Afleveringen

  • Il y a 8 mois, nous revenions de Kyiv en Ukraine pour suivre les projets autour de la reconstruction en santĂ©.

    Aujourd'hui, je dresse un bilan avec Jarno Habicht, représentant de l'OMS en Ukraine, aprÚs la visite bilatérale du Président Volodymyr Zelensky et l'annonce de plusieurs mesures majeures pour soutenir l'Ukraine et ses habitants.

    Dans cet entretien, Jarno Habicht nous communique des données trÚs éclairantes sur la situation du systÚme de santé :

    -1 personne sur 3 reporte aujourd'hui ses soins et prĂ©fĂšre se soigner elle-mĂȘme ;

    -4 personnes sur 5 ont des problÚmes d'accÚs aux médicaments du fait notamment d'une augmentation des coûts ;

    -De nombreux habitants n'ont pas accÚs aux soins malgré le développement de l'innovation via la télémÚdecine ;

    -Le taux de pauvreté se situait à 7% au début de la guerre, passant désormais à 25%.

    Au-delà de ces difficultés de soins, l'OMS et plus largement la France et l'Union européenne mettent en place des nouvelles formations à destination des professionnels de santé concernant la santé mentale des personnes qui interviennent prÚs des lignes de front.

    L'Ukraine a plus que jamais besoin de partenariats mais les derniÚres initiatives prises par l'écosystÚme de la santé montrent un engagement fort qui devra se poursuivre sur le long terme.


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  • #santedesfemmes : oĂč en est-on de la lutte contre l’endomĂ©triose ?

    Nous Ă©tions Ă  l’AssemblĂ©e nationale la semaine derniĂšre pour donner la parole Ă  deux acteurs engagĂ©s pour la santĂ© de la femme :

    -Dr Alexandre BALLOUT, GynĂ©cologue-obstĂ©tricien, fondateur et CEO des centres SFFERe, centres d’expertise en gynĂ©cologie-obstĂ©trique qui permet d’accompagner de maniĂšre pluridisciplinaire la jeune fille, la femme et la mĂšre;

    -Le DĂ©putĂ© LR StĂ©phane VIRY, qui lutte pour une reconnaissance institutionnelle de l’endomĂ©triose.

    Nous avons parlé :

    -de formation des médecins dÚs la 1Úre année et de formation continue pour apprendre à mieux diagnostiquer et à mieux prendre en charge une pathologie multi-symptomatique ;

    -de l’engagement nĂ©cessaire des pouvoirs publics pour communiquer et sensibiliser Ă  la fois les femmes mais aussi tout le corps mĂ©dical sur cette pathologie (le gouvernement venant d’ailleurs d’ouvrir une grande campagne de lutte sur ce sujet);

    -de l’innovation Endotest dĂ©veloppĂ©e par la Biotech Lyonnaise ZIWIG pour dĂ©tecter l’endomĂ©triose.

    Cet Ă©pisode fait Ă©cho aux premiers dĂ©bats que j’avais pu tenir il y a trois ans avec Najat Vallaud-Belkacem et le Pr. Philippe Ravaud du programme de ComPaRe de l’APHP, au moment oĂč l’endomĂ©triose Ă©tait alors reconnue comme affection longue durĂ©e (Ă©pisode Ă  retrouver sur cette chaĂźne).

    Bonne Ă©coute !


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  • Comment l'IA amĂ©liore-t-elle la pratique des professionnels de santĂ© et comment garantir sa rĂ©ussite ?

    A SANT'EXPO, le rdv était pris avec deux acteurs de l'IA en santé !

    > Le Dr Clément GOEHRS, co-fondateur de Synapse Medicine, lauréat 2024 des grands prix check-up santé de BFM Business catégorie "avancée thérapeutique" et lauréat 2023 du nouveau dispositif d'accompagnement French Tech 2030 ;

    > Sébastien GIRAUDIER, directeur du centre d'innovation de VCLS et co-pilote du groupe de travail sur l'IA en santé du Hub France IA.

    Nous avons pu discuter notamment des enjeux fondamentaux qu'il existe :

    -dans la régulation et la normalisation de la santé ;

    -de la croissance des entreprises qui utilisent l'IA dans le développement de leurs outils ;

    -de la vision de l'avenir de l'IA face aux contraintes existantes en Europe et en France.

