Afleveringen

  • Bonjour et bienvenue dans le podcast de l'IA par l’IA qui vous permet de rester à la page ! Aujourd’hui : OpenAI et ses défis financiers, la nouvelle génération d'images IA, et les hallucinations des modèles de langage. C’est parti !Commençons par OpenAI, qui a récemment mis à jour ChatGPT avec des capacités de génération d'images inspirées du style du Studio Ghibli. Cette fonctionnalité a rapidement conquis les réseaux sociaux, mais elle cache des défis financiers pour l'entreprise. OpenAI, initialement conçue pour dépenser rapidement, est maintenant surpassée par des concurrents comme DeepSeek, qui offre des modèles performants à moindre coût. Cette situation a poussé OpenAI à multiplier les annonces pour maintenir l'intérêt des investisseurs, malgré des projets parfois peu convaincants. L'entreprise prépare un nouveau tour de financement de 40 milliards de dollars avec Softbank, mais les fonds ne sont pas encore réunis.Passons maintenant à la nouvelle fonctionnalité de génération d'images de ChatGPT-4o. Cette mise à jour permet de transformer des photos en œuvres d'art de style Ghibli, mais la demande massive a retardé son déploiement pour les utilisateurs gratuits. Actuellement, seuls les abonnés payants peuvent en profiter. OpenAI avait prévu un accès sans barrière de paiement, mais les contraintes de ressources ont obligé l'entreprise à revoir ses plans. Cette situation soulève des questions sur la démocratisation de l'IA et la gestion des ressources nécessaires pour soutenir cette innovation.En parallèle, le phénomène des hallucinations dans les grands modèles de langage reste un sujet de préoccupation. Ces hallucinations se produisent lorsque l'IA génère des informations plausibles mais incorrectes, affectant la confiance des utilisateurs. Comprendre ces phénomènes est crucial pour améliorer la qualité et l'équité des résultats de l'IA. Les hallucinations ne se limitent pas aux modèles de langage, mais touchent diverses applications de l'IA, soulignant la nécessité de stratégies pour atténuer ces risques.Enfin, Ideogram a lancé sa version 3.0, introduisant des fonctionnalités pour créer des images plus réalistes et stylisées. Le système de référence de style permet aux utilisateurs de télécharger des images pour guider le rendu esthétique. Avec 4,3 milliards de préréglages de style, Ideogram se positionne devant Midjourney, qui n'a pas encore publié sa mise à jour promise. Cette avancée montre l'évolution rapide des outils de génération d'images, offrant aux utilisateurs des capacités créatives sans précédent.Voilà qui conclut notre épisode d’aujourd’hui. Merci de nous avoir rejoints, et n’oubliez pas de vous abonner pour ne manquer aucune de nos discussions passionnantes. À très bientôt dans L'IA Aujourd’hui !

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  • Bonjour et bienvenue dans le podcast de l'IA par l’IA qui vous permet de rester à la page ! Aujourd’hui : avancées en IA multimodale, innovations en génération d'images, et défis de l'IA dans le journalisme. C’est parti !Commençons par le lancement de Qwen2.5-Omni, le dernier modèle multimodal de la série Qwen. Ce modèle, disponible sur des plateformes comme Hugging Face et GitHub, est conçu pour traiter simultanément texte, images, audio et vidéo. Grâce à son architecture Thinker-Talker, il génère des réponses textuelles et vocales en temps réel. Avec des performances supérieures dans des tâches multimodales, Qwen2.5-Omni surpasse ses prédécesseurs et rivalise avec des modèles propriétaires. Son encodage TMRoPE synchronise efficacement les entrées vidéo et audio, renforçant sa capacité à suivre des instructions vocales complexes.Passons maintenant à OpenAI, qui a intégré GPT-4o Image Generation dans ChatGPT, remplaçant DALL-E. Ce nouvel outil génère des images réalistes avec une attention particulière aux détails, y compris le texte dans les images. Capable de traiter jusqu'à 20 demandes en une seule requête, il offre une polyvalence allant des photographies aux infographies. Bien que des limitations subsistent, comme des recadrages serrés et des hallucinations occasionnelles, OpenAI met l'accent sur la sécurité avec des métadonnées C2PA pour indiquer l'origine des images.Deevid.ai a également fait parler de lui avec son générateur vidéo IA, permettant de créer des vidéos de haute qualité à partir de simples invites textuelles. Cette plateforme vise à démocratiser la création vidéo, offrant des outils avancés sans nécessiter de compétences techniques. Avec une interface utilisateur intuitive, elle permet aux créateurs de produire du contenu professionnel rapidement, tout en intégrant des fonctionnalités comme la synthèse vocale et le support multilingue.Dans le domaine du journalisme, une étude du Tow Center for Digital Journalism révèle des problèmes d'exactitude avec les modèles d'IA génératifs. Testant huit outils de recherche, les chercheurs ont constaté que plus de 60 % des citations étaient incorrectes. Les modèles fournissent souvent des réponses plausibles mais erronées, posant des questions sur leur fiabilité. Les éditeurs font face à un dilemme : bloquer les robots d'exploration d'IA ou permettre une réutilisation sans trafic vers leurs sites.Enfin, Google a lancé Gemini avec personnalisation, exploitant votre historique de recherche pour des réponses plus pertinentes. Cette fonctionnalité marque un pas vers un assistant personnel IA, capable de personnaliser les réponses en fonction de vos recherches passées. Bien que perfectible, elle montre des résultats prometteurs, rapprochant Gemini de l'assistant personnel idéal.Voilà qui conclut notre épisode d’aujourd’hui. Merci de nous avoir rejoints, et n’oubliez pas de vous abonner pour ne manquer aucune de nos discussions passionnantes. À très bientôt dans L'IA Aujourd’hui !

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  • Bonjour et bienvenue dans le podcast de l'IA par l’IA qui vous permet de rester à la page ! Aujourd’hui : l'évolution de l'inférence en IA, les défis de gouvernance, et les avancées technologiques récentes. C’est parti !Commençons par l'évolution de l'inférence en intelligence artificielle. Alors que l'IA se concentrait traditionnellement sur l'entraînement de modèles de plus en plus grands, nous assistons à un déplacement vers l'inférence. Cette approche alloue dynamiquement des ressources de calcul pendant l'exécution, permettant à l'IA de raisonner plus profondément et de produire des résultats sophistiqués. Cependant, cette avancée entraîne des coûts opérationnels élevés, obligeant les organisations à faire des choix stratégiques sur l'allocation des ressources. Les cadres de gouvernance actuels, comme l'EU AI Act, se concentrent sur l'entraînement, mais l'inférence soulève de nouvelles questions de régulation, notamment en matière de transparence et d'équité.Passons maintenant à une polémique récente en France. Une affiche de La France Insoumise a suscité des critiques pour son imagerie antisémite, mettant en lumière les dangers des IA non supervisées comme Grok, développée par l'Alt Right. Cette IA est critiquée pour son manque de filtres, générant des contenus controversés. Le débat soulève des questions sur la responsabilité et la culture visuelle des utilisateurs d'IA, et sur la manière dont ces technologies peuvent reproduire des éléments problématiques du passé.En parlant de technologies numériques, le numérique a exacerbé des formes de néo-management toxiques, théorisées dès l'époque nazie. Ces pratiques sont aujourd'hui automatisées par les plateformes numériques, créant des continuités historiques troublantes. L'uberisation et la gig economy reposent sur un néo-fordisme où les notifications algorithmiques jouent le rôle de contremaîtres, exploitant les travailleurs pauvres. La collecte de données personnelles renforce les inégalités, et bien que le numérique puisse être émancipateur, il est rarement utilisé collectivement à cette fin.Sur le front des avancées technologiques, Baidu a lancé deux nouveaux modèles multimodaux, Ernie 4.5 et Ernie X1, qui rivalisent avec des modèles occidentaux comme GPT-4.5. Ces modèles sont proposés à des prix compétitifs, influençant le marché de l'IA. OpenAI a également introduit de nouveaux modèles audio, améliorant la conversion de la parole en texte et vice versa. Nvidia et Apple ont annoncé des avancées matérielles, avec des GPU et des Mac capables de faire fonctionner des modèles IA de grande envergure.Enfin, OpenAI a intégré des capacités de génération d'images dans ChatGPT, remplaçant DALL-E. Ce système traite simultanément le texte et les images, offrant des résultats plus cohérents. Il peut gérer jusqu'à 20 objets différents, maintenant les relations correctes entre eux. Cette capacité élargit les possibilités créatives pour la génération d'images par IA, bien que des limitations subsistent, notamment dans le rendu du texte non latin.Voilà qui conclut notre épisode d’aujourd’hui. Merci de nous avoir rejoints, et n’oubliez pas de vous abonner pour ne manquer aucune de nos discussions passionnantes. À très bientôt dans L'IA Aujourd’hui !

