Afleveringen

  • ON(WARD) FASHION, le podcast des solutions business pour une mode durable, reçoit Nelly Rodi fondatrice de l'agence éponyme pour parler de la prévision de tendances, de l'évolution du métier et ses enjeux en 2024.

    #EXPERT NellyRodi, Peut-on encore prédire la mode avec quelques saisons d'avance ? 

    Lire l’avenir dans le présent.

    Pas une diseuse de bonaventure ni de prophéties auto-réalisatrices.

    Nelly Rodi est un être hypersensible qui a réussi l’exercice brillant non seulement d’en faire un métier mais d’imposer son entreprise au monde entier, aujourd’hui leader dans la prévision de tendances pour l’industrie au global ou des clients en particulier, qui attendent les cahiers de tendance, osons le dire, comme le messie.

    Si Nelly Rodi  et ses collaborateurs collectionnent et ordonnent les indices qui feront peut-être le futur de nos dressings, cette grande dame de l’habillement, de la décoration, de la cosmétique, ou encore de l’art de vivre, puise également ses inspirations dans la variété grandiose de ses souvenirs. Dans le livre qui sort cette année, intitulé « Quelques saisons d’avance » aux éditions Bouquins, on se plonge avec délice dans les détails parcimonieux d’une vie foisonnante de rencontres et d’expériences humaines et créatives extraordinaires.

    C’est pourtant bien, les pieds sur terre que l’on revient - à l’aune des affres du climat - avec des questions cartésiennes et une certaine jalousie quant à l’insouciance que le monde d’avant a seul pu connaître.

    Qu’est-ce qu’une tendance à l’heure du tout digital et des collections hebdomadaires, des marques de fast fashion ?Si les cabinets de tendances sont des guides pour les marques de mode, est-il possible d’utiliser leurs pouvoirs en faveur d’une transformation sociétale, vers un développement durable ?Et peut-être plus sérieux entre encore : peut-on diluer la créativité dans l’overdose ? Auquel cas, la mode dessert-elle son propre propos ?

    Puisqu’à n’en pas douter, vous resterez comme moi sur votre faim après cet épisode, foncez vous procurer une copie du livre de Nelly Rodi, « Quelques saisons d’avance » en ligne ou dans toute bonne librairie, et d’ici là, bonne écoute  !


    Bonne écoute !


    The Good Goods : https://thegoodgoods.fr/

    Instagram : https://www.instagram.com/thegoodgoods.fr/

    NellyRodi l'agence : https://nellyrodi.com/agence/

    Le livre de Nelly Rodi, quelques saisons d'avance :

    Trame indicative de l'épisodeA propos de Nelly Rodi avant NellyRodiLes grandes tendancesVotre radarCahier de tendances, produit phare de NRScaler la méthodeLe futur des prévisionnistes de tendanceLe futur de la modeOuverture

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  • Parler les codes du luxe pour mieux les réinventer

    Cette conversation réunit deux entrepreneurs qui œuvrent au quotidien pour transformer le luxe en profondeur. Dorothée Contour et Nicolas Freudiger ont fondé respectivement une marque de joaillerie - JEM pour Jewellery Ethically Minded et d’horlogerie, ID Genève Watches avec une approche radicalement différente des industries conventionnelles. Le but n’est pas de lutter contre mais plutôt de proposer une voie alternative exemplaire qui s’appuie notamment sur un sourcing révolutionnaire : de l’Or certifié Fairmined et de l’acier recyclé.

    Cet échange a été enregistré en direct d’une soirée dans la boutique JEM au 10 rue d’Alger dans le 1er arrondissement de Paris. À deux pas de la Place Vendôme, portraits de deux activistes de luxe qui en parle les codes pour mieux les réinventer. 


    Bonne écoute ! 

    The Good Goods : thegoodgoods.frID Genève Watches : https://fr.idwatch.ch/JEM : https://www.jem-paris.com/Trame indicative de l'épisodeTEMPS I LE CONCEPT

    Dorothée  

    Entreprendre et vouloir bien faire ou entreprendre pour changer ce qui est mal fait. Quelle est la genèse de JEM ?Quels constats sur cette industrie ?

    Nicolas

    Quelques chiffres sur l’industrie de l'horlogerie ?Le déclic qui t'a poussé à l'entrepreneuriat à impact ?Quelle est la genèse de ID Genève Watches ?Pourquoi avoir choisi un produit clivant plutôt que de travailler à la transformation d’une Maison ? 

    A tous les deux 

    Pourquoi l'industrie du luxe plutôt qu’une autre ? Quelle est sa responsabilité dans la mutation de notre société ? Quelle est votre propre définition du luxe ?TEMPS II LES FAITS

    Dorothée  

    Concernant le sourcing de l’Or, quelles sont les possibilités aujourd’hui ? Tu as choisi Fairmined, que garantit ce label ? Qui en est à l’origine ?Peux-tu illustrer concrètement ce réseau ?On entend beaucoup parler d’Or recyclé, quel est ton avis sur ce sujet ?A partir de l’Or, peux-tu dérouler ta chaîne de valeurs ?

    Nicolas

    Sourcer ses matières dans une déchetterie... Racontez-nous.Comment est transformée la matière ? Quelle différence en terme d’impact ?

    Dorothée

    L’Or ... Quid des autres matières ?Quels choix avez-vous faits et pourquoi ?

    Nicolas

    Quel est le cahier des charges du sourcing pour les autres composants chez ID Genève ? Quels sont vos critères de mesure d’impact pour trancher ?

    Pour vous deux

    L’envers du décor des choix engagés, quel est-il ? Les critères écologiques répondent-ils facilement aux attentes design et fonctionnalité sur un produit de luxe ? 
    TEMPS III LA SCALABILITÉKPIs Financiers et extra financiers ?Prochaines étapes à 5 ans, à 10 ans ?

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  • Zijn er afleveringen die ontbreken?

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  • ON(WARD) FASHION, le podcast des solutions business pour une mode durable, reçoit Anne-Cécile Violland, Députée de Haute-Savoie et porteuse du projet de loi pour restreindre la fast et l'ultra fast fashion, et Yann Rivoallan, Président de la Fédération Française du Prêt-à-Porter Féminin, pour parler en détails de la loi adoptée à l'unanimité à l'Assemblée Nationale le 14 mars 2024 et de la procédure accélérée de validation par le Sénat. 

    Qu'attendre de la loi contre fast et ultra fast fashion ?

    Le 14 mars 2024, la proposition de loi n°2129 visant à réduire l’impact environnemental de l’industrie textile a été adoptée à l’unanimité à l’Assemblée Nationale, après examen des nombreux amendements déposés entre temps. Dans cet épisode, on tente de décrypter le projet : qu’implique ce texte ? Que faut-il comprendre lorsqu’on lit “la loi fast fashion a été adoptée !” ? Vivons-nous vraiment un moment historique ? 