    Merci aux invités pour leur témoignage et au Hub France IA pour cet épisode au coeur de l'actu santé !


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  • OĂč en sommes-nous de la lutte contre la tuberculose en France et en Europe ?

    Le bacille de Koch est responsable de terribles consĂ©quences sanitaires, sociales et Ă©conomiques en France mais aussi en Europe (dont 5 pays classĂ©s Ă  haute prĂ©valence font partie de l’UE).

    GrĂące aux efforts mondiaux depuis 2000 pour mettre fin Ă  la tuberculose, 74 millions de vies ont Ă©tĂ© sauvĂ©es. Mais cette lutte nĂ©cessaire davantage d’investissements, notamment au profit de la recherche et de l’innovation, d’un partenariat de tous les acteurs de l’écosystĂšme et d’un meilleur encadrement social des adultes et des enfants malades.

    Je suis partie à la rencontre de 4 acteurs de santé qui luttent au quotidien contre cette maladie :

    -Le dr Lorenzo Gluglielmetti, médecin chez médecins sans frontiÚres, directeur du projet endTB qui vise à améliorer le traitement de la tuberculose multirésistante;

    -Tiffenn Humbert, qui Ă©tait avec nous en direct de l’OMS Ă  Copenhague, Technical Officer StratĂ©gie travaillant dans l’accĂšs aux mĂ©dicaments et aux produits de santĂ© et dans la lutte contre la tuberculose;

    -La Dr Marie Wicky, mĂ©decin au sein de l’équipe mobile de lutte contre la tuberculose (EMLT) auprĂšs du Samu Social de Paris;

    -Sarah Meyblum, travailleuse sociale au sein de l’EMLT.

    Bonne Ă©coute !


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  • Parlons coeur et innovation !

    Les maladies cardiovasculaires sont les premiÚres causes de mortalité dans le monde, la 2Úme en France aprÚs les cancers.

    On compte environ 140 000 morts par an de maladies neuro-cardiovasculaires en France.

    Direction l’hĂŽpital Saint-Joseph Marie Lannelongue, Ă  la rencontre de deux experts de la prĂ©vention et de l’innovation en cardiologie :

    -Le Dr Yoann Moeuf, cardiologue Ă  l’hĂŽpital nous explique quels sont les leviers de prĂ©vention et comment rĂ©duire les inĂ©galitĂ©s sociales et territoriales pour que chacun puisse avoir accĂšs Ă  la mĂȘme prĂ©vention;

    -Le Dr Philippe Bencteux, radiologue et fondateur de Robocath, une innovation pour le traitement des maladies cardiovasculaires, nous explique comment sa solution est venue rĂ©guler la perte de chance due Ă  ces maladies et si l’innovation en cardiologie est aujourd’hui diffusĂ©e suffisamment auprĂšs de publics diffĂ©rents.

    Une question importante est dĂ©battue en fin d’épisode : PrĂ©vention et innovation doivent-elles ĂȘtre pensĂ©es diffĂ©remment selon qu’on soit un homme ou une femme, en cardiologie ?

    Bonne Ă©coute !


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  • A l'approche des JO et des jeux paralympiques de Paris, un Ă©pisode Ă  ne pas manquer !

    Croiser les acteurs de l'innovation en santé avec ceux du soin et du sport permet de mieux comprendre les enjeux des nouvelles technologies dans un contexte de haute préparation physique.

    J'ai eu le plaisir de donner la parole Ă  :

    -Annouck Curzillat, kinésithérapeute et paratriathlÚte, multiple championne de France et médaillée de bronze aux jeux paralympiques de Tokyo 2020;

    -Nathan Toledano, co-fondateur de KineQuantum, dispositif médical de rééducation en réalité virtuelle.

    Nous sommes revenus sur :

    -L'évolution de la pratique de la kinésithérapie grùce aux nouveaux outils;

    -La gestion de la douleur que ce soit dans le cadre d'une pratique sportive intensive ou lors d'une rééducation, en cherchant à dépasser la kinésiophobie;

    -Les acteurs de la prĂ©vention en kinĂ©sithĂ©rapie et l'Ă©volution de la Convention nationale des masseurs-kinĂ©sithĂ©rapeutes permettant aux patients de consulter sans ordonnance, avec la mĂȘme prise en charge.

