Afleveringen
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Rencontre avec Sarah Durieux à l'occasion de la sortie de Militer à tout prix ? aux éditions Hors d'atteinte.
Comment cesser de reproduire des logiques de dominations dans nos collectifs et les rendre plus sains ?
Pourquoi est-ce si difficile d’agir collectivement ? Celles et ceux qui créent ou rejoignent des collectifs notamment militants en font souvent une expérience négative.
Partout dans nos vies, au travail, dans nos familles ou dans nos groupes d’amis, nous perpétuons une culture qui écrase, exclut et nous fragilise. Alors qu’il s’élève contre ce modèle, le militantisme n’y échappe pas.
Après dix ans passés à travailler avec de petits collectifs, de grandes ONG et des individus engagés, mais aussi à observer ses propres comportements, Sarah Durieux, qui a mené pour ce livre de nombreux entretiens avec des personnes investies dans divers mouvements, s’intéresse à ce qu’elle identifie comme l’une des plus grandes menaces contre notre émancipation et propose des pistes pour en sortir.
Sarah Durieux est activiste et organisatrice. Elle a accompagné et coordonné des centaines de campagnes de mobilisation ces 15 dernières années, pour l’entrée de l’IVG dans la constitution, contre la Loi Travail, pour la Libération de Jacqueline Sauvage, pour la reconnaissance des personnes handicapées exterminées lors de la seconde guerre mondiale, en soutien au mouvement des Gilets jaunes ou contre les violences policières.
Crédit photo : Damien Cardunier
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Rencontre avec Charlotte Blanchard, Shira Abramovich et Lénaïg Cariou, à l'occasion de la parution de la traduction du recueil, Le Rêve d'un langage commun (The Dream of a Common Language) d'Adrienne Rich, dans la collection Des écrits pour la parole, de L'Arche éditrice.
Ces poèmes d’Adrienne Rich sont un hommage aux femmes, à la prise de conscience et à la lutte pour l’existence – de l’intime politique. Dans Le Rêve d’un langage commun, la chercheuse Marie Curie, l’artiste Paula Becker et l’alpiniste pionnière Elvira Shataeva forment une constellation de guides dans une histoire empêchée, où la poésie devient lieu de mémoire et de transmission. Dans ce recueil phare de la poétesse, exploration intime de sa vie à 45 ans, se mêlent souvenirs amoureux, histoire et lutte sociale : disant pour la première fois ses amours avec une femme, elle marque durablement l’histoire littéraire.
Édition bilingue en anglais et en français, traduction de Shira Abramovich et Lénaïg Cariou.Charlotte Blanchard a écrit la thèse Réception et traduction de la poésie d’Adrienne Rich en France. Université Michel de Montaigne- Bordeaux III, 2019.Pour continuer l'exploration du travail d'Adrienne Rich, nous vous conseillons les nouvelles publications suivantes : Plonger dans l'épave, Poèmes 1971-1972, traduction de Chantal Ringuet, aux Éditions du Noroît. Le sens de notre amour pour les femmes, Deux discours pionniers sur l'articulation nécessaire entre lesbiennes et féministes, traduction Marie Chuvin, Perspective Émilie Notéris & Florence Andoka, Affiche Audrey Voydeville, dans la collection Au cœur des éditions Les Prouesses.
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Zijn er afleveringen die ontbreken?
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Le Printemps des poétexsses avec Héloïse Brézillon à l'occasion de la parution de son livre, T3M, aux éditions du commun.
T3M est l'histoire d'une IA conçue pour abolir la tristesse. Alternant prose science-fictionnelle et poésie, Héloïse Brézillon nous emmène cheminer le long d'un processus de guérison, avec son retour nécessaire aux violences domestiques vécues, à hauteur d'enfant. T3M, la machine dont nous avons toujours rêvé, l'aide à nommer son traumatisme, le circonscrire, et enfin... s'en libérer. L'autrice est à l'initiative du podcast de poésie Mange tes mots et organise également depuis 2 ans des scènes ouvertes à Paris.
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Le Printemps des poètexsses avec Katia Bouchoueva et Fanny Chiarello à l'occasion de la parution de leur livre, La plus petite subdivision, aux éditions Lanskine.
