal”, publié au Cercle Aristote, il dresse un portrait incisif du président, interrogeant son exercice du pouvoir et ses impacts sur la démocratie française.
Jean-Luc Robert est un auteur et conférencier français reconnu pour ses analyses critiques sur les dérives sociétales, en particulier celles liées à la santé mentale et à la neurodiversité. Après une carrière en tant que psychologue spécialisé dans les troubles du comportement chez les enfants, il se tourne vers l’écriture et la vulgarisation pour dénoncer les excès de la médicalisation à outrance. Son dernier ouvrage, “Neuro divers +”, explore les enjeux et les conséquences du surdiagnostic chez les jeunes et les adultes, dévoilant les dangers de la marchandisation de la santé mentale.
Patrick Pasin est un auteur, conférencier et entrepreneur français, connu pour ses critiques sur la géopolitique, la santé publique et la souveraineté individuelle.
Emmanuel Macron incarne un paradoxe psychologique et politique qui interroge sur sa véritable nature. Entre fascination pour sa propre image et mépris apparent pour les aspirations profondes des Français, ses actions soulèvent des doutes sur sa stabilité mentale et ses intentions.
Une psychologie marquée par le narcissisme
Le comportement de Macron est largement analysé sous l’angle de la mégalothymie, un terme qui désigne une obsession du pouvoir et de la reconnaissance. Ce trouble, souvent lié au narcissisme pathologique, semble se refléter dans son incapacité à écouter la société. Chaque décision, de la réforme des retraites au mépris affiché envers certaines professions, illustre une tendance à privilégier son image de leader inflexible au détriment des réalités sociales.
Selon le psychiatre italien Adriano Segatori, Macron montre des traits de psychopathie : froideur émotionnelle, manipulation et incapacité à éprouver des remords. Ses choix, déconnectés des besoins populaires, s’inscrivent dans une logique de domination purement calculatrice. Cette absence de véritable empathie le rapproche davantage d’un rôle de marionnette au service d’intérêts supérieurs.
Des traumatismes aux racines de ses décisions
La relation complexe entre Emmanuel Macron et Brigitte, marquée par un décalage générationnel important, semble avoir influencé son développement psychologique. Ce contexte pourrait expliquer son besoin constant de validation et son obsession pour des symboles de pouvoir et de grandeur, souvent perçus comme déconnectés des réalités populaires.
Macron : président isolé ou en déclin ?
À l’approche de la fin de son mandat, Macron apparaît de plus en plus isolé. Son entêtement face aux crises sociales et son mépris affiché pour les mobilisations traduisent une rupture avec la société. Sa gouvernance s’apparente à une quête personnelle d’autosatisfaction, soulevant des doutes sur sa capacité à répondre aux attentes de la nation.
Découvrez comment comprendre les rouages de ce pouvoir déroutant en recevant votre revue mensuelle Géopolitique Profonde.
https://geopolitique-profonde.com/
-
Le 30 décembre 2024, Nicolas Stoquer vous donnait rendez-vous sur Géopolitique Profonde.
Wikipédia, outil de propagande woke et de désinformation ciblée
La façade de neutralité de Wikipédia s’effondre. Derrière l’apparence d’une encyclopédie collaborative, de petits groupes activistes imposent une ligne idéologique woke à coups de campagnes d’intimidation numériques. Ces militants, souvent regroupés en une poignée de contributeurs coordonnés, ciblent leurs adversaires politiques en les diffamant massivement. Le moindre contenu remettant en cause leur dogme est systématiquement supprimé ou déformé.Depuis 2003, la Wikimedia Foundation, organisation à but prétendument non lucratif, finance des causes militantes comme Black Lives Matter ou des initiatives LGBT avec des millions de dollars. Dans les sections sensibles telles que la politique ou la géopolitique, un cercle restreint de 150 administrateurs cooptés verrouille les débats et impose un véritable terrorisme intellectuel. Cette stratégie s’appuie sur un réseau d’algorithmes puissants qui renforcent l’autorité de Wikipédia auprès des moteurs de recherche, écrasant toute voix dissidente.
Elon Musk lui-même en a fait les frais. Accusé par Wikipédia de propager des théories conspirationnistes, le patron de X (ex-Twitter) a riposté en appelant ses millions d’abonnés à boycotter la plateforme.
La CIA et le FBI : les vrais rédacteurs dans l’ombre
Les agences de renseignement américaines infiltrent Wikipédia depuis plus d’une décennie. Larry Sanger, cofondateur du site, a révélé que des ordinateurs de la CIA et du FBI étaient déjà utilisés en 2008 pour modifier des pages sensibles. Ces manipulations servent des objectifs précis : effacer des informations compromettantes, promouvoir des narratifs officiels et étouffer les critiques.Par exemple, la CIA a supprimé le nombre de victimes de la guerre en Irak, tandis que le FBI a supprimé les images aériennes et satellites de la prison militaire américaine de Guantanamo Bay à Cuba. Des centaines d’articles géopolitiques ont été édités pour aligner leurs contenus avec les intérêts stratégiques américains.
Cette guerre de l’information est menée main dans la main avec les géants de la tech, comme le montrent les révélations sur les réunions secrètes entre le FBI, Google, Facebook et Wikimedia. Ces rencontres visaient à coordonner la censure de contenus jugés nuisibles aux États-Unis. La manipulation ne s’arrête pas là : les outils de surveillance et de contrôle éditorial permettent à l’État profond de diriger un flux d’information conforme à ses intérêts, tout en dissimulant ses opérations.
Elon Musk, Larry Sanger et la résistance contre la désinformation
Face à cette mainmise, des figures majeures comme Elon Musk ou Larry Sanger tirent la sonnette d’alarme. Musk, en publiant les « fichiers Twitter », a exposé les collusions entre le FBI et les plateformes de médias sociaux. Sanger, quant à lui, dénonce ouvertement la corruption de Wikipédia, devenue un simple relais de propagande étatique.Cette convergence entre Big Tech, agences de renseignement et élites mondialistes constitue une menace majeure pour la démocratie et l’accès à une information véritablement libre. Les citoyens doivent rester vigilants face à cette arme orwellienne qui façonne insidieusement les perceptions mondiales.
Ne laissez pas Wikipédia contrôler votre vision du monde, recevez votre revue mensuelle Géopolitique Profonde.
https://geopolitique-profonde.com/
-
Le 30 décembre 2024, Claude Janvier et François Martin étaient les invités de La Matinale animée par Nicolas Stoquer et Raphaël Besliu, sur Géopolitique Profonde.