    Un débat passionnant pour cet épisode 8 de la saison 2 de MED.Innov' & Centaure Santé !


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  • Mettre en lumiĂšre celles qui agissent pour cette journĂ©e internationale des droits des femmes.

    La constitutionnalisation de l’IVG cette semaine replace la santĂ© de la femme au coeur des dĂ©bats.

    Au-delà de cette décision historique pour toutes les femmes, de nombreux sujets mobilisent chaque jour des actrices qui oeuvrent et qui comptent.

    J’ai rencontrĂ© 3 femmes qui agissent pour plus de prĂ©vention et d’accompagnement de la femme, quelle que soit sa situation sociale et personnelle.

    En rencontrant Pauline Martinot, mĂ©decin de santĂ© publique et ancienne conseillĂšre de Monsieur le MinistĂšre de la santĂ© François Braun et deux actrices du Samu social, Manon DAVID, chargĂ©e de projets santĂ© du service DELTA et Marie Lazzaroni, responsable de la mission promotion de l’égalitĂ©, on comprend l’importance de :

    - RĂ©engager les femmes et surtout les petites filles Ă  faire du sport, notamment via des actions mises en place par l’éducation nationale ;

    - D’accompagner les femmes victimes de violence par des actions ciblĂ©es de santĂ© mentale ;

    - D’aider les femmes sans hĂ©bergement et qui viennent d’accoucher Ă  avoir accĂšs aux soins grĂące, notamment, Ă  la crĂ©ation future d’un nouveau CHU dĂ©diĂ© ;

    - D’un travail Ă  rĂ©aliser auprĂšs des femmes pour l’estime de soi et l’insertion professionnelle de celles qui sont dans le besoin.

    Merci Ă  elles d’avoir donnĂ© de leur temps pour partager leur engagement au service de toutes les femmes et de nous donner les clĂ©s pour une meilleure prĂ©vention.


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  • "Crise du systĂšme de santĂ©, pĂ©nurie de soignants, augmentation du nombre de patients plus ĂągĂ©s et augmentation du besoin de soin".

    Ce sont les mots qui sont ressortis durant nos Ă©changes avec le Dr GrĂ©goire PignĂ©, mĂ©decin oncologue et fondateur de Pulse Life et le Dr Julien Grosjean, Professeur associĂ© Ă  l’UniversitĂ© de Rouen-Normandie et membre du laboratoire LIMICS-INSERM.

    Comment rendre ainsi accessible l’information mĂ©dicale par l’intelligence artificielle dans ce contexte ?

    En Ă©coutant les invitĂ©s de cet Ă©pisode, on s’aperçoit de l’importance d’allier une solution agissant comme une « base de connaissances mĂ©dicales » soit sous la forme de moteur de recherche soit d’IA gĂ©nĂ©rative, Ă  l’analyse, en amont, de l’ingĂ©nierie de ces connaissances afin de garantir un meilleur traitement des informations en santĂ© pour une meilleure prise de dĂ©cision mĂ©dicale.

    Cela ne doit Ă©videmment pas avoir lieu au dĂ©triment de la fiabilitĂ© de l’IA, reposant en grande partie sur la qualitĂ© des donnĂ©es enregistrĂ©es.

    Bonne Ă©coute !


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  • SantĂ© et logement pour les plus de 60 ans Ă  la rue

    C'est un sujet qui fait débat actuellement.

    La loi asile et immigration du 26 janvier 2024 est venue fragiliser ceux qui sont dans le besoin, et nécessite que des acteurs comme le Samu Social de Paris ou la Fondation Abbé Pierre renforce leurs actions.

    Je suis partie Ă  la rencontre de :

    -Thomas Baude, responsable de la mission INTERFACE du Samu Social de Paris, qui vise à accompagner les personnes ùgées ou en situation de handicap et sans abri, vers des logements adaptés ou des structures médico-sociales;

    -Frédérique Kaba, directrice des missions sociales de la Fondation Abbé Pierre, Fondation qui vient de rendre son 29Úme rapport sur l'état du mal-logement en France 2024.

