Afleveringen
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durée : 00:27:15 - Le Feuilleton - "En regardant en l'air, on voyait le noir des feuillages sur les étoiles. Un sentier montait à travers les rochers. Giuseppe habitait une belle hutte de roseaux devant la porte de laquelle brûlait un feu."
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durée : 00:28:30 - Le Feuilleton - " Pauline avait écouté Angelo sans bouger d'une ligne. Cette fois le silence fut un tout petit peu plus long. Puis elle dit : "Vous devez avoir faim alors ? "
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Zijn er afleveringen die ontbreken?
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durée : 00:28:40 - Le Feuilleton - "Angelo enflamma sa mèche d'amadou. Une brusque raie d'or encadra une porte qui s'ouvrit. C'était une très jeune femme. Elle tenait un chandelier à trois branches à la hauteur d'un petit visage en fer de lance encadré de lourds cheveux bruns."
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durée : 00:45:34 - Fictions / Théâtre et Cie - Comment, aujourd'hui, parler de la guerre de 14-18 ? De cette guerre qui a ouvert le chemin à la destruction industrielle d'êtres humains et aux génocides de la Seconde Guerre mondiale ?
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durée : 00:56:34 - Fictions / Théâtre et Cie - Un poème dramatique alternant récit et faits bruts dans lequel Michel Simonot convoque les morts de la Shoah et interroge le rôle du témoin, qui parle pour les absents afin de rendre leurs traces visibles par les mots.
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durée : 00:58:44 - Samedi fiction - Les fêtes de Noël ne seraient-elles pas un décor idéal pour mettre en scène un crime spectaculaire ? Dans cette enquête d’Agatha Christie, c’est autour du vieux et richissime Simon Laurence que la famille est réunie… pour un Noël sanglant.
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durée : 00:24:58 - Le Feuilleton - "La nuit était si chargée d'étoiles, elles étaient si ardemment embrasées qu'Angelo pouvait voir distinctement les toitures agencées les unes aux autres comme les plaques d'une armure. La lumière était d'acier noir."
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durée : 00:28:07 - Le Feuilleton - "Il devait être près de midi. Angelo avait faim et surtout soif. Il était très dangereux de manger des fruits ou même n'importe quoi dans des maisons ou des auberges. D'ailleurs, il n'y avait ni maison ni auberge en vue."
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durée : 00:26:31 - Le Feuilleton - "On conduisit Angelo dans une grange qui était pleine de gens de tout âge et de toute condition, assis tristement sur des malles ou à côté de paniers, de valises et de baluchons"
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durée : 00:29:01 - Le Feuilleton - "Angelo resta droit en selle quand son cheval fit brusquement de côté un saut de carpe en même temps qu'une grosse flaque de corbeaux s'envolant découvrit un corps en travers du chemin."
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durée : 00:28:42 - Le Feuilleton - "Le soleil était haut ; il faisait très chaud mais il n'y avait pas de lumière violente. Elle était très blanche et tellement écrasée qu'elle semblait beurrer la terre avec un air épais. Depuis longtemps déjà Angelo montait à travers la forêt de chênes."
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durée : 01:27:05 - Fictions / Théâtre et Cie - Le fils retourne dans sa famille pour l’informer de sa mort prochaine. Ce sont les retrouvailles avec le cercle familial où l’on se dit l’amour que l’on se porte à travers les éternelles querelles. De cette visite qu’il voulait définitive, le fils repartira sans avoir rien dit.
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durée : 00:56:43 - Samedi fiction - par : Blandine Masson - Un roman autobiographique, témoignage sur le mal d'aimer, en filigrane de la liaison tumultueuse d'Alfred de Musset avec George Sand.
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durée : 00:28:42 - Le Feuilleton - Sakhaline est un lieu de souffrances intolérables. Seul l’être humain, qu’il soit libre ou asservi, est capable de souffrances pareilles.
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durée : 00:28:48 - Le Feuilleton - J’aurai passé deux mois à Sakhaline. J’ai pu voir tout. (...) je me suis démoli les nerfs et je me suis bien juré de ne (...) plus jamais aller à Sakhaline.
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durée : 00:28:48 - Le Feuilleton - Originale en diable. [La région] grouille d’une vie dont on n’a même pas une idée en Europe. Cela me fait penser aux récits sur la vie américaine
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durée : 00:28:43 - Le Feuilleton - Le "trakt" sibérien, c’est la route la plus longue du monde, ruban de civilisation que remettent en cause chaque printemps le dégel, les pluies et la boue.
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durée : 00:38:04 - Fictions / Théâtre et Cie - "Chère Ismène, ma sœur, toi qui partages mon sort…" dit Antigone en ouverture de la tragédie de Sophocle. Ces deux figures féminines, Antigone et Ismène, sont liées par la famille, le destin et pourtant elles sont le contraire l’une de l’autre : Antigone choisit la mort, Ismène choisit la vie.
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durée : 01:15:47 - Fictions / Théâtre et Cie - Sud de l'Italie, à l'heure de la sieste, Maria traverse son village, le pistolet familial à la main. Tous les villageois se rassemblent autour d'elle, et par les rumeurs, les récits et les éclats de voix autour de cette marche inexorable, se dessine le portrait d'une jeune fille en colère.
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