Claude Janvier est un écrivain et essayiste français connu pour ses prises de position tranchées sur des sujets de société et de politique. Il est l’auteur de plusieurs ouvrages qui explorent les dynamiques de pouvoir et les influences cachées au sein des structures étatiques et supranationales. Son dernier livre se nomme « L’État Profond Français » .
François Martin, géopolitologue, journaliste et essayiste français, il est diplômé de l’ESSEC et de l’EMBA HEC, et auditeur de l’IHEDN et de l’INHESJ. Avec 40 ans d’expérience dans le commerce international alimentaire et une maîtrise de six langues, il est reconnu pour ses analyses approfondies sur les enjeux géopolitiques mondiaux. Auteur de plusieurs ouvrages, dont Ukraine, Un basculement du Monde et Le temps des fractures, il contribue également à la revue Le Nouveau Conservateur et au Club Eleutheria.
Le monde de 2024 est une poudrière, où des tensions multiples façonnent l’avenir sans jamais exploser en conflit généralisé. Le bilan de cette année est chaotique. De l’Ukraine à l’Indo-Pacifique, les grandes puissances s’affrontent dans une danse macabre, tandis que quelques hommes influents, tels que Vladimir Poutine ou Donald Trump, détiennent les clés d’un fragile équilibre. Mais cet équilibre peut-il encore tenir ?
Les foyers de guerre redessinent le monde
Les conflits de 2024 révèlent un monde fragmenté :
En Ukraine, l’offensive russe met en lumière les faiblesses de l’Occident et renforce l’émergence de puissances comme la Chine et l’Inde.Dans le Pacifique, la guerre économique entre Pékin et Washington s’intensifie. La Chine, méthodique, érode l’influence américaine à travers des stratégies économiques à long terme.Au Proche-Orient, Israël et l’Iran rivalisent pour remodeler la région, tandis que Moscou et Pékin renforcent leurs alliances dans une zone historiquement dominée par les États-Unis.Des leaders déterminants dans un contexte explosif
Les grandes figures politiques jouent un rôle clé dans cet équilibre précaire :
Vladimir Poutine défend une Russie souveraine et anti-occidentale, testant la cohésion de l’Europe face à l’influence russe.Donald Trump, attendu pour 2025, pourrait redéfinir les priorités américaines avec une approche isolationniste, bouleversant les alliances traditionnelles.Ces leaders, par leurs décisions, peuvent soit apaiser les tensions, soit précipiter de nouveaux conflits.
2025 : désescalade ou chaos ?
Alors que 2024 intensifie les tensions, des signaux faibles laissent entrevoir une possible désescalade :
Les BRICS cherchent à imposer un nouvel ordre économique multipolaire.Des tentatives diplomatiques émergent en Ukraine, même si elles restent fragiles.Cependant, le risque d’effondrement systémique persiste. Les tensions commerciales, la prolifération des armes et l’instabilité économique exacerbent les conflits potentiels dans des régions comme l’Indo-Pacifique et le Proche-Orient.
L’humanité se trouve à un carrefour décisif : contenir ces tensions ou basculer vers une instabilité irréversible.
Allez plus loin dans l’analyse et la compréhension des grands bouleversements, grâce à votre revue mensuelle de Géopolitique Profonde !
https://geopolitique-profonde.com/
-
Le 29 Décembre 2024, Lucien Cerise et Terence D’Araucanie étaient les invités de Raphaël Besliu, sur Géopolitique Profonde.
Lucien Cerise est un auteur français, docteur en philosophie et spécialiste de l’ingénierie sociale. Il a notamment publié « Ukraine : La guerre hybride de l’OTAN ».
Terence D’Araucanie est un écrivain et journaliste français, connu pour ses travaux sur la géopolitique et les mouvements identitaires, ainsi que ses analyses critiques des institutions politiques, des enjeux de souveraineté nationale et des dynamiques de pouvoir internationales.
Retour sur l’élection américaine et ses dynamiques troubles
L’élection présidentielle américaine de 2024 a mis en lumière les failles structurelles et les zones d’ombre du système électoral. Entre le rôle des grands électeurs et un vote populaire souvent désynchronisé, ce processus suscite des critiques, notamment sur l’influence des sondages.Kamala Harris, candidate démocrate, a opté pour une stratégie centriste visant à séduire les modérés, mais son approche prudente s’est heurtée à l’élan d’un Donald Trump plus combatif que jamais.
Un cabinet aux orientations marquées
Les premières indiscrétions sur la composition du cabinet Trump laissent entrevoir une équipe resserrée et sans concessions. Peu de diversité, et encore moins de minorités visibles : la prédominance de conservateurs anti-chinois et de sionistes chrétiens semble un choix délibéré pour rassurer son électorat de base. Ce cabinet reflète une stratégie claire : Trump entend respecter les attentes de ses soutiens influents, notamment l’entourage de Sheldon Adelson, tout en recentrant ses priorités géopolitiques.Parmi ces priorités, un potentiel abandon du soutien militaire à l’Ukraine est évoqué, perçu comme une manière de ménager la Russie dans une optique de détente stratégique. Mais le véritable enjeu semble se situer ailleurs : l’Iran. L’administration Trump semble prête à intensifier la pression sur le régime des mollahs, au risque de fracturer certaines alliances historiques.
Le rôle ambigu du sionisme dans la stratégie de Trump
Le sionisme selon Trump défie les cadres traditionnels. Son soutien à Israël, combiné à une critique acerbe des élites cosmopolites, illustre une vision singulière : celle d’un sionisme chrétien conservateur, en opposition aux approches progressistes souvent associées à l’agenda mondialiste. Ce positionnement stratégique lui permet de solidifier des alliances tout en affirmant son rejet du globalisme.Mais peut-on réellement concilier un soutien sans faille à Israël et un rejet des structures supranationales ?
Des priorités géopolitiques clivantes
Pour ce second mandat, Trump devra rapidement clarifier sa position sur deux dossiers brûlants : l’Ukraine et l’Iran. Le désengagement militaire en Ukraine, s’il se confirme, pourrait marquer une rupture stratégique avec l’Europe tout en facilitant un rapprochement avec Moscou. En revanche, la ligne dure adoptée face à l’Iran promet de redéfinir les équilibres au Moyen-Orient, avec un cabinet peuplé de figures ouvertement hostiles au régime des mollahs.En parallèle, des tensions internes secouent déjà les services de renseignement américains, exacerbées par des affaires comme celles des missiles Stormshadows et ATACMS. Ces luttes intestines entre factions anti-russes et anti-iraniennes ne sont pas anodines et pourraient fortement conditionner la marge de manœuvre de Trump.