    Avant toute chose, il est utile de tempérer en indiquant que nous ne sommes qu’au début du chemin. Le texte doit maintenant être voté par le Sénat. C’est précisément cette fenêtre de tir qui nous intéresse : pour qu’il soit voté, à bon escient, sans être défigurée, et qu’on n’y ajoute les amendements nécessaires pour contraindre efficacement un modèle d’hyper production de vêtements, bas de gamme insoutenable, c’est le moment de débattre, et avant cela, de comprendre.

    Dans cet épisode de l’honneur de recevoir, Anne-Cécile Violland, Deputée de la Haute-Savoie et porteuse du projet de loi adopté, et Yann RIVOALLAN, président de la fédération française du prêt-à-porter féminin.


    Très bonne écoute !

    Trame indicative du débat Comment expliquez-vous le vote à l’unanimité ?Genèse du projet de loi Avec qui vous l’avez construit ?Résumé du projet de loiLe paysage actuel de la modeUn point sur l’ultra fast fashionCette loi fait-elle débat chez les marques et pourquoi ?Le projet Qu’est-ce qu’une référence ?Le seuil de quantités (maxima) Les critères de durabilité La question du devoir de vigilance est-elle ou sera-t-elle intégrée ?Fiscalité PublicitéPropriété intellectuelleImpacts sur la santéSensibilisation du consommateur ?Que signifie la procédure accélérée ?

    Le site : https://thegoodgoods.fr/

    Notre newsletter hebdomadaire : https://www.thegoodgoods.fr/newsletter-hebdo/

    Notre newsletter mensuelle hors-série : https://www.thegoodgoods.fr/newsletter-hors-serie/


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  • Promod : évolution, mode d’emploi et partage open source d’une grille d’éco conception

    Cet épisode vous propose de mettre de côté les fausses croyances sur la mutation des groupes historiques. Parce qu’il est possible d’être sorti du Black Friday depuis 4 ans et de s’y tenir avec fierté, de réduire le nombre de références proposées et les volumes en général, et non seulement de générer de la croissance mais de majorer sa rentabilité. Zoom au sein de la stratégie discrète et non moins efficace de repositionnement vertueux du groupe Promod, où la culture du changement émane à la fois du dirigeant et des collaborateurs, où les outils de la transformation sont partagés en accès libre, comme la grille d’éco-conception Open Source développée par Promod et téléchargeable gratuitement au reste d’une industrie que l’on aimerait voir changer profondément. Parce que - si vous en doutiez encore, la pérennité des marques de mode est intimement liée à la sincérité de leurs engagements. Démonstration avec Julie Dumont, Juliette Rimbault et Julien Pollet, dans cet épisode d’ON(WARD) FASHION.


    Télécharger la grille d’éco-conception

    Invité·esJulie Dumont, Styliste spécialisée RSE / PromodJuliette Rimbault, Chef de projet RSE / Promod Julien Pollet, Président / Promod 

    Télécharger la grille d'écoconception : https://www.areyounet.com/runet/client/Reponse?i=654925306&s=B4E2F5C2

    Trame indicative de l’épisode

    Télécharger la grille d’éco-conception


    Julien

    Qui est Promod ? L’histoire de la marqueParcours personnel avant la reprise ? Rapport à la mode, au produit  Programme de reprise en 2017Arrêt sur image en 2018 : quels constats et quels redirections ?Les valeurs de l’entreprise Quelques données (collaborateurs, CA, pièces mises en marché chaque année, parc retail, autres)L’éco-conception

    JULIETTE

    Parcours de Juliette, formationComment est organisée la confection ?Quelle est la définition d’un produit responsable pour Promod ? De l’éco-conception ? La fonction d’usage ?Organisation de la RSE et de la formation continue, liberté d’initiative chez Promod (RH)

    Julie

    Parcours Formation sur ces sujetsGenèse du mouvement d’éco-conception Vos “rituels”, vos formations ? Un atelier en exemple. La Grille d'Éco-conception en détailsConcept, critères et pondérations, usage, améliorationsConcerne-t-elle aujourd’hui tout produit développé par Promod ?Illustrez son fonctionnement en routine Comment sont accueillies les contraintes ?Quels sont les désenchantements ? Compatibilité avec le juridique (AE/DPP)Pourquoi l’open source ? Un mot sur la traçabilité, les ACVStratégie RSE globaleKPIsModèles circulaires viables Favorables ou défavorables à la rentabilité ?Transformation des parties prenantes externes ?Qu’attendez-vous de la part des politiques ?La communication au sujet de la transformation

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  • Produits toxiques dans la mode : qu’est-ce qui nous colle à la peau ? 

    Alden Wicker est une journaliste primée. Elle a signé diverses enquêtes pour le New York Times, Wired, Vogue Business et bien d'autres grands médias. Elle est la fondatrice et éditrice d'EcoCult, un site web d'information international renommé sur les impacts de la mode et les alternatives durables. Elle effectue des recherches pour des organisations à but non lucratif, à la recherche de réponses pour faire progresser l'industrie. Elle est également auteure d'un livre publié en juin, "To Dye For", au sujet des polluants toxiques contenus dans nos dressings.

    Les vêtements peuvent-ils nous rendre malades ?

    C’est un fait : la plupart d’entre nous ont pris l’habitude de vérifier les étiquettes des ingrédients sur nos aliments ou nos produits pour la peau. Mais qu’en est-il de nos vêtements ?

    "Entretien facile", "Infroissable", "Déperlant" ou "Anti-tâche", "Séchage rapide", "Anti odeurs"… Si vous retournez la petite étiquette au dos du col de votre t-shirt, vous ne trouverez pas beaucoup d'informations, en dehors du pays de fabrication et de la composition textile. Rien sur les produits chimiques utilisés pour garder le vêtement résistant et éclatant.

    Le plus inquiétant ? L’industrie elle-même l'ignore.


    En tant qu’entreprise, à quel point connaissez-vous ce que vous vendez ?

    Et jusqu'où y êtes vous tenus, au regard de la loi ?

    Qui au sein d'une marque de mode décide que les bénéfices des performance esthétiques ou techniques d'un produit chimique sont supérieurs aux risques représentés par les effets secondaires potentiels sur la santé des consommateur·ice·s ?


    Dans cet épisode, nous recevons Alden Wicker, pour explorer ce sujet vaste et assez effrayant. Durant 45 minutes d'échange lors de l'édition de février 2024 de Première Vision Paris, nous tentons de répondre en direct à la question suivante : Comment nous - à la fois membres de l'industrie de la mode et consommateur·ice·s - avons nous fini par porter des vêtements infiltrés de produits chimiques potentiellement toxiques, et de quelles options disposons nous pour nous en sortir ?


    Episode en anglais.


    https://www.premierevision.com/


    Trame indicative des questionsSur votre parcours et vous Sur votre éthique et vos méthodes de travailSur le thème du livreSur les solutions

    * Que pouvons-nous faire en tant que citoyens pour nous protéger, notamment les plus fragiles ?

    * Que pouvons-nous faire en tant que militants individuels ?

    Dans une économie mondialisée, la plupart des acteurs de l'industrie ne voient pas les effets mortels que nos choix de mode ont sur les autres. Comment agir :

    * En tant que marque ?

    * En tant que fournisseur ?