    Ils nous parlent de l'augmentation des situations précaires, des invisibilités autour du mal-logement et des risques élevés de morbidité.

    Ils nous parlent aussi du fil rouge qu'ils représentent entre les personnes vulnérables et les établissements adaptés qui peuvent les accueillir.

    Bonne Ă©coute !


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  • Comment mieux rĂ©parer les prĂ©judices corporels ?

    C’est une question que je me pose depuis de nombreuses annĂ©es, et aprĂšs avoir exercĂ© dans trois lieux de l’indemnisation de victimes, j’ai croisĂ© le chemin de Janine de Palmas, qui a trouvĂ© un dĂ©but de rĂ©ponse Ă  cette question.

    Norma est un outil d’aide au calcul qui permet de guider le juriste dans son analyse. En confrontant l’application de Norma Ă  la thĂ©orie et Ă  la pratique lors de ce dĂ©bat, on s’aperçoit du potentiel extraordinaire de cet outil.

    Un grand merci Ă  :

    -Christophe Quezel-Ambrunaz, maĂźtre de confĂ©rences Ă  l’USMB, spĂ©cialiste du dommage corporel

    -Matthieu Duclos, Président du tribunal judiciaire de Rouen

    -Janine de Palmas, médecin et co-fondatrice de Norma (dirigé par Clara Bacquié)

    de s’ĂȘtre livrĂ©s Ă  cet exercice et d’avoir dĂ©battu pour une meilleure indemnisation des victimes de dommage corporel.

    On y parle de perte de gains professionnels et d’incidence professionnelle, d’harmonisation du dommage corporel, d’évolution de la jurisprudence et surtout d’outils innovants au service du droit.


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  • Vers une rĂ©duction des inĂ©galitĂ©s territoriales grĂące Ă  la tĂ©lĂ©mĂ©decine ?

    C'est le débat que nous avons mené avec 3 actrices au coeur de cette innovation, dont les visions complémentaires permettent de comprendre l'imbrication d'une innovation d'outil et d'une innovation sociale au profit de tous les patients.

    J'ai eu le plaisir de donner la parole Ă  :

    -Emilie Mercadal, fondatrice et CEO de Rofim, membre de l'Association French Healthcare

    -Julie Valette, directrice de l'innovation et de la transformation des hĂŽpitaux Saint-Joseph et Marie Lannelongue

    -Laure-Marie Issanchou, directrice santé de la Mutualité Française

    3 femmes engagées dans l'innovation et la collaboration des acteurs publics et privés !

    Bonne Ă©coute


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  • Jeudi et vendredi dernier s’est tenu le congrĂšs de la chirurgie 4.0 Ă  Paris CitĂ© OdĂ©on, l’occasion de discuter de transformation de la pratique chirurgicale avec :

    -Arnaud Destainville, fondateur d’Abys Medical, grand gagnant du prix 2023 « Chirurgie 4.0, rĂ©alitĂ© virtuelle et augmentĂ©e » de l’AcadĂ©mie Nationale de Chirurgie et du CNJC

    -Gabriel Saiydoun, chirurgien cardio-thoracique Ă  l’hĂŽpital Henri-Mondor APHP, PrĂ©sident du CNJC

    -Guillaume Bailly, docteur junior en cardiologie interventionnelle, PrĂ©sident de l’ISNI

    Ils nous ont parlé:

    - d’innovation d’outils notamment Ă  travers Surgiverse, la solution d’Abys Medical qui permet, grĂące Ă  un mĂ©lange de technologie 3D en temps rĂ©el, d'intelligence artificielle et d'informatique dĂ©matĂ©rialisĂ©e, de transformer l'espace de travail chirurgical en ligne en un puissant outil de rĂ©ussite (j’ai eu la chance de pouvoir le tester et c’est assez gĂ©nial) ;

    - de la charge mentale rĂ©sultant de cette explosion de l’innovation qui pĂšse parfois sur les jeunes internes et de la nĂ©cessitĂ© de se former et de bĂ©nĂ©ficier du meilleur compagnonnage possible ;

    - de la nĂ©cessitĂ© de dĂ©ployer l’accĂšs Ă  ces nouvelles innovations Ă  diffĂ©rentes Ă©chelles du systĂšme de santĂ©.