Katia et Fanny s'écrivent depuis leurs villes de province, respectivement moyenne et petite. Elles ne se connaissent pas, ne se sont jamais rencontrées, mais se sont lues. Ce qu'elles apprennent l'une de l'autre à travers leurs échanges de poèmes, elles l'apprennent surtout à travers des lieux. Lieux fondateurs, lieux de vie, lieux fantasmés, lieux refuges, lieux hantés. Leurs grands-mères, leurs amoureuses, leurs voisin-e-s, leurs ami-e-s et le personnel médical sont les invité-e-s de ces vignettes de leur quotidien passé ou présent, figures qui traversent les paysages modestes qu'elles affectionnent. Ce qu'elles se confient, au fond, c'est peut-être leurs subterfuges pour tenir dans un monde en flammes, en guerre, en constante réduction. Les petits cercles des pierres qui entourent le feu de camp, les petits cercles de proches, les petites subdivisions où l'on s'exerce à modifier le réel par la poésie – rien qu'un peu, comme on pose une main sur des omoplates secouées de pleurs.
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Le Printemps des Poétexsses avec Raïssa Yowali, Julie Lombé et Lisette Lombé à l'occasion de la parution du recueil du collectif L-SLAM, En lettres noires, publié chez Midis-poésie éditions.
En lettres noires est une anthologie rassemblant les poéte•sses qui ont marqué de leur empreinte la Décennie internationale des personnes d’ascendance africaine (2015-2024) en Belgique francophone : Marie Darah, Huguette Izobimpa, Gioia Kayaga, Julie Lombé, Lisette Lombé, Joëlle Sambi et Raïssa Yowali.
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Rencontre avec Sarah Haidar, à l'occasion de la parution de son roman, Aménorrhée, aux éditions Blast.
Plusieurs semaines après la lecture d’Aménorrhée, les mots de Sarah Haidar continuent de résonner avec intensité. Très gros coup de cœur pour ce roman dystopique éminemment révolutionnaire ! Si une fois de plus les hommes prennent le contrôle sur les corps des femmes, ce régime a ceci de pervers qu’il est le fruit des frustrations d’hommes déconstruits de ne pas voir les choses aller dans leur sens malgré leurs efforts. A la fois accoucheuse et avorteuse clandestine, l’héroïne tient une place ambiguë entre résistance et résignation, l’individualité et le collectif, le privilège et l’oppression. Tour à tour tortionnaire ou victime, la narration appuie la dimension psychologique des violences patriarcales et de l’apathie imposée aux femmes. L’intensité est permanente entre colère et sarcasme. Ici chaque mot est choisi avec une précision acérée, le ton est viscéral, la langue politique et poétique.
Sarah Haidar est une écrivaine algérienne. Féministe et anarchiste, l’écriture est pour elle une expérience esthétique et politique qui ne doit pas être confortable. Écrire est une confrontation, une prise de risque, « un engagement épidermique » dit-elle ; l’insolence lucide et éclatante de ses textes en témoigne. Journaliste et chroniqueuse de profession, elle affectionne paradoxalement la négation du réel et du factuel dans ses romans. Écrire est aussi pour elle un acte libérateur, non seulement des lois de la gravité mais aussi de la simplicité du présent. Les transhumances littéraires ont toujours été sa première passion et après avoir publié trois romans en langue arabe, Sarah Haidar choisit de migrer vers une autre géographie avec la langue de Henri Michaux. À présent autrice de six romans, elle a reçu le prix Apulée, décerné par la Bibliothèque nationale d’Alger pour Zanadeka (Apostats), son premier roman paru en 2004, et le prix des Escales littéraires d’Alger pour Virgules en trombe, son quatrième roman et le premier écrit en français (2013).
La Morsure du coquelicot, paru à l’été 2016, a rencontré un vif succès en Algérie. En arabe comme en français, l’écrivaine fait toujours le pari de tourmenter la langue, de lui faire dire l’indicible et l’inconvenable afin que la naissance littéraire soit une véritable expérience esthétique et spirituelle hors des balises et hors du temps. Aménorrhée est son deuxième roman publiée par les éditions blast.
