Afleveringen

  • Le 17 septembre 2024, Jean-Michel Vernochet était l’invité de Nicolas Stoquer et Raphaël Besliu, pour La Matinale sur la chaîne YouTube GPTV.

    Jean-Michel Vernochet, journaliste et géopolitologue, est connu pour ses positions tranchées contre l’oligarchie mondialiste et son analyse rigoureuse des politiques européennes. Ancien grand reporter, auteur de nombreux ouvrages, il aborde des sujets complexes avec une lucidité déconcertante, mettant en lumière les enjeux cachés de l’intégration européenne et de la soumission aux forces extérieures.

    Un virage pour l’Europe

    Ces dernières années, l’Union européenne a fait face à des crises comme le Brexit et la crise énergétique. Un rapport de Mario Draghi, ancien gouverneur de la Banque centrale européenne, propose une intégration européenne renforcée. Ce document inquiète ceux qui dénoncent l’influence croissante des élites mondialistes sur l’Europe.

    Le rapport Draghi suggère la création d’un super État européen. Draghi justifie cette proposition par les échecs de l’Europe, mais cela masque les problèmes structurels sous-jacents. La désindustrialisation de l’Europe et une transition énergétique brutale ont accru la dépendance du continent. L’abandon de sources d’énergie bon marché, souvent pour des raisons idéologiques, a aggravé la crise. Un euro fort, la soumission aux intérêts américains et l’idéologie néolibérale ont affaibli la souveraineté économique européenne.

    Vers une Europe technocratique

    Draghi appelle également à renforcer les pouvoirs de la Commission européenne, dirigée par Ursula von der Leyen, avec des investissements massifs centralisés, limitant les initiatives nationales. Cette centralisation économique viserait à éliminer les frontières et soumettre les gouvernements à une gouvernance technocratique.

    Ce projet renforcerait la bureaucratie bruxelloise, éloignée des réalités locales, et ignorerait les spécificités culturelles et économiques des nations.

    La Tour de Babel

    Jean-Michel Vernochet dénonce la « Tour de Babel » européenne, affirmant que l’Union européenne broie les souverainetés nationales. Il signe un manifeste pour une Europe des Peuples, basée sur des relations bilatérales respectueuses des identités nationales.

    Vernochet plaide aussi pour une alliance franco-russe comme alternative stratégique à la domination américaine, visant à rétablir l’équilibre des forces en Europe et à la libérer de l’influence des élites mondialistes.

    Pour aller plus loin dans l’analyse de l’actualité géopolitique et comprendre les enjeux cachés derrière les décisions européennes, ne manquez pas notre Revue mensuelle de Géopolitique Profonde !

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  • Le 16 septembre 2024, Xavier Moreau, expert en géopolitique et spécialiste des affaires russes, revient en France pour un entretien exclusif avec Mike Borowski sur Géopolitique Profonde.

    Connu pour ses analyses géopolitique, Xavier Moreau est une voix incontournable dans le paysage médiatique francophone sur les questions de sécurité et de politique internationale. Fort de son expérience en Russie et de ses multiples ouvrages, Xavier Moreau propose une vision distincte des relations internationales, souvent en opposition avec le discours dominant occidental.

    Où en sommes-nous du conflit Russo-Ukrainien ?

    Le conflit entre la Russie et l’Ukraine continue de façonner l’actualité internationale. Dernièrement, une attaque massive de drones ukrainiens a ciblé plusieurs régions de Russie dans la nuit du 9 au 10 septembre, causant la mort tragique d’une femme de 46 ans. Ce développement marquant a été largement ignoré par les médias français, soulevant des questions sur la couverture médiatique du conflit.

    Pourquoi ce silence ? Est-ce une tentative de minimiser les revers de l’Ukraine ou une volonté de maintenir une narrative spécifique ? Ces interrogations persistent alors que la situation sur le terrain reste volatile.

    Vers la fin de la guerre ?

    La question de la fin de la guerre reste sur toutes les lèvres : sommes-nous proches d’un dénouement ?Les récents mouvements stratégiques de Poutine laissent penser que la Russie pourrait être en train de renforcer ses positions pour une offensive finale.

    Mais au-delà de la confrontation directe avec l’Ukraine, les ambitions du Kremlin pourraient viser plus loin. Certains analystes spéculent sur un affaiblissement ciblé de l’OTAN, à travers des opérations hybrides et une guerre d’influence qui dépasserait le simple cadre militaire. Est-ce que Poutine va faire tomber l’OTAN ? Cette hypothèse reste une perspective à considérer sérieusement.

    Les nouveaux visas pour Occidentaux : un succès pour la Russie ?

    Récemment, la Russie a instauré de nouveaux visas pour les citoyens occidentaux, une mesure qui suscite diverses réactions. Présentée comme une ouverture stratégique pour attirer des talents étrangers et renforcer les liens économiques malgré les sanctions, cette initiative de Poutine a déjà montré des résultats prometteurs.

    Mais ce succès est-il réel ou seulement superficiel ? Les chiffres montrent une certaine affluence, mais la réalité pourrait être plus nuancée. Comment cette politique s’inscrit-elle dans la stratégie globale de la Russie pour contourner l’isolement international ?

    Pour rester informé des développements géopolitiques majeurs, procurez-vous à la revue mensuelle de Géopolitique Profonde.

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  • Le 16 Septembre 2024, Jean-Luc Robert et Marc Daoud éraient les invités de Mike Borowski sur GPTV Actu pour aborder un sujet brûlant : les accusations d'agressions sexuelles à l'encontre de l'Abbé Pierre.

    Jean-Luc Robert est un auteur et conférencier français reconnu pour ses analyses critiques sur les dérives sociétales, en particulier celles liées à la santé mentale et à la neurodiversité. Après une carrière en tant que psychologue spécialisé dans les troubles du comportement chez les enfants, il se tourne vers l’écriture et la vulgarisation pour dénoncer les excès de la médicalisation à outrance.

    Marc Daoud est le directeur de publication de Nexus, un magazine bimestriel français qui traite de sujets variés tels que la médecine non conventionnelle, l’écologie, la spiritualité et les théories du complot. Nexus se présente comme un média offrant une information libre, quitte à être inquiétante, et s’efforce de documenter des révélations et des innovations qui dérangent.

    Peut-on condamner une personnalité 15 Ans après sa mort ?

    Les récentes accusations d'agressions sexuelles contre l'Abbé Pierre, plus de 15 ans après sa disparition, soulèvent des questions juridiques et éthiques complexes. En droit français, les poursuites pénales ne peuvent être engagées qu'à l'encontre des personnes vivantes, ce qui rend toute forme de condamnation posthume impossible.

    Cependant, la pression médiatique a parfois des effets tout aussi dévastateurs sur la mémoire des personnalités publiques. Peut-on vraiment juger quelqu'un qui n'est plus là pour se défendre ? Ces accusations, bien qu'elles ne puissent mener à un procès, laissent une tâche indélébile sur l'image de l'Abbé Pierre, qui fut longtemps sanctifié par les médias et l'opinion publique.

    L'Abbé Pierre : héros humanitaire ou prédateur sexuel ?

    Les accusations portées contre l'Abbé Pierre jettent une ombre sur l'héritage de cet homme autrefois perçu comme un modèle de vertu et de compassion. Bien que des voix s'élèvent pour défendre sa mémoire, affirmant qu'il était incapable de tels actes, d'autres insistent sur la nécessité de croire les victimes présumées.