    Bonne Ă©coute


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  • #4 - The Ministry of Health of Ukraine in the face of the reconstruction

    Serhiy Dubrov, Premier Vice-Ministre de la santé Ukrainien : "Nous invitons les entreprises françaises à investir dans l'économie ukrainienne, en particulier en relocalisant et en produisant des équipements médicaux, créant ainsi de nombreux emplois dans le secteur de la santé ».

    Dans la derniÚre interview de ce hors-série sur la reconstruction de la santé en Ukraine, nous avons parlé :

    -des priorités du MinistÚre de la santé Ukrainien,

    -des attentes auprĂšs de l’Union europĂ©enne pour aider les pouvoirs publics dans cette reconstruction,

    -de l’impact de la guerre sur les infrastructures mĂ©dicales et de leur besoin matĂ©riel et humain.

    2 jours aprĂšs avoir interviewĂ© Serhiy Dubrov, 70 drones russes ont Ă©tĂ© lancĂ©s sur Kyiv, l’attaque la plus massive depuis le dĂ©but du conflit, rappelant plus que jamais la fragilitĂ© dans laquelle ils se trouvent.

    Retrouvez ce dernier épisode du hors-série consacré à la reconstruction de la santé en Ukraine sur INVIVOX !

    Un grand merci Ă  Oleksii Iaremenko, ĐžĐ»Đ”ĐœĐ° Đ€Đ”ŃŃŽĐœ et Julien Delpech pour leur aide.

    (Épisode tournĂ© et sous-titrĂ© en anglais)

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    #4 - The Ministry of Health of Ukraine in the face of the reconstruction

    Serhiy Dubrov, The First Deputy Minister of Health of Ukraine : « We invite french business to invest in Ukrainian economy, particulary by relocating and production of medical produce and equipment, sorting huge jobs in the healthcare sector ».

    In the last interview in this special issue on the reconstruction of healthcare in Ukraine, we talked about:

    -the priorities of the Ukrainian Ministry of Health,

    -the expectations of the European Union to help the public authorities in this reconstruction,

    -the impact of the war on medical infrastructures and their material and human needs.

    2 days after interviewing Serhiy Dubrov, 70 Russian drones were launched on Kyiv, the most massive attack since the beginning of the conflict, reminding us more than ever of the fragility in which they find themselves.

    Watch this final episode of the special report on the reconstruction of healthcare in Ukraine on INVIVOX !

    Many thanks to Oleksii Iaremenko, ĐžĐ»Đ”ĐœĐ° Đ€Đ”ŃŃŽĐœ and Julien Delpech for their help.

    (Episode filmed and subtitled in English)


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  • đŸ‡ș🇩 #3 Quelle rĂ©silience du systĂšme d'approvisionnement mĂ©dical en Ukraine ?

    Le Groupe Ginger International, bureau d’études en santĂ© publique, membre de l’Association French Healthcare, a remportĂ© un projet d’assistance technique financĂ© par l’Union europĂ©enne, pour renforcer le MĂ©dical Procurement of Ukraine (MPU) et son schĂ©ma d’approvisionnement en produits de santĂ©.

    Dans ce cadre, j’ai donnĂ© la parole Ă  Xavier Lannuzel, directeur gĂ©nĂ©ral de Ginger International, accompagnĂ© de RaphaĂ«lle Meyer-Woerth, cheffe de projet du groupe, pour dĂ©battre des enjeux de l’approvisionnement mĂ©dical en face de Yevgeniya Piddubna, Corporate Affairs Director at Farmak JSC, Chair of Healthcare Committee at the Union of Ukrainian Entrepreneurs.

    Nous avons parlé :

    📍Des difficultĂ©s Ă©ventuelles Ă  produire et distribuer les mĂ©dicaments;

    📍De l’accĂšs de la population ukrainienne Ă  ces mĂ©dicaments;

    📍Du rĂŽle de la transformation numĂ©rique comme Ă©tant une clĂ© Ă  un meilleur systĂšme d’approvisionnement Ă  la suite des dĂ©claration du directeur gĂ©nĂ©ral du MPU.

    Merci à Ginger pour son implication actuelle et future, à Yevgeniya pour son témoignage précieux et à Ludmila Stepura pour la traduction.