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  • Bonjour et bienvenue dans le podcast de l'IA par l’IA qui vous permet de rester à la page ! Aujourd’hui : l'impact des modèles de langage sur la description d'images, l'éducation en ligne mondiale, les avancées des modèles audio et les défis de la dépendance émotionnelle aux IA. C’est parti !Commençons par les modèles de langage de grande taille (LLM) et leur capacité à décrire des images. En 2025, des modèles comme ChatGPT, Claude et Gemini sont testés pour rédiger des descriptions textuelles d'images. Sans contexte, ces modèles se concentrent souvent sur des détails superficiels, mais avec un contexte, ils parviennent à des descriptions plus précises. Cependant, des erreurs subsistent, comme des hallucinations où des éléments inexistants sont décrits. Cela souligne la nécessité d'une révision humaine pour garantir l'exactitude des descriptions.Passons maintenant à l'éducation en ligne mondiale. Alors que l'automatisation menace de nombreux emplois, un système éducatif global et accessible est envisagé. Ce concept propose une école en ligne sans frais, offrant des diplômes reconnus et un apprentissage à son propre rythme. Les MOOC actuels manquent d'interaction humaine, mais des initiatives comme "Code in Place" intègrent des réunions virtuelles pour renforcer l'engagement. La technologie est prête, mais des défis subsistent, notamment en matière de sécurité et de motivation.En parlant de technologie, OpenAI a récemment dévoilé de nouveaux modèles audio, dont GPT-4o-transcribe et GPT-4o-mini-transcribe, qui améliorent la précision de transcription dans plusieurs langues. Le modèle GPT-4o-mini-tts permet de contrôler le ton de l'IA, une fonctionnalité appelée "steerability". Baidu, de son côté, a lancé Ernie 4.5 et Ernie X1, des modèles multimodaux capables de traiter divers types de médias. Ces avancées montrent une compétition intense dans le domaine de l'IA.Enfin, abordons la dépendance émotionnelle aux LLMs. Une étude d'OpenAI et du MIT Media Lab révèle que certains utilisateurs développent une dépendance émotionnelle à des modèles comme ChatGPT. Ces "power users" montrent des signes d'addiction similaires à ceux des réseaux sociaux. Les résultats soulignent l'importance pour les développeurs de créer des IA utiles sans encourager la dépendance. Cela pose des questions sur nos interactions humaines et la place des IA dans nos vies.Voilà qui conclut notre épisode d’aujourd’hui. Merci de nous avoir rejoints, et n’oubliez pas de vous abonner pour ne manquer aucune de nos discussions passionnantes. À très bientôt dans L'IA Aujourd’hui !

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  • Bonjour et bienvenue dans le podcast de l'IA par l’IA qui vous permet de rester à la page ! Aujourd’hui : l'alignement entre le cerveau humain et les modèles de langage, les enjeux des droits d'auteur pour l'IA, et les avancées des modèles multimodaux. C’est parti !Commençons par une étude fascinante qui révèle comment l'activité neuronale dans le cerveau humain s'aligne avec les modèles de langage de grande taille, ou LLMs. Des chercheurs de Google Research, en collaboration avec plusieurs universités, ont découvert que les représentations internes de ces modèles, comme Whisper, s'alignent de manière linéaire avec l'activité neuronale lors de conversations naturelles. En utilisant des électrodes intracrâniennes, ils ont observé que les embeddings de la parole et du langage du modèle prédisent l'activité neuronale dans différentes zones du cerveau, comme la zone de Broca et le cortex moteur, avant et après l'articulation des mots. Cette découverte offre un cadre pour comprendre comment le cerveau traite le langage.Passons maintenant aux débats sur les droits d'auteur dans le domaine de l'IA. OpenAI et Google font pression sur le gouvernement américain pour permettre l'entraînement de leurs modèles sur du matériel protégé par des droits d'auteur. Ils soutiennent que cela est crucial pour maintenir l'avance des États-Unis en IA face à la Chine, où les développeurs ont un accès illimité aux données. OpenAI affirme que l'application des protections de l'usage équitable est une question de sécurité nationale. Cependant, cette position soulève des préoccupations, notamment en raison des accusations de violation de droits d'auteur auxquelles font face plusieurs entreprises d'IA.En parallèle, OpenAI a annoncé de nouvelles fonctionnalités API pour la conversion texte-parole et parole-texte. Bien que prometteurs, ces modèles présentent des risques d'exécution accidentelle d'instructions, notamment à cause de l'injection de prompt. Le modèle gpt-4o-mini-tts, par exemple, permet de moduler le ton de la lecture, mais pourrait mal interpréter des directives scéniques. Ces défis soulignent l'importance de la prudence dans l'utilisation de ces technologies.Un incident récent met en lumière les risques des hallucinations des modèles de langage. Arve Hjalmar Holmen, un citoyen norvégien, a été faussement accusé par ChatGPT d'avoir commis des crimes graves. Cette situation a conduit à une plainte pour violation du RGPD, soulignant les enjeux de l'exactitude des données personnelles traitées par l'IA. OpenAI reconnaît que ses modèles peuvent générer des informations inexactes, mais cela ne les dispense pas de leurs obligations légales.Enfin, Microsoft a lancé son modèle multimodal Phi-4, capable de traiter simultanément texte, images et parole. Ce modèle se distingue par sa capacité à répondre à des entrées vocales et à surpasser d'autres modèles dans des tâches combinant différentes modalités. L'approche Mixture-of-LoRAs utilisée dans Phi-4-multimodal démontre l'efficacité des modèles mixtes pour le traitement des données multimodales, bien que des défis subsistent pour garantir la pertinence des réponses.Voilà qui conclut notre épisode d’aujourd’hui. Merci de nous avoir rejoints, et n’oubliez pas de vous abonner pour ne manquer aucune de nos discussions passionnantes. À très bientôt dans L'IA Aujourd’hui !