    Mais où se situe la vérité ? Dans un climat où l'accusation suffit parfois à détruire des vies, la présomption d'innocence a-t-elle encore sa place ? Les opinions sont divisées, et le débat promet de continuer à enflammer les esprits.

    L'opinion médiatique : de Saint à coupable en un clin d’œil ?

    Il est frappant de constater à quelle vitesse l'opinion médiatique a changé de camp, passant de la vénération à la condamnation sans procès. Des témoignages indiquent que "tout le monde savait" au sujet de ces comportements, mais que personne n'osait en parler de son vivant. Cette dynamique est typique des personnalités jugées intouchables, jusqu'à ce que le voile tombe brutalement.

    La question se pose alors : comment les médias, qui l'ont autrefois sanctifié, se retrouvent-ils aujourd'hui à le clouer au pilori sans nuances ? Est-ce une réévaluation légitime ou une simple chasse aux sorcières post-mortem ? La prise de parole du Pape François nous donne une révélation explosive : "Que savait le Vatican de l'abbé Pierre ? Je ne sais pas, parce que je n'étais pas là à l'époque. Ce qui est certain c'est qu'après sa mort, on savait.", "Malgré tout le bien qu'il a fait, on découvre que c'était un terrible pécheur."

    Dans un climat où l'accusation suffit parfois à détruire des vies, la présomption d'innocence a-t-elle encore sa place ?

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  • Le 16 Septembre 2024, Nicolas Stoquer était en direct sur GPTV Actu.

    LGBT, provocations, mythes anciens… Derrière les mises en scène des organisateurs des JO Paris 2024, se cachent des croyances mythologiques douteuses et obsessionnelles. Les figures telles que les femmes à barbe ou la Cène des transsexuels ne sont pas de simples provocations, mais une résurgence du mythe de l’androgyne, cette première création divine évoquée par Platon.

    Selon certaines interprétations déviées, ce mythe est même inclus dans la Genèse. Ces représentations cherchent à légitimer une lecture ésotérique et occulte du genre, qui tend à confondre la réalité biologique avec une idéologie sans fondements rationnels.

    Les mythes de l’androgyne et la diffusion du gender fluide

    Le concept de Gender Fluide, très en vogue dans les milieux LGBT, s’enracine dans ces vieux mythes. En s’appropriant des figures historiques comme Jeanne d’Arc, qualifiée de « principale travestie de notre histoire nationale » par Thomas Jolly, les défenseurs de cette idéologie cherchent à ancrer dans l’imaginaire collectif l’idée que le genre n’est qu’une construction sociale et malléable à volonté.

    Le prince de la confusion est à la manœuvre, distillant ces vieilles hérésies avec une ferveur quasi religieuse, transformant des récits mythologiques en des vérités modernes, prêtes à être imposées à la société toute entière.

    Les craintes des parents et les conséquences d’une éducation détournée

    Face à ces manipulations, de nombreux Français s’inquiètent de l’impact sur les jeunes générations. Que se passera-t-il si l’État, sous l’influence d’idéologies LGBT radicales, arrache des mains des parents leur rôle éducatif ? Les conséquences se font déjà sentir : de plus en plus d’enfants sont poussés à changer de genre à un âge précoce, sous la pression de certaines associations qui culpabilisent les parents en leur faisant craindre d’être tenus responsables du suicide de leur enfant s’ils n’adhèrent pas à ces nouvelles normes.

    Combien de transitions ratées, de détransitions, de corps et de vies mutilées en résulteront-ils ? Ces jeunes, transformés en expérimentations vivantes des idéologies contemporaines, risquent de porter à jamais les cicatrices de décisions prises sous la contrainte de croyances erronées.

    Protégez-vous et vos proches des dérives idéologiques ! Procurez-vous la revue mensuelle Géopolitique Profonde .

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  • Le 16 septembre 2024, François Martin était l’invité de La Matinale animée par Nicolas Stoquer et Raphaël sur Géopolitique Profonde.

    François Martin est un géopolitologue français reconnu pour ses analyses perspicaces des relations internationales et des conflits mondiaux. Diplômé de l’Institut d’Études Politiques de Paris et titulaire d’un doctorat en relations internationales, François Martin est également l’auteur de plusieurs ouvrages sur la stratégie militaire et la politique étrangère.

    Jack Sullivan et l’état profond : l’engrenage de l’escalade

    Dans le contexte de la vacance du pouvoir aux États-Unis liée à l’élection présidentielle, Jack Sullivan, conseiller influent de la Maison Blanche, incarne le rôle de faucon belliciste. Néoconservateur intransigeant, il pousse pour rendre le conflit avec la Russie irréversible, profitant des tensions pour accuser la Russie d’attaques contre des infrastructures civiles, y compris des centrales nucléaires ukrainiennes, bien que ces affirmations manquent de preuves concrètes.

    Son objectif est clair : renforcer les positions ukrainiennes pour empêcher toute normalisation des relations entre la Russie et l’Europe, même au prix de provocations risquées.

    En parallèle, le secrétaire d’État américain Antony Blinken se rend à Kiev pour préparer la venue de Volodymyr Zelensky aux États-Unis, où ce dernier réclame un soutien accru pour utiliser les armes occidentales en profondeur. Joe Biden, tout en restant prudent, envisage cette possibilité mais seulement pour les armes fournies par le Royaume-Uni et la France. Ce jeu de puissance vise à verrouiller les alliances et à isoler la Russie sur la scène internationale.

    La stratégie de Vladimir Poutine : patience et dissuasion

    Face à l’intensification des actions de l’OTAN, Vladimir Poutine maintient une posture de dissuasion tout en mettant en garde contre le risque d’une extension du conflit à une guerre ouverte avec l’OTAN. Il souligne à juste titre que les missiles balistiques ukrainiens ne pourraient pas être déployés sans le soutien logistique des membres de l’OTAN, notamment à travers les systèmes de satellites et de contrôle au sol.

    Poutine, connu pour ses nerfs d’acier et sa stratégie d’attrition, ne se précipite pas. Sa priorité reste d’user les forces adverses tout en minimisant les coûts pour la Russie, espérant ainsi obtenir la capitulation de Kiev. Pour Poutine la dissuasion reste son arme principale pour atteindre ses objectifs sans provoquer un conflit généralisé.

    Vers un conflit incontrôlable ?

    Les actions des États-Unis et de leurs alliés soulèvent la question : jusqu’où sont-ils prêts à aller pour maintenir leur influence et contrer la Russie ? La crainte d’un effondrement du front ukrainien dans le Donbass, combinée au risque d’une victoire de Donald Trump aux élections présidentielles, pousse certains acteurs de l’État profond à prendre des décisions désespérées, cherchant à rendre le conflit irréversible avant un éventuel changement de pouvoir.

    Cette escalade pourrait-elle réellement nous conduire vers une troisième guerre mondiale, ou s’agit-il de tactiques de pression pour forcer la main de leurs adversaires ?

    Pour approfondir votre compréhension des enjeux géopolitiques actuels et recevoir des analyses exclusives, recevez dès maintenant à la revue mensuelle Géopolitique Profonde.

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  • Le 15 septembre 2024, David Pliquet était l’invité de Raphaël Besliu, pour le Rendez-vous Interdit du dimanche sur Géopolitique Profonde !

