Afleveringen
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A Wall Street, les investisseurs s'alarment des conséquences d'une guerre commerciale tous azimuts sur la croissance des Etats-Unis. Les indices ont fait mine de rebondir hier avant de flancher, emportés par le compartiment technologique au sein duquel Nvidia a plongé de plus de 8%, en dépit de la publication de bénéfices trimestriels obscènes. La bourse américaine est revenue à zéro en 2025, pendant que les actions européennes conservent une avance confortable. Dernière échéance importante du mois aujourd'hui avec les données d'inflation en Europe et aux Etats-Unis.
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La montagne a peut-être accouché d'une souris hier soir. Ou peut-être qu'une montagne plus imposante est apparue à côté de la première. Cette entame mystérieuse, sans doute pas étrangère à la légère surconsommation d'un excellent vin rouge hier soir, masque une réalité assez simple : Nvidia a publié des résultats dont personne n'arrive à dire s'ils doivent être considérés comme favorables ou pas, pendant que Donald Trump a annoncé que l'Europe sera frappée à son tour par 25% de droits de douane.
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Zijn er afleveringen die ontbreken?
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Les actions technologiques américaines ont presque effacé leurs gains 2025. Il y a un peu trop de nuages sombres à l'horizon en ce moment. Malgré tout, quelques éclaircies sont annoncées aujourd'hui. Suffiront-elles à écarter la tempête ? That is the question.
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L’IA patine, le Nasdaq trébuche, et le CAC40 est contaminé via Schneider. Washington resserre l’étau sur Pékin, tandis que Nvidia, dont les résultats sont attendus demain soir, pourrait raviver l’appétit des marchés. Après l’indigestion, place au FOMO ? Du grand classique en somme, pas de quoi en faire un fromage. Quoique…
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C'est un peu le monde à l'envers au regard du rapport de force géopolitique du moment, mais les places boursières européennes ont bel et bien une avance considérable sur Wall Street en 2025 à l'amorce de la dernière semaine de février. Comme les performances passés ne préjugent pas des performances futures, on se gardera de tirer des conclusions hâtives, d'autant que la bourse américaine reste très proche de ses sommets. Nvidia, dont les résultats sont attendus mercredi, aura-t-elle la capacité de rebattre les cartes ?
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L’Europe pourrait s’offrir une neuvième semaine de hausse consécutive, sauf si un dernier faux pas du Stoxx Europe 600 en décide autrement. Mais l’ambiance sur les marchés est loin d’être euphorique, à cause des tensions diplomatiques et de la prudence des consommateurs américains. Heureusement, la Chine offre un contrepoint enflammé grâce à l’intelligence artificielle et Alibaba, qui connaît un spectaculaire retour en grâce.
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Un mois après son retour à la Maison Blanche, Donald Trump impose sa marque : virulence verbale, relance des tensions commerciales et pressions diplomatiques tous azimuts. Si Wall Street s’en accommode pour l'instant, les marchés européens et asiatiques, eux, accusent le coup.
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Tout va toujours bien pour les actions européennes, qui grimpent en dépit des craintes économiques et des menaces douanières de Donald Trump. Les données montrent que les investisseurs misent un peu plus sur le vieux continent et un peu moins sur la tech américaine, même s'ils restent captivés par l'intelligence artificielle et la force de traction des Etats-Unis. Les nouvelles annonces nocturnes de Donald Trump apportent toutefois un peu de piment à l'ouverture ce matin.
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Pendant que Wall Street prolongeait son week-end, les indices européens ont poursuivi leur ascension, avec un DAX survolté par la montée en puissance de Rheinmetall. Un paradoxe de plus dans un paysage économique où l’Allemagne, en crise politique, surperforme. Pendant ce temps, Washington et Moscou discutent d’une issue au conflit ukrainien sans l’Europe, les matières premières s’agitent et la Fed entretient le flou sur sa politique monétaire.
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Les marchés européens vont devoir se débrouiller sans Wall Street lundi, à cause d''une journée fériée aux Etats-Unis. La semaine débute sur de fortes tensions entre Washington et les capitales européennes au sujet du conflit russo-ukrainien, pendant que la technologie chinoise est en pleine renaissance avec le concours d'une guest-star inattendue, Xi Jinping.