Allez plus loin dans l’analyse et la compréhension des grands bouleversements, grâce à votre revue mensuelle de Géopolitique Profonde !https://geopolitique-profonde.com/
-
Le 29 décembre, Mickaël vous donnait rendez-vous pour un micro-trottoir GPTV Investigation dans les rues d’Amiens. Il interrogeait les Français concernant la situation économique et sociale en France pour l’année 2025.
Entre une croissance en berne, une dette publique écrasante et un climat social sous pression, le pays semble s’engager sur une pente glissante. Les Français, eux, oscillent entre lassitude, colère et résilience face à ces défis.
Une croissance économique au point mort
En 2025, la croissance française plafonne à 0,9 %, un chiffre bien en deçà des espérances du gouvernement. Cette stagnation est directement liée à l’instabilité politique et aux tensions géopolitiques internationales. Le contexte énergétique, marqué par des pénuries persistantes, continue de peser lourdement sur les secteurs clés comme l’industrie et les transports.
Le faible dynamisme économique affecte également les investissements. Les entreprises hésitent à engager des dépenses conséquentes face à une fiscalité perçue comme punitive et un environnement économique incertain. Cette situation asphyxie l’innovation et limite la création d’emplois, amplifiant la crise.
Un marché de l’emploi en crise
Le chômage remonte à 8 %, avec près de 143 000 pertes d’emplois prévues sur l’année. Les secteurs traditionnellement porteurs, comme l’automobile ou la construction, souffrent de restructurations massives. En parallèle, les tensions sur le marché du travail sont exacerbées par la montée de l’automatisation, rendant obsolètes de nombreux postes peu qualifiés.
Le pouvoir d’achat des Français subit également une érosion lente mais continue. Les salaires n’évoluent pas au rythme d’une inflation pourtant modérée, ce qui accentue le déclassement dans les classes moyennes et populaires. Les dépenses contraintes, comme le logement, l’énergie et l’alimentation, absorbent une part croissante des revenus, laissant peu de place aux loisirs ou à l’épargne.
Une dette publique qui inquiète
La dette publique atteint un niveau record de 115,1 % du PIB en 2025, tandis que le déficit budgétaire stagne autour de 5 %. Ces chiffres traduisent une incapacité chronique de l’État à maîtriser ses finances. Les politiques publiques, souvent dictées par des impératifs électoralistes, manquent de cohérence à long terme.
Dans ce contexte, les marges de manœuvre pour engager des réformes ambitieuses sont quasi inexistantes. Les investissements dans la transition énergétique, l’éducation ou encore les infrastructures, pourtant cruciaux pour l’avenir, sont relégués au second plan. La France s’enferme dans un cercle vicieux où la dette alimente les déficits, sans véritable stratégie de relance économique.
Un climat social sous tension
Sur le plan social, les inégalités continuent de se creuser, nourrissant un ressentiment croissant au sein de la population. Les mobilisations sociales se multiplient, traduisant une exaspération générale face à l’inaction des élites. Les réformes impopulaires attisent les tensions.
La jeunesse, frappée de plein fouet par le chômage et la précarité, exprime de plus en plus ouvertement son désespoir. Beaucoup d’étudiants et de jeunes actifs envisagent de quitter le pays, faute de perspectives d’avenir. Cette fuite des talents risque de priver la France de forces vives essentielles pour rebondir.
Rejoignez la résistance intellectuelle face à ces manipulations avec votre revue mensuelle Géopolitique Profonde.
https://geopolitique-profonde.com/
-
Le 29 décembre 2024, Mike Borowski vous attendait pour un sujet d’actualité, sur Géopolitique Profonde.
Le groupe Bilderberg, cette organisation ultra-secrète où se croisent les élites politiques, économiques et médiatiques mondiales, a frappé un grand coup. En choisissant Jens Stoltenberg, ancien secrétaire général de l’OTAN, comme son nouveau leader, il annonce clairement une nouvelle phase de son plan mondialiste. Derrière cette nomination, se dessine une stratégie froide et calculée : accélérer l’Agenda 2030 et imposer une centralisation du pouvoir global.
Une nomination stratégique pour un plan déjà en marche
Stoltenberg, architecte clé des décisions de l’OTAN, est bien plus qu’un simple bureaucrate. Sous son mandat à l’OTAN, il a orchestré une politique d’expansion militaire agressive, notamment contre la Russie, consolidant les intérêts occidentaux face aux puissances émergentes. Aujourd’hui, en prenant les rênes du groupe Bilderberg, il dispose des moyens pour appliquer cette même vision militariste et centralisatrice à l’échelle globale.
L’Agenda 2030, ce programme controversé soutenu par les Nations Unies, vise une transformation profonde des sociétés : réduction des libertés sous prétexte d’urgence climatique, contrôle numérique total à travers les monnaies numériques de banque centrale (CBDC) et surveillance accrue via l’IA. Stoltenberg est le rouage parfait pour synchroniser ces projets entre les sphères politiques, économiques et militaires.
Cette nomination survient à un moment où les crises géopolitiques se multiplient, créant un terreau fertile pour imposer des solutions autoritaires sous couvert de stabilité mondiale. Le groupe Bilderberg se renforce pour piloter les prochaines étapes de cette transformation.
2024 : une année charnière pour les mondialistes
Les événements symboliques de 2024, comme les Jeux Olympiques de Paris et la réouverture de Notre-Dame, servent d’outils pour habituer les populations à des transformations globales. Les JO deviennent un terrain d’essai pour des technologies de surveillance, tandis que des institutions supranationales imposent des mesures autoritaires, telles que les passeports biométriques.
Avec Stoltenberg à sa tête, le Bilderberg exploite ces événements pour accélérer la transition vers un ordre mondial centralisé.
Pourquoi Stoltenberg ? Un homme de l’ombre au service des élites
Le choix de Stoltenberg n’a rien d’un hasard. Formé dans les cercles de pouvoir transatlantiques, cet ancien Premier ministre norvégien a toujours été proche des grandes institutions mondialistes. Sous son mandat à l’OTAN, il a démontré une capacité à gérer des crises complexes tout en restant aligné sur les intérêts des élites occidentales.
Sa nomination au Bilderberg lui donne un nouveau levier : celui de coordonner les actions entre les différentes sphères de pouvoir. Contrairement à ses prédécesseurs, Stoltenberg est un expert militaire. Cela pourrait indiquer une militarisation accrue des décisions mondiales, notamment face aux défis posés par la Chine et la Russie.