    Découvrez la face cachée d’une mafia financière bourgeoise en France, un réseau puissant qui tire ses racines jusqu’à l’époque de Louis XVIII. Bien loin de l’image populaire des gangs de rue, cette organisation secrète s’inscrit au cœur des sphères économiques et politiques françaises, façonnant le destin du pays depuis la Révolution française.

    Une histoire révélatrice de pouvoir et de manipulation

    La Révolution française, souvent perçue comme un soulèvement populaire, a en réalité permis à la bourgeoisie de s’emparer du pouvoir.

    Cette prise de contrôle a vu l’émergence de mafias financières, des groupes d’influence qui, jusqu’à ce jour, détiennent une emprise significative sur les décisions économiques et politiques de la nation.

    Loin des projecteurs, ces organisations ont tissé des liens profonds avec les figures de l’élite française, et leur influence s’étend bien au-delà des frontières du monde politique.

    Le rôle caché de lieux élitistes et symboliques

    Ces groupes ne se limitent pas à l’arène financière. Ils ont également investi des lieux emblématiques de la consommation et du pouvoir bourgeois, tels que les casinos, les stations balnéaires de prestige, et des lieux mythiques comme Le Fouquet’s.

    Ce dernier sert de point de rencontre pour ces élites et leurs alliés, y compris des figures politiques de premier plan comme Emmanuel Macron.

    Derrière le luxe apparent se cache un réseau de pouvoir qui régule non seulement les affaires économiques, mais aussi les interactions sociales de l’élite.

    La vérité derrière le roman national

    Pour saisir l’influence de cette mafia bourgeoise, il est essentiel de revisiter le Roman National et de déconstruire le mythe de la Révolution française.

    Cette dernière n’était pas une véritable révolution du peuple, mais un mouvement orchestré par la bourgeoisie pour asseoir son pouvoir par la domination du capital. Cette manipulation historique éclaire les véritables dynamiques de pouvoir qui continuent d’influencer les plus hautes sphères de l’État français.

    David Pliquet, invité du rendez-vous interdit sur Géopolitique Profonde, dévoilera les rouages cachés de cette mafia financière bourgeoise.

    Dans cette émission, vous découvrirez les noms et les manœuvres de ces figures de l’ombre qui, depuis des siècles, jouent un rôle décisif dans la construction de l’élite française.

    Plongez dans cette exploration sans concession de notre histoire, et comprenez comment ces groupes continuent de façonner le destin de la France aujourd’hui.

    Ne manquez pas cette plongée exclusive dans les véritables arcanes du pouvoir, où économie, politique, et élitisme se mêlent dans une danse complexe de manipulation et de domination, le 15 septembre à 18h, en direct sur GPTV..

    Quittez la dictature numérique et financière, avec la revue mensuelle de Géopolitique Profonde.

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  • 15 septembre 2024 : on demande aux Français comment ils survivent face à la flambée des prix, alors que le gouvernement semble impuissant à résoudre la crise sur GPTV Investigations !

    La réalité des Français

    Ces dernières années, les Français ont vu leur pouvoir d’achat s’effondrer face à une flambée généralisée des prix. Que ce soit au supermarché, où les produits de base comme le pain, les pâtes ou les légumes voient leurs prix exploser, ou à la pompe à essence, où le carburant est devenu un véritable luxe pour certains, les dépenses essentielles pèsent de plus en plus lourd dans le budget des ménages.

    À cela s’ajoutent les factures d’énergie qui ont atteint des niveaux historiques, avec des hausses successives du gaz, de l’électricité, et même de l’eau. Pourtant, en dépit de ces difficultés croissantes et tangibles, l’INSEE annonce une baisse de l’inflation, laissant beaucoup de Français perplexes. Comment peut-on parler de « baisse » alors que les tickets de caisse ne cessent d’augmenter ?

    Survivre plutôt que vivre
    Pour une grande partie des Français, la situation économique a désormais dépassé le stade de la difficulté pour entrer dans une zone critique. Les foyers qui, il y a quelques années, parvenaient à maintenir un équilibre entre revenus et dépenses, sont aujourd’hui pris dans une spirale infernale. Il ne s’agit plus de vivre, mais de survivre. Même ceux qui bénéficient d’un emploi stable, souvent considérés comme privilégiés, peinent à joindre les deux bouts. Le coût de la vie a augmenté de façon si drastique que ce qui était autrefois suffisant pour assurer un niveau de vie confortable ne permet plus, désormais, de couvrir que les besoins les plus basiques.

    Cette pression financière constante entraîne des sacrifices qui, il y a encore peu, auraient été impensables. De plus en plus de familles doivent faire des choix douloureux : se priver de loisirs, renoncer à des vacances, voire réduire les dépenses sur des aliments de base, impactant ainsi leur qualité de vie. Le renoncement devient la norme, une réalité dans laquelle beaucoup se trouvent enfermés sans espoir immédiat de répit.

    Un gouvernement à la dérive

    Face à cette détresse sociale, une question centrale se pose : comment le gouvernement gère-t-il réellement cette crise ? Les mesures mises en place, telles que les chèques énergie ou les indemnités inflation, sont des solutions temporaires pour soulager les ménages s’apparentent à de simples pansements posés à la hâte sur une plaie bien plus profonde. Ces mesures, bien qu’appréciées par ceux qui en bénéficient, n’attaquent pas le cœur du problème : la précarité économique structurelle et la dégradation du pouvoir d’achat.

    Pour beaucoup, ces aides ne suffisent pas à compenser la flambée des prix. Elles offrent un répit momentané, mais laissent intacte la source du malaise : un fossé toujours plus large entre les revenus et le coût de la vie. Les Français se sentent abandonnés, pris au piège dans une situation où les gouvernants ne semblent apporter aucune solution. Les responsables politiques, à travers ces mesures ponctuelles, donnent l’impression d’essayer simplement de gagner du temps, espérant désamorcer une colère sociale qui continue de croître. Au final, ces aides financières sont-elles vraiment un outil de gestion de crise ou une stratégie pour éviter l’implosion sociale ?

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  • Le 15 septembre 2024, Mike Borowski dénonce la retraite scandaleuse et le salaire exorbitant de Michel Barnier, Premier ministre, après moins de 25 ans de cotisations, sur GPTV ACTU.

    Premier ministre et retraite dorée

    Michel Barnier, en poste comme Premier ministre depuis le 5 septembre 2024, incarne un système de privilèges républicains qui soulève une indignation croissante. Selon le journal Marianne, sa retraite atteindrait plus de 28 000 euros brut par mois, une somme exorbitante, surtout pour quelqu’un qui n’a cotisé que moins de 25 ans. Avant ce poste, Barnier a occupé plusieurs fonctions : parlementaire pendant 17 ans, ministre pendant 7 ans, et membre de cabinets ministériels. Ces fonctions lui ont permis de cumuler des pensions conséquentes : 7 637 euros pour son parcours parlementaire et ministériel, 5 300 euros pour son passage au Palais-Royal, et 13 187 euros pour ses années au Conseil général de la Savoie.

    S’ajoutent à cela d’autres pensions issues de ses rôles comme coprésident des JO d’Albertville en 1992 et vice-président de Mérieux Alliance. De plus, sa carrière européenne, en tant que Commissaire et négociateur du Brexit, lui donne droit à une pension de 15 083 euros calculée à 4,275 % du salaire de base par année de mandat.