    * En tant que média ?

    Mais la réglementation arrive. Traçabilité et ACV sont deux mots importants que l’on peut entendre chuchoter dans l’espace Smart Tech de ce hall. Qu’est-ce qui est au menu des politiques ?

    * Aux Etats-Unis?

    * En Europe?

    Vous êtes actviste pour une mode durable depuis plus d’une décennie. Pour vous, la santé est-elle un nouveau chapitre de notre activisme, susceptible de conduire à des changements plus concrets et significatifs ?Quelles sources recommanderiez-vous pour nous former continuellement, en tant que professionnels, à part Ecocult bien sûr ?

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  • Se nourrir, se soigner, s’habiller et construire.

    Le chanvre est une plante multipotente : elle sait tout faire. Des bâtiments, des soins du corps, des huiles comestibles riches en acides aminés essentiels mais aussi une matière textile qui trône sur la première marche du podium de l’épargne énergétique. Plus fashion que fumette, on vous fait grâce du second degré sur la notoriété première de ses feuilles, pour mieux vous raconter pourquoi et comment, plus que jamais en 2024, il faut la cultiver et la porter. 

    Pour cet exercice, j’ai la joie d’accueillir une personne exceptionnelle au parcours pour le moins éclectique. Vincent Lartizien est tombé en amour pour cette plante, là encore, une fois n’est pas coutume, sous le charme de son intelligence davantage que celui de sa plastique. Plastique, que dis-je, l’idée est ici précisément inverse : il s’agit d’en sortir, de rompre avec la pétrochimie grâce à cette alternative de vertu. 

    Créer une filière chanvre puissante en France n’est pas un long fleuve tranquille. Ça tombe bien, Vincent est un enfant des vagues. 

    Pour démarrer l’année, je vous propose le portrait d’un homme qui joue dans la houle, au sens propre comme métaphorique de l’entrepreneuriat.


    Bonne écoute !

    Trame indicative de l'épisode

    INTRODUCTION


    LES CHANVRES DE L'ATLANTIQUE


    LE CHANVRE TEXTILE


    LE CHANVRE ALIMENTATION ET SANTÉ


    LA VISION DU FUTUR 

    Références citéesThe WorkMake me a man

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  • Les perturbateurs endocriniens : état des lieux et leviers d'action, Dr Mélanie Popoff

    Cet épisode a pour moi une saveur un peu particulière. Peut-être qu’on peut commencer par faire un gros clin d’œil au CHU de Nice qui risque de se marrer en regardant cette vidéo.

    Mélanie on est toutes les deux niçoises. On a fait nos six premières années de médecine, au même endroit, notre internat ensemble à Paris. Sans pouvoir le dater précisément, c’est aussi à peu près au même moment qu’on a éveillé notre conscience écolo féministe entre apaisement de comprendre et la rage de savoir, qu’on a bâti des ponts - entre la justice sociale, la santé environnementale et la lutte nécessaire contre un système patriarcal archaïque qu’on s’échine depuis à réinventer.


    Assez tôt, toi et moi avons partagé la sensation que, dans cet exercice médical qu’on avait tant souhaité, qui nous avait tant coûté mais qui nous a aussi tellement offert, il y avait une dissonance.

    Liz Gilbert parle de "inner compass", cette aptitude qu’a le corps malgré nous a tirer la sonnette d’alarme de l’inconfort dans une situation que la société considère être « normale ».

    Ça non plus, paradoxalement la médecine ne nous l’apprend pas. Pas assez de temps de qualité avec les patient·e·s, mauvaise communication au sein des équipes ou avec les familles, qui amène de la souffrance au travail, et une mauvaise observance dans la maladie, précarité des moyens publics - institution mère qu’on aime tant - cerveaux exsangues jusqu’à, paradoxalement amener à une diminution globale de l’état de santé, même dans les pays occidentaux, où la recherche est luxuriante et la technologie est de pointe.


    Toi aussi tu t’es dit, à un moment donné, que ton rôle de médecin et tes compétences seraient davantage utile aux êtres humains bien sûr, mais au vivant en général, à une échelle préventive.

    N’est-il pas en effet plus sensé de vouloir prévenir l’arrivée des maladies plutôt que de les guérir ?

    Alors toi aussi, il y a quelques années, tu as quitté les rangs de l’exercice conventionnel, tu es Docteur spécialiste en médecine physique et rééducation, désormais experte en médecine environnementale, telle que nous allons la définir dans ce podcast.  Non sans remise en cause de la norme du statut social ni avoir à reprendre de façon informelle des études non diplômante, au sujet de ce que l’enseignement conventionnel ne t’avait pas appris : Les conséquences de la pollution sur la santé des populations... Avec supplément sans nuit blanche et vastes périodes d’éco-anxiété et parfois l’envie de tout envoyer bouler.


    Aujourd’hui, tu n’as rien lâché et tu es même au cœur de cet exercice de médecine préventive, en tant que médecin scolaire du groupe Paris Est, conférencière et autrice de ce livre qui vient de sortir aux éditions Rue de l’Echiquier : "Perturbateurs endocriniens, on arrête tout et on réfléchit".

    Indépendamment du bien-fondé de cet essai et de la nécessité absolue pour moi de lui donner  maximum de visibilité, je suis personnellement très émue par le moment qu’on s’apprête à vivre ensemble, et fières de nous. 


    Merci Mélanie, bienvenue dans ON(WARD) FASHION. 

    Trame Indicative

    INTRODUCTION


    MÉDECINE ET CLIMAT, MÉDECINE ET POLLUTION ENVIRONNEMENTALE


    LES PERTURBATEURS ENDOCRINIENS


    FOCUS SUR LES VÊTEMENTS ET LE TEXTILE


    AGIR/SE PROTÉGER

    A L'ECHELLE CITOYENNEA L'ECHELLE DE L'ENTREPRISEA L'ÉCHELLE LÉGIFÉRANTSA L'ECHELLE PROFESSIONNEL·LE DE SANTÉ

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  • ON(WARD) FASHION, le podcast des solutions business pour une mode durable, reçoit Léa Gillet, Présidente et cofondatrice de Trace For Good, logiciel de traçabilité automatisé pour l'industrie du retail.

    La traçabilité est le mot d’ordre de l’industrie de la mode pour la décennie à venir

    La traçabilité permet de savoir quand, où, comment et par qui un produit a été fabriqué. Il s’agit d’un enjeu de transparence désormais imposé par la loi, auquel les marques ne peuvent plus se soustraire. Examiner sa chaîne d’approvisionnement permet bien sûr d’entrer en conformité avec les textes en vigueur mais les bénéfices sont en réalité multiples, de l’amélioration franche de l’image de marque à celle du recrutement et de la fidélisation des talents, sans compter la confiance grandissante des clients finaux. Oui mais voilà, l’exercice de traçabilité est par excellence celui qui illustre que la RSE est une course de fond inscrite dans le temps long. Heureusement, pour que sa mise en œuvre soit simplifiée et son usage automatisé et industrialisable, des entrepreneurs de la tech à impact sont sur le pont, pointu·e·s et passionné·e·s. C’est le cas de Trace For Good, une startup française qui propose une plateforme de traçabilité et de gestion de données RSE pour les marques et les fournisseurs de l’industrie retail. La data au service du bien commun, c’est la mission de Léa Gillet, cofondatrice et présidente de Trace For Good. 