Dans l'épisode, Sarah Haidar fait référence à la revue La Place : La Place / لبلاصة – éditions motifs
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Rencontre avec Capucine Delattre, à l'occasion de la publication de son roman, De son sang, aux éditions La Ville brûle.
Sabine n’aime pas son fils. Elle a essayé de toutes ses forces et lui souhaite tout le bonheur du monde, mais elle préfèrerait qu’il ne fasse pas partie de sa vie. Deux week-ends par mois, elle subit sa présence silencieuse et échoue à être mère. Elle n’en est ni fière ni heureuse, c’est comme ça, et elle aimerait pouvoir en parler sans être jugée, prise en pitié, ou niée.
Pourtant Sabine n’est pas cassée. Lorsqu’elle rencontre le fils d’une collègue, elle se découvre capable de cet amour illimité et inconditionnel presque miraculeux. Elle se découvre courageuse, presque heureuse - une version d’elle-même dont elle ne rêvait plus. Elle se découvre monstrueuse.
Capucine Delattre est éditrice. De son sang est son troisième roman, après Un monde plus sale que moi (2023) et Les Déviantes (2020). Elle y questionne le mythe de l’amour maternel à travers le parcours et le regard porté sur une femme perçue comme monstrueuse entre toutes : une femme qui n’aime pas son enfant et ne s’en cache pas.
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Rencontre avec Manon Garcia, à l'occasion de la parution de son livre, Vivre avec les hommes, réflexions sur le procès Pelicot, dans la collection Climats des éditions Flammarion.
"Je suis philosophe, je m'intéresse aux rapports entre les femmes et les hommes : après un premier livre sur la soumission des femmes aux hommes, j'ai écrit un ouvrage sur le consentement et les injustices de genre dans la sexualité hétérosexuelle. Je suis aussi une femme de bientôt quarante ans, qui voudrait pouvoir exister dans le monde sans s'inquiéter sans cesse des violences sexistes et sexuelles dont mes amies, mes filles ou moi pourrions être victimes. J'ai vu les changements apportés par le mouvement #MeToo, je vois le backlash masculiniste qui s'efforce de renvoyer les femmes à leur position de deuxième sexe. Lorsque je découvre les crimes commis sur Gisèle Pelicot, je sais que se condensent dans cette histoire toutes les questions philosophiques qui sont les miennes. J'hésite à aller au procès de Mazan. Puis je me rends à l'évidence : il me faut écrire ce procès et l'expérience que j'en fais, comme philosophe et comme femme. Et tenter de répondre à cette question qui me hante : peut-on vivre avec les hommes ?"
Photo © Heike Steinweg
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Rencontre à partir de 14 ans, avec Maude Painchaud-Major, à l'occasion de la parution de son livre Parler sexe - Se libérer des normes pour inventer la sexualité qui nous convient, dans la collection Radar des éditions écosociété.
Construire sa sexualité sans se soucier des normes, avoir et donner du plaisir sans tabous, développer une intimité sexuelle loin des obligations de performance… Cet essai est une invitation à définir, ensemble, une éthique sexuelle pour parler sexe, simplement et en toute liberté.
Diplômée en sexologie, Maude Painchaud Major propose des ateliers et des conférences dans les écoles, centrés sur une éducation à la sexualité saine, positive et inclusive. Elle anime aussi une chaine Tiktok, pour répondre aux questions des ados sur la sexualité.
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Rencontre avec Juliet Drouar, à l'occasion de la parution de son roman, Cui-Cui, aux éditions du Seuil.
« J’avais bientôt 13 ans et une enfance impressionniste. Je me rappelle donc flou cette journée, c’était la veille du 15 mai 2027, la première fois où nous allions voter.
– Et je veux pas voter.