    Heureusement, dans un geste de grande noblesse, il a décidé de suspendre sa pension de Commissaire européen pendant qu’il occupe Matignon. Ainsi, il ne touche donc « que » 28 270 euros par mois de retraite, un privilège bien éloigné des réalités quotidiennes des Français, illustrant une classe politique déconnectée et toujours avide des fonds publics malgré la crise économique persistante.

    L’écart se creuse

    En plus de sa retraite scandaleuse, Michel Barnier perçoit un salaire de 16 000 euros brut par mois. Cela fait un total de 42 000 euros mensuels d’argent public pour une seule personne, alors que les services publics manquent cruellement de financement. Ce type de rémunération ne reflète en rien les réalités des Français, et encore moins celles de la classe moyenne qui peine à boucler les fins de mois.

    Cette situation met en lumière un problème plus profond : un décalage entre les élites politiques et les citoyens ordinaires. Les salaires et avantages perçus par les hauts responsables sont non seulement disproportionnés, mais ils alimentent également un sentiment d’injustice et de défiance envers ceux qui devraient servir l’intérêt général.

    Un système pour les élites, payé par le peuple

    Est-il normal qu’un homme ayant cotisé moins de 25 ans touche une retraite de 28 000 euros et continue de cumuler cette somme avec son poste actuel ? Ce n’est pas seulement injuste, c’est un abus manifeste du système. Les privilèges républicains, loin d’être mérités, semblent réservés à une caste privilégiée déconnectée des réalités de ceux qui les financent.

    Cette inégalité est d’autant plus criante dans un contexte où l’on demande aux citoyens de faire des sacrifices, de travailler plus longtemps pour des pensions réduites. Espérons que Michel Barnier, à 73 ans, tirera des leçons de son propre cas lorsqu’il abordera la réforme des retraites.

    Il est temps de dénoncer ces abus et d’exiger des comptes de ceux qui se gavent sur le dos des contribuables.

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  • Le 15 septembre 2024, Oskar Freysinger était l’invité du Libre Journal de Géopolitique Profonde, animé par Nicolas Stoquer.

    L’Europe en crise : vers un totalitarisme moderne ?

    L’Europe connaît actuellement une crise profonde qui la conduit sur la voie d’un régime de plus en plus autoritaire. Derrière les discours de protection de la démocratie se dessine un nouveau modèle de gouvernance, souvent qualifié de communisme 2.0.

    Les libertés individuelles sont de plus en plus menacées, avec une censure croissante et des restrictions imposées sous prétexte de sécurité et de bien commun. Les politiques économiques ne sont pas en reste : l’inflation galopante, largement perçue comme artificielle, aggrave la précarité des citoyens.

    Une guerre à venir et une Europe sourde à la volonté populaire

    Alors que la menace d’une guerre contre la Russie plane, nombreux sont ceux qui voient cette perspective comme une décision imposée par les élites, sans réel soutien populaire.

    Les décisions stratégiques semblent se faire en dépit des souhaits des citoyens, ce qui alimente un sentiment de méfiance envers les institutions européennes.

    En parallèle, la gestion des flux migratoires, perçue comme incontrôlée et promue par les traités européens, ajoute une couche supplémentaire de tension et de division au sein des États membres.

    L’idéologie woke et LGBT : une nouvelle norme imposée ?

    Sur le plan culturel et idéologique, l’Europe voit une montée en puissance du wokisme et des mouvements LGBT. Pour certains, cela s’apparente à une imposition d’une nouvelle norme sociétale qui valorise une vision unilatérale du progrès et de la modernité.

    La polarisation entre ce qui est perçu comme « le Bien » (progressisme, modernité) et « le Mal » (tradition, souveraineté) devient de plus en plus marquée, laissant peu de place au débat. Ceux qui s’opposent à ces courants se retrouvent souvent marginalisés ou étiquetés comme rétrogrades.

    Comment résister à la dérive autoritaire de l’Europe ?

    Dans ce contexte, la question de la résistance face à cette dérive totalitaire se pose.

    Oskar Freysinger, figure politique et écrivain, apporte son éclairage sur ces enjeux lors de son intervention au Libre Journal de Géopolitique Profonde animé par Nicolas Stoquer.

    Freysinger dresse un portrait sans concession de la situation actuelle et propose des pistes pour résister à cette uniformisation idéologique. Pour lui, il est essentiel de défendre la diversité des opinions et de s’opposer activement à l’imposition d’un modèle unique dicté par une élite occidentale déconnectée des réalités locales.

    L’Europe est à un tournant décisif, et il appartient à chacun de choisir la voie de l’insoumission pour préserver les valeurs de liberté, de souveraineté et de diversité culturelle qui ont longtemps caractérisé le continent.

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  • Le 14 septembre 2024, Marie Pascale Rémy était l'invitée du Monde Réel, animé par Nicolas Stoquer, sur GPTV.

    Marie-Pascale Rémy est une auteure et conférencière renommée, spécialisée dans l'ésotérisme et les enseignements spirituels de Rudolf Steiner. Elle est l'auteure de plusieurs ouvrages tels que “Saint Michel, renaître dans le combat spirituel”, “L’expérience de l’ange”, et “Les mythes du féminin” (tomes 1 et 2), qui explorent les thèmes du combat spirituel, de la renaissance spirituelle et des influences célestes.
    Ces ouvrages trouvent un écho particulier dans le contexte de notre discussion concernant les JO de Paris 2024, un événement marqué par des accusations de messages subliminaux sataniques et des controverses autour des représentations obscènes.

    Enseignement de Rudolf Steiner : un rappel essentiel

    Pour comprendre les controverses entourant les JO Paris 2024, il est important de se pencher sur les enseignements de Rudolf Steiner concernant les esprits des ténèbres. Steiner enseignait que l'humanité traverse une époque de matérialisme croissant, où des forces spirituelles négatives cherchent à s'imposer. Il exhortait ses disciples à se préparer à un combat intérieur en transformant leurs pensées et en se connectant avec des forces célestes positives. Par ses ouvrages, Marie Pascale Rémy perpétue cet enseignement, rappelant l'importance de rester vigilant face aux influences négatives et de s'engager activement dans la quête spirituelle.

    Les cérémonies des JO Paris 2024 : symboles et controverses

    Les cérémonies d'ouverture des JO Paris 2024 ont suscité des controverses mondiales, avec des critiques dénonçant l'obscénité de certaines représentations diffusées en prime time. Des spéculations ont émergé sur des messages subliminaux sataniques, bien que les organisateurs aient démenti ces accusations. Cette controverse soulève un débat sur l'influence des symboles et rituels modernes, perçus par certains comme des expressions des forces obscures.

    Marie Pascale Rémy, en tant que spécialiste des enseignements de Rudolf Steiner, aide à décrypter ces éléments en mettant en lumière l'inspiration luciférienne de ces représentations. Selon Steiner, les esprits des ténèbres cherchent à influencer la culture humaine pour détourner l'humanité de son chemin spirituel. Ces cérémonies pourraient refléter un mouvement plus large de banalisation des forces obscures.

    L'inspiration luciférienne et la chute des esprits des ténèbres

    Steiner, fondateur de l'anthroposophie, enseignait que la lutte contre les forces lucifériennes est essentielle à la transformation spirituelle de l'humanité. La chute des esprits des ténèbres symbolise le combat entre les forces du bien et du mal, ces esprits cherchant à s'incarner dans le monde moderne pour influencer pensées et actions humaines par des moyens subversifs, y compris la culture et les médias.