    Le site Trace For GoodTrace For Good, la tech au service de la traçabilité automatisé et conforme aux lois en vigueur

    Trace For Good est une solution SaaS (Software as a service) conçue comme un logiciel de comptabilité et de gestion des data relative à la RSE (Responsabilité Sociétale d’une marque). Un outil co-construit avec les marques de l’industrie mode retail, optimisé pour une prise en main des parties prenantes internes et externes (fournisseurs) de l’entreprise, offrant une automatisation et une industrialisation des processus d’entrée et de sortie des informations relatives à un produit ou une collection. 

    Trace For Good est un logiciel paramétrable selon la typologie de produit et sa complexité, les certifications des différents acteurs de la chaîne de valeurs, les exigences réglementaires avec lesquelles entrer en conformité (Loi AGEC, PEF-CR, UFLPA, etc). Il en résulte une note globale avec highlight des points de vigilances sur la supply chain, des reportings et certificats générés de manière automatisée. 

    Le site Trace For Good
    Trame Indicative 

    INTRODUCTION

    PRÉSENTATION GLOBALE, HISTORIQUE, CONTEXTE

    MARCHÉ

    OFFRE B2B : CASE STUDY - HIGH END FASHION BRAND 200M CA 

    FORMATION ET COMMUNICATION

    CLÔTURE


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  • ONWARD FASHION, le podcast des solutions business pour une mode durable, reçoit Samy Ziani, cofondateur de Hast, une marque engagée créée par 3 amis en quête de croissance maîtrisée et intransigeants sur la qualité. 

    #MARQUE HAST, le choix délibéré d’une croissance maîtrisée à l’heure de la mode (ultra) rapide
    Faire bien et croître organiquement, étude de cas en transparence avec Hast

    Hast est une des rares marques de mode engagée qui n’en a pas l’air. La raison est simple : depuis 2012, elle place le service rendu au style masculin au cœur de son propos, gageant que la qualité n’est pas un sujet sur lequel transiger, et que la fabrication responsable ne saurait constituer un argument marketing. Plus rare encore, elle est cofondée par trois bootstrappers, comprendre : des entrepreneurs qui développent une croissance maîtrisée, sans lever de fonds ni ambition de revendre à court terme leur bébé des dizaines de millions. 

    La startup nation, ils y sont allés à leur rythme et en toute discrétion, avec une stratégie mixte en ligne puis en boutique, presque pas de revendeurs, une équipe unie qui grandit et des clients dont la fidélité avance avec l’âge. Forte et tranquille dans la tempête, économique comme climatique ou encore réglementaire à l’approche de l’affichage environnemental qui arrive. Il y a certaines marques dont le story proving supplante le storytelling, le premier des deux n’étant pas sponsorisable sur les réseaux. Je suis d’autant plus ravie de faire de la place à Samy pour nous parler de Hast aujourd’hui.

     

    Bonne écoute !

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  • ONWARD FASHION, le podcast des solutions business pour une mode durable, reçoit Timothée Parrique, Docteur en économie, pour comprendre la théorie de la décroissance et comment envisager l’appliquer à l’industrie de la mode.

    Timothée Parrique, comment appliquer la décroissance à l’industrie de la mode ?

    L’hypercroissance, c’est ce vers quoi l’on tend.

    La croissance verte ou le découplage, c’est la formule qu’on aimerait appliquer à nos habitudes pour ne rien changer sauf notre empreinte sur le climat (spoiler, ça ne marche pas).

    La décroissance ou post-croissance, c’est la voie théorique qu’il faudrait prendre maintenant dans un virage en épingle pour éviter le mur qui nous attend et vers lequel on semble aller consensuellement. Elle consiste à ralentir et, sans rebrousser la route du progrès, emprunter des chemins de traverses au décor aguicheur : de sentiers où l'on travaille un peu et l’on vit beaucoup, où l’on partage le gâteaux des richesses équitablement entre la société civile et les attributs de la chose commune (la république), comme l’accès aux soins, l’éducation, les transports et la culture ; où les écarts de richesses sont gommés en même temps que les sursauts catastrophiques du climat ; où l’on n’a pas peur que ses enfants soient “born in whatmille PPM” et de ce qu’il adviendra de la démocratie quand ils et elles auront l’âge de s’en soucier. Vous aussi, j’imagine que ça vous fait rêver. Seulement voilà, j’ai un problème : je ne sais pas comment y aller. La route n’est indiquée nulle part et j’avance à tâtons dans ma quête intersectionnelle, faite de plus de justice sociale, d’homéostasie du Vivant et de bien être mental, tout simplement. Je passe mes journées à chercher des solutions qui ne soient ni des leurres ni pétries d’effets rebond pour guider des client·e·s volontaires mais pas beaucoup plus avancés dans un quotidien de de buzzwords et d'éco-anxiété. 


    En 1927, Francis Scott Fitzgerald écrivait dans une lettre “Dans la nuit noire de l'âme, il est toujours trois heures du matin. Ni le feu ni la glace ne sauraient atteindre en intensité ce qu'enferme un Homme dans les illusions de son cœur.” La décroissance pour moi, c’est un peu ça : entre les méga incendies et le permafrost qui se barre, mon cerveau sait par cœur que c’est pour l’instant une illusion. Alors dans la nuit, je cherche au loin un phare ou la lueur amie d’un chercheur éclairé. 


    L’un d’entre eux s’appelle Timothée Parrique. Docteur en économie, il est l’auteur du best seller “Ralentir ou périr - L’économie de la décroissance”, extension vulgarisée d’une thèse primée qui chahute. S’il s’appuie sur des chiffres, je le dirais tout aussi philosophe, présentant un travail hybride, à la fois très pragmatique et imagé par des exemples concrets, et interrogeant profondément notre humanité et ce qu’il reste de nos imaginaires cabossés par le réel. 

    Bien qu’ayant enregistré en pleine journée, vous constaterez dans cet épisode que je navigue à vue, la pensée laborieuse et le propos confus, un peu par la fatigue, beaucoup par conflit intellectuelle, convaincue de la destination mais larguée dans l’itinéraire. J'en retiens une lueur éternelle : l’insatiable envie d’apprendre et de partager, en tendant mon micro aux sachants qui ouvrent cependant perpétuellement une voie : celle du possible et du différemment. En attendant que la structuration d’un modèle de croissance divergente, maîtrisée, homéostatique fasse son chemin dans mes pensées, je fais place à Timothée Parrique. 


    Bonne écoute !