Bilderberg et l’agenda globaliste
Le groupe Bilderberg, souvent discret, joue un rôle crucial dans les stratégies globales. Avec Stoltenberg, il vise une accélération de l’Agenda 2030, combinant contrôle économique, écologique et militaire. 2024 pourrait marquer un tournant, exploitant les crises pour justifier des mesures autoritaires au nom de la stabilité mondiale.
Recevez votre revue mensuelle Géopolitique Profonde pour comprendre les enjeux cachés derrière les décisions des élites mondialistes.
https://geopolitique-profonde.com/
-
Le 29 décembre 2024, Gérard Chevrier et Raphaël Besliu étaient les invités de Nicolas Stoquer et Lara Stam sur Géopolitique Profonde.
Gérard Chevrier est un spécialiste du nucléaire qui s’est distingué par son analyse géostratégique et géopolitique des guerres et conflits actuels. Il est particulièrement reconnu pour ses contributions sur les sujets liés aux risques nucléaires et à la protection contre les retombées radioactives. Auteur de l’ouvrage percutant La prochaine guerre sera nucléaire, il propose une réflexion inédite sur les réalités d’un conflit atomique et ses conséquences pour l’humanité.
Raphaël Besliu est le directeur de rédaaction de Géopolitique Profonde. Il anime des émissions et des interviews sur des sujets comme les conflits, les stratégies militaires et la politique mondiale. Son objectif : proposer des analyses claires et différentes de celles des médias classiques.
L’humanité s’approche inexorablement d’une guerre nucléaire. C’est le constat glaçant du livre La prochaine guerre sera nucléaire de Gérard Chevrier. Cet ouvrage ne s’embarrasse pas de demi-mesures : il décrit un avenir où l’arsenal atomique devient une arme stratégique incontournable et explique pourquoi ce conflit ne signifiera pas la fin du monde.
Un risque nucléaire devenu inévitable
Selon Gérard Chevrier, l’escalade géopolitique actuelle rend un conflit nucléaire presque inévitable. Les grandes puissances – États-Unis, Russie, Chine – perfectionnent leurs arsenaux, tandis que les tensions autour de Taïwan, de l’Ukraine ou du Golfe Persique exacerbent les risques.
Les doctrines de dissuasion mutuelle, autrefois garantes de la stabilité, s’effondrent sous la pression des rivalités croissantes. Les démonstrations de force nucléaire deviennent monnaie courante, rendant l’engrenage vers un affrontement atomique de plus en plus probable.
Comprendre les types d’explosions nucléaires et leurs impacts
Le livre distingue divers types d’explosions nucléaires :
Explosions aériennes : destruction massive sur une large zone avec moins de retombées radioactives.Explosions au sol : impact local plus concentré, mais plus de radioactivité.Les armes modernes, tactiques ou stratégiques, sont conçues pour des usages précis. Cependant, l’utilisation d’une seule arme nucléaire pourrait déclencher une escalade globale incontrôlable.
Survivre à un conflit nucléaire
La survie dépend de la préparation face aux retombées radioactives, notamment les rayonnements gamma. Gérard Chevrier propose des solutions pratiques et scientifiquement solides :
Réduction de l’exposition aux radiations.Conception d’abris efficaces.Gestion des ressources dans un environnement contaminé.Ces conseils pragmatiques pourraient sauver des millions de vies dans un monde post-conflit nucléaire.
Préparez-vous dès maintenant à affronter un monde en mutation, en recevant votre revue mensuelle Géopolitique Profonde.
https://geopolitique-profonde.com/
-
Le 28 décembre2024, Alexis Tarrade, Xavier Moreau, Fabrice Sorlin et Nikola Mirkovic vous donnaient rendez-vous pour faire le bilan de l’année 2024 dans un nouvel épisode de Divergence sur Géopolitique Profonde !
Alexis Tarrade, figure clé des relations franco-russes, a dirigé l’Union des Français de l’Étranger en Russie et commente régulièrement la crise ukrainienne. Ancien président des Républicains Russie-Biélorussie, il a quitté ce poste en 2020.Xavier Moreau, analyste en relations internationales, diplômé de Saint-Cyr et de Paris IV, vit en Russie depuis 24 ans. Il dirige Stratpol, se concentre sur la géopolitique russe et est l’auteur de Nouvelle Grande Russie.Fabrice Sorlin, nationaliste et catholique traditionaliste, a présidé l’association Dies Irae et est vice-président du Mouvement international russophile, participant à des débats sur la Russie.Nikola Mirkovic, auteur et président de l’association Ouest-Est, mène des missions humanitaires au Donbass et au Kosovo. Il est invité par divers médias pour ses analyses géopolitiques.La réélection de Poutine consolide son pouvoir malgré la guerre
En 2024, Poutine remporte une victoire électorale écrasante, renforçant l’unité nationale malgré la guerre contre l’OTAN. Les contre-offensives ukrainiennes échouent, consolidant les gains russes au Donbass. Zelensky, affaibli et isolé, est proche de perdre le pouvoir. Pendant ce temps, les BRICS renforcent leur influence, accélérant l’émergence d’un ordre mondial multipolaire.
L’unité politique russe contraste avec les divisions croissantes au sein de l’OTAN, où les intérêts américains et européens divergent. La fin de Zelensky pourrait ouvrir la voie à des négociations dictées par Moscou.
Le retour de Trump et le basculement des États-Unis
Trump remporte une victoire retentissante, marquant un rejet des élites globalistes. Il annonce un durcissement envers la Chine, intensifiant les tensions militaires et commerciales en Asie-Pacifique. Face à la Russie, Trump promet un apaisement, rompant avec la ligne belliciste des démocrates.
L’arrestation de Pavel Durov : un coup d’État numérique
L’arrestation du fondateur de Telegram symbolise la peur des élites face aux outils de communication décentralisés. Cet acte illustre la volonté des gouvernements de renforcer leur contrôle narratif et pose un grave danger pour les libertés individuelles.
Allez plus loin dans l’analyse et la compréhension des grands bouleversements, grâce à votre revue mensuelle de Géopolitique Profonde !
https://geopolitique-profonde.com/
-
Le 28 décembre 2024, François Martin, Laurent Artur du Plessis et Lara Stam étaient les invités de Nicolas Stoquer, sur Géopolitique Profonde.
François Martin est un géopolitologue, journaliste et essayiste français, diplômé de l’ESSEC et de l’EMBA HEC, et auditeur de l’IHEDN et de l’INHESJ. Avec une carrière de 40 ans dans le commerce international de l’alimentaire, il a acquis une expérience considérable sur plus de 100 pays et maîtrise six langues et est connu pour ses analyses pénétrantes sur des sujets internationaux complexes.