    Marie-Pascale Rémy, en se référant à ses travaux sur Saint Michel, le protecteur spirituel de l'humanité, nous rappelle que chaque individu est appelé à participer à ce combat spirituel. Elle souligne l'importance de reconnaître et de contrer l'influence des esprits des ténèbres dans nos vies quotidiennes et dans les grands événements culturels.

    Pour aller plus loin dans la compréhension des enjeux spirituels et géopolitiques de notre époque, recevez votre revue mensuelle Géopolitique Profonde.

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  • Le 14 Septembre 2024, Nicolas Stoquer, accompagné de Lara Stam, recevait Claude Meunier Berthelot sur GPTV ACTU, pour un entretien autour de l'Éducation Nationale et ses dérives.

    Claude Meunier Berthelot, spécialiste reconnu de l'éducation et auteur de plusieurs ouvrages critiques sur le système éducatif français comme "Comprendre la 'refondation' de l'école en 25 leçons" ou encore "Le trompe-l'œil de l'éducation". Engagé depuis des années contre la dégradation de l'Éducation Nationale, il dénonce les manipulations idéologiques et les politiques destructrices qui visent à remodeler notre société.

    La rentrée : une nouvelle étape dans la démolition programmée de l’Éducation Nationale

    À chaque rentrée, les mêmes problèmes persistent : professeurs absents, précarité des emplois enseignants, et dévalorisation des professionnels certifiés. Jadis pilier de la République, le système éducatif est en ruines, orchestré par l’oligarchie dominante.

    Les enseignants contribuent aussi à cette dégradation, notamment avec la réforme des "groupes de besoins" instaurée par Gabriel Attal pour 2024-2025. Conçue pour répondre aux défis éducatifs, cette réforme est détournée : les groupes sont créés sans homogénéité, annulant l’efficacité et la qualité de l’apprentissage. L'absence de consultation des parents révèle une prise de décision arbitraire des enseignants, tandis que les parents, désengagés, laissent l’Éducation Nationale dicter l’avenir de leurs enfants.

    La fabrication d’un homme nouveau : une menace pour les valeurs traditionnelles

    Au-delà de l’échec structurel, l’Éducation Nationale sert de terrain de propagande pour des idéologies visant à remodeler l’identité des jeunes. L’éducation à la sexualité, influencée par des courants LGBT et Woke, est utilisée pour produire un « homme nouveau », déraciné et conforme aux idéaux de la République cosmopolite. Ce phénomène persiste face au silence des parents, qui se croient isolés dans leur réticence. Il est urgent que les parents reprennent la parole et expriment leur désaccord avec ces orientations qui ne reflètent pas leurs valeurs.

    Le choix de l’école et la liberté d’enseignement : des droits en voie de disparition

    La situation relance le débat sur le droit au choix de l'école et la liberté d'enseignement, des libertés de plus en plus restreintes. Passant d’un régime de déclaration à un régime d’autorisation pour l’instruction en famille, l’État impose un contrôle accru, limitant la capacité des parents à décider ce qui est mieux pour leurs enfants. Contrairement à ce que beaucoup croient, c'est l'instruction qui est obligatoire, pas l'école. La crise du Covid-19 a révélé pour beaucoup l'importance de reprendre en main l'éducation de leurs enfants, menant à une hausse des familles choisissant l’instruction à domicile, signe du désenchantement envers le système traditionnel.

    Face à cette dérive, il est impératif de défendre et de promouvoir la liberté d'enseignement, et de redonner aux parents le pouvoir de choisir le parcours éducatif de leurs enfants, loin des injonctions uniformisantes de l’État.

    Votre engagement est essentiel pour protéger l'avenir de nos enfants, procurez-vous votre revue mensuelle.

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  • Le 14 Septembre 2024, Mike Borowski était en direct sur GPTV Actu pour parler des récentes déclarations du joueur de piano à queue.

    Zelensky et son « plan pour la victoire »

    Le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, critique les pays occidentaux pour leur « peur » face à la menace russe, accusant leur hésitation à abattre les missiles et drones russes visant l’Ukraine, alors qu’ils aident Israël. Zelensky prévoit de présenter un « plan pour la victoire » au président américain Joe Biden pour obtenir un soutien accru contre la Russie.

    Contexte historique des conflits : Russie-Ukraine et Israël-Palestine

    Le conflit Russie-Ukraine est marqué par des tensions liées au non-respect des accords de Minsk et à l’expansion de l’OTAN, perçue par Moscou comme une menace. Depuis 2000, Vladimir Poutine maintient une politique ferme, bénéficiant d’un soutien populaire malgré les sanctions internationales. Les sanctions économiques imposées à la Russie affectent aussi les économies occidentales, comme en France.

    Conflit Russie-Ukraine et soutien occidental

    L’annexion de la Crimée par la Russie en 2014 a intensifié les tensions, entraînant des sanctions contre Moscou. Parallèlement, Israël bénéficie du soutien occidental pour abattre les projectiles ennemis, ce que l’Ukraine espère obtenir contre les attaques russes. Des systèmes antiaériens comme le NASAMS et l’IRIS-T ont été livrés à l’Ukraine, mais ne sont pas aussi avancés que ceux d’Israël.

    Les implications de la stratégie de Zelensky et la surveillance de Poutine

    Zelensky cherche à obtenir un soutien militaire accru des États-Unis, alors que l’Ukraine subit des attaques quasi quotidiennes de missiles et de drones russes. Sa stratégie de confrontation pourrait entraîner une escalade avec la Russie, que Poutine surveille de près. La Russie, sous Poutine, reste résolue face aux provocations occidentales, soutenue par une grande partie de la population russe.

    Enjeux futurs

    Tandis que l’Ukraine cherche à renforcer ses défenses avec l’aide de l’Occident, la question reste de savoir si ce « plan pour la victoire » de Zelensky ne risque pas de nous précipiter dans une confrontation directe avec la Russie, entraînant des conséquences imprévisibles pour l’ensemble du monde.

    Pour en savoir plus sur les enjeux géopolitiques actuels, recevez dès maintenant la revue mensuelle de Géopolitique Profonde.

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  • Le 14 septembre 2024, Emmanuelle Darles et Vincent Pavant étaient les invités du Libre Journal des Controverses, animé par Mike Borowski.

    L’hydroxychloroquine, un médicament utilisé depuis des décennies pour traiter diverses maladies, est soudainement devenu un sujet de controverse mondiale lors de la crise sanitaire du Covid-19. Décrété inefficace, voire dangereux, par de nombreuses autorités de santé, ce médicament a été massivement censuré et a alimenté un débat qui n’a cessé de s’intensifier.

    À l’épicentre de cette polémique, le Professeur Didier Raoult, figure emblématique de la médecine française, a proposé un protocole incluant l’hydroxychloroquine, déclenchant une véritable cabale médiatique et scientifique contre lui.

    La diabolisation du Professeur Didier Raoult : un acharnement sans précédent

    Malgré une carrière reconnue et une expertise indéniable, le Professeur Raoult a été systématiquement diabolisé, ses recherches discréditées, et son intégrité mise en doute.

    Pourquoi un tel acharnement ?

    Au-delà de la simple controverse scientifique, cette affaire soulève des questions plus profondes sur les intérêts en jeu, notamment ceux des grands groupes pharmaceutiques, ceux que l’on nomme « Big Pharma ».