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  • Une table ronde entre Shein/Peter PERNOT-DAY, Forces françaises de l'industrie/Laurent Moisson et 1083/Thomas Huriez

    Les prises de parole publique des représentants de Shein sont rarissimes. L’empire chinois de l’ultra fast fashion cultive le mystère en toutes choses : ses chaînes de valeurs, l’origine de ses matières, ses actionnaires et levées de fonds, son entrée potentielle à Wall Street cet hiver. Et pour cause, la connaissance étant le pouvoir, la révélation des piliers stratégiques représente un risque d’affaiblissement commercial et, dans le cas de la marque, d’attaques juridiques pour des motifs qui vont de pratiques anti-concurrentielles aux fausses allégations promotionnelles ou environnementales.

    A l’affût du moindre indice qui révèlerait la faille d argile dans le colosse, je me frottais les mains à l’annonce d’une table ronde entre le directeur de la stratégie et des affaires publiques de Shein, Peter PERNOT-DAY, Laurent Moisson le cofondateur de l'association Forces françaises de l'industrie et Thomas Huriez président de la marque française 1083.

    L’âpreté du réel a eu raison de ma naïveté : on s'attendait à un combat de titans, on reste bredouilles et désarmé·e·s face aux messages marketing déclamés comme un robot par un représentant ultra média trainé dont le discours est lisse. Jules Renard écrivait « C’est dans la contradiction que nous sommes féconds ». Ici, nous ne repartons malheureusement avec rien de constructif. Car on peut opposer les bons et les méchants, structurer une confrontation honnête sur un argumentaire bilatéral, construit, rationnel et fondé sur des preuves (un nombre de références proposées chaque année, un bilan carbone, l'origine de ses matières premières, une lisibilité de ses chaînes de valeurs...), mais on ne peut pas faire de prise sur une surface sans relief : celle d'un discours corrompu.

    En dehors de vagues notions en faveur de l’implémentation de corners seconde main dans les boutiques Forever 21, marque de fast fashion à l’imposant parc retail rachetée par Shein qui met en pied dans la vie réelle après avoir inondé le digital, en dehors de circuits de production évoqués au Brésil et en Turquie, rien de nous permet d’espérer une once de bon sens et d’humanité dans les déclarations de Shein. Cela renforce la nécessité absolue de faire passer des lois qui restreignent drastiquement ses actions et le modèle plus général de l'ultra fast fashion. 

    La discussion était modérée par Sophie Baqué, rédactrice en chef de Mind Retail. La qualité du son, capté avec un téléphone, n’est pas optimale et nous vous prions de nous en excuser, archiver ce débat et le partager nous semblait important.


    Bonne écoute !

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  • Losanje, la marque d’upcycling made in France qui promet le passage à l’échelle

    L’upcycling de stocks de vêtements post-consommateurs est une activité en plein développement. Les marques qui s’en emparent sont souvent remarquées pour leurs prouesses créatives, et l’aspect caractéristique des pièces transformées comme des composites à la méthode de confection identifiable : on découd deux vêtements, préférentiellement à motifs, que l’on assemble avec le parti-pris d’assumer ce que l’on pourrait qualifier d’une “renaissance visible”. Mais derrière le buzz Instagram de quelques créateur·ice·s star comme Nicole McLaughlin ou Bethany Williams, se cache une réalité économique et industrielle toute autre : chiner un vêtement, le démontrer, créer un nouveau patron et unique à chaque fois, en circuit court et dans un pays occidental, c’est long, technique, peu reproductible et ça coûte excessivement cher en main d’œuvre. Pour survivre ? Il faut vendre des créations au prix d’œuvre d’art artisanal (ce qu’elles sont, quelque part). Pour déployer les vertus écologiques de la méthode à grande échelle et sortir des collections capsules des grandes marques, qui mettent la poussière sous le tapis du greenwashing ? Il faut s’accrocher et innover. La méthode choisie par notre invité. Simon Peyronnaud est le fondateur de Losanje, une marque d’upcycling d’abord B2C qui déploie son offre B2B, après avoir constaté le potentiel majeur de cette méthode de revalorisation et le manque de solution pour un passage à l’échelle : collecter en série des vêtements finis invendus ou post-consumers, les découper grâce à une machine dédiée, actuellement en cours de R&D, patronner grâce à l’association des compétences d’humains experts et d’une IA pilotée au service du bien faire.  Le tout en ayant à cœur de faire vivre et ré-industrialiser une région centrale de France, la Nièvre. 

    Un échange rempli de bon sens, d’inspirations positives et de nouvelles réjouissantes pour demain. Place à Simon. 


    Bonne rentrée à vous et bonne écoute !

     


    INTRODUCTION

    GENESE

    L’UPCYCLING


    LOSANJE B2C

    Détailler la chaîne de valeurs : Quel est le rythme de vos collections ? Comment fixez-vous vos prix ? Quel est l’ADN créatif de la marque Comment avez-vous lancé la marque B2C (stratégie de communication, vente digitale, physique)Comment cette technique est-elle reçue par le grand public ? Est-elle comprise ? Quels sont tes enseignements pour une communication pédagogique et non culpabilisante ? 

    B2B

    Shift Directeur Technique Est-il possible de passer à l’échelle ? Comment structurer la production ? Avez-vous eu besoin de former vos collaborateur·ice·s ? Recrutez-vous ?Part du mécanique/machine et de l’artisanal/humain ?Qu’est-ce qui change côté sourcing ? Qui vous approche ?Comment se passe l’onboarding avec une marque de grande envergure qui vous adresse sa problématique ? (coûts, équipes chez vous et chez eux, etc)Y’at-il des produits qu’on ne peut pas transformer ? Un exemple de collaboration ? Comment accompagner les marques dans leur communication à ce sujet, sans greenwashing ?L'upcycling, n’est-ce pas une solution pour tacler l’hyperproduction. Est-ce temporaire pour éponger les stocks ? N’y a t’il pas un risque d’effet rebond ? L’écoconception peut-elle favoriser une meilleure fin de vie/nouvelle vie des vêtements, si oui comment ? Quels sont les grands challenges à venir pour la marque ? 

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  • ON(WARD) FASHION, le podcast des solutions business pour une mode durable, était en captation live lors d'une conférence organisée par VEJA, sur le coton.

    « No Pesticides, just sneakers », une conférence sur les enjeux du coton avec VEJA

    2e hors série de l’été dans ONWARD, dans cet épisode, on vous propose d’assister à la conférence organisée par VEJA à Bordeaux sur le coton.

    Si vous avez l’impression de maîtriser le sujet, vous allez pouvoir tester vos connaissances à la lumière de celles d’expert·e·s, Luciana Batista Pereira et Orlando Rivera, venus respectivement du Brésil et du Pérou.

    Coton conventionnel, biologique, agro-écologique, agriculture régénérative : des pires aux meilleures pratiques, on vous dit tout sur l’or blanc et on illustre les solutions vertueuses avec l’exemple très concret des baskets VEJA.

    Bonne écoute !

    Informations pratiques :

    Notre échange d'1h30 a eu lieu à l'espace Darwin à Bordeaux.

    Nous avons reçu Orlando Rivera, directeur général de Bergman Rivera, Luciana Batista Pereira responsable du sourcing pour VEJA, François-Ghislain Morillion co-fondateur de VEJA et directeur du sourcing. La conversation s'est déroulée en anglais et en français, traduite simultanément par une personne partageant la scène.