Laurent Artur du Plessis est un analyste reconnu pour sa capacité à décrypter les complexités des relations internationales. Dans son ouvrage “Au cœur de la 3e guerre mondiale”, il explore les tensions géopolitiques qui définissent notre époque. Avec une approche rigoureuse et documentée, il examine les stratégies des grandes puissances et les répercussions potentielles sur l’équilibre mondial.
Lara Stam, chroniqueuse de talent sur Radio Courtoisie, elle est connue pour ses prises de position très pragmatiques sur les questions de souveraineté nationale et d’indépendance géopolitique.
Trump bouleverse-t-il l’ordre mondial ?
Donald Trump incarne une rupture géopolitique majeure. Son approche, centrée sur « America First », remet en question l’OTAN et les traités multilatéraux, favorisant une diplomatie transactionnelle axée sur les rapports de force. Cette stratégie désorganise l’ordre international et ouvre des opportunités pour ses rivaux, notamment la Chine et la Russie.Poutine, l’homme aux nerfs d’acier
Vladimir Poutine reste une figure stratégique incontournable. Résistant aux sanctions économiques et à l’isolement diplomatique, il s’impose par une vision à long terme. Exploitant les ressources énergétiques et l’arsenal militaire de la Russie, il consolide son pouvoir intérieur tout en défiant l’Occident.
La marche du monde entre hasard et nécessité
Les bouleversements de 2024 révèlent une instabilité croissante : révoltes populaires, effondrements économiques et alliances inattendues redessinent la carte géopolitique. Cependant, ces crises sont ancrées dans une logique historique d’expansion et de domination héritée des grandes puissances.
2025 pourrait marquer la fin d’un cycle. Les fractures sociales, économiques et géopolitiques atteignent un point critique, mais ouvrent aussi des perspectives de transformation. Ce tournant historique pourrait permettre l’émergence de nouveaux équilibres, à condition de rompre avec le fatalisme et d’agir avec audace.
Conclusion : un monde au bord du gouffre
L’humanité se trouve à un carrefour. La guerre et le chaos resteront-ils inévitables, ou les dirigeants sauront-ils saisir les opportunités pour écrire une histoire différente ? L’avenir dépendra de leur capacité à relever ces défis majeurs.
Préparez-vous dès maintenant à affronter un monde en mutation, en recevant votre revue mensuelle Géopolitique Profonde.
https://geopolitique-profonde.com/
-
Le 28 décembre 2024, Mike Borowski analysait un sujet d’une importance cruciale que les médias subventionnés se gardent de relayer, sur Géopolitique Profonde.
Un réseau pédopornographique d’une ampleur inédite démantelé
Les autorités françaises viennent de frapper un grand coup dans la lutte contre la pédocriminalité. Une enquête internationale a permis de démanteler un réseau actif sur l’application chiffrée Signal, regroupant plus de 16 000 membres dans 130 pays.En France, 95 individus ont été interpellés, parmi lesquels des personnalités travaillant avec des enfants : un éducateur sportif, un directeur d’association pour la jeunesse et même un adjoint au maire. Au total, 375 000 photos et 156 000 vidéos pédopornographiques ont été saisies. Cette saisie titanesque met en lumière l’ampleur insoupçonnée de cette criminalité sur Internet.
Une justice qui manque d’envergure face à un réseau tentaculaire
Si l’arrestation de 95 personnes constitue un pas important, elle soulève aussi des questions. Pourquoi seulement une fraction des 16 000 membres identifiés a-t-elle été inquiétée par la justice ? Les enquêteurs expliquent que les preuves tangibles, nécessaires pour procéder à des interpellations, nécessitent un travail titanesque.
Cependant, ce faible nombre d’arrestations alimente les suspicions d’une justice dépassée par la complexité et l’ampleur du phénomène. Ces réseaux, souvent protégés par des technologies de chiffrement, prospèrent dans l’ombre, profitant de la lenteur des systèmes judiciaires et des limites des enquêtes internationales.
Une recrudescence inquiétante de la pédocriminalité en ligne
La pédocriminalité connaît une véritable explosion à l’ère numérique. Les plateformes sécurisées comme Signal, mais aussi le dark web, offrent aux prédateurs un terrain de jeu où ils opèrent avec un sentiment d’impunité.
L’augmentation des contenus pédopornographiques saisis – 217 téraoctets dans ce seul réseau – témoigne d’une recrudescence inquiétante. Les experts attribuent ce phénomène à l’accès de plus en plus facile à des technologies anonymisantes, ainsi qu’à une faible coordination internationale pour traquer les auteurs de ces crimes. Dans cette affaire, l’ampleur des saisies montre que les autorités françaises, bien qu’actives, ne peuvent à elles seules enrayer cette menace mondiale.
Le silence médiatique, symptôme d’un malaise national
Malgré l’ampleur du scandale, l’affaire n’a pas suscité un débat médiatique proportionnel à son importance. Ce silence interroge : est-il dû à la sensibilité du sujet, ou cache-t-il des protections accordées à certaines figures impliquées ? Parmi les 95 interpellés, les profils influents posent question. Pourquoi ces personnes, supposées garantes de la sécurité des enfants, bénéficient-elles parfois d’une couverture médiatique atténuée ?
Ce silence contribue à alimenter le sentiment d’une société malade, où la pédocriminalité, pourtant en augmentation, reste un sujet tabou.
Face à ces révélations, la protection des enfants et la lutte contre la pédocriminalité doivent devenir des priorités absolues.
Recevez votre revue mensuelle Géopolitique Profonde pour mieux comprendre les enjeux cachés derrière les affaires de ce type et les stratégies nécessaires pour y faire face.
https://geopolitique-profonde.com/
-
Le 28 décembre 2024, Patrick Pasin était l’invité de Mike Borowski, sur Géopolitique Profonde.
Patrick Pasin est un auteur, conférencier et entrepreneur français, connu pour ses critiques sur la géopolitique, la santé publique et la souveraineté individuelle.
Le climat est devenu l’outil principal des élites mondialistes pour remodeler les sociétés selon leur agenda totalitaire. Sous le prétexte de l’urgence écologique, ils manipulent l’opinion publique pour imposer des mesures liberticides et centraliser le pouvoir mondial.