    La communication autour des vaccins covid : de l’efficacité promise au Pfizergate

    L’évolution de la communication autour des vaccins Covid, en particulier ceux de Pfizer, illustre parfaitement cette dynamique.

    Initialement annoncés comme la solution miracle à la pandémie, les vaccins Pfizer ont rapidement montré des failles : efficacité fluctuante, effets secondaires sous-estimés, et un scandale de grande ampleur, le « Pfizergate », dévoilant des pratiques douteuses et des contrats avantageux pour le laboratoire.

    Ces révélations mettent en lumière la présence de la corruption même en période d’urgence sanitaire, avec des décisions qui semblent davantage guidées par des intérêts financiers que par une réelle préoccupation pour la santé publique.

    Le débat complexe et censuré autour de l’Hydroxychloroquine

    Le débat sur l’hydroxychloroquine a été l’un des plus censurés de la période Covid.

    Considéré par certains comme une option thérapeutique potentielle, il a été rejeté avec véhémence par d’autres, souvent sans discussions ouvertes ni recherches contradictoires approfondies.

    Cette polarisation a alimenté une méfiance croissante envers les autorités de santé et a révélé des dysfonctionnements profonds dans la gestion de l’information médicale en temps de crise.

    Révélations et enjeux futurs : quand Big Pharma prend les rênes de la Santé

    Cette problématique est brillamment exposée par Emmanuelle Darles et Vincent Pavant dans leur livre « À cœur ouvert : ‘ils’ savaient tout ».

    Invités par Mike Borowski sur le Libre journal des controverses diffusé sur GPTV, ils explorent les zones d’ombre de la gestion de la crise sanitaire et mettent en avant les dérives inquiétantes d’un système de santé de plus en plus sous l’influence de Big Pharma.

    À l’heure où la vérité commence enfin à se dévoiler, il devient essentiel de rester vigilant face à ces enjeux qui pourraient lourdement peser sur l’avenir de notre santé publique.

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  • Le 13 septembre 2024, Natacha Rey et Maître Danglehant étaient les invités de Mike Borowski, sur GPTV !

    Natacha Rey est une journaliste d'investigation indépendante connue pour ses enquêtes audacieuses et controversées. Elle s'est spécialisée dans l'exploration des coulisses du pouvoir et des figures publiques, souvent en abordant des sujets sensibles que peu osent traiter. Sa rigueur et son approche sans concession lui ont valu autant de soutiens que de critiques, notamment suite à son implication dans l'affaire opposant Brigitte Macron.

    François Danglehant est un avocat français qui a été médiatisé pour avoir défendu des clients dans des affaires controversées. Inscrit au barreau de Seine-Saint-Denis, il a notamment défendu le polémiste Dieudonné ainsi que Natacha Rey. Sa carrière a été marquée par plusieurs affaires judiciaires, tant professionnelles que personnelles.

    Le verdict est tombé

    L’affaire entre Natacha Rey et Brigitte Macron découle d'une enquête menée par Rey et Amandine Roy, visant à prouver que Brigitte Macron n'aurait jamais existé en tant que telle, et que son identité aurait été adoptée par son frère, Jean-Michel Trogneux, après un changement de sexe.

    Le 12 septembre, Natacha Rey et Amandine Roy ont été condamnées pour diffamation envers Brigitte Macron et Jean-Michel Trogneux. Elles doivent verser 8 000 euros à Brigitte Macron et 5 000 euros à Jean-Michel Trogneux.

    Une absence qui ne passe pas inaperçue

    Maître Jean Ennochi, avocat de Brigitte Macron, qualifie le verdict de « simple application de la loi », visant à protéger le droit à la vie privée, et non comme un acte de censure. Rey et son avocat, François Dangléhant, ont annoncé faire appel, soulevant des questions sur la protection des personnalités publiques et la liberté d’enquête.

    L'absence de Brigitte Macron et Jean-Michel Trogneux au tribunal a alimenté des spéculations, certains y voyant une stratégie pour éviter de donner plus de visibilité à l'affaire. D'autres pensent que cela alimente les rumeurs sur la transidentité de Brigitte Macron, vue comme une stratégie pour éviter une confrontation directe. La question demeure : est-ce un acte de justice ou un message pour dissuader les journalistes d'aborder des sujets délicats ?

    Vers une autocensure des journalistes ?

    La condamnation de Natacha Rey relance le débat sur la liberté de la presse en France, avec des inquiétudes sur l’impact de cette décision sur le journalisme d'investigation. Ce verdict pourrait établir un précédent inquiétant pour l'exposition de faits délicats concernant des figures publiques.

    Il existe une crainte que de telles condamnations entraînent une autocensure parmi les journalistes, limitant ainsi leur capacité à enquêter librement. Cette affaire pourrait avoir des répercussions sur la diversité et l’indépendance des enquêtes journalistiques en France, dans un contexte de plus en plus contraignant.

    Pour un témoignage exclusif et une analyse de ce procès et de l'avenir de la liberté de la presse, retrouvez Natacha Rey et Maître François Dangléhant ce soir, sur GPTV , avec Mike Borowski.

    Pour aller plus loin, explorez notre revue mensuelle Géopolitique Profonde pour des analyses sans concessions sur les grands enjeux mondiaux !

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  • Le 13 septembre 2024, Jacques Baud, Laurent Arthur du Plessis et Lara Stam étaient les invités de Nicolas Stoquer, sur GPTV ACTU !

    Jacques Baud est un ancien colonel de l’armée suisse. Il est reconnu comme un analyste stratégique et spécialiste du renseignement et du terrorisme. Sa carrière inclut des rôles importants dans les services de renseignement suisses, des missions pour les Nations Unies, et des contributions à l’OTAN. Baud est également auteur et a publié des analyses sur la guerre en Ukraine.

    Laurent Artur du Plessis est un analyste reconnu pour sa capacité à décrypter les complexités des relations internationales. Dans son ouvrage “Au cœur de la 3e guerre mondiale”, il explore les tensions géopolitiques qui définissent notre époque. Avec une approche rigoureuse et documentée, il examine les stratégies des grandes puissances et les répercussions potentielles sur l’équilibre mondial. Son analyse se distingue par sa neutralité et son refus de céder à la dramatisation, offrant ainsi une perspective nuancée et équilibrée.

    Lara Stam est journaliste et analyste en affaires internationales, spécialisée dans les conflits mondiaux et les dynamiques géopolitiques. Elle est reconnue pour son analyse rigoureuse et sa capacité à rendre accessibles des sujets complexes, apportant des perspectives claires et approfondies sur les enjeux actuels, en particulier en Europe de l'Est et au Moyen-Orient.

    Biden accélère le conflit

    Joe Biden a récemment annoncé qu’il envisageait l’utilisation par l’Ukraine de missiles de longue portée fournis par les États-Unis pour frapper en profondeur le territoire russe. Cette déclaration, qui marque un tournant décisif dans le conflit en cours, a été saluée par les Pays-Bas, connus pour leur position ferme contre la Russie. L'escalade militaire pourrait s’intensifier rapidement, poussant l’OTAN et ses alliés sur une trajectoire dangereuse pour la stabilité mondiale.