Mon père pose ses couverts. Aïe mauvaise réponse. »
C’est l’histoire d’une jeune ado. Attendez… Ou tout aussi bien d’UN jeune ado. Qui traverse la grande histoire du droit de vote des mineur·e·s depuis son petit trou de serrure. Depuis son petit trou à rats familial. Iel raconte la vie au collège, les copines, Leïla surtout, proche – border crush. Le préau de la récréation, les salles de cours aux tapisseries de l’Apocalypse, la cafeterias mère, habitante de la planète Déni, gentille à claquer. Le père, un beauf ? C’est pire, nettement pire, en fait. Les désirs pullulants, qui grattent. Et, petit a` petit, le lourd secret éveille l’attention de Mme Gisèle, une des profs du collège. Tout, alors, change. Le quotidien d’adolescent·e·s en pleine métamorphose, ou` se mêlent amitiés, désirs, non-dits, violences familiales, politica grande. Un roman d’atmosphère qui se tend et d’une dystopie à portée de main. Dans une langue trouble, drôle – toujours –, audacieuse et, surtout, inarrêtable.
Juliet Drouar est auteur, thérapeute et chercheur sur les questions de dominations. Il a codirigé La culture de l’inceste (Seuil, 2022 et Points 2024), publié un essai chez Binge en 2021, Sortir de l’hétérosexualité et Pour le droit de vote des mineur.e.s (2022) sur son blog Mediapart.
Photo © Bénédicte Roscot
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Rencontre avec Hélène Giannecchini à l'occasion de la parution de son livre, Un Désir démesuré d'amitié, aux éditions Seuil, dans la collection La Librairie du XXIème siècle.
AMOUR•ES AMOUR•ES ❤ La voici, la dernière rencontre du festival. Après trois semaines d’amour•es, voici un moment dédié aux amitiés qui nous constituent, qui nous sauvent, qui nous voient, ces amitiés passé-présent-futur qui sont autant de liens qui crient, malgré l’isolement, malgré la solitude, malgré l’invisibilisation, nous ne sommes pas seul•es ❤
Comment parler d’amitié, raconter cette autre famille que l’on dit choisie et qui permet d’inventer de nouvelles formes de vie ? La narratrice part à la recherche de son passé et explore la multiplicité des liens à l’œuvre dans son existence. Traversé de photographies inédites provenant d’archives queer, ce livre puissant et sensible est un roman de l’amitié, une tentative pour dire la puissance politique de ce sentiment et sa force de réinvention. Un désir démesuré d'amitié interroge plus largement la question de la filiation : comment se composer une généalogie alternative, sauver de l’oubli les vies que la mémoire majoritaire dédaigne pour s’inscrire dans un récit non plus seulement intime mais collectif ? Car l’enquête menée ici est aussi destinée à d’autres : « Je me dis que quitte à s’inventer de nouvelles histoires de famille, autant les mettre en commun. »
♡ Merci pour votre fidélité et votre amour pour le Festival d'amour, grâce à vos présences en librairie et à vos écoutes en ligne, nos conversations s'immiscent dans vos oreilles, dans vos vies et dans vos cœurs. Vive les amoures affranchies ♡
Les quatre éditions du Festival d'amour sont disponibles sur toutes les plateformes d'écoute !
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Rencontre avec Camille Cornu à l'occasion de la publication de son roman, Photosynthèses, aux éditions Cambourakis.
AMOUR•ES AMOUR•ES // De ma première lecture de ce roman, il me reste le bruit du vent dans les branches, le cœur qui commençait tout doucement à battre, l’envie de lire chaque mot chaque ligne à haute voix pour le soleil et ses boucles vives 🩵 Peut être que je pourrais aussi vous avouer que toute cette quatrième édition du festival d’amour a commencé avec ces pages et ces amour•es.
Ce roman envoûtant retrace l'évolution d'une personne queer entre un appartement envahi de plantes et le milieu des nuits queers parisiennes. Une rencontre va lui offrir une ouverture vers une autre culture féministe, celle d'un pays du Nord de l'Europe plus ouvert aux questions trans. Se développe alors la possibilité d'un ailleurs, où l'imaginaire serait capable d'agir sur le réel et de le modifier.
Entre autofiction et réalisme magique, Camille Cornu explore, dans une écriture foisonnante et maîtrisée, le dépassement des binarités, de genre comme celles entre humain et non-humain. Un livre inclassable, profondément contemporain, où s'échapper des normes et des catégories serait une façon d'ouvrir des horizons révolutionnaires aux limites des corps.
____Pour soutenir l'Organisation de Solidarité Trans,
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Rencontre avec Paulo Higgins à l'occasion de la parution de son roman, Vous vouliez ma chaleur vous aurez mon feu, aux éditions Hors d'atteinte.