« Pour gagner une guerre, il faut maîtriser cinq facteurs essentiels : la stratégie, les alliances, et surtout trois éléments liés au climat – le terrain, les conditions météorologiques et le contrôle des ressources naturelles. »
- Sun Tzu dans L’Art de la guerre
Un prétexte écologique pour restreindre les libertésDepuis des décennies, les élites mondialistes utilisent l’urgence climatique pour renforcer leur contrôle. En diffusant un discours apocalyptique sur les catastrophes naturelles, amplifié par des campagnes médiatiques, ils conditionnent les populations à accepter des mesures liberticides, comme les taxes « vertes », le rationnement énergétique ou la surveillance numérique.
Derrière cette façade écologique se cache le Great Reset, un projet visant à centraliser le pouvoir mondial et à rendre les citoyens dépendants d’institutions comme l’ONU ou le Forum Économique Mondial.
Des catastrophes climatiques amplifiées par des technologies militaires
Les catastrophes naturelles ne sont plus uniquement des phénomènes géologiques. Des technologies militarisées, comme le programme HAARP, sont accusées de déclencher artificiellement des tempêtes, sécheresses ou tremblements de terre. Ces manipulations servent à déstabiliser des nations et à justifier des interventions sous contrôle des élites mondialistes.
En détruisant des régions entières, ces stratégies forcent les gouvernements à accepter des aides conditionnées, installant des infrastructures de surveillance numérique et augmentant la dépendance au système globalisé.
Les États-Unis et leurs expérimentations sur les populations civiles
La manipulation climatique s’inscrit dans une tradition d’expériences secrètes menées par les gouvernements, notamment aux États-Unis. Entre les années 1950 et 1970, l’armée américaine a exposé des millions de civils à des substances chimiques et biologiques :
Pulvérisations massives :
À San Francisco, des bactéries pathogènes ont été dispersées, causant des infections graves. À Saint-Louis, des particules toxiques de zinc et de cadmium ont affecté durablement les habitants.Agents biologiques :
Des substances comme la toxine botulique et l’anthrax ont été testées sur des populations sans leur consentement.Ces expériences montrent un mépris total pour la vie humaine, sous prétexte de « progrès scientifique ».
Résister face à un projet global de domination
Ces manipulations, qu’elles soient climatiques ou sanitaires, s’inscrivent dans une logique d’affaiblissement des peuples pour accroître leur dépendance à un pouvoir centralisé. Chaque crise – climatique, pandémique ou économique – est exploitée pour avancer vers le Great Reset, remodelant les sociétés selon un modèle néo-féodal où une élite contrôle toutes les ressources et libertés individuelles.
Face à ces manipulations, la vigilance et l’action sont essentielles.
Rejoignez la résistance intellectuelle face à ces manipulations avec votre revue mensuelle Géopolitique Profonde.
https://geopolitique-profonde.com/
-
Le 27 décembre 2024, Gilles Lartigot était l’invité d’Un Soir avec Lara animée par Lara Stam, sur Géopolitique Profonde.
Gilles Lartigot est un auteur et conférencier français, connu pour son militantisme en faveur d’une consommation alimentaire saine et consciente.
Il est particulièrement connu pour son ouvrage “EAT – Chronique d’un fauve dans la jungle alimentaire”, publié en 2013 et “EAT 2 – Des morts et des vivants”, la suite de son premier volume. Il vient aujourd’hui nous présenter son nouvel ouvrage « La jungle alimentaire ».
Si EAT était un cri d’alarme, ce manifeste est un appel à l’action, un engagement renouvelé à ne pas baisser les bras face à la complexité des enjeux, tout en privilégiant l’écoute, le dialogue et le respect des opinions de chacun, pour une alimentation saine, éthique et respectueuse de l’environnement.
L’alimentation moderne entre destruction et renouveauL’industrie agroalimentaire est l’un des principaux défis de notre époque. Axée sur la productivité, elle s’appuie sur l’utilisation intensive de pesticides, additifs et conservateurs, au détriment de la santé et de l’environnement. Résultat : une explosion des maladies chroniques (cancers, obésité, diabète) et une biodiversité menacée.
Gilles Lartigot dénonce ce modèle destructeur, qui enrichit les multinationales tout en sacrifiant notre bien-être. Pour lui, chaque choix alimentaire constitue un acte de résistance face à ce système.
Les consommateurs au cœur du changement
Les citoyens ont un pouvoir immense : leur pouvoir d’achat. En privilégiant les produits locaux, biologiques et non transformés, ils peuvent inverser la tendance. Ce changement simple a des répercussions profondes, encourageant une agriculture respectueuse des écosystèmes et renforçant les économies locales.
Cependant, ce mouvement doit être soutenu par des politiques publiques ambitieuses, remplaçant les subventions à l’agriculture intensive par des financements durables. En attendant, les citoyens doivent agir en pionniers.
Le poison invisible des pesticides et additifs
Les pesticides de synthèse contaminent sols, eaux et aliments, provoquant des déséquilibres écologiques majeurs, comme la disparition des pollinisateurs. Pour les humains, les liens entre ces substances et des maladies graves, dont les cancers, sont avérés.
Les additifs alimentaires, omniprésents dans les produits transformés, compromettent également notre santé. L’urgence est de revenir à une alimentation simple, basée sur des produits bruts exempts de manipulations industrielles.
Une boucle toxique : agro-industrie et Big Pharma
L’agriculture intensive et Big Pharma forment un cercle vicieux : une alimentation toxique provoque des maladies chroniques, générant des profits colossaux pour l’industrie pharmaceutique. Ce système exploite à la fois notre santé et nos ressources financières.
Retrouver une santé optimale après les excès
Après les fêtes, Gilles Lartigot prône une détoxification simple : légumes frais, eau pure et absence de produits transformés. Il recommande des smoothies verts (concombre, épinards, pomme verte, citron) pour éliminer les toxines et rebooster l’organisme.
Au-delà des recettes, il insiste sur l’importance d’un engagement quotidien pour une alimentation éthique et respectueuse, essentielle pour notre santé et celle de la planète.
Préparez-vous dès maintenant à affronter un monde en mutation, en recevant votre revue mensuelle Géopolitique Profonde.
https://geopolitique-profonde.com/
-
Le 27 décembre 2024, Laurent Henninger et Laurent Artur du Plessis étaient les invités de La Grande Émission, animée par Nicolas Stoquer, sur Géopolitique Profonde.
Laurent Henninger est historien spécialiste de l’histoire militaire, membre de la Revue Défense Nationale et du comité de rédaction de Guerres et Histoire. Ses recherches portent sur l’évolution des stratégies militaires, notamment le concept d’« art opératif » et les révolutions technico-militaires. Il co-anime des séminaires sur la guerre moderne à l’EHESS et intervient régulièrement dans des think tanks souverainistes comme le Cercle Aristote.