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  • Happy Green par Mondial Tissus, une journée d’ateliers et de talks sur l'upcycling et la seconde main

    Deux tables rondes captées live et retransmisses lors du Happy Green, une journée d’ateliers et de talks organisée par Mondial Tissus, autour de l'upcycling et de la seconde main pour une industrie textile durable, dédiée à la presse et à des talents couture. Vous allez successivement entendre des discussions autour de l’upcycling et de la seconde main, des alliés créatifs pour prolonger la durée de vie des vêtements à travers l’entretien, la personnalisation et l’intégration de mœurs circulaires tant du côté des marques que des citoyens. 


    Au programme :

    Comment prolonger la durée de vie de ses vêtements grâce à l'upcycling et à la réparation ? Une table ronde qui reçoit Daphnée Grembeeguiam, cofondatrice de Resa, Mona Taschini, TILLI, Teresa lesoubliesduplacard et Marine Nagel-Lacroix de Mondial TissusComment allier seconde main et personnalisation pour un dressing aussi désirable que responsable ? Une table ronde qui reeçoit Rino Coletti cofondateur de Violette Sauvage, Virginie Belle de l'Association Tremplin, Céline de Maison CEE et Marine Nagel-Lacroix - Mondial Tissus

    Bonne écoute ! 


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  • Un épisode avec Valentin Porcher et Mathieu Sorosina, fondateurs d’Olow

    Cette tenue raconte… si vous êtes déjà allé faire un tour sur mon compte Instagram perso, vous avez peut-être vu passé un selfie de moi dans l’ascenseur dans une pose caractéristique, avec ce hashtag, #CetteTenueRaconte, qui décrit le message porté par ma tenue du jour. Le vêtement est pour moi, avant toute chose, l’exercice d’expression de soi plus démocratique, offert à toutes et à tous chaque matin. Et voilà bien un des grands travers du prêt-à-porter et de la fast fashion en particulier : à force de vouloir copier tout le monde et de changer de looks toutes les 24h, on ne sait plus vraiment qui l’on est ni comment l’exprimer à travers notre style. D’ailleurs du style, peu de personnes en possèdent et paradoxalement plus on s’échine à suivre des comptes de gens qui en ont, plus on se perd esthétiquement générique. Parce que le style commence à l’intérieur, par la connaissance de soi, de ce qui nous plaît, de ce qui nous va, de ce dans quoi l’on est à l’aise au monde, mais aussi ce que l’on défend. Des valeurs artistiques, politiques, militantes pour la condition féminine ou toute autre forme de justice sociale. Cela passe bien sûr par une esthétique (arborer un croptop en crochet rose quand on est un homme) mais aussi par des choix fonctionnels (ne pas porter de soutien gorge, assumer un costume 3 pièces n’importe quel jour de l’année) et bien sûr, des choix financiers. Je choisis d’acheter plus cher une matière parce qu’elle est écologique, je choisis de soutenir une confection équitable pour l’ensemble des parties prenantes, je choisis de soutenir une marque dont je partage les engagements pour un monde plus juste. Le style, ce sont des dizaines et des dizaines de messages codés que l’on peut décrypter chez l’autre ou faire passer avant d’ouvrir la bouche. 


    Celui de mes invités du jour ? Ils racontent 17 années d’entreprenariat et 25 d’amitié. Il raconte que l’on peut monter une marque de mode à succès en ayant grandi dans un milieu populaire sans lien avec le business ou les vêtements. Ils racontent que les enfants que l’on initie à l’art au plus jeune âge sont plus créatifs et débrouillards et vraisemblablement plus à même de cultiver l’émerveillement quand ils sont grands. Ils racontent que l’on peut s’habiller avec des valeurs philo-éthiques, militantes politiques et artistiques, en enfilant une veste OLOW. Il raconte que même en pleine crise économique, énergétique, d’approvisionnement, de confiance et de sens, il est possible d’être une marque pérenne distribuée par 300 points de vente physique dans le monde et qui ouvre une deuxième boutique comme un lieu de vie, de partage, aux principes écologiques chevronnés et qui cartonne.


    Cet épisode raconte Olow par ses fondateurs, Mathieu et Valentin.

    Bonne écoute !

    https://www.instagram.com/we_are_olow/

    https://www.olow.fr/fr/

    Trame indicative de questionsIntroductionEntrepreneuriat Création/collaboration artistiquesDistribution/Communauté Vie d’équipes Olow dans 10 ans ? 

    https://www.instagram.com/we_are_olow/

    https://www.olow.fr/fr/


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  • Vinted, faire de la seconde main le premier choix, avec Natacha Blanchard 

    Après 15 années, Vinted fait évoluer les marqueurs de succès. Exclusivement basé sur des paramètres financiers jusqu’à il y a encore quelques années, les outils de mesure évoluent, incluant les émissions de CO2, l’équité sociale et une gouvernance juste. Si nous avons intuitivement la conviction que la seconde main et la circularité en général sont un meilleur choix écologique, pour en avoir le cœur net, il faut mesurer. En commissionnant un expert indépendant pour son Rapport sur l'Impact Climatique Vinted cherche à comprendre l'impact réel de la seconde main et d'apporter des chiffres d'envergure qui manquaient pour mesurer ses actions. La publication des résultats du Climate Impact Report 2023 marque l’entrée de Vinted dans la catégorie des grands acteurs de l’e-commerce engagé, cherchant à rendre crédibles et mesurables ses actions, année après année, en faveur d’une économie circulaire à l’impact réellement positif. Retour sur le Rapport sur l'Impact Climatique de Vinted et les enseignements tirés pour l’entreprise comme les 80 millions de membres à travers le monde avec Natacha Blanchard, Global Consumer PR Lead.

    Trame de questionsPrésentationParcours Votre rapport à la seconde main ?

    VINTED

    Historique : origine de l’idée, fondateurs & background (e-commerce ?), date de création, à qui appartient la marque ?Grandes étapes/jalons depuis la créationPromesse de la marque/Raison d’êtrePourquoi s’être positionné d'emblée sur un modèle C2C ? Comment a évolué l’offre de service B2C ?Combien de collaborateur·ice·s, répartition géographiqueCoût moyen des transactionsAudiences/Membres (âge moyen, répartition géographique)Profils de transactions selon les pays ? Les continents ? Les âges, les genres ? Quelles sont les différences notables ? 

    MARCHE : SECONDE MAIN EN GENERAL DEPUIS 15 ANS

    Paysage concurrentiel digital ?Évolution du marché et de votre activité, particulièrement depuis le COVID ?Cette croissance est-elle selon vous une tendance de fond, si oui, par quels facteurs l’expliquer ?L’hypercroissance de ce marché est notamment corrélée à l'hyperproduction globale de l’industrie de la mode : Avez-vous remarqué une baisse de la qualité des produits/une augmentation de la part de l’ultra fast fashion dans les biens mis en ligne ? Si oui, réfléchissez-vous à une manière de réguler cela ? Par quels moyens

    LE RAPPORT D’IMPACT CLIMATIQUE

    Pourquoi avoir fait un Rapport d’Impact Climatique ? Quelle a été la méthodologie suivie ?Quels étaient les outils de mesure ? Les résultats Y’a-t'il eu une ou des surprises ? À qui sont destinés les résultats ? Quelles mises en action en découlent ?