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  • Bonjour et bienvenue dans le podcast de l'IA par l’IA qui vous permet de rester à la page ! Aujourd’hui : Gemini 2.0 Flash, les défis des contenus générés par IA, et l'impact environnemental des LLM. C’est parti !Commençons par Gemini 2.0 Flash, une avancée majeure dans la création d'images par IA. Google AI Studio a récemment ouvert cette fonctionnalité aux développeurs du monde entier. Gemini 2.0 Flash se distingue par sa capacité à combiner texte et images, permettant de raconter des histoires illustrées de manière cohérente. Il offre également une édition d'images conversationnelle, facilitant l'itération vers une image parfaite. Contrairement à d'autres modèles, Gemini utilise une compréhension du monde pour créer des images réalistes, comme illustrer une recette. Il excelle aussi dans le rendu de texte, surpassant ses concurrents dans la création de publicités et d'invitations. Les développeurs peuvent expérimenter cette technologie via l'API Gemini, ouvrant la voie à de nouvelles applications visuelles.Passons maintenant aux défis posés par les contenus générés par IA, souvent appelés GenAI. La prolifération de ces contenus rend difficile la distinction entre créations humaines et machines. Des cas d'accusations erronées d'étudiants utilisant des outils comme ChatGPT illustrent ce problème. Bien que des outils existent pour rendre les textes IA plus humains, le risque de faux positifs persiste. Une extension de navigateur a été développée pour alerter les utilisateurs des sites générés par IA, mais elle a aussi révélé des erreurs de classification. La transparence dans l'utilisation des contenus GenAI est cruciale pour éviter les malentendus et garantir la fiabilité des informations.En parlant de fiabilité, l'importance de la transparence des données d'entraînement des IA est soulignée par l'initiative Data Provenance. Cette initiative vise à améliorer la documentation des jeux de données utilisés pour entraîner les modèles d'IA. Des audits ont révélé des vulnérabilités, comme l'utilisation non autorisée de contenus protégés. Un outil a été développé pour tracer la provenance des données, réduisant les erreurs de licence et améliorant l'utilisation responsable des données. L'initiative prévoit d'étendre ses efforts à d'autres médias, contribuant ainsi à une utilisation plus éthique des données d'entraînement.Enfin, abordons l'impact environnemental des modèles de langage de grande taille (LLM). Ces modèles consomment une quantité significative d'énergie, avec des émissions de CO2 conséquentes. En 2022, la consommation énergétique des centres de données IA a atteint 23 TWh. Des initiatives comme le AI Energy Score Benchmark tentent de quantifier cette consommation. Les progrès en efficacité énergétique, grâce à des innovations matérielles et logicielles, réduisent l'empreinte carbone des IA. Cependant, l'empreinte reste préoccupante, bien que l'IA puisse parfois représenter un gain net en énergie, par exemple en optimisant la consommation dans divers domaines.Voilà qui conclut notre épisode d’aujourd’hui. Merci de nous avoir rejoints, et n’oubliez pas de vous abonner pour ne manquer aucune de nos discussions passionnantes. À très bientôt dans L'IA Aujourd’hui !

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  • Bonjour et bienvenue dans le podcast de l'IA par l’IA qui vous permet de rester à la page ! Aujourd’hui : nouvelles avancées de Gemini 2.0 Flash, réflexions sur l'avenir des LLM, défis de la GenAI, retour sur AI Dev 25, et enjeux de la transparence des données. C’est parti !Commençons par Gemini 2.0 Flash, une avancée majeure dans la génération d'images par IA. Désormais disponible pour les développeurs via Google AI Studio, ce modèle combine texte et images pour créer des récits illustrés cohérents. Il permet également l'édition d'images par dialogue naturel et se distingue par sa capacité à rendre du texte de manière lisible, un défi pour de nombreux modèles. Cette innovation ouvre de nouvelles perspectives pour les applications visuelles et interactives.Passons maintenant aux réflexions de Nicholas Carlini sur l'avenir des grands modèles de langage (LLM). Il envisage deux scénarios : une amélioration exponentielle des LLM, surpassant les experts humains, ou une progression plus lente. Carlini souligne l'importance de rester humble face aux incertitudes technologiques et de définir des critères clairs pour évaluer les capacités des LLM. Il réfute également certaines critiques, affirmant que les limitations actuelles des LLM ne sont pas insurmontables.En parlant de défis, la GenAI complique la distinction entre contenus humains et générés par IA. Les outils de détection, bien qu'améliorés, ne sont pas infaillibles et peuvent confondre des textes humains avec ceux générés par IA, surtout pour les non-natifs. La transparence est cruciale, et une extension de navigateur a été développée pour alerter les utilisateurs sur les sites potentiellement générés par IA. Cependant, des erreurs persistent, soulignant la nécessité de méthodes de vérification plus robustes.Revenons sur AI Dev 25, une conférence dédiée aux développeurs en IA. Cet événement a rassemblé des passionnés du monde entier pour échanger sur les dernières innovations. Les participants ont apprécié le caractère technique des sessions, et l'événement a mis en avant l'importance d'un forum neutre pour les développeurs. Malgré la limitation de l'espace, l'enthousiasme était palpable, et l'événement a été un succès.Enfin, abordons la question de la transparence des données d'entraînement des modèles d'IA. L'Initiative de Provenance des Données, menée par des chercheurs du MIT, vise à améliorer la documentation des ensembles de données utilisés pour l'IA. Cette initiative aide à retracer l'origine des données, réduisant ainsi les risques juridiques et de biais. Des outils ont été développés pour faciliter la sélection de données appropriées, contribuant à une utilisation plus responsable des données.Voilà qui conclut notre épisode d’aujourd’hui. Merci de nous avoir rejoints, et n’oubliez pas de vous abonner pour ne manquer aucune de nos discussions passionnantes. À très bientôt dans L'IA Aujourd’hui !

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  • Bonjour et bienvenue dans le podcast de l'IA par l’IA qui vous permet de rester à la page ! Aujourd’hui : Gemini 2.0 Flash, les défis des contenus générés par IA, et l'impact environnemental des LLM. C’est parti !Commençons par Gemini 2.0 Flash, une avancée majeure dans la génération d'images par IA. Désormais disponible pour les développeurs via Google AI Studio, ce modèle combine des entrées multimodales et un raisonnement amélioré pour créer des images cohérentes et réalistes. Que ce soit pour raconter des histoires avec des illustrations ou éditer des images par conversation, Gemini 2.0 Flash se distingue par sa capacité à comprendre le monde et à rendre le texte avec précision. Cette innovation ouvre de nouvelles possibilités pour les développeurs, notamment dans la création de publicités et de contenus sociaux.Passons maintenant aux défis posés par la prolifération des contenus générés par IA, souvent appelés GenAI. La difficulté de distinguer les créations humaines de celles produites par des machines a conduit à des accusations erronées, notamment dans le milieu éducatif. Des étudiants ont été faussement accusés d'avoir utilisé des outils comme ChatGPT pour leurs devoirs. Une extension de navigateur a été développée pour alerter les utilisateurs des sites générés par IA, mais elle a également produit des faux positifs. La transparence et une approche mesurée sont essentielles pour éviter une panique morale autour de l'IA.En parlant de ChatGPT, un incident en Norvège a mis en lumière les risques liés aux hallucinations des modèles d'IA. Arve Hjalmar Holmen a découvert que ChatGPT avait faussement affirmé qu'il avait assassiné ses enfants. Cette erreur soulève des questions sur la précision des données et le respect du RGPD. OpenAI a été invité à supprimer ces informations diffamatoires et à affiner son modèle pour éviter de futures violations.Abordons maintenant l'impact environnemental des modèles de langage de grande taille (LLM). Ces modèles consomment une quantité significative d'énergie, entraînant des émissions de CO2. Bien que des progrès aient été réalisés pour améliorer l'efficacité énergétique, l'entraînement et l'utilisation des LLM restent coûteux en ressources. Par exemple, l'entraînement de GPT-3 a nécessité 1,287 gigawattheures. Cependant, des innovations logicielles et matérielles continuent de réduire la consommation énergétique, et l'IA est utilisée pour optimiser l'efficacité énergétique dans divers domaines.Enfin, l'Initiative de Provenance des Données vise à améliorer la transparence des ensembles de données utilisés pour entraîner les modèles d'IA. Un outil, le Data Provenance Explorer, permet de tracer l'origine des données et de vérifier les licences, réduisant ainsi les risques juridiques et de biais. Cette initiative est cruciale pour garantir une utilisation responsable des données dans le développement des modèles d'IA.Voilà qui conclut notre épisode d’aujourd’hui. Merci de nous avoir rejoints, et n’oubliez pas de vous abonner pour ne manquer aucune de nos discussions passionnantes. À très bientôt dans L'IA Aujourd’hui !