Laurent Artur du Plessis, analyste des relations internationales, est l'auteur de Au cœur de la 3e guerre mondiale, où il décrypte avec rigueur les tensions internationales actuelles, mettant en lumière les stratégies des grandes puissances et leurs conséquences sur l’équilibre mondial.
La guerre en Ukraine : un conflit mondial en devenir
Ce qui a débuté comme une invasion régionale en 2022 s’est transformé en une guerre à dimension internationale. L’Occident arme massivement l’Ukraine, tandis que des sanctions économiques sans précédent visent la Russie. L’OTAN renforce ses alliances, faisant de ce conflit un pivot stratégique global.
L’Ukraine : laboratoire de guerre technologique
Les drones redéfinissent les champs de bataille modernes. Essaims automatisés, frappes de précision et surveillance de pointe montrent une rupture avec les guerres conventionnelles. La Russie collabore avec l’Iran pour produire des drones kamikazes en masse, tandis que l’Ukraine bénéficie des technologies américaines et israéliennes. Ces avancées technologiques augmentent l’efficacité meurtrière tout en désincarnant les combats.
L’Indo-Pacifique : un autre foyer de tensions
Au-delà de l’Europe, l’Indo-Pacifique devient un nouveau théâtre de conflits. La Corée du Nord intensifie ses essais balistiques, franchissant des seuils critiques avec des missiles intercontinentaux. Soutenu par la Chine et la Russie, Pyongyang devient un acteur déstabilisateur.
En réponse, le Japon abandonne son pacifisme et investit massivement dans son armée. Tokyo émerge comme un allié clé pour contrer la montée en puissance chinoise et nord-coréenne, mais le risque d’une confrontation directe s’intensifie.
Une logique néoconservatrice et ses dangers
Les États-Unis poursuivent une politique d’escalade, injectant des milliards de dollars dans l’armement et imposant des sanctions globales. En Ukraine, cette stratégie alimente une spirale dangereuse, étendant les tensions jusqu’à l’Indo-Pacifique.
Le spectre nucléaire : une menace grandissante
Depuis 1945, l’arme nucléaire a maintenu un équilibre précaire, mais la menace de son utilisation n’a jamais été aussi forte. La Russie multiplie les exercices simulant des frappes tactiques. En Asie, la Corée du Nord brandit ouvertement l’option nucléaire, tandis que les États-Unis adoptent une posture ambiguë, oscillant entre dissuasion et prudence.
Un monde au bord du gouffre
Les crises en Ukraine, dans le Pacifique et ailleurs sont interconnectées. Les avancées technologiques comme les drones et l’intelligence artificielle, combinées à la menace nucléaire, rapprochent les grandes puissances d’un point de non-retour. Une erreur stratégique ou un incident isolé pourrait déclencher une conflagration mondiale.
Pour éviter une tragédie inédite, les dirigeants doivent rompre avec cette logique d’escalade.
Gardez le contrôle de votre souveraineté grâce à notre stratégie anti-CBDC.
https://geopolitique-profonde.com/
-
Le 27 décembre 2024, Mike Borowski vous donnait rendez-vous sur Géopolitique Profonde.
En 2025, Emmanuel Macron pourrait franchir une étape décisive en activant l’article 16 de la Constitution, un outil rarement utilisé qui confère au Président des pouvoirs quasi absolus. Dans un climat de blocage institutionnel et de tensions sociales croissantes, cette décision marquerait un tournant majeur pour la démocratie française.
Une mesure exceptionnelle qui concentre tous les pouvoirs
L’article 16, introduit en 1958 par Charles de Gaulle, n’a été utilisé qu’une fois, en 1961, lors du putsch des généraux en Algérie. Il avait alors permis à de Gaulle de concentrer les pouvoirs exécutifs et législatifs pour stabiliser la République.
En 2025, les circonstances seraient bien différentes. Un blocage institutionnel, provoqué par une censure probable du gouvernement Bayrou, offrirait à Macron l’opportunité d’invoquer l’article 16. Contrairement à 1961, cette crise serait davantage le résultat d’une impasse politique que d’une menace externe.
Une France au bord de la rupture démocratique
Si cet article venait à être activé, les oppositions parlementaires seraient neutralisées, et les décisions pourraient être imposées sans débat. Les libertés individuelles pourraient également être suspendues, justifiées par la stabilité nationale.
L’histoire montre que ces situations d’exception ont des effets durables. En 1961, bien que temporaire, l’usage de l’article 16 avait suscité de vives critiques. En 2025, une telle mesure pourrait banaliser l’autoritarisme, renforcé par des outils modernes de contrôle numérique comme les monnaies numériques de banque centrale (CBDC) ou la surveillance accrue des communications.
Un climat propice à la dérive autoritaire
Depuis des années, les gouvernements successifs affaiblissent les contre-pouvoirs institutionnels. L’utilisation fréquente de l’article 49.3 pour passer des lois sans vote illustre cette tendance. Les mouvements sociaux sont réprimés, et les médias indépendants peinent à s’exprimer.
En 2025, un nouveau prétexte, comme une crise sanitaire, pourrait aggraver la situation. Les crises précédentes, telles que le Covid-19, ont montré comment les peurs collectives peuvent justifier des restrictions sévères, de nouveaux confinements ou couvre-feux.
Les dangers d’un précédent durable
L’activation de l’article 16 ne concernerait pas uniquement Emmanuel Macron, mais ouvrirait la voie à une normalisation de la concentration des pouvoirs. Les successeurs pourraient s’appuyer sur ce précédent pour justifier des mesures similaires face à d’autres crises, affaiblissant davantage la démocratie française.
Résister à la normalisation de l’exception
Pour éviter ce basculement, les citoyens doivent rester vigilants. L’histoire prouve que des mobilisations populaires peuvent influencer les décisions politiques. Toutefois, face à des outils numériques de contrôle et une répression organisée, la tâche est plus complexe aujourd’hui.
Il est crucial de renforcer les réseaux d’information indépendants et de privilégier des solutions locales pour échapper aux outils de contrôle financier et numérique. La défense des libertés fondamentales passe par une mobilisation collective, pacifique mais déterminée.
En 2025, la France devra choisir entre céder à la tentation autoritaire ou défendre ses valeurs républicaines. Ce choix appartient à chaque citoyen refusant la résignation.
Protégez votre liberté financière : découvrez comment échapper au contrôle des CBDC et préserver votre indépendance face à la surveillance étatique grâce à notre stratégie.
https://geopolitique-profonde.com/
-
Le 27 décembre 2024, Marc-Gabriel Draghi et Laurent Artur du Plessis étaient les invités de La Matinale animée par Nicolas Stoquer et Raphaël Besliu, sur Géopolitique Profonde.