    COMMUNICATION 

    Quels conseils/recommandations pour un usage de la plateforme/des transactions responsables ? (Détailler les différents conseils)Allez-vous adapter la communication, la sensibilisation ? Comment accompagner sans culpabiliser ?

    Allez-vous réitérer cette étude, à quel rythme ?


    Références

    Etude Accenture : https://shorturl.at/k2345

    Vinted : https://shorturl.at/blLQ7

    Darya Darya

    Télécharger le rapport : https://press-center-static.vinted.com/Climate_Impact_Report_Summary_FR_2023_74a5c9dc39.pdf


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  • “a better way”, la réinvention de Première Vision Paris

    La première rencontre entre The Good Goods et Première Vision, c’était il y a 5 ans. Nous étions au début de l’aventure, un micro média, une minuscule communauté, publiant quelques articles longs et complexes sur la thématique du développement durable dans la mode. Elle intéressait à l’époque une poignée de convaincus et attirait ceux dont le métier est notamment de capter la tendance, les signes faibles qui façonnent le monde de demain. L’équipe de Gilles Lasbordes, notre invité du jour, nous a fait confiance et a suivi son intuition, celle de déployer une offre de sourcing textile éco-responsable comme la mue essentielle à la pérennité de toute l’industrie. Parce que la mode commence par la matière : une main, une couleur, une texture, des caractéristiques techniques mais aussi un impact.


    D’après une étude Sensu Insight, 95% des émissions totales d'une entreprise de mode sont incluses dans le scope 3, soient toutes les émissions indirectes et principalement en amont dans la chaîne de valeurs. Le textile semble être un levier efficace pour réduire l’empreinte carbone de la mode, en conservant le désir de créer ce qui nous habille. Depuis les prémices de Smart Création, l’espace exposant dédié aux conférences et au sourcing durable, Première Vision déploie et solidifie son offre dans un exercice de réinvention. Parcours, signalétique, services, Hub Innovation : « A Better Way » est à découvrir du 3 au 5 juillet lors de la prochaine édition de Première Vision Paris, et en avant-première dans cet épisode d’ON(WARD) FASHION.

    Bonne écoute !Trame indicative de questionsPrésentationParcours

    PV GROUPE ET PARIS

    HistoriqueEvolutionEntités, géographie, calendriers AudiencesQuel est le rôle d’un salon textile dans la mode à l’international ?

    L’OFFRE

    MatièresQuelle est l’évolution du sourcing ces dernières années ?Comment chercher les talents de l’innovation textile ?Comment ont évolué les flux de visiteurs et d’exposants ? Comment avez-vous adapté l’offre matérielle à l’ère digitale, en particulier depuis la pandémie ?Parcours

    L’édition de juillet opère un grand renouveau, nous aimerions rentrer dans le détail du reengineering/nouveau cap donné par Better Way : 

    De qui émane la demande ?Quelle a été la méthode d'analyse appliquée pour identifier les initiatives responsables des exposants ?Quel est le degré de vérification apporté aux déclarations des exposants ?Quel pourcentage global de l’offre représente ‘A Better Way’ ?Quels sont les paramètres de la nouvelle signalétique et pour quelle clarté d’offre ?Focus sur le Hub innovation : de qui est-il composé ? Votre nouveau positionnement par rapport à l’upcycling ?Quelle offre de services innovants ? Pensez-vous qu’une structure comme PV peut avoir un rôle à jour dans la limitation des matières d’origines pétrochimiques, si oui, comment ?ServicesPouvez-vous nous présenter les rôles des Talk Arera et de la zone de pitch ?

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  • Le pouvoir de la mode sur nos cerveaux

    La mode, une discipline trop frivole pour faire l’objet de recherches universitaires ? 

    C’est ce que pensait notre invitée il y a des années, avant d’en faire non seulement son métier mais aussi une filière d’étude qu’elle a créé de toutes pièces. 

    Et le champ des possibles est infini : étude du cerveau et les choix des consommateur·ice·s ; de la corrélation entre matérialisme et insatisfaction ; des leviers d’action contre l’éco-anxiété, de la souffrance des mannequins et l’évolution de leur métier …

    Le Docteur Aurore Bardey est psychologue de la mode et chercheur-enseignante, diplômée du London College of Fashion, elle s’est donnée pour mission de rendre la mode un peu plus positive grâce à ses recherches. Happée par l’aspect sombre et à la fois beau du secteur de la mode, elle a choisi un large terrain d’expérimentation pour étudier aussi bien les marques que les consommateur·ice·s, le visible et l’invisible, les mannequins et les réseaux sociaux. 

    Aujourd’hui Aurore partage ses connaissances à la Burgundy School of Business avec ses élèves en marketing et pour notre plus grand plaisir, dans une conversation riche et fascinante dans cet épisode. Place à elle. 


    Bonne écoute ! 


    Le compte Linkedin du Dr Aurore Bardey https://fr.linkedin.com/in/dr-aurore-bardey-866b03158 

    Les études relayées sur The Good Goods : l’éthique du mannequinat, la capsule wardrobe, ce que nos profils Instagram disent de nous et la façon dont on se perçoit.

    https://www.thegoodgoods.fr/mode/avoir-un-dressing-minimaliste-serait-la-source-de-moins-de-stress-de-consumerisme-et-de-plus-depanouissement-et-de-style/

    https://www.thegoodgoods.fr/mode/ma-maigreur-a-de-la-valeur-des-mannequins-temoignent-de-limpact-de-lindustrie-sur-les-troubles-du-comportement-alimentaire-et-la-destruction-de-lestime-d/

    https://www.thegoodgoods.fr/societe/ce-que-nos-comptes-instagram-disent-de-nous-a-quel-point-la-representation-de-nous-memes-en-ligne-est-idealisee/

    Trame indicative de questions PrésentationParcours

    LA RECHERCHE EN MODE

    La mode, sujet superficiel et/ou profond ? La psychologie de la mode ? Notre rapport à la mode depuis 30 ansVotre activité de recherche au quotidien, qui finance, à qui cela est utile ? 

    LES RESULTATS DE VOS RECHERCHES 

    Quelle est la “racine du mal” ? Qu’est-ce qu’un rapport sain à la mode ? Est-il possible ? Matérialisme vs satisfaction ?Bénéfices d’une capsule wardrobe.Les vêtements dont ont réellement besoin les client·e·s ? Les facteurs qui influencent le choix ? Les leviers pour faire comprendre aux gens l’impact psychologique que les vêtements et la mode ont sur eux·elles ?Agir sur l'éco anxiété ?Les dissonances cognitives de la GenZ ? 

    INSTA

    Pourquoi si peu de travaux de recherche ? Quelles conclusions ? Est-il possible de faire un usage positif ?