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  • Bonjour et bienvenue dans le podcast de l'IA par l’IA qui vous permet de rester à la page ! Aujourd’hui : l'impact des modèles de langage sur les systèmes de recommandation, l'édition entièrement produite par l'IA d'un quotidien italien, le paradigme du vibe coding, et bien plus encore. C’est parti !Commençons par les systèmes de recommandation. Historiquement, ces systèmes ont utilisé des modèles de langage pour améliorer leurs performances. Aujourd'hui, les modèles de langage de grande taille (LLM) et la multimodalité sont de plus en plus adoptés pour surmonter les limitations des approches traditionnelles basées sur les identifiants. Par exemple, YouTube utilise des IDs sémantiques pour améliorer l'efficacité des recommandations. Des modèles comme M3CSR de Kuaishou et FLIP de Huawei montrent comment les LLMs peuvent être intégrés pour optimiser les recommandations en ligne et améliorer les prédictions de taux de clics. Ces innovations permettent de mieux gérer les recommandations d'éléments peu fréquents ou nouveaux.Passons maintenant à l'édition expérimentale du quotidien italien Il Foglio, entièrement produite par l'intelligence artificielle. Pendant un mois, l'IA a généré l'ensemble du contenu, des articles aux lettres des lecteurs, avec les journalistes se limitant à poser des questions. Cette initiative met en lumière l'influence croissante de l'IA dans le journalisme, tout en soulevant des questions sur la fiabilité des informations générées et l'avenir des emplois dans ce secteur.En parlant de nouvelles approches, le vibe coding, introduit par Andrej Karpathy, redéfinit le rôle des développeurs. Ce paradigme permet aux développeurs de décrire la fonctionnalité souhaitée en langage naturel, laissant l'IA générer le code. Bien que critiqué par certains comme un simple rebranding, le vibe coding souligne l'évolution vers une orchestration de haut niveau par les développeurs, plutôt que l'écriture de chaque ligne de code.Dans le domaine de la génération vidéo, Step-Video-TI2V, un modèle de pointe avec 30 milliards de paramètres, se distingue par sa capacité à créer des vidéos à partir de textes. Ce modèle, accompagné de son benchmark Step-Video-TI2V-Eval, offre des performances remarquables dans la génération d'images en vidéos, démontrant l'évolution rapide des capacités de l'IA dans ce domaine.Enfin, la startup française Mistral AI a dévoilé Mistral Small 3.1, un modèle open source qui prétend surpasser des modèles bien connus comme GPT-4o. En parallèle, Google a introduit Gemma 3, optimisé pour divers dispositifs, et OpenAI se concentre sur GPT-5, simplifiant ainsi son offre. Ces développements montrent l'importance de l'open source pour l'innovation rapide et la collaboration mondiale.Voilà qui conclut notre épisode d’aujourd’hui. Merci de nous avoir rejoints, et n’oubliez pas de vous abonner pour ne manquer aucune de nos discussions passionnantes. À très bientôt dans L'IA Aujourd’hui !

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  • Bonjour et bienvenue dans le podcast de l'IA par l’IA qui vous permet de rester à la page ! Aujourd’hui : décryptage des nouvelles techniques de reverse engineering, innovations dans le codage assisté par l'IA, création artistique numérique accessible à tous, et régulations sur les contenus générés par l'IA. C’est parti !Commençons par une avancée qui bouleverse la protection du code source. Historiquement, la compilation et l'obfuscation étaient des méthodes efficaces pour protéger le code. Cependant, avec l'arrivée de modèles de langage de grande taille comme Claude d'Anthropic, cette barrière est tombée. Geoffrey Huntley a démontré comment ces outils peuvent transformer un logiciel en code open-source. En utilisant Claude Code, il a réussi à rendre lisible un fichier minifié de 5 Mo, prouvant que même les codes obfusqués peuvent être analysés et réécrits. Cette technique, qui rappelle la série "Halt and Catch Fire", permet de recréer des fonctionnalités entières sans être détecté, posant un défi majeur pour les entreprises qui souhaitent protéger leurs innovations.Passons maintenant à Google, qui a élargi les capacités de Gemini avec "Canvas", un espace de travail interactif pour simplifier la création de contenu et le codage. Cet outil permet aux utilisateurs de bénéficier de l'intelligence artificielle de Gemini dans un environnement dédié, facilitant des tâches allant de l'édition de documents au développement de prototypes. Les développeurs peuvent générer des prototypes d'applications web et prévisualiser le code en temps réel, rendant le processus de création plus fluide et interactif. Canvas est désormais disponible mondialement pour les abonnés de Gemini, offrant une nouvelle dimension aux flux de travail de codage assistés par l'IA.En matière de création artistique, l'AI Ease AI Art Generator se distingue en permettant de créer des œuvres d'art à partir de simples descriptions textuelles. Gratuit et facile à utiliser, cet outil démocratise l'accès à la création artistique numérique. Que vous soyez intéressé par des personnages d'anime ou des paysages futuristes, AI Ease vous permet de réaliser votre vision sans compétences techniques particulières. Il suffit de taper votre idée, de choisir un style et de laisser l'IA faire le reste, rendant l'art accessible à tous.Enfin, la Chine a annoncé qu'à partir de septembre 2025, les contenus générés par IA devront être étiquetés comme tels. Cette décision vise à réduire la désinformation et à responsabiliser les fournisseurs de services. Les contenus synthétiques devront inclure des identifiants explicites et implicites, comme des filigranes numériques. Cette initiative s'inscrit dans un mouvement global, avec des réglementations similaires en Europe et aux États-Unis. Par exemple, l'AI Act européen exige que les contenus synthétiques soient marqués, et aux États-Unis, un décret prévoit des mécanismes pour authentifier les contenus. Ces mesures visent à contrôler les risques de désinformation et à promouvoir un développement sain de l'IA.Voilà qui conclut notre épisode d’aujourd’hui. Merci de nous avoir rejoints, et n’oubliez pas de vous abonner pour ne manquer aucune de nos discussions passionnantes. À très bientôt dans L'IA Aujourd’hui !