AMOUR•ES AMOUR•ES ❤️🔥 JE TROUVE QUE LA VIE EST VACHEMENT PLUS BELLE QUAND J’AI LE COURAGE DE LA VIVRE ❤️🔥 Ces mots sont ceux de Paulo Higgins. Ces mots et tant d’autres, on était soulignés surlignés lus à haute voix, en rose en fluo en violet un peu partout au fil des pages. Je garde trace des lignes qui me tendent et me surprennent, quand elles me touchent et que je sais qu’à jamais les relire me plongera de nouveau dans la vie de ceux qui les pensent.
❤️🔥 J’ai tout aimé de Vous voulez ma chaleur vous aurez mon feu. Tout. Du titre à la vie qui s’accroche, de la poésie aux mots cruels. Parce que Paulo Higgins a une écriture qui porte tout le courage et la beauté de la vie qu’il se construit jour après jour. Et quand on a la chance de lire une si grande mise à nu, une si grande vulnérabilité, il y a comme un lien profond qui se faufile, un mot à mot, un cœur à cœur.
❤️🔥 Mario, le narrateur, part quelques jours à Paris. Il fait l’état de son envie de vivre, il fait le point sur son besoin de vivre. Il y a le passé et ses clôtures-blessures, il y a le présent, ses doutes et ses victoires, il a l’avenir, ample et tendre.
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Rencontre avec Blanche Leridon à l'occasion de la parution de son livre, Le Château de mes sœurs - Des Brontë aux Kardashian, enquête sur les fratries de sœurs
aux éditions Les pérégrines.
AMOUR•ES AMOUR•ES // Comment dire ce qui n’est pas nommé ? Blanche Leridon s’interroge sur ce que cela veut dire d’être une fratrie de sœurs. Solange, Beyoncé, Kate et Pippa, Prue, Piper et Phoebe, on retrouve de nombreux crews de sœurs dans nos références de cultures populaires, que disent-elles de ces relations ?
🩵 Prenons le temps d’investiguer ces liens qui de famille passe à une figure féministe forte, Sœurs or not sœurs ? N’est ce pas la plus grande des questions ?
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Rencontre avec Sarah Diep et Noah Truong à l'occasion de la parution de la revue des 10 ans de Manifesto XXI, Comment s'aimer quand c'est la fin du monde ?
AMOUR•ES AMOUR•ES // C’est aujourd’hui que tout commence, dans un élan, à grands coups de fleurs et de lumières, le festival d’amour reprend pour cette quatrième édition.
Comment s’aimer quand c’est la fin du monde ? Voilà une question qui ouvre nos âmes d’un battement de cœur à l’autre. Qu’est ce qui nous tient debout quand tout s’effondre ?
Commencer le festival d’amour par cette revue splendide, c’est prendre le temps de dire le deuil, les amour•es perdu•es, les espoirs et les mains tendues. C’est se dire, oui, s’aimer, est un acte de résistance, pas tant comme une solution aux souffrances du monde, que comme le fuel de nos luttes. On s’aime donc on lutte.
Merci Manifesto XXI Sarah Diep et Constant Spina pour cette sublime revue, joyeux dix ans
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Rencontre avec Flora Souchier à l'occasion de la parution de son recueil de poésies, Epoque de plomb, aux éditions Cambourakis.
S'offrir
ensemble
des foulées
des uppercuts solaires
des épaisseurs de mondes
et passer des rivages
Flora Souchier dresse ici un portrait de sa génération aux prises avec notre époque.
Des poèmes de confinement, de colère, de cortèges, de changement climatique.
Et des poèmes de lumière. Pour chercher, au coeur des tourmentes, des vitalités. Transmuter ce qui ravage. Par la délicatesse, le plaisir charnel, la sororité ; l'écoute du sensible et le soin au vivant.
Une oeuvre incandescente qui culmine en complot de flammes.
La version occitane d'une partie du texte, adapté en « concert de poèmes » par l'autrice et le trio polyphonique Clume, prolonge cet ouvrage.