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  • đŸ‡ș🇩 Hors-sĂ©rie #2 - La reconstruction Ă©conomique de la santĂ© en Ukraine


    « Quand on Ă©voque les besoins de la reconstruction, on parle Ă  peu prĂšs de 400 milliards de dollars, c’est Ă  peu prĂšs deux fois le PIB de l’Ukraine d’avant-guerre »

    Jean-Baptiste Brasseur, chef du dĂ©partement Ă©conomique de l’Ambassade a tĂ©moignĂ© durant notre sĂ©jour de l’importance de l’accompagnement de l’Ambassade auprĂšs des entreprises françaises pour cette reconstruction et du besoin de l’Ukraine que ces entreprises se mobilisent dĂšs maintenant.

    On en parlait la semaine derniĂšre avec le 1er Ă©pisode Ă  Borodyanka, 10 000 infrastructures publiques dĂ©truites viennent s’ajouter aux milliers d’installations mĂ©dicales endommagĂ©es. Les besoins de reconstruction en santĂ© sont estimĂ©s Ă  16 millards de dollars.

    Dans ce cadre, l’Association French Healthcare reprĂ©sentĂ©e lors de cette mission par Julien Delpech (trĂšs sĂ©rieux sur cette photo), travaille avec ses entreprises membres Ă  rĂ©pondre aux besoins du ministĂšre de la santĂ© Ukrainien, en proposant notamment des financements grĂące Ă  des collaborations Ă©troites avec les institutions publiques françaises.

    Ps : en raison du contexte le jour du tournage, le format proposé est un peu différent. Merci par avance pour votre compréhension.


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  • Borodyanka est une petite ville situĂ©e Ă  60 km au nord-ouest de Kyiv, en Ukraine. Plus de 80% de ses infrastructures ont Ă©tĂ© violemment bombardĂ©es l’annĂ©e derniĂšre.

    Dans le cadre de cette reconstruction, un Memorandum of Understanding a été signé entre French Healthcare Association et le MinistÚre de la santé Ukrainien, auquel la société Ellipse Projects contribue.

    Frank Simonet, le vice-prĂ©sident d’Ellipse et Soline Allard, ingĂ©nieure biomĂ©dicale, sont partis rencontrer le personnel de l’hĂŽpital de Borodyanka.

    Je suis trĂšs heureuse d’avoir pu leur donner la parole, en face d’Igor Sergiiovych Chebyshev, mĂ©decin et directeur de l’hĂŽpital.

    L’objectif bien Ă©videmment est de redonner Ă  la population un nouvel accĂšs Ă  des soins de qualitĂ© mais aussi de libĂ©rer l’espace existant pour venir renforcer d’autres besoins.

    Un travail formidable, nécessaire et un épisode qui retranscrit la force et le courage du peuple Ukrainien.

    Découvrez cet hors-série #1 de Centaure Santé !

    Ps : un immense merci à Ludmila Stepoura pour sa traduction en Français/Ukrainien lors du tournage.


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  • Vous avez dĂ©couvert notre article sur le ChlordĂ©cone le mois dernier, nous sommes allĂ©es plus loin !

    đŸ‘‰đŸŒ DĂ©couvrez le nouvel Ă©pisode #3 de MED.Innov' et Centaure SantĂ© sur le scandale du ChlordĂ©cone aux Antilles françaises.

    Souvenons-nous : le chlordécone, insecticide organochloré rémanent, a été particuliÚrement utilisé aux Antilles pour lutter contre le charançon de la banane.

    Selon une étude de Santé publique France, entre la fin des années 1970 et le milieu des années 1980, 80% des travailleurs auraient été exposés à ce produit lors de travaux de traitement de la banane.

    En 2009, le dĂ©putĂ© Jean-Yves le DĂ©aut et la sĂ©natrice Catherine Procaccia rĂ©digent un rapport sur les impacts de l’utilisation de la chlordĂ©cone et des pesticides aux Antilles, bilan et perspectives d’évolution.

    Nous sommes revenus sur ce rapport, sur les Ă©tudes Ă©pidĂ©miologiques rĂ©alisĂ©es et sur les consĂ©quences juridiques en terme d’indemnisation des victimes aujourd’hui.