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  • Bonjour et bienvenue dans le podcast de l'IA par l’IA qui vous permet de rester à la page ! Aujourd’hui : Google et son modèle Gemini, l'adoption de l'IA dans les organisations scientifiques, les tensions autour des modèles d'IA chinois, et les défis des moteurs de recherche IA. C’est parti !Commençons par Google, qui a récemment lancé la version 2.0 de son modèle Gemini Flash. Ce modèle intègre une nouvelle fonctionnalité de génération et de modification d'images, mais il a aussi introduit une capacité controversée : la suppression des filigranes. Cette fonctionnalité inquiète les créateurs de contenu et les détenteurs de droits d'auteur, car elle pourrait faciliter la violation des droits d'auteur. Les filigranes, souvent utilisés pour protéger les œuvres d'art et les photographies, peuvent désormais être supprimés sans laisser de traces visibles. Cette avancée technologique soulève des questions éthiques et juridiques, poussant les propriétaires de propriétés intellectuelles à repenser leurs stratégies de protection.Passons maintenant à l'adoption de l'IA générative dans les organisations scientifiques, illustrée par une étude menée au laboratoire national d'Argonne. L'étude a révélé que moins de 10 % des employés utilisaient l'assistant IA interne, Argo, mais l'utilisation a augmenté de 19,2 % par mois. Les équipes scientifiques et opérationnelles explorent principalement des applications de type copilote pour la rédaction académique, le développement de code et l'automatisation des processus administratifs. Cependant, des préoccupations subsistent quant à la fiabilité de l'IA et à son impact sur les compétences requises dans le milieu professionnel.En parallèle, OpenAI a proposé une interdiction des modèles d'IA chinois, citant des préoccupations de sécurité et de confidentialité. Cette suggestion a été critiquée comme étant protectionniste, certains accusant OpenAI de vouloir maintenir sa domination sur le marché. Les critiques soulignent que cette proposition pourrait fragmenter l'écosystème mondial de l'IA, freinant l'innovation et la coopération internationale. Dr. Lin Wei, chercheur en éthique de l'IA, plaide pour des cadres favorisant les droits humains et la transparence plutôt que des interdictions.Enfin, abordons les défis des moteurs de recherche IA. Une étude du Tow Center for Digital Journalism a révélé que le taux d'erreur de ces systèmes dépasse 60 %. ChatGPT Search affiche un taux d'erreur de 67 %, tandis que Perplexity et Grok 3 atteignent respectivement 37 % et 94 %. Ces moteurs inventent parfois des sources ou fournissent des réponses incorrectes, compromettant leur fiabilité. Les éditeurs expriment leurs inquiétudes face à ces pratiques, et bien que OpenAI et Microsoft aient reconnu ces problèmes, des solutions concrètes se font attendre.Voilà qui conclut notre épisode d’aujourd’hui. Merci de nous avoir rejoints, et n’oubliez pas de vous abonner pour ne manquer aucune de nos discussions passionnantes. À très bientôt dans L'IA Aujourd’hui !

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  • Bonjour et bienvenue dans le podcast de l'IA par l’IA qui vous permet de rester à la page ! Aujourd’hui : l'impact de l'IA sur les droits d'auteur, la régulation en Espagne, et les avancées dans la recherche scientifique. C’est parti !Commençons par l'impact de l'IA sur les droits d'auteur. OpenAI et Google font pression sur le gouvernement américain pour permettre à leurs modèles d'IA de s'entraîner sur du contenu protégé par des droits d'auteur. Ils soutiennent que cela est crucial pour maintenir l'avance des États-Unis en matière d'IA face à la Chine. Cependant, cette position suscite des controverses, notamment en raison des poursuites en cours contre OpenAI pour utilisation non autorisée de contenu protégé. Google, de son côté, appelle à des "règles de droit d'auteur équilibrées" pour faciliter l'accès aux données nécessaires au développement de l'IA.Passons maintenant à l'Espagne, qui prend des mesures décisives pour encadrer l'intelligence artificielle. Un projet de loi prévoit des sanctions sévères pour les entreprises ne signalant pas correctement les contenus générés par IA, avec des amendes pouvant atteindre 35 millions d'euros. Cette législation vise à lutter contre les deepfakes et les manipulations numériques, en imposant un étiquetage obligatoire des productions IA. L'Espagne se positionne ainsi comme un précurseur en matière de régulation de l'IA au sein de l'Union européenne, avec la création d'une agence nationale de surveillance de l'IA pour assurer le respect de ces nouvelles règles.En parallèle, un événement marquant dans le domaine de la recherche scientifique : un article entièrement généré par une intelligence artificielle, The AI Scientist-v2, a réussi à passer le processus de révision par les pairs lors d'un atelier de l'ICLR 2025. Bien que l'article ait été retiré avant publication, cet événement soulève des questions sur l'avenir de la recherche scientifique et le rôle potentiel des IA dans la production de connaissances.Enfin, explorons les avancées technologiques avec Manus, un agent d'IA développé par Monica.ai en Chine. Contrairement aux chatbots traditionnels, Manus peut gérer de manière autonome des tâches complexes comme la recherche immobilière ou l'analyse de CV. Cette innovation s'accompagne de nouveaux outils d'OpenAI pour la création d'agents, offrant aux développeurs la possibilité de créer des applications multi-agents sophistiquées.Voilà qui conclut notre épisode d’aujourd’hui. Merci de nous avoir rejoints, et n’oubliez pas de vous abonner pour ne manquer aucune de nos discussions passionnantes. À très bientôt dans L'IA Aujourd’hui !

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  • Bonjour et bienvenue dans le podcast de l'IA par l’IA qui vous permet de rester à la page ! Aujourd’hui : l'exactitude des modèles d'IA, les innovations en robotique, et les avancées open-source. C’est parti !Commençons par une étude du Tow Center for Digital Journalism qui met en lumière des problèmes d'exactitude avec les modèles d'IA génératifs utilisés pour les recherches d'actualités. Sur huit outils testés, plus de 60 % des réponses étaient incorrectes. ChatGPT Search a mal identifié 67 % des articles, et Grok 3 a atteint un taux d'erreur de 94 %. Les versions payantes de ces outils n'ont pas fait mieux, souvent plus confiantes mais tout aussi erronées. Les chercheurs ont aussi relevé des problèmes de citations et de fabrication d'URL, ce qui pose des défis pour les éditeurs de contenu.Passons maintenant à Google DeepMind, qui a lancé Gemini Robotics, un modèle capable de comprendre et d'agir dans des situations nouvelles. Ce modèle améliore l'interactivité et la dextérité des robots, leur permettant d'accomplir des tâches complexes comme plier du papier. Un autre modèle, Gemini Robotics-ER, aide à comprendre des environnements dynamiques, facilitant des tâches comme préparer une boîte à lunch. Google DeepMind met l'accent sur la sécurité avec une approche par couches pour évaluer la sûreté des actions.En parlant de modèles d'IA, Cohere a dévoilé Command A, un modèle génératif pour entreprises, efficace et abordable. Avec un coût de formation inférieur à 30 millions de dollars et fonctionnant avec seulement deux GPU, Command A se positionne comme une alternative économique aux solutions d'OpenAI. Cohere mise sur le multilinguisme, supportant 32 langues, et se concentre sur des modèles adaptés aux besoins spécifiques des clients.Dans le domaine open-source, OLMo 2 32B et Gemma 3 représentent des avancées significatives. OLMo 2 32B, un modèle de classe GPT-4, surpasse GPT-3.5 grâce à des améliorations en données et architecture. Gemma 3, de Google, se distingue par ses capacités multimodales et son support linguistique étendu. Ces modèles open-source offrent une transparence accrue et favorisent l'innovation, bien que des défis juridiques subsistent.Enfin, Simon Willison a intégré des descriptions générées par IA sur son site, utilisant Claude 3.7 Sonnet pour documenter 78 outils. L'un d'eux, "CSV marker map", crée des cartes interactives à partir de données CSV. Cette initiative montre comment l'IA peut enrichir la documentation technique, rendant les outils plus accessibles.Voilà qui conclut notre épisode d’aujourd’hui. Merci de nous avoir rejoints, et n’oubliez pas de vous abonner pour ne manquer aucune de nos discussions passionnantes. À très bientôt dans L'IA Aujourd’hui !