    MANNEQUINAT/REPRÉSENTATIVITÉ

    La souffrance des mannequins, miroir de la condition du genre féminin en France ? Evolution positive post-metoo ? Quels sont les comportements à adopter pour entrer dans une démarche réellement inclusive ? 

    QUESTIONS D’OUVERTURE

    Références citéesVestojBarthes Système de la modeBourdieu Psychology of clothing Valeurs de data que d’interprétationAlexandre Jardin Audrey Millet

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  • ON(WARD) FASHION podcast reçoit Julien Achour, Head of 2nd Life chez Décathlon, pour parler du virage circulaire intégré dans la stratégie RSE du groupe Comment faire entrer Décathlon, équipementier sportif géant dans un modèle circulaire ?

    C’est une enseigne qui a une histoire dans toutes les familles de France.

    Elle a accompagné nos premiers exploits à vélo, la peur avant nos premiers cours de sport co, l’excitation de nos périples autour du monde, nos déceptions et nos victoires qu’on soit champion dans son jardin ou sur la première marche d’un podium. 


    Décathlon est un géant. Du sport, du marché de l’habillement et, au sens propre dans notre imaginaire, présent comme un gentil acteur protecteur depuis l’enfance et qu’on envisage dans le paysage des marques pour longtemps. 


    Décathlon, c’est par excellence une love brand. Mais les crises : énergétiques, économiques, écologiques, de confiance rendent fragiles même les colosses. Quand le monde change et les valeurs des clients évoluent, les entreprises doivent se transformer. Même les géants, surtout les géants qui doivent faire figurent de leaders exemplaires et dont la force des actions et des moyens leur permet d’avoir l’audace d’essayer. 


    Décathlon bouge, grâce aux convictions d’une CEO engagée pour réduire concrètement les émissions CO2 du groupe et une équipe accompagnée dans la mise en place des bouleversements structurels. C’est le cas de Julien Achour.


    Dans cet épisode, on aborde en détail les ambitions du groupe et le parcours escarpé comme un sentier de trail pour intégrer la circularité à l’offre, physique et digitale. Seconde main, location, réparation et mesure d’impact : voici les règles du jeu pour aborder le futur avec défi et enthousiasme. Place à Julien Achour, Leader 2nd Life chez Décathlon


    Bonne écoute !


    The Good Goods le site : https://thegoodgoods.fr/

    Instagram : https://www.instagram.com/thegoodgoods.fr/

    Linkedin : https://www.linkedin.com/company/thegoodgoods

    La trame de l’épisodePrésentationParcoursPrésentation du groupe Décathlon Evolution de l’ADN / des valeurs piliers depuis ces 10 dernières années Historique du posteComment est organisée la RSE au sein du groupe (pôle spécifique, segmentation des compétences sur d’autres postes) Quelles sont les grandes lignes de la politique RSE ?Un point sur la supply chain du neuf La seconde mainLa genèse de cette initiative ? 2013 LeBonCoinComment avez-vous développé la stratégie ? Comment est organisée l’offre de seconde main chez Decathlon ? (Politique échange et retour à ce jour ?)Avez-vous des chiffres à nous communiquer concernant Decathlon Occasion ? Quel est le modèle économique, est-ce rentable ? Quels sont les avantages extra-financiers ? Réparation, location, upcycling, où en êtes vous et comment cela s'organise ? Quel est le degré de maturité des marques de sport face à la seconde main, notamment celles que vous revendez ? Quelle est la maturité des autres pays sur ces sujets ?En quoi consistait l’opération Nolhtaced ? Comment les comportements consommateurs évoluent-ils ? Questions d’ouvertureRéférences citéesQuechua, Forclaz Naibaji ArtengoGiles Nouri Le bon coin Bertrand PiccardBernard TapiePierre Manager Décathlon Cap Gris & Nez Wissant

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  • ON(WARD) FASHION, le podcast des solutions business pour une mode durable, reçoit Elodie Lavesvre, fondatrice de 187com, agence spécialiste et de renom dans les Relations Presse sport et outdoor, pour parler de l'évolution du métier et de la communication au sujet des engagements des marques depuis 15 ans.

    Quel rôle pour les RP à l’heure de l’urgence climatique ? Comment évolue la communication des marques et comment l’accompagner ? 

    De l’ère du fax à l’ultra digital, du happening local à l’international débridé, des arguments hype aux allégations écologiques : s’il y a bien un domaine qui évolue presque aussi vite que les collections dans la mode, c’est la communication. 

    Les marques se disputent l’attention des consommateurs, aujourd'hui estimée en secondes, sur des canaux toujours plus nombreux challengeant l’inventivité des responsables marketing. 


    Editorial, images, packaging, vidéos, séjours presse, box personnalisées : nous vivons cette époque somme toute paradoxale où l’information est omniprésente et a pourtant rarement été aussi peu consistante. Alors, comment faire du bruit intelligemment quand on est une marque ? Quel budget y consacrer ? A qui s’adresser efficacement ? Comment amener sans bla bla et avec consistance des informations concernant ses engagements, sans risquer le backlash ? Le greenwashing peut-il être involontaire ? 


    Pour aborder ces questions, on reçoit aujourd’hui femme hors du commmun : Elodie Lavesvre est cheffe d’entreprise et fondatrice de 187com, agence de Relations Presse spécialisée dans l’outdoor et le sport. Depuis plus de 15 ans, elle accompagne des marques comme Patagonia, Timberland, Redbull France, Helly Hansen ou encore l’application Strava. Entre les marques, la presse et les consommateur·ice·s, voici comment 187 a su gagner la confiance de ses partenaires, se construire un réseau et faire évoluer son métier à l'heure de la crise climatique.

    Bonne écoute !Site https://187com.fr/ Linkedin https://www.linkedin.com/company/187com/ Trame de l’épisodePrésentation / Parcours

    Les Relations Presse en général :

    Qu’est ce que les relations presse ? Quel est le scope d’activités des agences ?Comment est structuré ce marché ? Historique de leur évolution depuis 15 ans ?Quelles sont les clefs pour se construire un réseau de qualité ? Pourquoi avoir décidé de créer 187 COM ? De qui se compose ton équipe ? Quels sont les métiers de l’agence ? Comment as-tu acquis et mets-tu à jour tes connaissances ? Quelles marques accompagnez-vous ? Quels critères de recrutement ? Selon toi, est-il aujourd’hui indispensable de faire appel à une agence RP quand on a une marque ? Les engagements des marques en matière de responsabilité ont-ils évolué ? Qu’est-ce qu’une agence engagée ? Quels sont les nouveaux enjeux des relations presse ? 

    Références

    Agence Clair de Lune MATRA E-presse Cafeyn WSN développement / Première classe Mizuno / Izi Pizi / Redbull France / Columbia / The North Face / Patagonia / Timberland / Brompton / Mustache bikes / Strava / Swift / Suunto/ Oka / Picture / Saleva / Ortovox / Helly Hansen / Nnormal / Everide / FujifilmMagazine Beau : ancien grazia Heidi SevestreBen Leconte microplastiques 

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