    Un jeu dangereux à Moscou

    La récente attaque de drones ukrainiens à Moscou, coûtant la vie à une civile, montre à quel point la situation est explosive. Ces actions, loin d’être isolées, reflètent une stratégie de tensions croissantes orchestrée avec le soutien des puissances occidentales. Ces incidents, de plus en plus fréquents, soulèvent des questions sur les intentions des dirigeants ukrainiens et de leurs soutiens américains : sont-ils des avertissements ou des provocations délibérées visant à déclencher une réponse musclée de la Russie ? Ce jeu dangereux pourrait avoir des conséquences dramatiques pour la région et au-delà.

    Vers une troisième guerre mondiale ?

    La question centrale est : que cherchent les États-Unis et l’OTAN ? En multipliant les provocations, visent-ils à nous entraîner vers une troisième guerre mondiale ? À l'approche des élections américaines, chaque camp semble vouloir maximiser ses gains, rendant la situation de plus en plus volatile. Une victoire de Donald Trump pourrait signifier un revirement stratégique majeur, potentiellement mettant fin à cette dangereuse escalade. En attendant, la période est remplie de dangers, où chaque mouvement pourrait déclencher une réaction en chaîne aux conséquences imprévisibles.

    Pour approfondir ces questions, ne manquez pas l'émission, sur GPTV ACTU.

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  • Le 12 septembre 2024, Mike Borowski analysait en direct sur GPTV ACTU la hausse de 78 % des tentatives d’homicides en France entre 2016 et 2020, signe d’une crise sociétale profonde.

    Un triste record historique

    Entre 2016 et 2020, la France a connu une triste augmentation de plus de 78 % des tentatives d’homicides, un chiffre sans précédent dans les annales de la statistique criminelle. Ce record des 50 dernières années révèle une société en proie à une montée de la violence sans équivalent dans son histoire récente.

    Cette explosion de comportements criminels trouve ses racines dans un climat social tendu, où les inégalités sociales et économiques se creusent et nourrissent un sentiment d’injustice et de frustration. La précarité croissante, le chômage persistant, et la marginalisation de certaines communautés ont contribué à déstabiliser le tissu social, réduisant les liens de solidarité et augmentant les tensions interpersonnelles. En parallèle, le manque de confiance envers les institutions publiques, la police, et le système judiciaire exacerbe le sentiment d’abandon et l’impression que la violence devient une réponse légitime à des problèmes qui semblent insolubles.

    Le symptôme d’une société en crise

    La violence devient une réponse fréquente à la moindre frustration en raison d’une combinaison de facteurs sociaux, économiques et culturels qui affaiblissent progressivement les structures traditionnelles de contrôle des comportements. D’un côté, la dévalorisation des normes éducatives et l’affaiblissement du rôle de la famille et de l’école dans l’inculcation des valeurs de respect et de tolérance contribuent à une perte de repères. De l’autre, la montée de l’individualisme, exacerbée par une société de consommation qui prône l’immédiateté et la satisfaction instantanée des désirs, renforce l’idée que les obstacles doivent être surmontés de manière directe et souvent brutale.

    La société française semble glisser vers un point de non-retour où la délinquance prospère impunément, alimentée par une perception croissante de l’inefficacité du système judiciaire et une tolérance sociale accrue envers les comportements antisociaux. Les valeurs de respect mutuel, de civilité, et de responsabilité collective s’affaiblissent, laissant la place à une agressivité latente, renforcée par des modèles médiatiques et culturels qui glorifient la confrontation et la rébellion.

    Quand les criminels deviennent les victimes

    La société contemporaine est-elle témoin d’une inversion des valeurs où les criminels sont souvent considérés comme des victimes et les véritables victimes comme des coupables ? Ce phénomène interroge sur la capacité de notre société à maintenir des repères clairs et des normes cohérentes.

    À travers les discours médiatiques et politiques, il apparaît que la compassion et la compréhension à l’égard des auteurs de crimes prennent parfois le pas sur la protection et la justice pour les victimes. Cette inversion morale, où le sentiment d’impunité s’accroît, semble contribuer à une perception erronée de la responsabilité individuelle, brouillant les lignes entre le bien et le mal.

    Mike Borowski aborde ces enjeux sur GPTV ACTU.

    Soyez au rendez-vous pour une discussion sans filtres et pleine de vérités.

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  • Le 13 septembre 2024, Frigide Barjot était l’invitée de Nicolas Stoquer et Raphaël Besliu, pour La Matinale de Géopolitique Profonde !

    Frigide Barjot est une figure médiatique et militante française connue pour son engagement en faveur des valeurs familiales et traditionnelles. Ancienne humoriste et attachée de presse, elle s’est fait connaître du grand public en tant que porte-parole de la Manif pour tous, un mouvement opposé au mariage homosexuel en France. Elle a su mobiliser une partie de la société française autour de la défense de la famille traditionnelle, tout en suscitant des controverses par son approche directe et parfois décalée.

    La France face à l’emprise du mouvement LGBT

    L'influence du mouvement LGBT en France se manifeste dans la vie publique, politique, et culturelle, avec des lois favorisant les droits LGBT et des campagnes médiatiques. Un exemple marquant est le remboursement par la Sécurité sociale des opérations de changement de sexe. Ces évolutions sont perçues par certains comme une rupture avec les valeurs traditionnelles, imposant un alignement sur des idéologies progressistes, souvent au détriment des convictions conservatrices.

    Les cérémonies des JO : propagande ou célébration ?

    Les récentes cérémonies des Jeux Olympiques sont vues comme une campagne de propagande LGBT, avec des choix artistiques tels que les couleurs rose et bleu, détournés pour promouvoir des thèmes de transgenrité. Le feu, symbole traditionnel, a été utilisé pour soutenir le transhumanisme et la médecine prothésique, critiqués comme glorifiant une humanité transformée.

    Ces choix artistiques et symboliques ont soulevé de vives critiques, particulièrement parmi ceux qui voient dans ces cérémonies un abandon des valeurs universelles au profit d’une idéologie progressiste radicale.

    Barnier, entre mythe et réalité

    Cette évolution sociétale, marquée par l’influence grandissante du mouvement LGBT, rappelle également les nombreuses désinformations entourant des figures politiques comme Michel Barnier. Contrairement à certaines affirmations, Barnier n’a jamais participé à la dépénalisation de l’homosexualité en France. La loi de 1981, qui a marqué cette dépénalisation, n’a pas été votée par lui. De plus, il n’a jamais voté contre la loi Taubira sur le mariage pour tous, puisqu’il n’était ni député ni sénateur à l’époque. Ces fausses informations alimentent une perception biaisée de ses positions.

    En tant que commissaire européen, Barnier a validé des lois qui vont à l’encontre des valeurs pro-vie, comme celles facilitant l’accès à l’avortement ou la recherche sur les cellules souches embryonnaires. Son silence sur l’euthanasie, une question cruciale dans de nombreux pays européens, est également révélateur : qui ne dit mot consent.

    Pour comprendre ces enjeux, ne manquez pas La Matinale sur Géopolitique Profonde avec Frigide Barjot, Nicolas Stoquer et Raphaël Besliu. Ils analysent ces sujets, offrant des perspectives critiques sur les dérives perçues dans les cérémonies des JO et les discours médiatiques actuels.

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  • Le 12 septembre 2024, Marc Rousset et Joseph Leddet étaient les invités de Cyril Gaucher pour l’émission L’avocat Du Diable sur GPTV, pour un débat explosif : la France doit-elle sortir de l’euro ?

    Marc Rousset, économiste et essayiste reconnu pour ses positions tranchées vis-à-vis de l’Union européenne, prône une Europe des nations et critique vivement la monnaie unique.