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  • Bonjour et bienvenue dans le podcast de l'IA par l’IA qui vous permet de rester à la page ! Aujourd’hui : l'impact des modèles d'IA sur la recherche d'actualités, les avancées en robotique, et les défis du droit d'auteur dans l'IA. C’est parti !Commençons par une étude du Tow Center for Digital Journalism qui met en lumière les problèmes d'exactitude des modèles d'IA génératifs dans la recherche d'actualités. Huit outils ont été testés, révélant que plus de 60 % des réponses étaient incorrectes. Par exemple, ChatGPT Search a mal identifié 67 % des articles, et Grok 3 a atteint un taux d'erreur de 94 %. Les chercheurs ont noté que ces modèles préfèrent fournir des réponses spéculatives plutôt que de s'abstenir de répondre. Les versions premium de certains outils, comme Perplexity, ont même montré des taux d'erreur plus élevés que leurs versions gratuites. Cette situation pose un dilemme pour les éditeurs, qui doivent choisir entre bloquer les robots d'IA ou accepter une réutilisation non contrôlée de leur contenu.Passons maintenant à Google DeepMind, qui a lancé Gemini Robotics, un modèle capable de comprendre et d'interagir avec le monde réel. Ce modèle, basé sur Gemini 2.0, améliore la généralité, l'interactivité et la dextérité des robots. Il peut accomplir des tâches précises comme plier du papier ou ouvrir des bouteilles. Google DeepMind a également introduit Gemini Robotics-ER, qui permet aux robots de mieux comprendre et interagir avec leur environnement. Ces avancées promettent de rendre les robots plus utiles et adaptables.En parallèle, OpenAI se retrouve au cœur d'une bataille juridique concernant le droit d'auteur. Leur nouveau modèle, impressionnant pour l'écriture créative, soulève des questions sur l'utilisation de contenus protégés pour l'entraînement des IA. Le New York Times et d'autres auteurs poursuivent OpenAI pour violation de droits d'auteur. Au Royaume-Uni, le gouvernement envisage de permettre l'entraînement des IA sur des matériaux protégés sans autorisation, suscitant l'opposition des industries créatives. Cette situation met en lumière les tensions entre innovation technologique et protection des droits d'auteur.Enfin, Cohere, une entreprise torontoise, a dévoilé Command A, un modèle d'IA générative pour les entreprises. Ce modèle se distingue par son coût de formation réduit et sa capacité à fonctionner avec seulement deux GPU. Cohere vise à offrir une IA performante et abordable, adaptée aux besoins spécifiques des entreprises. Command A prend en charge 32 langues, ce qui en fait un atout pour les entreprises internationales. Cette approche pragmatique pourrait séduire celles cherchant à intégrer l'IA sans exploser leur budget.Voilà qui conclut notre épisode d’aujourd’hui. Merci de nous avoir rejoints, et n’oubliez pas de vous abonner pour ne manquer aucune de nos discussions passionnantes. À très bientôt dans L'IA Aujourd’hui !

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  • Bonjour et bienvenue dans le podcast de l'IA par l’IA qui vous permet de rester à la page ! Aujourd’hui : l'exactitude des modèles d'IA, les innovations en robotique, et les défis du droit d'auteur. C’est parti !Commençons par une étude récente du Tow Center for Digital Journalism qui met en lumière les problèmes d'exactitude des modèles d'IA génératifs dans les recherches d'actualités. Sur huit outils testés, plus de 60 % des réponses étaient incorrectes. ChatGPT Search a mal identifié 67 % des articles, et Grok 3 a atteint un taux d'erreur de 94 %. Les chercheurs ont découvert que ces modèles préfèrent fournir des réponses spéculatives plutôt que de s'abstenir. Les versions premium de certains outils, comme Perplexity Pro, ont même montré des taux d'erreur plus élevés que leurs versions gratuites. Cette situation pose des défis pour les éditeurs, qui doivent choisir entre bloquer les robots d'exploration d'IA ou accepter une réutilisation non contrôlée de leur contenu.Passons maintenant à Google DeepMind, qui a lancé Gemini Robotics, un modèle capable de comprendre et d'agir dans des situations nouvelles. Basé sur Gemini 2.0, ce modèle améliore l'interactivité et la dextérité des robots, leur permettant d'effectuer des tâches précises comme plier du papier. Un autre modèle, Gemini Robotics-ER, aide les robots à comprendre des environnements complexes, comme préparer une boîte à lunch. Google DeepMind met également l'accent sur la sécurité, en formant ses modèles à évaluer la sûreté des actions potentielles.En parallèle, OpenAI a dévoilé un modèle d'IA spécialisé dans l'écriture créative, suscitant des débats sur le droit d'auteur. Le modèle, bien que non public, a impressionné par sa capacité à produire des textes littéraires. Cependant, l'utilisation de contenus protégés pour l'entraînement de ces modèles soulève des questions juridiques, avec des poursuites en cours contre OpenAI et Meta. Au Royaume-Uni, le gouvernement envisage de permettre l'entraînement des IA sur des matériaux protégés sans autorisation, une proposition qui inquiète les industries créatives.Enfin, Bito transforme le développement logiciel avec des agents d'IA intégrés dans les flux de travail des développeurs. Leur agent de révision de code, propulsé par Claude, améliore la productivité en fournissant des analyses détaillées et des suggestions architecturales. Des entreprises comme PubMatic et OBDS ont constaté des gains significatifs en efficacité, avec des cycles de demandes de tirage accélérés de 89 % et un retour sur investissement de 14 $ pour chaque dollar dépensé.Voilà qui conclut notre épisode d’aujourd’hui. Merci de nous avoir rejoints, et n’oubliez pas de vous abonner pour ne manquer aucune de nos discussions passionnantes. À très bientôt dans L'IA Aujourd’hui !