    Rappelons que face au récent échec de l'indemnisation du préjudice d'anxiété pour la population en général, nous étudions les actions envisageables pour indemniser les travailleurs des bananes mais également les femmes enceintes et les enfants ayant été exposés in utero à ce pesticide.

    Merci Ă  Monsieur Jean-Yves le DĂ©aut, ancien dĂ©putĂ©, Ă  la Docteure Blandine Vacquier, mĂ©decin Ă©pidĂ©miologiste et Ă  Gabriele Gien, avocate en droit public de l’environnement (en attente de prestation de serment) chez Centaure Avocats, pour leur Ă©clairage sur ce sujet d’importance.


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  • Enjeu majeur de santĂ© publique, les maladies neurodĂ©gĂ©nĂ©ratives concernent en France entre 1,1 million et 1,2 million de personnes dont 70% sont atteints de la maladie d’Alzheimer.

    De nombreux acteurs se mobilisent et notamment le laboratoire COMETE du CHU de Caen ainsi qu’Hometrix Health, avec le lancement du projet OVERCOME, co-financĂ© par l’UE et le programme FEDER.

    J’ai eu le plaisir de recevoir :

    -Antonin Folliasson, co-fondateur et CEO d’Hometrix Health,

    -Leslie Decker, enseignante-chercheuse au laboratoire COMETE,

    Et pour apporter le regard d’un professionnel de terrain,

    -La Dr Florence Woerth-Meyer, ancienne cheffe du pÎle de gérontologie clinique et responsable du centre mémoire du GHPSO.

    Venez dĂ©couvrir cet Ă©pisode qui nous plonge dans la dĂ©tection prĂ©coce de ces maladies et qui nous donne les clĂ©s d’une bonne prĂ©vention !


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  • Quelle Ă©volution du cadre lĂ©gal de la fin de vie en France ?

    Alors que le Président de la République, Emmanuel Macron, ne s'est pas encore prononcé sur l'ouverture d'une aide active à mourir ou/et de l'euthanasie, j'ai rencontré deux acteurs qui s'engagent avec intensité sur ce sujet :

    -Dominique Joseph, Rapporteure de la Commission temporaire et de l'avis, Présidente du Groupe Santé et Citoyenneté au CESE, secrétaire générale de la Mutualité Française

    -Didier Dreyfuss, Professeur émérite de médecine et ancien professeur d'éthique médicale, membre du Comité consultatif national d'éthique

    Ils sont revenus sur :

    -Les conclusions de la Convention citoyenne pour la fin de vie et les notions de solidarité et de respect de l'autonomie de la personne ;

    -Le rÎle actuel des directives anticipées face à l'évolution possible de ce cadre légal, à la lumiÚre de la décision rendue par Conseil constitutionnel le 10 novembre 2022 ;

    -La nécessité de former les professionnels de santé au sujet de la fin de vie notamment en cas d'évolution du régime.

    Ils nous prouvent surtout que le débat entre le corps médical et les citoyens est non seulement possible mais constructif.

    Bonne Ă©coute !


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  • đŸŽ™ïž HORS-SERIE CENTAURE SANTE - La santĂ© des femmes Ă  Mayotte

    10 730 naissances ont eu lieu à Mayotte en 2022, soit 1,1% de plus qu’en 2021, selon les chiffres de l’INSEE.

    Pourtant, en juillet 2023, deux maternités sur cinq ont fermées leur porte à Mayotte : celles de Dzoumogné et Mramadoudou.

    Je suis partie Ă  la rencontre de VĂ©ronique Lepoivre, sage-femme sur Petite-Terre, qui revient sur son engagement pour permettre Ă  toutes les femmes d’avoir un accĂšs aux soins et qui alerte sur :

    📍Les risques d’engorgement des maternitĂ©s restantes, de sortie de lit prĂ©coce;

    📍Le manque de gynĂ©cologues-obstĂ©triciens sur place;

    📍Le manque de spĂ©cialistes pour rĂ©orienter les patientes au Centre Hospitalier en cas de problĂšme.

    Un épisode Hors-série que je vous invite à découvrir sur INVIVOX.

    Et qui ouvre une nouvelle saison de Centaure Santé (une marque Centaure Avocats).


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