    Joseph Leddet, quant à lui, ancien haut fonctionnaire et auteur, adopte une position plus nuancée, tout en soulignant les dysfonctionnements économiques de la zone euro.

    Monnaie française : un symbole de souveraineté

    La France a eu plusieurs transformations monétaires, du franc germinal en 1803 au nouveau franc en 1960 sous De Gaulle, symboles de souveraineté nationale. En 1999, l’euro remplace le franc, favorisant l’économie allemande au détriment de la compétitivité française. Certains critiquent cela comme une perte de contrôle au profit de Bruxelles et Berlin.

    Sortir de l’euro : espoir ou catastrophe ?

    Sortir de l’euro divise : les partisans du retour au franc prônent une reprise de contrôle monétaire pour stimuler l’économie et retrouver la souveraineté nationale. Les opposants craignent l’instabilité économique, l’inflation et la perte de confiance des investisseurs. Une sortie impliquerait aussi de quitter l’Union européenne, nécessitant de revoir les traités économiques et politiques avec les voisins européens.

    Retrouver la souveraineté par la fin de l’euro ?

    La sortie de l’euro et de l’Union européenne pourrait être perçue comme une opportunité historique pour la France, malgré les craintes d’isolement et de chaos économique. La France, contributeur net au budget européen, voit sa souveraineté limitée par les décisions de Bruxelles. Reprendre le contrôle monétaire pourrait permettre une politique industrielle en faveur des intérêts français, avec la relocalisation d’entreprises et la création d’emplois. Cela marquerait un renouveau économique et une affirmation internationale, libérée des contraintes de Bruxelles.

    Ce débat promet d’être passionnant, entre deux figures critiques des élites politiques et économiques actuelles.

    Explorez notre plan Anti-CBDC pour comprendre les enjeux de l’avenir économique de la France.

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  • Le 12 Septembre 2024, Myriam Palomba et Laurent Firode étaient les invités de Mike Borowski sur GPTV Actu pour discuter des bouleversements politiques imminents en France.

    Myriam Palomba est une journaliste et directrice de publication qui est connue pour son travail dans la presse people et son rôle de directrice adjointe de la rédaction du magazine Public. Engagée et souvent présente dans les médias, elle aborde fréquemment des sujets d'actualité et de société avec un ton direct et sans concession.

    Laurent Firode est un réalisateur et scénariste français qui s'est fait connaître grâce à ses films et comédies souvent ancrés dans la critique sociale et l'humour décalé. Il a réalisé des œuvres comme Le Battement d’ailes du papillon et est reconnu pour son approche originale du cinéma, mêlant réflexion et divertissement. Engagé dans les débats de société, il participe activement aux discussions publiques sur les médias et la culture.

    Le retour des "vieilles têtes" en politique

    Malgré les législatives de 2024 contre le gouvernement Macron, des figures comme Bruno Le Maire et Rachida Dati reviennent en politique, révélant un manque de renouvellement qui frustre les citoyens. Michel Barnier, nommé Premier ministre, incarne cette continuité malgré un désir de changement.

    Macron et Barnier : une indifférence au vote populaire

    Les législatives ont marqué un rejet de La République En Marche et Les Républicains, avec le RN en tête (29,25 %), suivi du NFP (27,99 %). Malgré cela, Macron et Barnier ignorent cette opposition. La stratégie du second tour, marquée par des désistements et des manipulations médiatiques, a maintenu les anciens leaders en place.

    Les élections servent-elles encore à quelque chose ?

    Le retour des élites politiques relance le débat sur l'efficacité des élections, déjà critiquées par des penseurs comme Rousseau et Bourdieu. Les élections sont-elles une mise en scène pour maintenir l’illusion du choix démocratique ?

    Le rôle du "Great Reset" et les ambitions du Forum Économique Mondial

    Macron, ancien "Young Leader" du WEF, s'aligne sur le "Great Reset" de Klaus Schwab, qui vise une société technocratique et centralisée. Le gouvernement, avec Barnier, suivra cette feuille de route, ignorant les préoccupations citoyennes au profit d'un agenda globaliste soutenu par l’UE.

    Quel avenir pour les Français ?

    Avec les tensions géopolitiques et la crise énergétique, la démocratie représentative est remise en question, l’avenir des citoyens dans un monde dominé par les superpuissances et les intérêts des élites globales reste incertain.

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  • Le 12 septembre 2024, Nicolas Stoquer et Raphaël Besliu étaient sur GPTV Actu pour la quotidienne de la mi-journée.
    L'émission portait sur la dérive de l'Europe vers un super État européen, piloté par des politiques mondialistes et incarné par des figures comme Mario Draghi.

    Mario Draghi, un retour qui inquiète : l'ombre d'un super État européen

    Mario Draghi, ancien président de la Banque centrale européenne, refait surface sur la scène politique européenne. Évincé du pouvoir en Italie après la victoire des néofascistes, Mario Draghi ne reste pas longtemps dans l'ombre.

    Dans un rapport présenté à Bruxelles, il analyse le décrochage économique de l'Europe face aux États-Unis et à la montée en puissance de la Chine. Sa solution ? Plus d'emprunts communs et d'investissements massifs pour renforcer les institutions européennes.

    Mais Draghi élude des questions cruciales : les politiques mondialistes dont il fait partie sont-elles responsables de ce décrochage ? Et qu'en est-il de l'impact des choix européens dans la guerre en Ukraine ? Pour Draghi, la réponse est toujours la même : plus d'Europe, coûte que coûte.

    L'aveuglement des élites : vers une Europe sans limites ?

    Malgré les échecs économiques, sociaux et énergétiques de l'Union Européenne, Mario Draghi et ses semblables persistent dans une fuite en avant. La crise énergétique n'est jamais évoquée, tout comme le positionnement européen dans les conflits géopolitiques actuels. Le constat est simple : les élites refusent de reconnaître leurs erreurs et continuent de prôner une intégration européenne toujours plus poussée, au mépris des réalités et des souverainetés nationales.

    Mario Draghi plaide pour un super État européen, une structure centralisée et bureaucratique qui concentrerait toujours plus de pouvoirs à Bruxelles. Pour lui, les échecs de l'Europe ne peuvent être résolus que par... plus d'Europe. Une stratégie suicidaire pour certains, un aveuglement total pour d'autres.

    Fuite en avant ou effondrement annoncé ? Le choix de l'Europe

    Le projet de super État européen représente une menace pour les nations qui composent l'Union Européenne. En transférant toujours plus de moyens et de pouvoir à Bruxelles, Mario Draghi et compagnie ne tiennent aucunement compte des conséquences pour les États membres. La stratégie est claire : face aux crises, au lieu de revoir leur copie, les élites choisissent de renforcer les structures supranationales.

    Mais cette fuite en avant pourrait bien précipiter l'Europe dans une impasse. Une Europe sans frontières internes, mais déconnectée de ses citoyens, dirigée par une élite qui ignore les réalités du terrain, est-elle vraiment la solution ? Pour beaucoup, c'est une voie vers l'effondrement.

    Ne manquez pas ce rendez-vous sur GPTV Actu pour comprendre pourquoi le projet de super État européen pourrait bien signer le suicide français.

    Pour aller plus loin et vous armer face aux défis économiques et politiques qui menacent notre avenir, recevez votre revue mensuelle Géopolitique Profonde.

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