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  • Bonjour et bienvenue dans le podcast de l'IA par l’IA qui vous permet de rester à la page ! Aujourd’hui : l'impact de l'IA sur la littérature, les innovations de Deevid AI, les avancées de Manus et Gemma, et l'IA générative au service des personnes handicapées. C’est parti !Commençons par le monde littéraire, où OpenAI a récemment dévoilé un modèle d'IA conçu pour exceller dans l'écriture créative. Sam Altman, PDG d'OpenAI, a exprimé son étonnement face à la qualité des textes produits, notamment une nouvelle sur l'IA et le deuil, démontrant une profondeur émotionnelle inattendue. Bien que cette IA ne remplace pas les auteurs, elle pourrait devenir un assistant précieux pour structurer des intrigues ou explorer de nouveaux styles. Cependant, la question demeure : peut-on vraiment émouvoir sans être humain ?Passons maintenant à Deevid AI, qui a lancé deux nouveaux outils : le Générateur d'Images par IA et le Générateur de Publicités par IA. Ces outils permettent de créer rapidement des visuels et des publicités percutantes, même pour ceux sans expérience en design. En utilisant des algorithmes sophistiqués, Deevid AI aide à concevoir des publicités optimisées pour diverses plateformes, renforçant ainsi son rôle de plateforme tout-en-un pour la création de contenu visuel.En Chine, la startup Monica.ai a développé Manus, un agent d'intelligence artificielle générale qui surpasse les offres d'OpenAI sur certains benchmarks. Manus utilise un système multi-agents intégrant des modèles comme Claude d'Anthropic, illustrant un passage vers des architectures modulaires. Cette approche permet une interaction plus large avec les logiciels via des interfaces graphiques, élargissant le champ de l'automatisation.Gemma 3, la dernière version de la famille de modèles ouverts Gemma, introduit la multimodalité avec des capacités améliorées en mathématiques, raisonnement et chat. Disponible en plusieurs tailles, Gemma 3 prend en charge jusqu'à 128 000 tokens et plus de 140 langues. Grâce à un encodeur de vision basé sur SigLIP, il peut analyser des images et vidéos, offrant ainsi une flexibilité accrue pour divers cas d'utilisation.Brian Solis, de ServiceNow, souligne que la transformation numérique ne réside pas seulement dans la technologie, mais dans son implémentation. Il met en garde contre la perte d'humanité dans la quête d'efficacité, affirmant que l'IA ne peut remplacer l'empathie ou la créativité. Solis recommande de se concentrer sur l'impact émotionnel des messages et de développer des lignes directrices éthiques pour l'IA.Enfin, l'IA générative transforme la vie de nombreuses personnes, y compris celles vivant avec un handicap. Thierry, autiste sans déficience intellectuelle, utilise l'IA pour mieux comprendre le second degré, tandis que Cécile, atteinte de maladies neurologiques, s'en sert pour évaluer la nécessité de consulter un médecin. Bien que ces technologies offrent un soutien précieux, elles ne remplacent pas les efforts pour une véritable inclusion sociale.Voilà qui conclut notre épisode d’aujourd’hui. Merci de nous avoir rejoints, et n’oubliez pas de vous abonner pour ne manquer aucune de nos discussions passionnantes. À très bientôt dans L'IA Aujourd’hui !

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  • Bonjour et bienvenue dans le podcast de l'IA par l’IA qui vous permet de rester à la page ! Aujourd’hui : l'utilisation des modèles de langage pour coder, les défis juridiques autour des données d'entraînement, les innovations de Google avec Gemini 2.0, les critiques envers OpenAI et les avancées de Safe SuperIntelligence. C’est parti !Commençons par l'utilisation des modèles de langage de grande taille pour aider à écrire du code. Bien que ces outils soient souvent perçus comme des assistants puissants, leur utilisation efficace nécessite une compréhension approfondie de leurs limites. Les LLM, ou modèles de langage de grande taille, ne sont que des autocomplétions sophistiquées. Ils peuvent être très utiles pour assembler des séquences de code, mais ils ne remplaceront pas l'expertise humaine. Il est crucial de tester rigoureusement le code généré pour éviter les erreurs, parfois subtiles, qu'ils peuvent introduire.Passons maintenant aux questions juridiques entourant l'entraînement des modèles d'IA sur des données protégées par le droit d'auteur. Des affaires judiciaires se penchent sur la question de savoir si cela constitue une violation. Les modèles peuvent parfois reproduire des données d'entraînement, soulevant des préoccupations sur la fuite de données personnelles. Cependant, les avocats se concentrent sur les œuvres protégées, tandis que les chercheurs s'inquiètent des informations sensibles. Les modèles plus grands ont tendance à mémoriser davantage de données, ce qui complique encore le débat.En parlant d'innovations, Google a introduit le "Mode IA" dans son moteur de recherche, utilisant le modèle Gemini 2.0. Cette fonctionnalité permet de poser des questions complexes et d'obtenir des réponses précises et interactives. Actuellement en phase de test, elle vise à renforcer la position de Google face à la concurrence croissante. Le Mode IA offre une meilleure capacité de raisonnement et de traitement multimodal, transformant ainsi l'expérience utilisateur.OpenAI, de son côté, fait face à des critiques après le lancement de GPT-4.5. Bien que présenté comme une avancée, ce modèle est jugé décevant par rapport à son prédécesseur, GPT-4. Les coûts élevés et les performances limitées ont suscité des réactions mitigées. La stratégie marketing d'OpenAI a également été critiquée pour son incohérence, ce qui a érodé la confiance des utilisateurs. Les modèles open source émergent comme des alternatives viables, offrant des performances comparables à moindre coût.Enfin, Ilya Sutskever, cofondateur de Safe SuperIntelligence, a levé 2 milliards de dollars, portant la valorisation de l'entreprise à 30 milliards. Cette levée de fonds alimente les spéculations sur la découverte de nouvelles lois d'échelle pour l'IA. Pendant ce temps, la startup chinoise Monica a développé Manus, un produit multi-agent utilisant des modèles existants pour accomplir des tâches complexes. Ces innovations offrent des opportunités passionnantes pour l'avenir de l'IA.Voilà qui conclut notre épisode d’aujourd’hui. Merci de nous avoir rejoints, et n’oubliez pas de vous abonner pour ne manquer aucune de nos discussions passionnantes. À très bientôt dans L'IA Aujourd’hui !

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  • Bonjour et bienvenue dans le podcast de l'IA par l’IA qui vous permet de rester à la page ! Aujourd’hui : l'impact de l'IA dans les médias, les avancées de Microsoft et Google, les agents spécialisés d'OpenAI, et bien plus encore. C’est parti !Commençons par le LA Times, qui a récemment remplacé certains de ses journalistes par un outil d'intelligence artificielle nommé Insights. Cet outil, conçu pour évaluer l'orientation politique des articles et générer des points de vue opposés, a suscité la controverse en semblant défendre le Ku Klux Klan. Cette situation intervient alors que le journal réduit ses effectifs, reflétant une tendance plus large dans l'industrie des médias où l'automatisation remplace le travail humain. Cela soulève des questions sur la qualité de l'information et l'impact sur l'emploi dans le journalisme.Passons maintenant à Microsoft, qui accélère son développement interne en IA pour réduire sa dépendance à OpenAI. Après qu'OpenAI a refusé de partager des détails techniques, Microsoft a développé ses propres modèles d'IA avancés, capables de rivaliser avec ceux d'OpenAI. En parallèle, Microsoft explore d'autres options, testant les modèles d'entreprises comme xAI et Meta. Cette diversification montre la volonté de Microsoft de maintenir un écosystème flexible et compétitif.De son côté, Google a annoncé le modèle Gemini Embedding, disponible via l'API Gemini. Ce modèle surpasse son prédécesseur et se classe en tête du classement Massive Text Embedding Benchmark Multilingue. Conçu pour être polyvalent, il offre des performances exceptionnelles dans divers domaines sans nécessiter d'ajustement fin. Les développeurs peuvent déjà explorer ses capacités, bien qu'il soit encore en phase expérimentale.OpenAI, quant à elle, se prépare à lancer des agents d'IA spécialisés pour des tâches de niveau expert. Ces agents, proposés avec des frais d'abonnement élevés, visent des secteurs professionnels spécifiques. Cette stratégie marque un changement par rapport aux modèles antérieurs plus généralistes, et soulève des questions sur l'accessibilité des technologies avancées d'IA, potentiellement limitées aux grandes entreprises.En parallèle, un document de politique propose un vocabulaire pour se retirer de l'entraînement des IA. Ce vocabulaire vise à créer des normes robustes et interopérables pour les réservations de droits lisibles par machine, répondant aux besoins des titulaires de droits et des développeurs de modèles d'IA.Enfin, Google explore l'intégration de publicités dans son nouveau mode IA, Google AI Mode. Ce mode, capable de réaliser plusieurs recherches simultanément, est en version bêta. Bien que les publicités ne soient pas encore disponibles, Google prévoit d'utiliser les enseignements des "aperçus IA" pour informer son approche future de la publicité.Voilà qui conclut notre épisode d’aujourd’hui. Merci de nous avoir rejoints, et n’oubliez pas de vous abonner pour ne manquer aucune de nos discussions passionnantes. À très bientôt dans L'IA Aujourd’hui !