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Les marchés actions mondiaux ont poursuivi leur ascension en ignorant les petites contrariétés, pour se concentrer sur le positif : les Etats-Unis font pression pour arrêter le conflit russo-ukrainien, les droits de douanes additionnels promis par la Maison Blanche ne seront pas appliqués tout de suite et les statistiques d'inflation américaines laissent un peu d'espoir pour l'évolution des taux. A l'aube de la dernière séance de la semaine, plusieurs indices sont au zénith ou à proximité.
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Hier, les marchés auraient dû chavirer après une inflation US plus coriace que prévu. Le début de séance à Wall Street a bien suivi le scénario classique du lendemain de cuite boursière : panique initiale, regain d’énergie, puis rechute. Sauf que… la rechute n’a pas eu lieu. Les espoirs de paix en Ukraine et l'absence de nouvelles mesures douanières en provenance de la Maison Blanche ont permis de limiter les dégâts.
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Les marchés actions poursuivent leur ascension prudente, portés par l’optimisme ambiant mais tempérés par l'attente des chiffres de l’inflation aux États-Unis. Pendant que Meta enchaîne une série historique de hausses, Tesla subit un brutal retour à la réalité. En arrière-plan, la Fed maintient le suspense sur l'évolution des taux, tandis que les investisseurs scrutent les résultats d'entreprises et les signaux macroéconomiques.
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Les marchés boursiers poursuivent leur ascension, peu gênés par les politiques autoritaires des Etats-Unis et les craintes inflationnistes qu'elles suscitent. Pour le reste, que des choses normales : Elon Musk veut racheter OpenAI, Donald Trump sauve l'industrie des pailles en plastique et Jerome Powell monte sur l'échafaud.
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Les Américains ont à nouveau peur d'un retour de l'inflation, qui forcerait la Réserve Fédérale à maintenir ses taux à haut niveau. Les dernières menaces de Donald Trump risquent d'attiser ces craintes. Elles ont fait plier les indices à Wall Street vendredi, même s'ils restent au contact de leurs records. Il en résulte une ambiance un peu curieuse sur les marchés financiers, où l'optimisme parvient à garder le dessus à court terme, malgré les bouleversements qui s'annoncent.
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Le show Donald Trump continue à animer des marchés financiers qui s'en accommodent finalement assez bien. Contrairement à la plupart des pronostics les plus funestes, l'Europe s'en tire plutôt pas mal d'un point de vue boursier, tout en restant à la merci du pouce levé ou du pouce baissé de l'empereur de la Maison Blanche et de sa cour. La dernière séance de la semaine sera dominée par les chiffres de l'emploi aux Etats-Unis en janvier, qui pourraient révéler quelque surprises et relancer la machine à spéculer sur la politique monétaire de la Fed.
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Dans une ambiance un peu curieuse, les marchés actions progressent grâce aux espoirs liés à l'IA et à l'évolution des taux directeurs, en dépit d'une série de résultats d'entreprises médiocres et des incertitudes concernant la guerre commerciale relancée par les Etats-Unis. Les temps forts du jour comprennent la décision de la Banque d'Angleterre sur ses taux et les résultats d'Amazon après la clôture.
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Les marchés actions continuent à évoluer au gré de la grande histoire, le retour de Trump aux affaires, et de la multitude de petites histoires, les résultats d'entreprises. Hier, le vert a dominé. Mais dans la soirée, les résultats d'Alphabet et d'AMD ont assombri le tableau.
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Le yoyo trumpo-émotionnel est de nouveau la norme sur les marchés financiers, comme c'était le cas au début du premier mandat du président américain. Donald Trump a démarré par un coup de tonnerre protectionniste avant d'imposer une accalmie diplomatique. Le Mexique et le Canada se sont rués dans la brèche, mais la Chine a refusé de se prêter au jeu. Les marchés actions sont un peu rassurés malgré tout, du moins à court terme.
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Le mois de janvier 2024 fut un excellent millésime boursier, mais j'ai l'impression qu'il va falloir l'évacuer fissa. Donald Trump a dégainé samedi 1er février des surtaxes douanières ciblant le Mexique, le Canada et la Chine, soit les trois principaux partenaires commerciaux des Etats-Unis. Il l'avait dit et il l'a fait, ce qui n'empêche pas les marchés financiers d'être pris en flagrant délit d'impréparation.
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