Pendant un mois nous diffusons l'appel à don de l'Organisation de Solidarité Trans, si vous avez la possibilité de faire un don voici les liens, merci :
La page de la campagne:
https://orgasolitrans.fr/index.php/nous-soutenir/
Le lien direct helloasso:
https://www.helloasso.com/associations/ost-organisation-de-solidarite-trans/collectes/campagne-de-dons-ost
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Rencontre avec Math, à l'occasion de la parution de sa bande dessinée, Dans mon cerveau comme à la maison, aux éditions Hoëbeke.
J'ai meublé mon cerveau comme une petite maison. J'ai placé l'égo devant le miroir de la salle de bains et les émotions dans les odeurs de la cuisine. J'ai caché l'intime sous mon lit et j'ai soigneusement rangé les souvenirs au grenier. C'est une maison que j'habite et qui m'habite aussi. Je n'en ai pas les clefs tous les jours mais je m'y sens bien. Bienvenue à ma journée portes ouvertes. Math
Pendant un mois nous diffusons l'appel à don de l'Organisation de Solidarité Trans, si vous avez la possibilité de faire un don voici les liens, merci :
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Rencontre avec la poétesse Vanessa Bell à l'occasion de la publication de son livre, Fendre les eaux, Apprivoiser la baignade nordique, aux éditons de l'Homme.
Un doux plongeon au cœur de la baignade en eau froide, cette pratique de plus en plus populaire !
Vanessa Bell nous entraîne dans son sillage à la découverte d'une pratique vivifiante qui régénère notre rapport à l'hiver: la baignade nordique. Comment préparer son corps à la première immersion? Comment respirer sous l'effet du choc thermique? Quel équipement se procurer? Quels écueils et quels dangers peuvent survenir lorsqu'on fait le choix de plonger dans les rivières, les lacs et la mer tout au long de l'année? Guide pratique, journal de bord et fervent plaidoyer, cet ouvrage répond à toutes ces questions et révèle toute la beauté de ce sport, dit extrême, qui permet la rencontre, le partage, la passation, mais plus encore, la connexion à soi, à l'autre et à la nature. Découvrez à votre tour les bienfaits de la thérapie par l'eau froide et immergez-vous dans un tout nouveau sentiment de bien-être.
Crédit photo : Alphiya Joncas
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Rencontre avec Lucien Fradin à l'occasion de la publication de son roman, Midi-Minuit Sauna, dans la collection Prismes des éditions La Musardine.
Un sauna gay du Nord de la France. Il y a douze ans, Lucien en tenait la caisse, lavait les serviettes, nettoyait les arrière-cours du désir. Il y revient en client et, de l'ouverture jusqu'à minuit, observe et participe à toutes sortes d'ébats, de cabines en jacuzzi, d'effleurements en partouzes, rencontrant de nouveaux amants, retrouvant des amis, discutant, fantasmant.
Ce récit moderne et puissant est la chronique sensible d'un lieu et de ceux qui s'y rendent : hommes pressés de l'heure du déjeuner, garçons en bande de fin d'après-midi, solitaires en quête de contacts. L'auteur relate la sexualité sans tabou, mais interroge aussi la communauté gay, la solidarité, et surtout le plaisir d'être ensemble, le temps d'une célébration des peaux et des corps.
Crédit photo : Pablo Ablandea
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VOUS AVEZ UNE HEURE et un verre de vin, avec Lucie Taïeb, traductrice, et Isabella Checcaglini, éditrice, à l'occasion de la publication de Printemps sombre, d'Unica Zürn, aux éditions Ypsilon.
Ce roman d’apprentissage dont le récit initiatique est cruellement autobiographique et prémonitoire où les souvenirs d’enfance de la jeune Berlinoise sont bouleversants : la découverte par l’enfant des rapports entre les sexes est brutale, la curiosité vis-à-vis de la sexualité est abusée. Ce n’est pas l’amour fou des surréalistes qui fait frémir la jeune fille, mais la violence du frère, l’hostilité de la mère, la fausse bienveillance du père. Un quotidien aussi commun que mystifié qu’il s’agit de libérer de tout artifice.
La nouvelle traduction par Lucie Taïeb rend à Unica Zürn son corps, sa vie, sa mort et la beauté de son écriture.
L’abus d’alcool est dangereux pour la santé
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