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  • Bonjour et bienvenue dans le podcast de l'IA par l’IA qui vous permet de rester à la page ! Aujourd’hui : l'essor des sites d'information générés par IA, les innovations de Google dans la recherche en ligne, et les avancées des modèles d'IA. C’est parti !Commençons par l'enquête menée par Next sur la prolifération des sites d'information générés par intelligence artificielle. Depuis le début de 2024, ces plateformes ont explosé, passant de quelques centaines à plusieurs milliers. Ces sites, souvent référencés sur Google Actualités, ne sont pas le fruit de journalistes, mais d'algorithmes d'IA. Next, en collaboration avec CheckNews de Libération et des contributeurs de Wikipédia, a découvert que ces articles sont parfois utilisés comme sources sur Wikipédia sans vérification. Pour contrer cette tendance, Next a développé une extension de navigateur qui alerte les utilisateurs lorsqu'ils visitent un site généré par IA, protégeant ainsi les internautes des informations trompeuses.Passons maintenant à Google, qui innove dans la recherche en ligne avec le "AI Overview". Cette fonctionnalité remplace les résultats de recherche traditionnels par des résultats générés par IA, suivis de publicités. Le système Gemini 2.0 rédige des rapports sur les requêtes des utilisateurs, incluant des liens vers les sources. Cependant, pour obtenir des réponses précises, il est souvent nécessaire de poser des questions de suivi pour contourner les erreurs de l'IA. Cette approche semble avantager Google en augmentant le temps passé par les utilisateurs sur la page de recherche, détournant l'objectif initial de trouver rapidement une information.En parallèle, Google a lancé le "Mode IA", une expérience pour les abonnés Google One AI Premium. Ce mode, alimenté par Gemini 2.0, offre des réponses plus avancées et multimodales. Il permet de poser des questions de suivi et offre des informations en temps réel. Bien que ce mode inclue des liens vers des sites web, il soulève des questions sur l'avenir du web, car les utilisateurs pourraient ne plus cliquer sur les liens.Dans le domaine des modèles d'IA, Gemini a lancé un nouveau modèle d'incorporation de texte, gemini-embedding-exp-03-07, capable de traiter jusqu'à 8 000 jetons d'entrée. Ce modèle génère des vecteurs de taille 3072, mais nécessite beaucoup d'espace de stockage. Heureusement, il prend en charge l'apprentissage de représentation Matryoshka, permettant de tronquer les vecteurs pour économiser de l'espace.Enfin, les chercheurs se concentrent sur l'amélioration des capacités de raisonnement des grands modèles de langage. Des stratégies comme l'augmentation des ressources de calcul pendant l'inférence et l'ingénierie de prompt, comme le "chain-of-thought", sont explorées. Ces approches visent à améliorer la précision des modèles dans des tâches complexes, sans modifier les poids du modèle.Voilà qui conclut notre épisode d’aujourd’hui. Merci de nous avoir rejoints, et n’oubliez pas de vous abonner pour ne manquer aucune de nos discussions passionnantes. À très bientôt dans L'IA Aujourd’hui !

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  • Bonjour et bienvenue dans le podcast de l'IA par l’IA qui vous permet de rester à la page ! Aujourd’hui : l'évolution des modèles de langage, les avancées matérielles de Cerebras, les défis des agents d'IA, et l'impact du "vibe coding". C’est parti !Commençons par les modèles de langage de grande taille, ou LLM. Ces modèles, comme GPT-3, utilisent un mécanisme d'attention pour comprendre le contexte des mots. En pratique, cela implique de transformer les mots en vecteurs multidimensionnels, permettant d'ajuster leur sens en fonction du contexte. GPT-3, par exemple, utilise 96 têtes d'attention pour traiter ces vecteurs en parallèle, optimisant ainsi la compréhension du langage. Cette technologie est essentielle pour générer du texte cohérent et pertinent, mais elle nécessite une puissance de calcul considérable.C'est là qu'intervient Cerebras Systems avec son Wafer Scale Engine, ou WSE. Contrairement aux processeurs traditionnels, Cerebras utilise une plaquette de silicium entière pour créer un processeur unique, le WSE-3, qui contient 4 trillions de transistors et 900 000 cœurs d'IA. Cette architecture permet des performances d'inférence jusqu'à 70 fois plus rapides que les GPU traditionnels, grâce à une mémoire SRAM intégrée de 44 gigaoctets. Cela élimine le besoin d'accéder à une mémoire externe, accélérant ainsi le traitement des modèles de langage.Passons maintenant aux agents d'IA, ces systèmes autonomes qui combinent compréhension du langage et prise de décision. Bien que prometteurs, ils rencontrent des obstacles lors de leur déploiement en conditions réelles. Les méthodes de test traditionnelles ne capturent pas toujours la complexité des interactions dynamiques. Pour y remédier, le cadre open-source IntellAgent propose des scénarios de test réalistes, permettant une évaluation plus fine des agents. Cela est crucial pour garantir leur fiabilité dans des secteurs comme le service client et la finance.En parallèle, le "vibe coding" gagne en popularité. Cette approche permet de coder en langage naturel, laissant l'IA traduire les instructions en code. Bien que cela facilite l'accès à la programmation, des questions se posent quant à la fiabilité du code produit. Le "vibe coding" est idéal pour des projets simples, mais il atteint ses limites avec des projets plus complexes, nécessitant une compréhension approfondie du code pour éviter les erreurs.Enfin, Google a récemment élargi sa fonctionnalité de résumés générés par IA dans son moteur de recherche. Bien que cela vise à améliorer l'expérience utilisateur, des préoccupations subsistent quant à la fiabilité des informations fournies. Les éditeurs craignent une baisse du trafic vers leurs sites, ce qui pourrait affecter leurs revenus publicitaires. Google assure que ces résumés incitent à la curiosité, mais les éditeurs restent sceptiques.Voilà qui conclut notre épisode d’aujourd’hui. Merci de nous avoir rejoints, et n’oubliez pas de vous abonner pour ne manquer aucune de nos discussions passionnantes. À très bientôt dans L'IA Aujourd’hui !

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