Afgespeeld
-
Camille Eelen, détaillant en mauvais genres
extrait des textes : Sapide - ELLE et des fragments poétiques
RETROUVE l'article complet sur :
https://charlie-liveshow.com/charlie-tantra/camille-eelen-erotisme-audiobook/Et moi sur :
https://twitter.com/Charlieliveshow
https://www.instagram.com/charlie_liveshow/Pourquoi en mauvais genres ? Parce que Camille Eelen s’empare des pires genres de la littérature, ceux qui sont le plus décriés et le plus méprisés par l’intelligentsia, à savoir l’érotisme et le fantastique ! Manque plus que le polar, et on aura la totale !
-
Ou comment j’ai perdu mon plan cul, de Catherine Verlaguet, est la nouvelle lecture érotique de la semaine, histoire de fêter dignement la prochaine édition du PNE ! Alors non, PNE ne veut pas dire Petit Nouveau Erotomane, ni même Possède Nous Edmond, c’est simplement l’acronyme du Prix de la Nouvelle Erotique ! Les habitués […]
L’article Ou commment j’ai perdu mon plan cul, de Catherine Verlaguet – PNE 2018 est apparu en premier sur Charlie Tantra.
-
Le Boucher, d’Alina Reyes, est l’un des grands titres de la littérature érotique du XXe siècle. L’écriture vous saisit dans votre chair, toujours avec pudeur.Pour illustrer cet extrait au point de vue féminin, nous avons choisi une team de gars de choc:le comédien Gaëtan Peau dans une interprétation sobre, tout en délicatesse;le réalisateur son Stéphane Marwal qui donne sa profondeur aux ambiances;l’artiste canadien queer Mitch (inst: @mitcheski), et sa ligne gracieuse. Le texte est à lire chez Seuil.
-
Pendant deux ans, Valentine Abé écrit des Histoires pornographiques à son amant. Elle s’y met en scène avec d’autres hommes et femmes dans des étreintes enfiévrées. “Prête-moi ta femme”, dont nous proposons ici un extrait, est à retrouver dans le recueil publié aux éditions de la Musardine. Mise en son: Philippe Guerrieri pour @ctrlX.Texte interprété par Juliette Coulon.Remerciements sincères à Valentine Abé et à La Musardine.Illustration courtesy de l’artiste Frida Castelli (we owe u, Frida!).
-
L. lit un extrait d’"Aux pieds d’Omphale", d’Henri Raynal