Marc Gabriel Draghi est un juriste français spécialisé dans l’histoire du droit. Il est l’auteur de plusieurs ouvrages sur la question monétaire et l’histoire du capitalisme, dont « Le règne des marchands du temple », « Le grand reset en marche ! » et « La Grande Narration : Vers la mort des Nations ». Il dénonce les dangers du projet du Forum économique mondial, qu’il considère comme une tentative de soumettre l’humanité à une élite mondialiste.
Laurent Artur du Plessis est un analyste reconnu pour sa capacité à décrypter les complexités des relations internationales. Dans son ouvrage “Au cœur de la 3e guerre mondiale”, il explore les tensions géopolitiques qui définissent notre époque. Avec une approche rigoureuse et documentée, il examine les stratégies des grandes puissances et les répercussions potentielles sur l’équilibre mondial.
La troisième guerre mondiale : une réalité économique et financière en marche
L’affrontement global n’est plus militaire, mais économique. Les États-Unis et la Chine s’affrontent dans une guerre commerciale féroce, tandis que la dédollarisation orchestrée par Pékin, Moscou et Téhéran remet en question l’hégémonie américaine. Les sanctions économiques exacerbent les tensions et durcissent les blocs.
Le Great Reset, promu par Davos, accentue les fractures. Présenté comme une solution universelle, ce projet technocratique favorise les élites et attise une révolte mondiale montante.
Donald Trump : un catalyseur de chaos ?
Sous Donald Trump, les États-Unis ont adopté une posture protectionniste. En s’attaquant à la Chine avec des tarifs douaniers, en quittant des accords internationaux et en critiquant des institutions comme l’OTAN, Trump a fragilisé l’ordre mondial. Si ses partisans louent son anti-mondialisme, ses décisions ont multiplié les tensions internationales, préparant le terrain à des conflits plus profonds.
Une guerre multidimensionnelle et ses répercussions
Les guerres économiques affectent directement les sociétés. En Europe, les sanctions contre la Russie provoquent une flambée des prix de l’énergie, alimentant une colère sociale grandissante. Aux États-Unis, la séparation économique avec la Chine affaiblit plusieurs secteurs tout en alimentant l’inflation.
Parallèlement, le cyberespace devient un nouveau champ de bataille. Les alliances militaires se recomposent : le Japon remilitarise, la Russie intensifie ses opérations, et l’Europe demeure hésitante face à ces bouleversements.
Le chaos intérieur : une menace mondiale
Les inégalités sociales, exacerbées par la financiarisation de l’économie, fracturent profondément les sociétés. Grèves, mouvements populistes et violences explosent en Europe, aux États-Unis et en Chine. Ces guerres intérieures affaiblissent les nations et les rendent vulnérables aux influences extérieures.
Ces divisions internes, combinées à des tensions géopolitiques, pourraient conduire à une guerre civile mondiale, où les intérêts des élites s’opposent à ceux des peuples.
Préparez-vous dès maintenant à affronter un monde en mutation, en recevant votre revue mensuelle Géopolitique Profonde.
https://geopolitique-profonde.com/
-
Le 26 décembre 2024, Pierre Barnérias était l’invité d’Un Soir avec Lara animée par Lara Stam, sur Géopolitique Profonde.
Pierre Barnérias est un réalisateur et un journaliste, il construit sa carrière en explorant des sujets que d’autres médias jugent trop sensibles, trop dérangeants. En 2010, il décide de quitter les structures traditionnelles pour fonder l’agence Citizen, une plateforme indépendante dédiée à l’investigation et aux récits documentés. Son objectif : offrir aux spectateurs une vérité brute, sans filtre, sur des problématiques sociales et sociétales majeures. Parmi ses productions marquantes, Les Survivantes occupe une place centrale. Ce documentaire, qui plonge dans l’univers de la pédocriminalité, secoue autant qu’il éveille.
La pédocriminalité : un fléau sous-estimé
Chaque année, des milliers d’enfants subissent des violences sexuelles, souvent dans l’indifférence. Les réseaux pédocriminels, parfois protégés par des figures influentes, prospèrent grâce à un silence institutionnel et médiatique. Les scandales révélés restent rares, et beaucoup d’affaires sont étouffées par des pressions politiques et économiques.
Ce silence représente une entrave directe à la justice. La médiatisation, pourtant essentielle pour briser l’omerta, est limitée par les intérêts financiers ou politiques des grandes rédactions.
Sensibilisation et prévention : une urgence collective
La lutte contre la pédocriminalité commence par l’éducation et la vigilance. Parents, éducateurs et institutions doivent être formés pour détecter les signes de maltraitance. Les campagnes de sensibilisation, souvent insuffisantes, doivent s’adresser directement au grand public sans édulcorer la réalité.
Internet, principal outil des réseaux criminels, doit devenir un espace de prévention. Les plateformes numériques ont la responsabilité de surveiller leurs contenus et de signaler les activités illégales.
Le rôle clé des lanceurs d’alerte et des journalistes
Les journalistes d’investigation et les lanceurs d’alerte sont essentiels pour dénoncer les réseaux pédocriminels. Ils révèlent des vérités que beaucoup préféreraient ignorer. Mais ils affrontent des défis majeurs : menaces, procès intimidants et violences.
Face à l’omerta des grandes rédactions, les médias indépendants offrent un espace pour des enquêtes rigoureuses et libres de contraintes politiques ou financières.
Responsabilité du public et éthique médiatique
Le public joue un rôle crucial. En soutenant les médias indépendants et en relayant les enquêtes, il contribue à exposer les injustices. Cependant, cette implication doit respecter les victimes, évitant voyeurisme et sensationnalisme.
Les journalistes doivent garantir une approche respectueuse, mettant en avant la dimension humaine des affaires sans réduire les victimes à des objets médiatiques. Une couverture éthique peut briser les tabous et susciter des changements concrets.
Une lutte de longue haleine
La pédocriminalité exige une mobilisation à tous les niveaux : médias, institutions, associations et citoyens. Chaque acteur doit contribuer à démanteler les réseaux et protéger les victimes.
Dans un monde où l’information est parfois manipulée ou étouffée, le journalisme d’investigation reste une arme essentielle pour exposer la vérité et bâtir une société plus juste.
Pour ne rien manquer des enjeux politiques et géopolitiques majeurs actuels, accédez dès maintenant à votre revue mensuelle Géopolitique Profonde.
https://geopolitique-profonde.com/
- Laat meer zien